Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (1): Petite séance de masturbation
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (1): Petite séance de masturbation
Ecrire tous les débuts de Coline, Sophie, Radia… m’a donné envie de faire un grand retour en arrière sur ma propre vie sexuelle. C’est sûr qu’à l’époque j’étais pas doué en drague ou en plaisir charnel, comme aujourd’hui, mais ces moments me tiennent à coeur car ils font qui je suis aujourd’hui. D’autres part même si je connaissais déjà plutôt bien mon pote Julien, je crois que ce sont ces vacances qui ont scellé à jamais notre amitié comme notre complicité sexuelle.
Une fois notre bac en poche, Julien et moi voulons nous faire un peu d’argent en juillet et août pour partir se détente en septembre en attendant la rentrée universitaire. Son oncle et sa femme, on acheté une maison de campagne, ils ont déjà fait faire le gros oeuvres et nous embauchent, en autre, pour vider cave et dépendances, enlever les papiers peint et repeindre les murs.
Il faut savoir que depuis que nous sommes en âge de nous branler, Sandrine fait partie de nos fantasmes. Elle a pas un physique de mannequin à cause de ses formes très généreuse mais c’est ça que nous aimons chez elle. Il nous est souvent arrivé, à Julien et moi, de faire des concours de branlette en imaginant la femme de son oncle qui fait des trucs. Alors passer des moments juste avec elle nous réjouit bien. Nous sommes tous les deux sexuellement actifs mais nous sommes encore un peu timide avec les femmes que nous convoitons.
C’est comme ça que début juillet nous partons avec Francis et Sandrine en voiture. Elle est prof donc restera tout le temps avec nous pour nous encadrer et commencer l’aménagement. L’oncle de Julien sera avec nous seulement le week end, car en semaine il doit rentrer pour travailler (il a pris que deux semaines pendant août). Comme à chaque fois que je passe du temps avec sa famille, le trajet est très agréable.
A notre arrivée, nous nous installons dans la maison. Il y a que deux chambres qui sont habitables alors mon pote et moi dormons ensemble. Ce n’est pas un problème vu que nous ne sommes pas pudique l’un envers l’autre, notamment depuis nos concours de masturbation. Une fois nos habits de travail, mais aussi des tenues habillées, rangés nous descendons les rejoindre. Après une bonne soirée nous décidons de nous coucher de bonne heure.
Le lendemain Francis veut nous montrer les objectifs de la semaine jusqu’à son retour mais aussi nous faire un peu visiter la région. Nous nous mettrons au travail dès le lundi matin avec pour mission d’enlever le papier dans les 4 chambres à couché. L’oncle de Julien passe la matinée avec nous pour nous montrer comment utiliser la machine à vapeur qu’il a loué.
Une fois que nous avons le coup de main, il nous laisse faire. Nous passons l’après midi à trouer le papier et asperger les murs pour que le papier se décolle facilement. Le lendemain, après un petit déjeuner à 3, nous nous mettons réellement au travail. Sandrine, débarrasse la cave et trie tout ce qu’il y a à jeter. Julien décolle les pans qui s’enlève tout seul, grâce à la préparation de la veille, alors que je fais chauffer la machine pour enlever les parties qui sont trop de collées.
Entre la chaleur de l’extérieur et celle produite par la vapeur, nous avons vite chaud. Je demande à Julien d’ouvrir la fenêtre pour nous faire de l’air. Mais au lieu d’entendre le bruit de la fenêtre, il me dit:
« Viens vite voir. »
Sandrine se fait bronzer en bikini sur un transat dans le jardin. Même si c’est la tante de mon pote, je lui dis:
« Dommage qu’elle enlève pas au moins le haut! »
Nous l’observons un moment, je sais pas pour Julien mais je sens ma bite gonfler dans mon jean. Malgré le spectacle nous retournons travailler sans même ouvrir la fenêtre. Une dizaine de minute plus tard, je n’en peux plus de toute cette chaleur. Cette fois, bien décidé à faire rentrer de l’air, j’ouvre en grand et me penche vers le transat pour jeter un coup d’oeil sur notre « employeuse ». Je n’en reviens pas, elle est complètement nue.
Discrètement, j’appelle Julien pour qu’il vienne reluquer, la femme de son oncle, avec moi. Même si nous avons pas encore vue beaucoup de femme à poil (internet était rare à l’époque), sa poitrine est très attirante. Ses seins semblent bien fermes et malgré leur volume ne tombent pas. Elle a un petit ventre qui lui donne beaucoup de charme et la rend encore plus désirable. Elle est très pulpeuse.
Son entrejambe est uniquement surplombé d’un triangle blond clair (de la même couleur que ses cheveux) mais avec la hauteur nous voyons pas les détails de sa vulve. Nous admirons un moment cette belle femme pulpeuse qui a plus du double de notre âge. Julien ouvre la bouche, il a tout juste le temps de dire « La », que je le pousse et ferme délicatement la fenêtre.
« Ca va pas, on fait quoi si elle nous attend? »
« Tu as raison mais la salooooope! »
Malgré la fenêtre fermée, je continue de regarder sa tante et lui confirme:
« Tu as raison, elle est vraiment bonne. »
Nous décidons de laisser, encore, la fenêtre fermée pour ne pas qu’elle nous entende et profiter du spectacle de temps en temps.
On se remet à bosser et toute les quelques minutes, un de nous deux va la voir et revient toujours avec un petit commentaire comme: « Elle m’excite vachement », « Elle me donne plein d’envies »… Alors que Julien vient de revenir du poste d’observation en disant encore une fois « Quelle salope! », quand s’est à mon tour d’aller mater, je lui lance:
« Alors j’ose pas imaginer ce que tu vas dire maintenant! »
Il me rejoint juste quand sa main droite quitte son sein et descend lentement sur son ventre. Quand ses doigts commence à creuser son entrejambe, je bande comme un âne. Je sais pas si elle a compris notre manège et veut nous exciter ou si c’est juste pour son plaisir mais nous profitons de sa masturbation. Je sens mon pote s’excité à côté, quand je tourne la tête, je vois qu’il a sorti sa bite et se caresse.
J’ouvre mon jean, je porte pas de caleçon en dessous, après avoir eu du mal à faire sortir ma tige raide je me branle aussi un moment. Mais il faut reprendre le boulot surtout avant de saloper le sol avec notre sperme. Il fait quand même moins chaud sans le jean alors j’enlève aussi mon t-shirt et continue de bosser à poil. Julien fait comme moi en plus c’est plus simple pour se caresser quand nous retournons l’observer chacun notre tour.
Cela fait un moment que je suis pas retourné à la fenêtre, ma queue s’en plaint alors je retourne au poste d’observation. Sandrine est plus là, elle a du retourner travailler. Je préviens mon pote, ouvre la fenêtre et malgré tout nous continuons à bosser nu. Le sol est recouvert de pans de papier peint, les murs sont presque brut quand la porte de la chambre s’ouvre brusquement et claque aussi tôt.
Je regarde Julien avec un air interrogateur, car il me semble avoir vu Sandrine en peignoir. C’était bien elle puisque nous l’entendons dire:
« Pourquoi vous êtes à poil???? »
Un peu gêné, je bredouille:
« Avec la machine à vapeur, on a eu l’impression d’être dans un sauna alors… »
Après un moment de silence, elle nous répond:
« Pas la peine de me prendre pour une conne, vous vous masturbiez en me regardant bronzer! »
Mon pote regarde son sexe tendu et gonflé puis le mien qui est dans le même état et répond, encore plus mal à l’aise qu’elle:
« Oui…. on t’a vu… mais on s’est vraiment mis à poil à cause de la vapeur! »
La porte s’ouvre en grand, Sandrine rentre dans la pièce et nous observe des pieds à la tête. Elle ouvre son peignoir et nous dévoile son corps de plus près. Une fois que nous l’avons bien reluqué, elle nous lance.
« Vous y connaissez vraiment rien, ça fait hammam pas sauna! Continuez à travailler pendant que je fais du bien à ma peau. »
Elle va vite refermer la fenêtre.
Bien que nous continuons à faire tomber le papier peint par terre, nous ne pouvons nous empêcher de temps en temps tourner la tête. Sandrine à étalé son peignoir sur une table en bois et s’est allongée dessus. Rapidement son corps se met à ruisseler autant que les nôtres et ça la rend encore plus désirable. Ma queue est tendue au maximum, j’ai très envie de me branler et me vider devant ce merveilleux show mais je m’abstiens.
Au bout d’un moment, elle brise le silence en nous demandant avec une voix très calme:
« Vous m’avez vu pendant que je me donnais du plaisir, n’est ce pas? »
Après un moment d’hésitation nous lui répondons, sans la regarder, par la positive.
« Bon alors je peux continuer! »
Nous osons à peine jeter des coups d’oeil sur son entrejambe recouverte par ses doigts.
Une fois que nous avons posé les outils et que nous lui faisons face, elle ajoute:
« Vous ne faisiez que regarder? »
A cette époque, j’avais déjà plus d’aplomb avec les femmes que mon pote alors en m’approchant de sa tante, je lui avoue:
« Non, nous aussi on se branler. »
« Alors, qu’est ce que vous attendez? Continuez! »
Nous nous regardons rapidement et prenons notre sexe en main pour faire des vas et viens de plus en plus rapides.
Nos 3 mains bougent à peu près au même rythme. Au bout de plusieurs minutes, enveloppé par la chaleur de la pièce et encouragé par les gémissements de Sandrine, je sens mes couilles se contracter. Mes veines palpitent sous mes doigts et ma queue tressaute avant de sortir 6 giclées bien fournies de sperme qui viennent s’écraser sur du papier peint qui est parterre.
Julien accélère ses mouvements, sa tante quitte mon entrejambe du regard pour observer celui du neveu de son mari. Il jouit quelques minutes après moi et Sandrine le suit de près. Julien et moi continuons de nous caresser même si nos sexes se mettent à rétrécir. Nous les cachons quand elle se relève pour enfiler son peignoir.
Une fois la ceinture nouée, elle s’approche de mon pote pose un petit bisou sur sa joue. Elle vient vers moi et me fait la même chose puis claque ma fesse gauche en disant:
« Maintenant que votre cerveau est de nouveau irrigué, remettez vous au travail. Il faut que cette pièce soit finit ce soir. »
Elle quitte la chambre et nous laisse seul dans cette vapeur qui sent de plus en plus le sexe.
Une fois seuls dans la pièce, nous nous regardons en explosant de rire et nous nous remettons à travailler jusqu’à ce que la pièce soit finie. Nous débranchons la machine, nous nous rhabillons et partons à la recherche de Sandrine qui est dans la cuisine en train de nous mijoter un bon repas, il est déjà 19H30. Elle nous propose d’aller nous laver pendant qu’elle finit de cuisiner.
Je file sous la douche le premier et je dois bien vous avoué que je me branle de nouveau sous la douche en repensant à cette après midi un peu folle. Du haut de mes 18 ans, j’avais jamais vécu ça et je pense que c’est la même chose pour mon pote sinon il m’en aurait parlé. Une fois laver je vais m’habiller dans la chambre pendant que Julien se douche. Il y reste pas mal de temps, il doit faire comme moi.
Quand il ressort de la salle de bain, ils frissonne et se plaint qu’il y a plus d’eau chaude. Une fois bien habillé, j’ai fait un effort parce que j’espère qu’il y aura encore de l’action avec Sandrine, nous descendons la rejoindre. Dès que nous arrivons dans la cuisine, Julien lui dit:
« J’ai fini la douche à l’eau froide! »
« Ca m’étonne pas le ballon est tout petit, il va falloir le changer. »
Nous prenons un petit apéritif dans le jardin et profitons du calme, il y a aucune maison autour. Vers 21 heures nous rentrons pour diner. Malgré la bouteille de vin que nous descendons à 3, personne ne parle de l’aventure de cette après midi. Une fois le repas terminé, nous montons vite nous coucher car nous sommes crevés.
Même si Julien et moi partageons un grand lit, comme d’habitude je dors à poil. Avec toutes les branlettes que nous avons partagé avant même celle de cet après midi, il y a pas de pudeur entre nous. Je m’endors très rapidement mais mon pote est encore plus prématuré que moi car je l’entends déjà ronfler.
Après une nuit plein de rêves érotiques, je me réveille avec une méchante érection en me demandant quel traitement va nous réserver aujourd’hui Sandrine. Pour enlever le papier peint dans la deuxième pièce, nous nous mettons directement à poil. Malgré les différents passages de Sandrine, il se passe rien.
En fin d’après midi, alors qu’il y a plus que quelques morceaux de papiers peint sur les murs, je suis déçu de l’inaction de la journée. Par contre nous finissons plus tôt que la veille alors nous allons installé tout le matériel dans la troisième chambre avant de retourner rejoindre Sandrine dans la cuisine. Après avoir descendu une bouteille d’eau à deux, elle nous dit:
« J’ai trouvé une solution pour ne pas qu’il y ait de problème d’eau chaude. Dans notre salle de bain, il y a une grande douche italienne où nous pourrons nous doucher tous en même temps »….
Une fois notre bac en poche, Julien et moi voulons nous faire un peu d’argent en juillet et août pour partir se détente en septembre en attendant la rentrée universitaire. Son oncle et sa femme, on acheté une maison de campagne, ils ont déjà fait faire le gros oeuvres et nous embauchent, en autre, pour vider cave et dépendances, enlever les papiers peint et repeindre les murs.
Il faut savoir que depuis que nous sommes en âge de nous branler, Sandrine fait partie de nos fantasmes. Elle a pas un physique de mannequin à cause de ses formes très généreuse mais c’est ça que nous aimons chez elle. Il nous est souvent arrivé, à Julien et moi, de faire des concours de branlette en imaginant la femme de son oncle qui fait des trucs. Alors passer des moments juste avec elle nous réjouit bien. Nous sommes tous les deux sexuellement actifs mais nous sommes encore un peu timide avec les femmes que nous convoitons.
C’est comme ça que début juillet nous partons avec Francis et Sandrine en voiture. Elle est prof donc restera tout le temps avec nous pour nous encadrer et commencer l’aménagement. L’oncle de Julien sera avec nous seulement le week end, car en semaine il doit rentrer pour travailler (il a pris que deux semaines pendant août). Comme à chaque fois que je passe du temps avec sa famille, le trajet est très agréable.
A notre arrivée, nous nous installons dans la maison. Il y a que deux chambres qui sont habitables alors mon pote et moi dormons ensemble. Ce n’est pas un problème vu que nous ne sommes pas pudique l’un envers l’autre, notamment depuis nos concours de masturbation. Une fois nos habits de travail, mais aussi des tenues habillées, rangés nous descendons les rejoindre. Après une bonne soirée nous décidons de nous coucher de bonne heure.
Le lendemain Francis veut nous montrer les objectifs de la semaine jusqu’à son retour mais aussi nous faire un peu visiter la région. Nous nous mettrons au travail dès le lundi matin avec pour mission d’enlever le papier dans les 4 chambres à couché. L’oncle de Julien passe la matinée avec nous pour nous montrer comment utiliser la machine à vapeur qu’il a loué.
Une fois que nous avons le coup de main, il nous laisse faire. Nous passons l’après midi à trouer le papier et asperger les murs pour que le papier se décolle facilement. Le lendemain, après un petit déjeuner à 3, nous nous mettons réellement au travail. Sandrine, débarrasse la cave et trie tout ce qu’il y a à jeter. Julien décolle les pans qui s’enlève tout seul, grâce à la préparation de la veille, alors que je fais chauffer la machine pour enlever les parties qui sont trop de collées.
Entre la chaleur de l’extérieur et celle produite par la vapeur, nous avons vite chaud. Je demande à Julien d’ouvrir la fenêtre pour nous faire de l’air. Mais au lieu d’entendre le bruit de la fenêtre, il me dit:
« Viens vite voir. »
Sandrine se fait bronzer en bikini sur un transat dans le jardin. Même si c’est la tante de mon pote, je lui dis:
« Dommage qu’elle enlève pas au moins le haut! »
Nous l’observons un moment, je sais pas pour Julien mais je sens ma bite gonfler dans mon jean. Malgré le spectacle nous retournons travailler sans même ouvrir la fenêtre. Une dizaine de minute plus tard, je n’en peux plus de toute cette chaleur. Cette fois, bien décidé à faire rentrer de l’air, j’ouvre en grand et me penche vers le transat pour jeter un coup d’oeil sur notre « employeuse ». Je n’en reviens pas, elle est complètement nue.
Discrètement, j’appelle Julien pour qu’il vienne reluquer, la femme de son oncle, avec moi. Même si nous avons pas encore vue beaucoup de femme à poil (internet était rare à l’époque), sa poitrine est très attirante. Ses seins semblent bien fermes et malgré leur volume ne tombent pas. Elle a un petit ventre qui lui donne beaucoup de charme et la rend encore plus désirable. Elle est très pulpeuse.
Son entrejambe est uniquement surplombé d’un triangle blond clair (de la même couleur que ses cheveux) mais avec la hauteur nous voyons pas les détails de sa vulve. Nous admirons un moment cette belle femme pulpeuse qui a plus du double de notre âge. Julien ouvre la bouche, il a tout juste le temps de dire « La », que je le pousse et ferme délicatement la fenêtre.
« Ca va pas, on fait quoi si elle nous attend? »
« Tu as raison mais la salooooope! »
Malgré la fenêtre fermée, je continue de regarder sa tante et lui confirme:
« Tu as raison, elle est vraiment bonne. »
Nous décidons de laisser, encore, la fenêtre fermée pour ne pas qu’elle nous entende et profiter du spectacle de temps en temps.
On se remet à bosser et toute les quelques minutes, un de nous deux va la voir et revient toujours avec un petit commentaire comme: « Elle m’excite vachement », « Elle me donne plein d’envies »… Alors que Julien vient de revenir du poste d’observation en disant encore une fois « Quelle salope! », quand s’est à mon tour d’aller mater, je lui lance:
« Alors j’ose pas imaginer ce que tu vas dire maintenant! »
Il me rejoint juste quand sa main droite quitte son sein et descend lentement sur son ventre. Quand ses doigts commence à creuser son entrejambe, je bande comme un âne. Je sais pas si elle a compris notre manège et veut nous exciter ou si c’est juste pour son plaisir mais nous profitons de sa masturbation. Je sens mon pote s’excité à côté, quand je tourne la tête, je vois qu’il a sorti sa bite et se caresse.
J’ouvre mon jean, je porte pas de caleçon en dessous, après avoir eu du mal à faire sortir ma tige raide je me branle aussi un moment. Mais il faut reprendre le boulot surtout avant de saloper le sol avec notre sperme. Il fait quand même moins chaud sans le jean alors j’enlève aussi mon t-shirt et continue de bosser à poil. Julien fait comme moi en plus c’est plus simple pour se caresser quand nous retournons l’observer chacun notre tour.
Cela fait un moment que je suis pas retourné à la fenêtre, ma queue s’en plaint alors je retourne au poste d’observation. Sandrine est plus là, elle a du retourner travailler. Je préviens mon pote, ouvre la fenêtre et malgré tout nous continuons à bosser nu. Le sol est recouvert de pans de papier peint, les murs sont presque brut quand la porte de la chambre s’ouvre brusquement et claque aussi tôt.
Je regarde Julien avec un air interrogateur, car il me semble avoir vu Sandrine en peignoir. C’était bien elle puisque nous l’entendons dire:
« Pourquoi vous êtes à poil???? »
Un peu gêné, je bredouille:
« Avec la machine à vapeur, on a eu l’impression d’être dans un sauna alors… »
Après un moment de silence, elle nous répond:
« Pas la peine de me prendre pour une conne, vous vous masturbiez en me regardant bronzer! »
Mon pote regarde son sexe tendu et gonflé puis le mien qui est dans le même état et répond, encore plus mal à l’aise qu’elle:
« Oui…. on t’a vu… mais on s’est vraiment mis à poil à cause de la vapeur! »
La porte s’ouvre en grand, Sandrine rentre dans la pièce et nous observe des pieds à la tête. Elle ouvre son peignoir et nous dévoile son corps de plus près. Une fois que nous l’avons bien reluqué, elle nous lance.
« Vous y connaissez vraiment rien, ça fait hammam pas sauna! Continuez à travailler pendant que je fais du bien à ma peau. »
Elle va vite refermer la fenêtre.
Bien que nous continuons à faire tomber le papier peint par terre, nous ne pouvons nous empêcher de temps en temps tourner la tête. Sandrine à étalé son peignoir sur une table en bois et s’est allongée dessus. Rapidement son corps se met à ruisseler autant que les nôtres et ça la rend encore plus désirable. Ma queue est tendue au maximum, j’ai très envie de me branler et me vider devant ce merveilleux show mais je m’abstiens.
Au bout d’un moment, elle brise le silence en nous demandant avec une voix très calme:
« Vous m’avez vu pendant que je me donnais du plaisir, n’est ce pas? »
Après un moment d’hésitation nous lui répondons, sans la regarder, par la positive.
« Bon alors je peux continuer! »
Nous osons à peine jeter des coups d’oeil sur son entrejambe recouverte par ses doigts.
Une fois que nous avons posé les outils et que nous lui faisons face, elle ajoute:
« Vous ne faisiez que regarder? »
A cette époque, j’avais déjà plus d’aplomb avec les femmes que mon pote alors en m’approchant de sa tante, je lui avoue:
« Non, nous aussi on se branler. »
« Alors, qu’est ce que vous attendez? Continuez! »
Nous nous regardons rapidement et prenons notre sexe en main pour faire des vas et viens de plus en plus rapides.
Nos 3 mains bougent à peu près au même rythme. Au bout de plusieurs minutes, enveloppé par la chaleur de la pièce et encouragé par les gémissements de Sandrine, je sens mes couilles se contracter. Mes veines palpitent sous mes doigts et ma queue tressaute avant de sortir 6 giclées bien fournies de sperme qui viennent s’écraser sur du papier peint qui est parterre.
Julien accélère ses mouvements, sa tante quitte mon entrejambe du regard pour observer celui du neveu de son mari. Il jouit quelques minutes après moi et Sandrine le suit de près. Julien et moi continuons de nous caresser même si nos sexes se mettent à rétrécir. Nous les cachons quand elle se relève pour enfiler son peignoir.
Une fois la ceinture nouée, elle s’approche de mon pote pose un petit bisou sur sa joue. Elle vient vers moi et me fait la même chose puis claque ma fesse gauche en disant:
« Maintenant que votre cerveau est de nouveau irrigué, remettez vous au travail. Il faut que cette pièce soit finit ce soir. »
Elle quitte la chambre et nous laisse seul dans cette vapeur qui sent de plus en plus le sexe.
Une fois seuls dans la pièce, nous nous regardons en explosant de rire et nous nous remettons à travailler jusqu’à ce que la pièce soit finie. Nous débranchons la machine, nous nous rhabillons et partons à la recherche de Sandrine qui est dans la cuisine en train de nous mijoter un bon repas, il est déjà 19H30. Elle nous propose d’aller nous laver pendant qu’elle finit de cuisiner.
Je file sous la douche le premier et je dois bien vous avoué que je me branle de nouveau sous la douche en repensant à cette après midi un peu folle. Du haut de mes 18 ans, j’avais jamais vécu ça et je pense que c’est la même chose pour mon pote sinon il m’en aurait parlé. Une fois laver je vais m’habiller dans la chambre pendant que Julien se douche. Il y reste pas mal de temps, il doit faire comme moi.
Quand il ressort de la salle de bain, ils frissonne et se plaint qu’il y a plus d’eau chaude. Une fois bien habillé, j’ai fait un effort parce que j’espère qu’il y aura encore de l’action avec Sandrine, nous descendons la rejoindre. Dès que nous arrivons dans la cuisine, Julien lui dit:
« J’ai fini la douche à l’eau froide! »
« Ca m’étonne pas le ballon est tout petit, il va falloir le changer. »
Nous prenons un petit apéritif dans le jardin et profitons du calme, il y a aucune maison autour. Vers 21 heures nous rentrons pour diner. Malgré la bouteille de vin que nous descendons à 3, personne ne parle de l’aventure de cette après midi. Une fois le repas terminé, nous montons vite nous coucher car nous sommes crevés.
Même si Julien et moi partageons un grand lit, comme d’habitude je dors à poil. Avec toutes les branlettes que nous avons partagé avant même celle de cet après midi, il y a pas de pudeur entre nous. Je m’endors très rapidement mais mon pote est encore plus prématuré que moi car je l’entends déjà ronfler.
Après une nuit plein de rêves érotiques, je me réveille avec une méchante érection en me demandant quel traitement va nous réserver aujourd’hui Sandrine. Pour enlever le papier peint dans la deuxième pièce, nous nous mettons directement à poil. Malgré les différents passages de Sandrine, il se passe rien.
En fin d’après midi, alors qu’il y a plus que quelques morceaux de papiers peint sur les murs, je suis déçu de l’inaction de la journée. Par contre nous finissons plus tôt que la veille alors nous allons installé tout le matériel dans la troisième chambre avant de retourner rejoindre Sandrine dans la cuisine. Après avoir descendu une bouteille d’eau à deux, elle nous dit:
« J’ai trouvé une solution pour ne pas qu’il y ait de problème d’eau chaude. Dans notre salle de bain, il y a une grande douche italienne où nous pourrons nous doucher tous en même temps »….
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour les messages. Ça va être une longue série et là on en est qu’a l’échauffement
Ca commence bien, j'ai hâte de lire la suite
Très excitante ton histoire , deux beaux jeunes mecs a poil enlevant es vieux papier peints de quoi faire bander un âne et en plus une bonne femme qui se promène et se masturbe a poil aussi , J'attend la suite avec impatience