Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (2): Première douche à 3 et …
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (2): Première douche à 3 et …
Avec Julien , nous venons d’avoir notre bac. Nous décidons de bosser en juillet et août pour se faire de belles vacances en septembre avant de commencer la fac, chacun de notre côté. Francis, l’oncle de Julien, nous a engagé pour faire des travaux dans la bâtisse qu’il vient d’acheter avec sa femme Sandrine. Ils ont déjà fait les gros travaux et au lieu de payer des professionnels, il nous propose une belle somme d’argent pour les aider.
Cela fait maintenant 4 jours que nous sommes dans la maison de campagne. Après nous avoir montré les outils et le travail à faire, Francis repart pour travailler. Nous restons seuls avec Sandrine et lui nous rejoint tous les week end. Pour cette première semaine, nous devons enlever tout le papier peint qu’il y a dans les chambres du haut.
Pendant que nous travaillons dans la première chambre, Sandrine vide la cave et prépare un voyage à déchèterie. Dans l’après midi entre la chaleur extérieure et la vapeur produite par la machine qui sert à décoller le papier, nous voulons ouvrir la fenêtre. Sandrine est allongée sur un transat en bikini pour bronzer, nous profitons de son corps voluptueux avant de nous remettre au boulot.
En retournant régulièrement à la fenêtre nous la voyons d’abord se déshabiller pour faire roussir chaque centimètre de peau de son corps. Plus tard nous la voyons se caresser, trop excité nous nous branlons en la regardant faire. Avant de reprendre le boulot, nous nous déshabillons entièrement pour ne pas avoir trop chaud. En effet nous préférons laisser la fenêtre fermée pour profiter du spectacle sans se faire remarquer.
Puis Sandrine disparait du transat et, quelques minutes plus tard, nous surprend à poil en train de travailler. Nous essayons de lui expliquer que nous avons l’impression d’être dans un sauna mais elle a très bien compris que nous nous sommes branlés en la matant. Du coup elle vient nous rejoindre en nous précisant que nous sommes pas dans un sauna mais un hammam et décide de profiter des bienfaits de la vapeur sur son corps.
Elle nous nous nargue en reprenant sa séance de masturbation mais cette fois à seulement quelques dizaines de centimètres de nous. Puis elle nous invite à faire comme quand nous la regardions à travers la fenêtre. Nous nous paluchons allègrement jusqu’à l’orgasme. Je jouis le premier rapidement suivi par Julien et la maitresse des lieux.
Une fois les couilles vides et plus en état de travailler, nous reprenons le boulot. Quand les murs de la pièce sont bruts, nous nous rhabillons pour rejoindre Sandrine qui nous mijote un bon diner. Avant de passer à table, nous allons nous laver, je rentre le premier sous la douche.
Je sais pas si c’est parce que j’ai utiliser trop d’eau à cause de ma branlette mais Julien finit sa douche froidement. Nous prévenons Sandrine qui est au courant du problème dû à un ballon trop petit. La soirée se passe sans reparler de la séance de la masturbation de l’après midi. La journée du lendemain et tout aussi calme, en tout cas jusqu’à ce que nous ayons fini de travailler.
Avant d’aller se laver pour être propre pour le diner, nous allons rejoindre Sandrine dans la cuisine. Elle nous conseille d’utiliser sa salle de bain et de se laver en même temps pour utiliser le moins d’eau chaude possible et ne pas avoir le problème de la veille. Nous nous étonnons de sa proposition mais nous allons chercher nos serviettes et nos changées.
Quand nous revenons avec nos affaires, la tante de Julien nous demande de l’attendre deux minutes, nous nous asseyons en attendant. Quand elle éteint le gaz nous la suivons pour qu’elle nous montre leur salle de bain. En fait, elle est attenante à leur grande chambre à coucher qui est déjà propre peinte et aménagée. C’est la première fois que nous rentrons dans cette partie de la maison.
Leur salle de bain et spacieuse et très belle, elle nous montre comment marche la douche et retourne à la cuisine. Une fois seuls, je demande à Julien:
« On va vraiment se doucher ensemble? »
« Je sais pas c’est quand même un peu étrange, non? »
Tout d’un coup, j’ai eu une idée. Je vais fermer la porte à clé mais la serrure ne ferme pas, un autre truc à arranger. Je dis à Julien de commencer sa douche sans utiliser toute l’eau chaude et que je me laverai après lui.
Je m’installe, en caleçon, dans la chaise en osier sur laquelle nous avons posé nos serviettes. Quelques minutes après, Sandrine ouvre brusquement la porte. En me voyant assis et sec, elle nous dit sur un ton très directif:
« C’est bien ce que je pensais. Allez! Tous les deux sous la douche. Je surveille. »
Un peu choqué, je me lève et enlève mon caleçon pour rejoindre Julien. Pendant qu’il se savonne, je me rince.
Nous jetons régulièrement des coups d’oeil sur elle et je me décide enfin à lui demander:
« Tu vas rester assise là? »
« Oui pourquoi? »
« Ca serait plus sympa si tu nous rejoins! »
Julien me donne un petit coup, je sais bien que c’est la femme de son oncle mais on va pas s’arrêter là!
Sandrine se lève et se déshabille pour venir me rejoindre. Quand j’essaye de m’approcher de son corps nu, elle me repousse et me dit:
« On regarde mais on touche pas! Du moins pas déjà! »
Puis en faisant passer, sensuellement, ses mains sur son corps, elle ajoute:
« Par contre vous pouvez vous toucher devant moi! »
Quand ses mains atteignent son entrejambe, nous nous masturbons nous aussi jusqu’à éjecter notre jouissance qui part rapidement dans les égouts. L’eau commence à être froide alors nous nous dépêchons de nous rincer et sortir. La tante de Julien enfile un peignoir et redescend en cuisine.
Une fois sec, nous réalisons que nous avons oublié nos habits pour la soirée dans la cuisine. Maintenant que nous sommes propre, il est hors de questions de remettre les habits de travail. Nous nous entourons avec nos serviettes et descendons dans la cuisine. Etonnée de nous voir pas habillés, elle nous demande:
« Qu’est ce que vous faites dans cette tenue? »
Nous lui expliquons la situation mais elle nous répond:
« Il fait chaud, vous serez plus à l’aise à poil. »
Pour une fois, c’est Julien qui prend les devants et lui dit:
« Ok, mais seulement si on tous à égalité. »
Sandrine ne se démonte pas et retire son peignoir du coup nous faisons tomber nos serviettes.
Je sais pas pourquoi nous avons pris des sacs remplis d’habits car maintenant nous travaillons à poil, nous mangeons tous les trois complètement nus. Sans oublier que nous nous douchons tous ensemble en nous masturbant. C’est devenu notre rituel, du moins jusqu’au vendredi fin de journée, car Francis, l’oncle de Julien, doit arriver d’une minute à l’autre.
Le week end se passe beaucoup plus calmement, chacun se douche séparément et a des heures différentes et tout le monde reste habillé, du moins devant les autres. Le samedi soir, comme Francis et très content de notre avancée et ne pensait qu’on travaillerait aussi vite, il nous propose de nous coucher tôt et de nous amener le lendemain à la plage.
Je me baigne pas beaucoup mais je passe mon temps, avec l’aide de mon pote, à comparer les corps des femmes en bikini à celui de sa tante. Je crois me rappeler que j’ai passé une bonne partie de la journée en érection et qu’à deux reprises je suis rentré dans l’eau mais uniquement pour me vider les couilles, le plus discrètement possible.
Pour notre dernière soirée à 4 de la semaine, Francis nous invite dans un restaurant du coin où nous mangeons et buvons à nous éclater la panse. Le soir bien trop crevés par cette journée, nous nous endormons tous assez tôt. Le lendemain matin, Sandrine nous réveille vers 8 heures et nous annonce:
« Mon mari est parti alors le petit déjeuner se fera à poil. »
Quand Julien et moi descendons, la table est dressé dans le jardin, il fait un beau soleil. Comme il y a aucun voisin à moins de 2 kilomètres aucun problème pour s’exhiber en pleine air. Même si je me rasais pas encore le pubis ni les couilles, les petits coups de vents me faisait du bien sur la bite. Je me demande, avec le recule, si se ne sont pas ses vacances qui m’ont donné le goût du naturisme.
Pour cette semaine nous avons pour mission de reboucher d’enduit tous les trous dans les murs et de décaper le papier du peint de l’immense salon/ salle à manger. Même si nous utilisons pas la machine qui crée de la vapeur, tout comme Sandrine, nous bossons à poil. Après cette nouvelle journée de travail arasante, nous allons rejoindre Sandrine pour notre douche quotidienne à 3.
Nous la trouvons dans le jardin assise dans le transat, elle nous propose un cocktail bien alcoolisé pour se détendre avant de se laver. A cette époque nous ne buvions pas grand chose d’autre que du vin, je ne sais pas quel alcool elle a mis mais ça me fait vite tourner la tête. Une fois les verres vides, Julien et moi rejoignons la salle de bain dans de grands fou rire.
Une fois, tous les trois dans la douche italienne, Sandrine nous donne un savon chacun et nous dit:
« Lavez vous l’un l’autre. »
Julien, choqué, lui réponds:
« Non mais ça va pas la tête! C’est dégueulasse! »
Même si je n’ai pas la même réaction que lui, j’ai déjà eu des rapports avec deux autres hommes mais mon pote ne le sais pas, je proteste. Sa tante nous regarde furieusement avec ses points posés sur sa taille et nous dit:
« Si vous ne le faites pas, je dis à ton oncle que vous m’avez tripotée. »
Après un moment de réflexion, sûrement trop long à cause de l’alcool, mon pote lui rétorque:
« Ca va pas la tête, il te croira jamais! »
« On voit que tu connais pas encore le pouvoir de dissuasion des femmes. »
Résolu à ne pas créer des problèmes mais aussi parce que j’en ai envie de lui depuis un moment, je commence à savonner le torse de Julien. Surement aidé par l’alcool, il finit par faire comme moi.
Au bout de quelques secondes, Sandrine nous ordonne:
« Maintenant, le dos! »
Je me retourne le premier et je sens les mains de mon pote passer sur chaque centimètre de ma peau avec douceur. Ensuite elle lui dit:
« Oublie pas son cul! »
Je le sens hésiter un moment puis ses doigts commencent à descendre le long de ma colonne vertébrale. Sa main droite passe rapidement sur ma fesse droite et la gauche fais pareil de l’autre côté.
Rapidement, la tante de mon pote lui dit:
« La prochaine fois, tu feras aussi sa raie. Accroupie toi et lave ses jambes! »
Il s’exécute et une fois que même mes pieds sont propres, on entend la maitresse de maison me dire:
« A toi Romain, tu sais ce que tu as faire. »
Je savonne le dos de mon ami, puis ses fesses et je finis par ses jambes et ses pieds. Une fois qu’il est propre, je me redresse et lui se retourne. j’attrape le pommeau de douche pour nous rincer, mais elle nous arrête et nous demande:
« Vous vous lavez jamais la bite? »
Sans même réfléchir, je tends mes mains et commence à savonner le pubis de Julien, il fait comme moi. Quand mes mains descendent sur ses couilles, il suit le mouvements. Quand j’écarte mes cuisses pour qu’il atteigne mon périnée, il fait pareil.
J’hésite quelques secondes et je remonte sur sa queue. Je le savonne comme je le fais quand je suis seul, quelques allers retours sur toute la longueur de sa tige. Nos bites se mettent à grossir entre les doigts de l’autre, nous sommes rapidement raide comme des piquets. La maitresse de ces lieux se déshabille, nous rejoint dans la douche et alors qu’elle se caresse le mont de Vénus, nous dit:
« Caressez vous. »
Julien retire immédiatement ses mains de mon sexe et empoigne sa bite pour se branler. Je l’aurai bien masturbé jusqu’à la jouissance mais ça sera peut être pour une autre fois. Alors que je me branle énergiquement, mon pote joui en quelques secondes, tout comme sa tante. Je prends un peu plus de temps mais finis par me vider sur le sol de la douche.
Nous pensons en avoir fini mais Sandrine ajoute:
« Julien, montre à ton ami comme on se lave bien quand on a un prépuce. »
Je le vois tirer sur le morceau de peau qui recouvre son gland et se savonner avant de se recalotter. Avant de nous quitter, elle nous précise:
« C’est plus compliqué de bien se laver, mais je trouve beaucoup plus joli un gland recouvert. Dommage pour toi Romain. »
Elle sort de la salle de bain et nous laisse tous les deux troublés parce que nous venons de vivre et se faire. Avant même de sucer une bite pour la première fois, je ressentais du désir pour Julien et son corps et comme j’en espère un peu plus je lui dis:
« C’était étrange mais j’ai trouvé ça très excitant. Et pour toi? »
« Pareil, je me demande comment ça se fait, la domination peut être! »
Après un moment de silence, je tente:
« Peut être qu’on est attiré par les hommes, tu crois qu’on est homo? »
Je suis étonné de sa réponse:
« J’en sais rien mais si déjà je dirai bi parce que j’ai aucun doute sur mon attirance pour les femmes. »
Sa définition me convient très bien parce que ça fait un an ou deux que je pense être bi même si j’en ai jamais parlé à personne. Je conclue en lui disant:
« En tout cas ta tante est une sacrée coquine. Je sais pas jusqu’où on va aller mais j’aime ça. »
Nous finissons de nous essuyer et descendons la rejoindre, à poil dans la cuisine. Comme la soirée est très chaude nous décidons de diner dehors, en fin c’est Sandrine qui décide et nous suivons. Pour en avoir parlé avec Julien, je sais que lui aussi adore quand elle se lève pour nous servir car sa fente bien épilé apparait juste au-dessus de la table et nous fait bien bander….
Cela fait maintenant 4 jours que nous sommes dans la maison de campagne. Après nous avoir montré les outils et le travail à faire, Francis repart pour travailler. Nous restons seuls avec Sandrine et lui nous rejoint tous les week end. Pour cette première semaine, nous devons enlever tout le papier peint qu’il y a dans les chambres du haut.
Pendant que nous travaillons dans la première chambre, Sandrine vide la cave et prépare un voyage à déchèterie. Dans l’après midi entre la chaleur extérieure et la vapeur produite par la machine qui sert à décoller le papier, nous voulons ouvrir la fenêtre. Sandrine est allongée sur un transat en bikini pour bronzer, nous profitons de son corps voluptueux avant de nous remettre au boulot.
En retournant régulièrement à la fenêtre nous la voyons d’abord se déshabiller pour faire roussir chaque centimètre de peau de son corps. Plus tard nous la voyons se caresser, trop excité nous nous branlons en la regardant faire. Avant de reprendre le boulot, nous nous déshabillons entièrement pour ne pas avoir trop chaud. En effet nous préférons laisser la fenêtre fermée pour profiter du spectacle sans se faire remarquer.
Puis Sandrine disparait du transat et, quelques minutes plus tard, nous surprend à poil en train de travailler. Nous essayons de lui expliquer que nous avons l’impression d’être dans un sauna mais elle a très bien compris que nous nous sommes branlés en la matant. Du coup elle vient nous rejoindre en nous précisant que nous sommes pas dans un sauna mais un hammam et décide de profiter des bienfaits de la vapeur sur son corps.
Elle nous nous nargue en reprenant sa séance de masturbation mais cette fois à seulement quelques dizaines de centimètres de nous. Puis elle nous invite à faire comme quand nous la regardions à travers la fenêtre. Nous nous paluchons allègrement jusqu’à l’orgasme. Je jouis le premier rapidement suivi par Julien et la maitresse des lieux.
Une fois les couilles vides et plus en état de travailler, nous reprenons le boulot. Quand les murs de la pièce sont bruts, nous nous rhabillons pour rejoindre Sandrine qui nous mijote un bon diner. Avant de passer à table, nous allons nous laver, je rentre le premier sous la douche.
Je sais pas si c’est parce que j’ai utiliser trop d’eau à cause de ma branlette mais Julien finit sa douche froidement. Nous prévenons Sandrine qui est au courant du problème dû à un ballon trop petit. La soirée se passe sans reparler de la séance de la masturbation de l’après midi. La journée du lendemain et tout aussi calme, en tout cas jusqu’à ce que nous ayons fini de travailler.
Avant d’aller se laver pour être propre pour le diner, nous allons rejoindre Sandrine dans la cuisine. Elle nous conseille d’utiliser sa salle de bain et de se laver en même temps pour utiliser le moins d’eau chaude possible et ne pas avoir le problème de la veille. Nous nous étonnons de sa proposition mais nous allons chercher nos serviettes et nos changées.
Quand nous revenons avec nos affaires, la tante de Julien nous demande de l’attendre deux minutes, nous nous asseyons en attendant. Quand elle éteint le gaz nous la suivons pour qu’elle nous montre leur salle de bain. En fait, elle est attenante à leur grande chambre à coucher qui est déjà propre peinte et aménagée. C’est la première fois que nous rentrons dans cette partie de la maison.
Leur salle de bain et spacieuse et très belle, elle nous montre comment marche la douche et retourne à la cuisine. Une fois seuls, je demande à Julien:
« On va vraiment se doucher ensemble? »
« Je sais pas c’est quand même un peu étrange, non? »
Tout d’un coup, j’ai eu une idée. Je vais fermer la porte à clé mais la serrure ne ferme pas, un autre truc à arranger. Je dis à Julien de commencer sa douche sans utiliser toute l’eau chaude et que je me laverai après lui.
Je m’installe, en caleçon, dans la chaise en osier sur laquelle nous avons posé nos serviettes. Quelques minutes après, Sandrine ouvre brusquement la porte. En me voyant assis et sec, elle nous dit sur un ton très directif:
« C’est bien ce que je pensais. Allez! Tous les deux sous la douche. Je surveille. »
Un peu choqué, je me lève et enlève mon caleçon pour rejoindre Julien. Pendant qu’il se savonne, je me rince.
Nous jetons régulièrement des coups d’oeil sur elle et je me décide enfin à lui demander:
« Tu vas rester assise là? »
« Oui pourquoi? »
« Ca serait plus sympa si tu nous rejoins! »
Julien me donne un petit coup, je sais bien que c’est la femme de son oncle mais on va pas s’arrêter là!
Sandrine se lève et se déshabille pour venir me rejoindre. Quand j’essaye de m’approcher de son corps nu, elle me repousse et me dit:
« On regarde mais on touche pas! Du moins pas déjà! »
Puis en faisant passer, sensuellement, ses mains sur son corps, elle ajoute:
« Par contre vous pouvez vous toucher devant moi! »
Quand ses mains atteignent son entrejambe, nous nous masturbons nous aussi jusqu’à éjecter notre jouissance qui part rapidement dans les égouts. L’eau commence à être froide alors nous nous dépêchons de nous rincer et sortir. La tante de Julien enfile un peignoir et redescend en cuisine.
Une fois sec, nous réalisons que nous avons oublié nos habits pour la soirée dans la cuisine. Maintenant que nous sommes propre, il est hors de questions de remettre les habits de travail. Nous nous entourons avec nos serviettes et descendons dans la cuisine. Etonnée de nous voir pas habillés, elle nous demande:
« Qu’est ce que vous faites dans cette tenue? »
Nous lui expliquons la situation mais elle nous répond:
« Il fait chaud, vous serez plus à l’aise à poil. »
Pour une fois, c’est Julien qui prend les devants et lui dit:
« Ok, mais seulement si on tous à égalité. »
Sandrine ne se démonte pas et retire son peignoir du coup nous faisons tomber nos serviettes.
Je sais pas pourquoi nous avons pris des sacs remplis d’habits car maintenant nous travaillons à poil, nous mangeons tous les trois complètement nus. Sans oublier que nous nous douchons tous ensemble en nous masturbant. C’est devenu notre rituel, du moins jusqu’au vendredi fin de journée, car Francis, l’oncle de Julien, doit arriver d’une minute à l’autre.
Le week end se passe beaucoup plus calmement, chacun se douche séparément et a des heures différentes et tout le monde reste habillé, du moins devant les autres. Le samedi soir, comme Francis et très content de notre avancée et ne pensait qu’on travaillerait aussi vite, il nous propose de nous coucher tôt et de nous amener le lendemain à la plage.
Je me baigne pas beaucoup mais je passe mon temps, avec l’aide de mon pote, à comparer les corps des femmes en bikini à celui de sa tante. Je crois me rappeler que j’ai passé une bonne partie de la journée en érection et qu’à deux reprises je suis rentré dans l’eau mais uniquement pour me vider les couilles, le plus discrètement possible.
Pour notre dernière soirée à 4 de la semaine, Francis nous invite dans un restaurant du coin où nous mangeons et buvons à nous éclater la panse. Le soir bien trop crevés par cette journée, nous nous endormons tous assez tôt. Le lendemain matin, Sandrine nous réveille vers 8 heures et nous annonce:
« Mon mari est parti alors le petit déjeuner se fera à poil. »
Quand Julien et moi descendons, la table est dressé dans le jardin, il fait un beau soleil. Comme il y a aucun voisin à moins de 2 kilomètres aucun problème pour s’exhiber en pleine air. Même si je me rasais pas encore le pubis ni les couilles, les petits coups de vents me faisait du bien sur la bite. Je me demande, avec le recule, si se ne sont pas ses vacances qui m’ont donné le goût du naturisme.
Pour cette semaine nous avons pour mission de reboucher d’enduit tous les trous dans les murs et de décaper le papier du peint de l’immense salon/ salle à manger. Même si nous utilisons pas la machine qui crée de la vapeur, tout comme Sandrine, nous bossons à poil. Après cette nouvelle journée de travail arasante, nous allons rejoindre Sandrine pour notre douche quotidienne à 3.
Nous la trouvons dans le jardin assise dans le transat, elle nous propose un cocktail bien alcoolisé pour se détendre avant de se laver. A cette époque nous ne buvions pas grand chose d’autre que du vin, je ne sais pas quel alcool elle a mis mais ça me fait vite tourner la tête. Une fois les verres vides, Julien et moi rejoignons la salle de bain dans de grands fou rire.
Une fois, tous les trois dans la douche italienne, Sandrine nous donne un savon chacun et nous dit:
« Lavez vous l’un l’autre. »
Julien, choqué, lui réponds:
« Non mais ça va pas la tête! C’est dégueulasse! »
Même si je n’ai pas la même réaction que lui, j’ai déjà eu des rapports avec deux autres hommes mais mon pote ne le sais pas, je proteste. Sa tante nous regarde furieusement avec ses points posés sur sa taille et nous dit:
« Si vous ne le faites pas, je dis à ton oncle que vous m’avez tripotée. »
Après un moment de réflexion, sûrement trop long à cause de l’alcool, mon pote lui rétorque:
« Ca va pas la tête, il te croira jamais! »
« On voit que tu connais pas encore le pouvoir de dissuasion des femmes. »
Résolu à ne pas créer des problèmes mais aussi parce que j’en ai envie de lui depuis un moment, je commence à savonner le torse de Julien. Surement aidé par l’alcool, il finit par faire comme moi.
Au bout de quelques secondes, Sandrine nous ordonne:
« Maintenant, le dos! »
Je me retourne le premier et je sens les mains de mon pote passer sur chaque centimètre de ma peau avec douceur. Ensuite elle lui dit:
« Oublie pas son cul! »
Je le sens hésiter un moment puis ses doigts commencent à descendre le long de ma colonne vertébrale. Sa main droite passe rapidement sur ma fesse droite et la gauche fais pareil de l’autre côté.
Rapidement, la tante de mon pote lui dit:
« La prochaine fois, tu feras aussi sa raie. Accroupie toi et lave ses jambes! »
Il s’exécute et une fois que même mes pieds sont propres, on entend la maitresse de maison me dire:
« A toi Romain, tu sais ce que tu as faire. »
Je savonne le dos de mon ami, puis ses fesses et je finis par ses jambes et ses pieds. Une fois qu’il est propre, je me redresse et lui se retourne. j’attrape le pommeau de douche pour nous rincer, mais elle nous arrête et nous demande:
« Vous vous lavez jamais la bite? »
Sans même réfléchir, je tends mes mains et commence à savonner le pubis de Julien, il fait comme moi. Quand mes mains descendent sur ses couilles, il suit le mouvements. Quand j’écarte mes cuisses pour qu’il atteigne mon périnée, il fait pareil.
J’hésite quelques secondes et je remonte sur sa queue. Je le savonne comme je le fais quand je suis seul, quelques allers retours sur toute la longueur de sa tige. Nos bites se mettent à grossir entre les doigts de l’autre, nous sommes rapidement raide comme des piquets. La maitresse de ces lieux se déshabille, nous rejoint dans la douche et alors qu’elle se caresse le mont de Vénus, nous dit:
« Caressez vous. »
Julien retire immédiatement ses mains de mon sexe et empoigne sa bite pour se branler. Je l’aurai bien masturbé jusqu’à la jouissance mais ça sera peut être pour une autre fois. Alors que je me branle énergiquement, mon pote joui en quelques secondes, tout comme sa tante. Je prends un peu plus de temps mais finis par me vider sur le sol de la douche.
Nous pensons en avoir fini mais Sandrine ajoute:
« Julien, montre à ton ami comme on se lave bien quand on a un prépuce. »
Je le vois tirer sur le morceau de peau qui recouvre son gland et se savonner avant de se recalotter. Avant de nous quitter, elle nous précise:
« C’est plus compliqué de bien se laver, mais je trouve beaucoup plus joli un gland recouvert. Dommage pour toi Romain. »
Elle sort de la salle de bain et nous laisse tous les deux troublés parce que nous venons de vivre et se faire. Avant même de sucer une bite pour la première fois, je ressentais du désir pour Julien et son corps et comme j’en espère un peu plus je lui dis:
« C’était étrange mais j’ai trouvé ça très excitant. Et pour toi? »
« Pareil, je me demande comment ça se fait, la domination peut être! »
Après un moment de silence, je tente:
« Peut être qu’on est attiré par les hommes, tu crois qu’on est homo? »
Je suis étonné de sa réponse:
« J’en sais rien mais si déjà je dirai bi parce que j’ai aucun doute sur mon attirance pour les femmes. »
Sa définition me convient très bien parce que ça fait un an ou deux que je pense être bi même si j’en ai jamais parlé à personne. Je conclue en lui disant:
« En tout cas ta tante est une sacrée coquine. Je sais pas jusqu’où on va aller mais j’aime ça. »
Nous finissons de nous essuyer et descendons la rejoindre, à poil dans la cuisine. Comme la soirée est très chaude nous décidons de diner dehors, en fin c’est Sandrine qui décide et nous suivons. Pour en avoir parlé avec Julien, je sais que lui aussi adore quand elle se lève pour nous servir car sa fente bien épilé apparait juste au-dessus de la table et nous fait bien bander….
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos messages, la suite est en ligne et ça va être de plus en plus chaud
Elle devient de plus en plus intéressante cette saga! Je vais lire la suite pour me vider
Bon début, j’ai hâte de lire la suite
Belle histoire , j'aurais aimer être initié par un tante Sandrine . Mais j'ai du attendre bien plus tard ( 27 ans ) pour avoir mes premiers rapports , les 3 premieres baises avec une pute décevante , je me suis retourner vers les mecs , ce qui me plaisait bien plus .
j'espère qu'il y aura bientot une suite !!!!!! Romain tes histoires sont toujours aussi excitantes
j'espère qu'il y aura bientot une suite !!!!!! Romain tes histoires sont toujours aussi excitantes