TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR
TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR
Bein oui c'était un branleur, il fallait bien faire quelque chose.
Vous savez la vie à la campagne n'est pas aussi facile qu'on se l'imagine quand on vit à la ville. Dans nos campagnes perdues, c'est autre chose et le romantisme du grand air, des petits oiseaux, des arbres … '' Pfffffrrr '' ( si je peux me permettre ).
On a des machines très modernes pour travailler et c'est vrai que les travaux les plus difficiles sont très allégés mais … Faut-il encore entretenir ces machines, et les surveiller, et puis elles ne font pas tout !
J'ai donc des employés, et il faut bien dire que c'est pas toujours sérieux tout ça. En général ils font des efforts inimaginables pour se tourner les pouces, mais celui-là c'était un champion.
Je devais recevoir un nouveau candidat, c'était un étudiant qui devait passer trois mois à la ferme, il n'avait jamais fait ce travail. J'étais passé livrer la récolte à la gare avec les semi-remorques. C'est à chaque fois un peu la panique, il faut faire très vite alors on charge les camions, on roule alors pendant les cent kilomètres qui séparent la ferme de la gare, on décharge dans les wagons. Sauf les produits réfrigérés, là ce sont directement le conteneurs qui sont chargés sur les plates forme de l'aérotrain. Ensuite la société de transport se charge de transporter la marchandise à la vitesse de la lumière.
Là j'exagère bien sûr. L'aérotrain ne dépasse pas les sept cent kilomètres heure, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il se retrouve donc au centre de tri. La marchandise est alors partie depuis six heures de la ferme et à partir de ce centre de tri qui est très exactement au centre stratégique du continent, la marchandise est alors triée, répartie, conditionnée et se retrouve dès le lendemain dans les centres de vente de tous le continent.
Cool !
Mais là quand je l'ai vu pour la première fois, l'air paumé avec son sac sur l'épaule, son pantalon de jean déchiré. Il parait que c'est la mode maintenant. En plus il avait un jean bien moulant, genre moule-boules. Je me souviens m'être dit dans ma tête … '' J'espère que c'est pas lui ! '' …
Et bien si, c'était lui !
Je prenais son sac dans la cabine et le mettais tout de suite au travail. Il n'avait pas l'air dégourdi mais semblait montrer beaucoup de la bonne volonté, c'était déjà un bon début.
Le train n'attendait pas, en théorie on avait largement le temps de tout décharger et dans la pratique aussi. Si on n'a pas terminé le train démarre quand même, c'est comme ça.
Il était le seul passager de la petite voiture qui est conservée dans ces convois ferroviaires ( au cas ou ), il faut bien se dire que ma ferme est dans un endroit paumé, plus paumé tu n'es même plus répertorié sur Gogle-Earth, c'est tout dire !
Moi : Alors c'est toi l'extra pour la saison !
Toc : Bein oui !
Moi : Ton voyage s'est bien passé ?
Toc : Bein oui !
Moi : Aucun problème … ?
Toc : Bein non !
Moi : Et c'est quoi ton nom ?
Toc : Toc !
Et en plus j'étais tombé sur un bavard !
Moi : Et tu n'as pas amené ton copain Tic ?
Toc : Bein non !
Moi : Tu es venu tout seul ? ( là je ne savais plus quoi dire )Toc : Bein oui !
Je n'insistais pas d'avantage, et j'allumais l'autoradio.
Je ne vous dis pas comment la route m'a parue longue avec cette nouille à côté de moi. Il ne disait rien, il regardait le paysage, et le paysage ici, c'est un désert, trois ou quatre arbres, un déserts, trois ou quatre … Bon j'arrête ma description, elle est pire que la réalité.
Moi : Tu as ton permis pour ce qui est de conduire les machines agricoles ?
Toc : Bein non !
Moi : Et pour les poids lourds et super poids lours ?
Toc : Bein non !
S'il dit encore '' Bein '' je l'étrangle avec le volant !
Toc : Par contre j'ai le permis moto …
Je le regardais incrédule !
Toc : Petit cylindré …
'' Mais j'y crois pas, il est réellement nouille ou bien … D'accord il n'a pas dit ' bein ', ça m'arrange parce que je ne sais pas comment j'aurais fait pour l'étrangler avec le volant moi … Ensuite qu'est-ce qu'il veut faire ici avec un permis moto ? … Petit cylindré.''
On finissait par arriver à la ferme. Je lui indiquais le quartier des ouvriers il allait faire connaissance avec ceux qui seraient ses camarades de travail. Un peu plus tard j'en voyais passer plusieurs …
Moi : Alors les gars vous en pensez quoi du nouveau ?
Le premier : … Bein …Le suivant : … Oui … Le dernier : … Non …Moi : C'était pas une impression alors ?
Un des gars : Bein non !
Moi : Arrêtez ! Le prochain qui me dit '' Bein '' … Je craque !
Ils repartaient en rigolant.
Un peu plus tard c'est Toc qui arrivait en personne, il s'était mis torse nue, il fait assez chaud dans le coin, il avait toujours son pantalon moule-boule déchiré au dessus des genoux. En le voyant je me rassurait tout seul dans ma tête, oui je suis tout seul dans ma tête contrairement à Toc ou là je me demande si quelquefois il n'y a pas foule …
Il avait un corps superbe, oula je vous arrête ! Non c'est pas ce que je voulais dire là, je ne suis pas de ce genre là moi ! Je me disais simplement, dans ma tête. '' Bein oui, ça il a l'air bien musclé, peut être qu'avec un peu de chance il sera à la hauteur '' . Vous savez on voit passer de tout ici, il y en a qui n'ont pas l'air futé mais face au boulot ils assurent.
Bein oui quoi !
Bein je me disais qu'il serait peut être à la hauteur quoi !
Bein j'avais tort ! …
Allons bon, ça me prend moi aussi. Bein me v'là bien !
Pour commencer cette première journée, pour lui, je le chargeais de ranger et de nettoyer tout ce qui traînait derrière la serre au bout du potager. Il s’acquittait de ce travail avec un tel zèle que le soir on ne pouvait même pas remarquer qu'il était passé par là … Rien n'avait bougé, je retrouvais l'endroit tel que je l'avais laissé !
Bein oui quoi, s'il était musclé, c'était pas par le travail !
Bon ! Le lendemain je lui confiais de nouveau cette mission. Je commençais par l'engueuler, lui demandant ce qu'il avait foutu la veille, je le remuais, lui énumérais tout ce qu'il fallait faire. Ça, ça va là. Ça, ça va ici … Tu empile tout ce bois dans ce coin là … Etc …
Bein … Il écoutait avec attention … Je lui gueulais dessus encore un moment et finalement je le laissais se débrouiller. Un bon moment plus tard, je jetais un œil pour voir ou il en était. La moitié du tas de bois était rangé et je me disais donc … '' Bein je crois qu'on va y arriver ''.
Je revenais une demie heure plus tard, plus rien n'avait bougé. Je ne le voyais plus. '' Bein je crois que je me suis enthousiasmé un peu vite ''.
Très discrètement je me déplaçais pour tenter de voir ce qu'il faisait. Il avait disparu. Sans me faire remarquer je m'approchais, à la manière d'un commando je me faufilais le plus discrètement possible. Je finissais par le retrouver, il était assis, son téléphone à la main. Il glandait le con, il glandait.
Je me relevais et … Il ne glandait pas seulement le con, il se branlait. Il avait baissé son pantalon sur ses chevilles et il s'astiquait le manche avec vigueur.
'' Et en plus il en avait une belle ! ''
Il pouvait être fier de sa queue, en cas de concours il ne redoutait personne. Je suis très bien doté mais là il me battait, pas de beaucoup mais il me battait.
Il se levait, je le voyais de profil, il était vraiment bien foutu. Finalement les muscles c'était pas le travail, c'était la branlette (?), oui mais là il aurait du être musclé du bras droit seulement …
Il crachait dans sa main gauche et continuait à s'astiquer le manche avec cette main.
Finalement il était ambidextre, il se branlait avec les deux mains, et comme il devait passer sont temps à se branler il se musclait des deux bras. Bon là c'est pas sérieux pour moi, je disserte sur sa queue, sur ses muscles (?) …
C'est vrai qu'il était rudement bien foutu le mec. Il avait un corps mince et musclé, il avait des jambes fortes et fine des bras forts et une queue … Je ne vous dis pas ! Il était bien dans son genre et je suppose qu'il ne devait pas avoir de problème pour se trouver une fille.
Je me relevais brusquement et hurlait son nom. '' TAC là tu déconnes, tu te moques du monde, on bosse ici on n'est pas là pour se branler ! ''.
Il sursautait, lançait son téléphone en l'air d'un geste involontaire, relevait son pantalon et détalait comme un lapin. Le téléphone retombait sur un tas de foin. Branleur peut être mais il aimait son confort, il s'était confectionné un petit coussin, histoire d'être bien à son aise. Je ramassais le téléphone. Il regardait du porno le con !
Je regardait un peu, mais c'était juste pour voir, pas pour regarder. Moi c'est pas du tout mon genre de truc … Il en avait une belle lui aussi le mec sur la vidéo ! Et comment il l'enfonçait dans le cul de sa copine ! Wouah ! C'est vrai que ça décoiffe ce genre truc. Oué elle va retourner sa copine et … ah mince, je ne m'y attendait pas à ça ! C'était deux mecs sur la vidéo !
Je rangeais le téléphone dans ma poche et regardait tout autour de moi. '' Il est passé ou ce branleur ? '' … '' Tic c'est pas la peine de te cacher, tu ne peux pas partir d'ici !'' . Il s'était sauvé en direction du verger, je partais à mon tour dans cette direction. Il n'y avait personne dans le verger. J'entrais dans la serre. Je gueulais, je l'appelais : '' Tac montre toi espèce de branleur, j'ai deux mots à te dire. ''.
Je voyais un tas de palette dans un coin. Je shootais violemment dedans en criant '' C'est bon là je te vois ! Tu es repéré alors montre toi. '' . J'entendais alors une petite voix juste derrière moi. J'avais bluffé mais ça avait marché.
Toc : Vous allez pas me faire de mal … Hein ?
Plus de deux mots à la suite, il venait de battre son record. Je me retournais, il n'avait pas l'air bien futé. Il n'avait pas encore refermé son pantalon, il le tenait comme il pouvait, sa queue se balançais lourdement devant lui, ses couilles aussi ressortaient par sa braguette ouverte. Il avait réussi à faire sauter le bouton de son pantalon et ne pouvait plus le fermer, il ne portait pas de sous vêtements.
Je restais là comme un con, la bouche ouverte, nos regards se croisaient, je parcourais des yeux son corps, il était …
En fait je n'avais jamais remarqué comment le corps d'un homme peut être beau. Il était …
Wouah ! C'était du genre à vous faire tomber les cheveux et moi j'avais l'impression de devenir chauve là.
Toc : J'ai cassé le bouton.
Moi : Le bouton ?
Toc : Pantalon …
Je me disais aussi, plus de deux mots, j'ai bien failli y croire. Il avait l'air tout malheureux, penché en avant, maladroit semblant ne pas savoir s'il devait dissimuler son sexe, son énorme sexe, son sexe magnifique qui ne débandait toujours pas complètement ou s'il devait seulement retenir son pantalon.
Toc : Scuse !
Il voulait sans doute dire '' Excuse '' . Je ne réagissais pas, là c'est moi qui ne savais plus quoi faire.
Moi : J'ai récupéré ton téléphone !
Je regardais le téléphone, le film n'était pas fini, là le mec se faisait défoncer le cul, je veux dire le premier pas le même que un peu plus tôt. Je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus quoi faire, je bandais.
Toc s'en rendait compte et au travers de mon pantalon il me tripotait la bite sans prévenir. Je ne réagissais même pas, je le laissais faire, il était juste en face de moi, la queue bien droite et le pantalon sur les chevilles.
J'étais pétrifié mais Toc par contre, pas du tout. Il abusait de moi le con. Il profitait de ma surprise pour ouvrir mon pantalon, le faisait tomber sur mes cheville et prenait ma queue dans sa bouche, je bandais, mais ce n'était qu'un réflexe. Je n'ai pas voulu tout ça, d'accord j'ai laissé faire mais je n'y suis pour rien.
Ça faisait un moment que je n'avais pas touché une femme, et sa langue était habile, il me la passait et la repassais sur mon gland. Je devine que vous devez être choqué par ce que je vous raconte là mais, je vous jure que je n'y étais pour rien. Ensuite il a pris ma queue plus profond dans sa bouche, il faisait ça bien le mec je ne sentais pas les dents. Ce n'était que douceur, caresse humide et quand son nez s'écrasait contre mon ventre et qu'il me massait les couilles, c'était le pied.
Je sais, je sais, j'aurais du lui dire d'arrêter, j'aurais du le repousser. Je sais ça vous choque et j'ai presque honte de vous raconter tout ça mais, c'est comme ça que ça s'est passé. Et je vous jure que je n'y était pour rien. J'ai laissé faire c'est tout mais vraiment laissé faire, je n'ai pas vraiment participé. Il a abusé de moi en fait.
Je le regardais faire, ma queue entrait rapidement bien au fond de sa gorge, bien au fond et en même temps son visage s'écrasait sur mon ventre. Il passait ses mains derrière mes fesses et me tirait vers lui au moment ou il avalait ma queue. J'étais impressionné de voir ça, ma queue pourtant de belle taille entrait et ressortait avec fluidité, je sentais mon gland au fond de sa gorge. J'appuyais alors sur sa tête doucement, puis plus fort, puis finalement de toutes mes forces je tirais sa tête vers moi en balançant mon bassin en avant. Il faisait des petit bruits bizarres mais il encaissait bien le mec.
Tout en me suçant la queue je remarquais qu'il se branlait. Pas de doute c'est un branleur, je me disais qu'il faudrait sévir. En attendant il était là, lâchement en train d'abuser de moi, et j'étais toujours pétrifié, obligé de me laisser faire.
Ses mouvements devenaient plus rapide, quand il retirait sa tête il me masturbait la queue, il insistait fermement sur mon gland, je tremblais de plaisir, pardon je voulais dire, je frissonnais de honte, je me sentais mal, c'était bon, tellement bon. On ne m'avait jamais fait ça.
Et là ça a été le sommet de la honte, il s'est levé, s'est retourné, s'est penché en avant et il m'a dit.
Toc : Cule mois !
Je n'avais plus le choix, j'étais bien obligé de faire ce qu'il me disait, j'y était contraint. Il y avait ses fesses devant moi, un rayon de soleil les éclairait, il continuait à se masturber. J'étais furieux de voir ça ou je ne sais pas, je ne sais plus.
Je l'ai enculé. Il a gueulé. J'y suis allé direct, avec force, avec virilité, je suis pas du genre efféminé moi, lui non plus remarquez. Et il a pris ma queue dans son cul avec la même facilité qu'il l'avait prise dans la gorge. Je n'avais plus le choix, j'enfonçais ma queue dans son cul puis la retirais, je l'enfonçais de nouveau, la retirais puis je ne contrôlais plus rien, il avait gagné, il m'avait contraint maintenant plus personne ne contrôlait la situation. Je me lâchais sur son cul. Je le tirais vers moi, avançais mon bassin de toutes mes forces, mon ventre claquait contre ses fesses, il gémissait. Il ne se masturbait plus. Je prenais sa queue dans ma main, il avait joui, ça me faisait tout bizarre de tripoter ainsi la queue d'un mec que je ne connaissait même pas la veille mais je ne pouvais plus me retenir de la tripoter, de la malaxer, elle était énorme. Une grosse molle énorme.
Finalement je sentais enfin un plaisir monter en moi, un grand plaisir, intense, qui s'annonçait violent. J'éjaculais dans son cul, il avait gagné, il avait abusé de moi et il avait gagné, il avait ce qu'il voulait. Il m'avait violé !
J'étais gêné …
Je me retirais, mon souffle était fort et irrégulier. Je relevais mon pantalon, il en faisait de même, il refermait sa braguette, il ne bandait plus. Il fallait qu'il se relève bien droit pour pouvoir refermer son pantalon, moule-boules comme je vous le disais, donc très serré. Il se retournait vers moi l'air penaud, il tenait le haut de son pantalon...
Toc : Bouton …
'' Il était à deux mots, j'espère qu'il ne va pas descendre à deux syllabes ! ''.
Moi : Viens avec moi, on va régler ton petit problème.
Je le conduisais jusqu'à ma maison, d'habitude je ne reçois jamais mes employés chez moi mais là c'était un cas de force majeur. Il fallait absolument faire quelque chose.
Bein oui quoi, ( allons bon, ça me reprend ) il avait tout de même abusé de moi d'une manière que je jure de ne jamais raconter à personne tellement j'ai honte. Il m'avait un peu violé, contre mon grès et je dirais même à l’insu de mon plein grès !
Je refermais les rideaux.
Moi : Allez enlève ton pantalon.
Toc : … Poil ?
Moi : Oui, c'est ça à poil !
Il s'exécutait sans montrer la moindre gêne. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer et déjà je sentais que ma queue reprenait du volume. Il recommençait, il tentait à nouveau d'abuser de moi.
Son corps était tellement beau, mince, ferme, musclé et sa queue tellement épaisse, lourde avec des proportions parfaites, des fesses fermes, minces et tellement confortables, je frissonnais de désir.
A notre époque quand on vit avec des hommes comme moi, entouré d'homme je veux dire on a, on est bien obligé d'avoir ce qu'il faut. La taille était énorme, dans le placard je prenais la plus grosse boite. PK Sécure King Size.
Je me retournais vers lui et lui tendais l'objet.
Moi : Vas y enfile moi ça !
Toc : P..r moi ?
Moi : Ouai, c'est pour toi, je crois que tu en a le plus grand besoin !
C'est en hésitant qu'il passait ses couilles dans l'anneau, une par une, la taille semblait bonne, il me regardait l'air un peu triste. Ensuite il glissait sa queue. J'attrapais son sexe avec force, je glissais un doigt dans l'anneau pour m'assurer qu'il était vraiment à la bonne taille. Plus petit on ne passait pas les couilles. C'était la taille parfaite.
Ensuite en me regardant l'air un peu triste il glissait sa queue dans la cage de chasteté, il était trop mignon avec cette tête de gamin malheureux qu'il faisait à ce moment. Je bandais à mort mais je cachait ma réaction. Il enclenchait alors tout seul la cage sur l'anneau cock-ring.
Sans aucun ménagement j'attrapais son sexe, refermais le cadenas incorporé, tripotais pendant quelques secondes l'ensemble. Ça lui allait bien, il était terriblement sexy comme ça. Il me regardait avec un air triste.
Je remplaçais son bouton métallique, il pouvait enfin refermer son pantalon. Je l'envoyais reprendre son travail. '' Ça devrait le motiver un peux ce truc '', c'est ce que je me disais.
Ça l'a motivé, il travaille désormais depuis un an chez moi, bien sûr il n'est pas question de lui retirer le dispositif de chasteté, c'est un branleur et je vous garanti que cette mauvaise manie lui est passée.
On se retrouve régulièrement depuis, au moins deux fois par semaine on se retrouve chez moi, il me suce alors comme il sait si bien le faire, je l'encule ensuite comme j'aime tant le faire. Il n'est toujours pas plus bavard mais je l'aime bien comme ça.
Et en plus maintenant il bosse bien !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Bein oui c'était un branleur, il fallait bien faire quelque chose.
Vous savez la vie à la campagne n'est pas aussi facile qu'on se l'imagine quand on vit à la ville. Dans nos campagnes perdues, c'est autre chose et le romantisme du grand air, des petits oiseaux, des arbres … '' Pfffffrrr '' ( si je peux me permettre ).
On a des machines très modernes pour travailler et c'est vrai que les travaux les plus difficiles sont très allégés mais … Faut-il encore entretenir ces machines, et les surveiller, et puis elles ne font pas tout !
J'ai donc des employés, et il faut bien dire que c'est pas toujours sérieux tout ça. En général ils font des efforts inimaginables pour se tourner les pouces, mais celui-là c'était un champion.
Je devais recevoir un nouveau candidat, c'était un étudiant qui devait passer trois mois à la ferme, il n'avait jamais fait ce travail. J'étais passé livrer la récolte à la gare avec les semi-remorques. C'est à chaque fois un peu la panique, il faut faire très vite alors on charge les camions, on roule alors pendant les cent kilomètres qui séparent la ferme de la gare, on décharge dans les wagons. Sauf les produits réfrigérés, là ce sont directement le conteneurs qui sont chargés sur les plates forme de l'aérotrain. Ensuite la société de transport se charge de transporter la marchandise à la vitesse de la lumière.
Là j'exagère bien sûr. L'aérotrain ne dépasse pas les sept cent kilomètres heure, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il se retrouve donc au centre de tri. La marchandise est alors partie depuis six heures de la ferme et à partir de ce centre de tri qui est très exactement au centre stratégique du continent, la marchandise est alors triée, répartie, conditionnée et se retrouve dès le lendemain dans les centres de vente de tous le continent.
Cool !
Mais là quand je l'ai vu pour la première fois, l'air paumé avec son sac sur l'épaule, son pantalon de jean déchiré. Il parait que c'est la mode maintenant. En plus il avait un jean bien moulant, genre moule-boules. Je me souviens m'être dit dans ma tête … '' J'espère que c'est pas lui ! '' …
Et bien si, c'était lui !
Je prenais son sac dans la cabine et le mettais tout de suite au travail. Il n'avait pas l'air dégourdi mais semblait montrer beaucoup de la bonne volonté, c'était déjà un bon début.
Le train n'attendait pas, en théorie on avait largement le temps de tout décharger et dans la pratique aussi. Si on n'a pas terminé le train démarre quand même, c'est comme ça.
Il était le seul passager de la petite voiture qui est conservée dans ces convois ferroviaires ( au cas ou ), il faut bien se dire que ma ferme est dans un endroit paumé, plus paumé tu n'es même plus répertorié sur Gogle-Earth, c'est tout dire !
Moi : Alors c'est toi l'extra pour la saison !
Toc : Bein oui !
Moi : Ton voyage s'est bien passé ?
Toc : Bein oui !
Moi : Aucun problème … ?
Toc : Bein non !
Moi : Et c'est quoi ton nom ?
Toc : Toc !
Et en plus j'étais tombé sur un bavard !
Moi : Et tu n'as pas amené ton copain Tic ?
Toc : Bein non !
Moi : Tu es venu tout seul ? ( là je ne savais plus quoi dire )Toc : Bein oui !
Je n'insistais pas d'avantage, et j'allumais l'autoradio.
Je ne vous dis pas comment la route m'a parue longue avec cette nouille à côté de moi. Il ne disait rien, il regardait le paysage, et le paysage ici, c'est un désert, trois ou quatre arbres, un déserts, trois ou quatre … Bon j'arrête ma description, elle est pire que la réalité.
Moi : Tu as ton permis pour ce qui est de conduire les machines agricoles ?
Toc : Bein non !
Moi : Et pour les poids lourds et super poids lours ?
Toc : Bein non !
S'il dit encore '' Bein '' je l'étrangle avec le volant !
Toc : Par contre j'ai le permis moto …
Je le regardais incrédule !
Toc : Petit cylindré …
'' Mais j'y crois pas, il est réellement nouille ou bien … D'accord il n'a pas dit ' bein ', ça m'arrange parce que je ne sais pas comment j'aurais fait pour l'étrangler avec le volant moi … Ensuite qu'est-ce qu'il veut faire ici avec un permis moto ? … Petit cylindré.''
On finissait par arriver à la ferme. Je lui indiquais le quartier des ouvriers il allait faire connaissance avec ceux qui seraient ses camarades de travail. Un peu plus tard j'en voyais passer plusieurs …
Moi : Alors les gars vous en pensez quoi du nouveau ?
Le premier : … Bein …Le suivant : … Oui … Le dernier : … Non …Moi : C'était pas une impression alors ?
Un des gars : Bein non !
Moi : Arrêtez ! Le prochain qui me dit '' Bein '' … Je craque !
Ils repartaient en rigolant.
Un peu plus tard c'est Toc qui arrivait en personne, il s'était mis torse nue, il fait assez chaud dans le coin, il avait toujours son pantalon moule-boule déchiré au dessus des genoux. En le voyant je me rassurait tout seul dans ma tête, oui je suis tout seul dans ma tête contrairement à Toc ou là je me demande si quelquefois il n'y a pas foule …
Il avait un corps superbe, oula je vous arrête ! Non c'est pas ce que je voulais dire là, je ne suis pas de ce genre là moi ! Je me disais simplement, dans ma tête. '' Bein oui, ça il a l'air bien musclé, peut être qu'avec un peu de chance il sera à la hauteur '' . Vous savez on voit passer de tout ici, il y en a qui n'ont pas l'air futé mais face au boulot ils assurent.
Bein oui quoi !
Bein je me disais qu'il serait peut être à la hauteur quoi !
Bein j'avais tort ! …
Allons bon, ça me prend moi aussi. Bein me v'là bien !
Pour commencer cette première journée, pour lui, je le chargeais de ranger et de nettoyer tout ce qui traînait derrière la serre au bout du potager. Il s’acquittait de ce travail avec un tel zèle que le soir on ne pouvait même pas remarquer qu'il était passé par là … Rien n'avait bougé, je retrouvais l'endroit tel que je l'avais laissé !
Bein oui quoi, s'il était musclé, c'était pas par le travail !
Bon ! Le lendemain je lui confiais de nouveau cette mission. Je commençais par l'engueuler, lui demandant ce qu'il avait foutu la veille, je le remuais, lui énumérais tout ce qu'il fallait faire. Ça, ça va là. Ça, ça va ici … Tu empile tout ce bois dans ce coin là … Etc …
Bein … Il écoutait avec attention … Je lui gueulais dessus encore un moment et finalement je le laissais se débrouiller. Un bon moment plus tard, je jetais un œil pour voir ou il en était. La moitié du tas de bois était rangé et je me disais donc … '' Bein je crois qu'on va y arriver ''.
Je revenais une demie heure plus tard, plus rien n'avait bougé. Je ne le voyais plus. '' Bein je crois que je me suis enthousiasmé un peu vite ''.
Très discrètement je me déplaçais pour tenter de voir ce qu'il faisait. Il avait disparu. Sans me faire remarquer je m'approchais, à la manière d'un commando je me faufilais le plus discrètement possible. Je finissais par le retrouver, il était assis, son téléphone à la main. Il glandait le con, il glandait.
Je me relevais et … Il ne glandait pas seulement le con, il se branlait. Il avait baissé son pantalon sur ses chevilles et il s'astiquait le manche avec vigueur.
'' Et en plus il en avait une belle ! ''
Il pouvait être fier de sa queue, en cas de concours il ne redoutait personne. Je suis très bien doté mais là il me battait, pas de beaucoup mais il me battait.
Il se levait, je le voyais de profil, il était vraiment bien foutu. Finalement les muscles c'était pas le travail, c'était la branlette (?), oui mais là il aurait du être musclé du bras droit seulement …
Il crachait dans sa main gauche et continuait à s'astiquer le manche avec cette main.
Finalement il était ambidextre, il se branlait avec les deux mains, et comme il devait passer sont temps à se branler il se musclait des deux bras. Bon là c'est pas sérieux pour moi, je disserte sur sa queue, sur ses muscles (?) …
C'est vrai qu'il était rudement bien foutu le mec. Il avait un corps mince et musclé, il avait des jambes fortes et fine des bras forts et une queue … Je ne vous dis pas ! Il était bien dans son genre et je suppose qu'il ne devait pas avoir de problème pour se trouver une fille.
Je me relevais brusquement et hurlait son nom. '' TAC là tu déconnes, tu te moques du monde, on bosse ici on n'est pas là pour se branler ! ''.
Il sursautait, lançait son téléphone en l'air d'un geste involontaire, relevait son pantalon et détalait comme un lapin. Le téléphone retombait sur un tas de foin. Branleur peut être mais il aimait son confort, il s'était confectionné un petit coussin, histoire d'être bien à son aise. Je ramassais le téléphone. Il regardait du porno le con !
Je regardait un peu, mais c'était juste pour voir, pas pour regarder. Moi c'est pas du tout mon genre de truc … Il en avait une belle lui aussi le mec sur la vidéo ! Et comment il l'enfonçait dans le cul de sa copine ! Wouah ! C'est vrai que ça décoiffe ce genre truc. Oué elle va retourner sa copine et … ah mince, je ne m'y attendait pas à ça ! C'était deux mecs sur la vidéo !
Je rangeais le téléphone dans ma poche et regardait tout autour de moi. '' Il est passé ou ce branleur ? '' … '' Tic c'est pas la peine de te cacher, tu ne peux pas partir d'ici !'' . Il s'était sauvé en direction du verger, je partais à mon tour dans cette direction. Il n'y avait personne dans le verger. J'entrais dans la serre. Je gueulais, je l'appelais : '' Tac montre toi espèce de branleur, j'ai deux mots à te dire. ''.
Je voyais un tas de palette dans un coin. Je shootais violemment dedans en criant '' C'est bon là je te vois ! Tu es repéré alors montre toi. '' . J'entendais alors une petite voix juste derrière moi. J'avais bluffé mais ça avait marché.
Toc : Vous allez pas me faire de mal … Hein ?
Plus de deux mots à la suite, il venait de battre son record. Je me retournais, il n'avait pas l'air bien futé. Il n'avait pas encore refermé son pantalon, il le tenait comme il pouvait, sa queue se balançais lourdement devant lui, ses couilles aussi ressortaient par sa braguette ouverte. Il avait réussi à faire sauter le bouton de son pantalon et ne pouvait plus le fermer, il ne portait pas de sous vêtements.
Je restais là comme un con, la bouche ouverte, nos regards se croisaient, je parcourais des yeux son corps, il était …
En fait je n'avais jamais remarqué comment le corps d'un homme peut être beau. Il était …
Wouah ! C'était du genre à vous faire tomber les cheveux et moi j'avais l'impression de devenir chauve là.
Toc : J'ai cassé le bouton.
Moi : Le bouton ?
Toc : Pantalon …
Je me disais aussi, plus de deux mots, j'ai bien failli y croire. Il avait l'air tout malheureux, penché en avant, maladroit semblant ne pas savoir s'il devait dissimuler son sexe, son énorme sexe, son sexe magnifique qui ne débandait toujours pas complètement ou s'il devait seulement retenir son pantalon.
Toc : Scuse !
Il voulait sans doute dire '' Excuse '' . Je ne réagissais pas, là c'est moi qui ne savais plus quoi faire.
Moi : J'ai récupéré ton téléphone !
Je regardais le téléphone, le film n'était pas fini, là le mec se faisait défoncer le cul, je veux dire le premier pas le même que un peu plus tôt. Je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus quoi faire, je bandais.
Toc s'en rendait compte et au travers de mon pantalon il me tripotait la bite sans prévenir. Je ne réagissais même pas, je le laissais faire, il était juste en face de moi, la queue bien droite et le pantalon sur les chevilles.
J'étais pétrifié mais Toc par contre, pas du tout. Il abusait de moi le con. Il profitait de ma surprise pour ouvrir mon pantalon, le faisait tomber sur mes cheville et prenait ma queue dans sa bouche, je bandais, mais ce n'était qu'un réflexe. Je n'ai pas voulu tout ça, d'accord j'ai laissé faire mais je n'y suis pour rien.
Ça faisait un moment que je n'avais pas touché une femme, et sa langue était habile, il me la passait et la repassais sur mon gland. Je devine que vous devez être choqué par ce que je vous raconte là mais, je vous jure que je n'y étais pour rien. Ensuite il a pris ma queue plus profond dans sa bouche, il faisait ça bien le mec je ne sentais pas les dents. Ce n'était que douceur, caresse humide et quand son nez s'écrasait contre mon ventre et qu'il me massait les couilles, c'était le pied.
Je sais, je sais, j'aurais du lui dire d'arrêter, j'aurais du le repousser. Je sais ça vous choque et j'ai presque honte de vous raconter tout ça mais, c'est comme ça que ça s'est passé. Et je vous jure que je n'y était pour rien. J'ai laissé faire c'est tout mais vraiment laissé faire, je n'ai pas vraiment participé. Il a abusé de moi en fait.
Je le regardais faire, ma queue entrait rapidement bien au fond de sa gorge, bien au fond et en même temps son visage s'écrasait sur mon ventre. Il passait ses mains derrière mes fesses et me tirait vers lui au moment ou il avalait ma queue. J'étais impressionné de voir ça, ma queue pourtant de belle taille entrait et ressortait avec fluidité, je sentais mon gland au fond de sa gorge. J'appuyais alors sur sa tête doucement, puis plus fort, puis finalement de toutes mes forces je tirais sa tête vers moi en balançant mon bassin en avant. Il faisait des petit bruits bizarres mais il encaissait bien le mec.
Tout en me suçant la queue je remarquais qu'il se branlait. Pas de doute c'est un branleur, je me disais qu'il faudrait sévir. En attendant il était là, lâchement en train d'abuser de moi, et j'étais toujours pétrifié, obligé de me laisser faire.
Ses mouvements devenaient plus rapide, quand il retirait sa tête il me masturbait la queue, il insistait fermement sur mon gland, je tremblais de plaisir, pardon je voulais dire, je frissonnais de honte, je me sentais mal, c'était bon, tellement bon. On ne m'avait jamais fait ça.
Et là ça a été le sommet de la honte, il s'est levé, s'est retourné, s'est penché en avant et il m'a dit.
Toc : Cule mois !
Je n'avais plus le choix, j'étais bien obligé de faire ce qu'il me disait, j'y était contraint. Il y avait ses fesses devant moi, un rayon de soleil les éclairait, il continuait à se masturber. J'étais furieux de voir ça ou je ne sais pas, je ne sais plus.
Je l'ai enculé. Il a gueulé. J'y suis allé direct, avec force, avec virilité, je suis pas du genre efféminé moi, lui non plus remarquez. Et il a pris ma queue dans son cul avec la même facilité qu'il l'avait prise dans la gorge. Je n'avais plus le choix, j'enfonçais ma queue dans son cul puis la retirais, je l'enfonçais de nouveau, la retirais puis je ne contrôlais plus rien, il avait gagné, il m'avait contraint maintenant plus personne ne contrôlait la situation. Je me lâchais sur son cul. Je le tirais vers moi, avançais mon bassin de toutes mes forces, mon ventre claquait contre ses fesses, il gémissait. Il ne se masturbait plus. Je prenais sa queue dans ma main, il avait joui, ça me faisait tout bizarre de tripoter ainsi la queue d'un mec que je ne connaissait même pas la veille mais je ne pouvais plus me retenir de la tripoter, de la malaxer, elle était énorme. Une grosse molle énorme.
Finalement je sentais enfin un plaisir monter en moi, un grand plaisir, intense, qui s'annonçait violent. J'éjaculais dans son cul, il avait gagné, il avait abusé de moi et il avait gagné, il avait ce qu'il voulait. Il m'avait violé !
J'étais gêné …
Je me retirais, mon souffle était fort et irrégulier. Je relevais mon pantalon, il en faisait de même, il refermait sa braguette, il ne bandait plus. Il fallait qu'il se relève bien droit pour pouvoir refermer son pantalon, moule-boules comme je vous le disais, donc très serré. Il se retournait vers moi l'air penaud, il tenait le haut de son pantalon...
Toc : Bouton …
'' Il était à deux mots, j'espère qu'il ne va pas descendre à deux syllabes ! ''.
Moi : Viens avec moi, on va régler ton petit problème.
Je le conduisais jusqu'à ma maison, d'habitude je ne reçois jamais mes employés chez moi mais là c'était un cas de force majeur. Il fallait absolument faire quelque chose.
Bein oui quoi, ( allons bon, ça me reprend ) il avait tout de même abusé de moi d'une manière que je jure de ne jamais raconter à personne tellement j'ai honte. Il m'avait un peu violé, contre mon grès et je dirais même à l’insu de mon plein grès !
Je refermais les rideaux.
Moi : Allez enlève ton pantalon.
Toc : … Poil ?
Moi : Oui, c'est ça à poil !
Il s'exécutait sans montrer la moindre gêne. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'admirer et déjà je sentais que ma queue reprenait du volume. Il recommençait, il tentait à nouveau d'abuser de moi.
Son corps était tellement beau, mince, ferme, musclé et sa queue tellement épaisse, lourde avec des proportions parfaites, des fesses fermes, minces et tellement confortables, je frissonnais de désir.
A notre époque quand on vit avec des hommes comme moi, entouré d'homme je veux dire on a, on est bien obligé d'avoir ce qu'il faut. La taille était énorme, dans le placard je prenais la plus grosse boite. PK Sécure King Size.
Je me retournais vers lui et lui tendais l'objet.
Moi : Vas y enfile moi ça !
Toc : P..r moi ?
Moi : Ouai, c'est pour toi, je crois que tu en a le plus grand besoin !
C'est en hésitant qu'il passait ses couilles dans l'anneau, une par une, la taille semblait bonne, il me regardait l'air un peu triste. Ensuite il glissait sa queue. J'attrapais son sexe avec force, je glissais un doigt dans l'anneau pour m'assurer qu'il était vraiment à la bonne taille. Plus petit on ne passait pas les couilles. C'était la taille parfaite.
Ensuite en me regardant l'air un peu triste il glissait sa queue dans la cage de chasteté, il était trop mignon avec cette tête de gamin malheureux qu'il faisait à ce moment. Je bandais à mort mais je cachait ma réaction. Il enclenchait alors tout seul la cage sur l'anneau cock-ring.
Sans aucun ménagement j'attrapais son sexe, refermais le cadenas incorporé, tripotais pendant quelques secondes l'ensemble. Ça lui allait bien, il était terriblement sexy comme ça. Il me regardait avec un air triste.
Je remplaçais son bouton métallique, il pouvait enfin refermer son pantalon. Je l'envoyais reprendre son travail. '' Ça devrait le motiver un peux ce truc '', c'est ce que je me disais.
Ça l'a motivé, il travaille désormais depuis un an chez moi, bien sûr il n'est pas question de lui retirer le dispositif de chasteté, c'est un branleur et je vous garanti que cette mauvaise manie lui est passée.
On se retrouve régulièrement depuis, au moins deux fois par semaine on se retrouve chez moi, il me suce alors comme il sait si bien le faire, je l'encule ensuite comme j'aime tant le faire. Il n'est toujours pas plus bavard mais je l'aime bien comme ça.
Et en plus maintenant il bosse bien !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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