Un doigt mais pas plus
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un doigt mais pas plus
C’était une belle fille avenante, souriante.
Elle travaillait au service contentieux. On ne savait pas trop ce que cela voulait dire non plus que quelle était la nature exacte de son job mais on la trouvait néanmoins sympa et attirante.
Elle portait toujours de petites jupettes légères fines qui toujours voletaient en dévoilant ses cuisses fines aux populations locales, nous en l’occurrence.
Tout le monde savait qu’elle aimait bien qu’on lui mette la main au panier. Aux fesses en quelque sorte. Garçons comme filles, mais en caresse d’amitié plus que d’esprit purement sexuel.
Les timides empaumaient l’un des deux globes par dessus le tissu de coton de la jupe corole et serraient fort la chair ferme.
Et elle gloussait.
Les audacieux remontaient, eux, de main hardie le long des hauts de cuisse pour chercher le moite le velu et parcourir le gousset de trois doigts aux charnus tendres et préhensiles.
Et elle chantait, tête en arrière comme ténor de l’opéra.
Les téméraires écartaient d’autorité l’élastique un peu lâche d’aine pour visiter les profondeurs trempées de la belle d’un majeur inquisiteur et tendre.
Et elle entrait en convulsions lentes comme prières hindoues en psalmodies.
Et toujours elle riait et remerciait de l’intérêt qu’on lui portait par un grand sourire.
Les filles, elles, préféraient rester par dessus le coton de la jupette et caresser de mouvement ample les deux fesses, le dessus bas du dos sacrum croupion et aussi le profond d’en dessous et ses mystères humides, remontant le tissu léger en vrappe légère froissée.
Et toujours elle était contente et souriait ravie. Elle disait, cela compense les misères que l’on me fait quotidiennement au service contentieux. On comprenait alors que son job était difficile et qu’elle était en butte quotidienne aux réclamations de clients mécontents et autres récalcitrants mauvais payeurs.
Alors elle avait un état d’esprit très positif dans sa vie normale de fille simple avec nous. Elle pensait ouverture bienveillance profiter du bon et des opportunités.
Quand une femme du service voisin la prenait par la taille pour lui dire son amitié, alors elle se coulait chaude contre son corps chaleureux et tendait ses lèvres. La tendresse ainsi exprimée venait compenser les turpitudes des réclameurs qu’elle avait reçus et subis tout du matin.
Avec les garçons c’était pareil même pire. Un doigtage profond ou un massage de point G venaient apaiser effacer les querelles avec un client mécontent parlant fort et de paroles méprisantes.
Que c’est bon pensait-elle de ressentir l’amitié sincère et profonde d’un voisin de bureau au coeur de son ventre au creux de son abdomen tout ouvert ruisselant à la caresse.
Mais toujours quand l’affaire était faite était finie elle disait à l’impétrant, halte-là un doigt mais pas plus…
Elle disait, mon ventre, lui, attend l’être aimé le fiancé l’amour de ma vie. Celui que je ne connais pas encore non plus que vous.
Soyez gentils de laisser place bien nette pour lui.
Un doigt, d’accord, mais pas plus.
Merci.
Elle travaillait au service contentieux. On ne savait pas trop ce que cela voulait dire non plus que quelle était la nature exacte de son job mais on la trouvait néanmoins sympa et attirante.
Elle portait toujours de petites jupettes légères fines qui toujours voletaient en dévoilant ses cuisses fines aux populations locales, nous en l’occurrence.
Tout le monde savait qu’elle aimait bien qu’on lui mette la main au panier. Aux fesses en quelque sorte. Garçons comme filles, mais en caresse d’amitié plus que d’esprit purement sexuel.
Les timides empaumaient l’un des deux globes par dessus le tissu de coton de la jupe corole et serraient fort la chair ferme.
Et elle gloussait.
Les audacieux remontaient, eux, de main hardie le long des hauts de cuisse pour chercher le moite le velu et parcourir le gousset de trois doigts aux charnus tendres et préhensiles.
Et elle chantait, tête en arrière comme ténor de l’opéra.
Les téméraires écartaient d’autorité l’élastique un peu lâche d’aine pour visiter les profondeurs trempées de la belle d’un majeur inquisiteur et tendre.
Et elle entrait en convulsions lentes comme prières hindoues en psalmodies.
Et toujours elle riait et remerciait de l’intérêt qu’on lui portait par un grand sourire.
Les filles, elles, préféraient rester par dessus le coton de la jupette et caresser de mouvement ample les deux fesses, le dessus bas du dos sacrum croupion et aussi le profond d’en dessous et ses mystères humides, remontant le tissu léger en vrappe légère froissée.
Et toujours elle était contente et souriait ravie. Elle disait, cela compense les misères que l’on me fait quotidiennement au service contentieux. On comprenait alors que son job était difficile et qu’elle était en butte quotidienne aux réclamations de clients mécontents et autres récalcitrants mauvais payeurs.
Alors elle avait un état d’esprit très positif dans sa vie normale de fille simple avec nous. Elle pensait ouverture bienveillance profiter du bon et des opportunités.
Quand une femme du service voisin la prenait par la taille pour lui dire son amitié, alors elle se coulait chaude contre son corps chaleureux et tendait ses lèvres. La tendresse ainsi exprimée venait compenser les turpitudes des réclameurs qu’elle avait reçus et subis tout du matin.
Avec les garçons c’était pareil même pire. Un doigtage profond ou un massage de point G venaient apaiser effacer les querelles avec un client mécontent parlant fort et de paroles méprisantes.
Que c’est bon pensait-elle de ressentir l’amitié sincère et profonde d’un voisin de bureau au coeur de son ventre au creux de son abdomen tout ouvert ruisselant à la caresse.
Mais toujours quand l’affaire était faite était finie elle disait à l’impétrant, halte-là un doigt mais pas plus…
Elle disait, mon ventre, lui, attend l’être aimé le fiancé l’amour de ma vie. Celui que je ne connais pas encore non plus que vous.
Soyez gentils de laisser place bien nette pour lui.
Un doigt, d’accord, mais pas plus.
Merci.
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