Un fantasme devenu réalité. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un fantasme devenu réalité. 2
Un fantasme devenu réalité. 2
Mais il veut aussi découvrir mon corps, il me repousse vers ma chambre, me retire ma nuisette et pétrit mes seins. Il se couche ensuite sur le lit et me dit de lui donner ma chatte.
Je lui donne ma fente entrouverte et déjà humide, sa langue en explore les premiers centimètres mais revient régulièrement sur mon bouton dressé, je me penche et écarte les mâchoires pour gober ce gros fruit mûr.
(Suite)
Je fais attention que mes dents ne déchirent pas cette peau si fine gorgée de sang. J'essaie de me concentrer sur ce que je fais, essayant d'aller le plus loin possible.
Son rostre envahit ma bouche mais je ne peux tout absorber, tenant la base de son nœud à deux mains, mais il me donne tant de plaisir que je défaillis et inonde pour la première fois sa bouche de ma liqueur. Il est doué, le bougre.
Je fais mon maximum pour l'accueillir au plus loin, je le caresse de ma langue pour le peu que j'arrive à la bouger... Seigneur ! Il est plus imposant que je pouvais l'imaginer.
Il souffle sur ma chatte et me mordille l'intérieur des cuisses, puis rentre deux doigts, coulisse, ajoute un troisième....
J'ai du mal à respirer, je continue mes aller-retour, je sens sa bite durcir encore!!!! Je n’en peux plus.... je soulève la tête et le lèche en enroulant ma langue, je peux faire courir mes mains serrées. J'ai envie et j'ai peur. Comment va-t-il entrer en moi? Il va me déchirer!!! Je n’ai pas l'habitude.
Il continue à me préparer, je coule tellement que mon liquide ruisselle sur mes cuisses.
- Prête ma belle?
Il me retourne sans effort, il m'embrasse, je sens cette chose dure entre nos deux corps en sueur, j'insinue une main entre nous et me saisis de cette hampe formidable.
Je la redresse et la frotte plusieurs fois sur mon abricot.
Vais-je oser? Je coince le gland mafflu entre mes lèvres intimes, introduis un peu plus loin ce pénis si dur. Malgré mes appréhensions, mon vagin s'adapte à l'épaisseur peu commune de cette teub.
Ça y est... Je me lance et laisse descendre mon bassin, centimètre après centimètre.
L'effet est incroyable de sentir ses chairs intimes repoussées par ce manche de pioche.
Son gland vient de franchir une frontière qu'aucune autre verge n'a explorée. Il me faut un moment avant que je ne commence à manœuvrer sur cet axe formidable, allant de plus en plus loin à mesure que mon vagin s'adapte à son pal, arrivant avec difficulté et douleur à enfin absorber en moi la totalité de son sexe. Mais sa queue bute au fond de moi. Je n'ai jamais connu ça et un orgasme me transperce.
Il a été patient... J'ai réussi! Je me sens pleine, entière... il a réussi à combler tous mes vides.
Je commence à coulisser le long de sa hampe, montée lente en me cambrant relevant la tête, descente rapide pour qu'il vienne taper au fond de moi, là où personne n'est jamais allé, c'est BON........
- Ouiiiiii!
Je reste posée, le temps de savourer. Je l'embrasse, passionnément, sa langue me caresse, nos souffles se mêlent. Je suis bien.
Et c'est reparti suivant un rythme lent, vite, profond.
- OUIIIIIII! Encore ! Encore ! Encore ! Ouiiiiiii!
J'explose, toujours pas lui, le bougre.
Je me dégage, je veux le goûter, absorber son sperme, sentir les jets dans ma bouche.
Mais il ne l'entend pas de cette oreille. Il me positionne en levrette et me prend sans ménagement, il va encore plus loin, plus fort, ne me ménageant plus, je suis un jouet avec lequel il joue.
Mais que fait-il? Il enserre mon corps de ses bras puissants et me tire vers lui. Je suis au bord du lit, il garde un bras autour de ma taille et passe l’autresous l'une de mes cuisses et se redresse.
Je suis suspendue dans le vide, je m'accroche comme je peux à son cou pendant qu'il passe son deuxième bras sous mon autre cuisse.
Je n'ai jamais connu ça, mon dos est collé sur sa poitrine, son sexe relie nos deux corps. Il me soulève et me laisse retomber dessus, allant encore plus loin en moi. Pendant de longues minutes, je reçois ses ruades, mais il commence à fatiguer. Il me repose sur le lit, prend mes seins à pleines mains pour s'assurer une bonne prise et me baise à la hussarde.
Soudain, il se retire et vient présenter son boutefeu devant mon visage, il branle sa lance pour faire encore monter la pression dans ses burnes.
J’entrouvre les lèvres, sors ma langue et lape le gland, il agite fermement sa main. Je presse une main contre mon ventre... Ah le vide qu'il a laissé en moi!
- Sophie?
J’ouvre grand ma bouche, prête, j'aspire et là... un premier jet. Ouah! Je suis surprise par la puissance de l’éruption mais je ne lâche pas.
Il garde sa main sur la base de son manche, et continue quelques mouvements. J'ouvre plus grand et enfonce sa verge au fond de ma gorge. Je presse de mes deux mains ses fesses pour le forcer à oser... encore un jet, j'adore, j'adore tout, son goût, sa force et ses gémissements.
Je me prends pour une reine sur son trône, fière, arrogante, la tête bien haute.
"Je l'ai fait, il est à moi!".
Je l'apaise par des coups de langue. Je remonte lentement son corps le parsemant de baisers, de coups de langues. Je lèche, mordille, goûte, apprécie et je me perds dans sa bouche. Il m'entoure de ses bras.
Je sens son pieu contre mon aine mais il est toujours aussi dur, il n'a même pas débandé!!!
Il plie un peu les jambes et son axe d'airain vient se remettre au chaud dans ma grotte, il ne bouge plus.
Sa verge commence à débander mais j'ai encore fin de lui, j’enserre son cou de mes bras et me suspends à lui, enserrant sa taille de mes jambes et croisant mes pieds au dessus de ses fesses.
Il met ses mains sous mes fesses pour soulager la pression sur sa teub et remue avec douceur, son organe reprend vie et occupe de nouveau ma grotte.
Je l'aide en tirant sur mes bras puis me laisse glisser pour m'empaler encore plus loin, toujours plus loin. Quel étalon!!!
C'est bon ! Je m'agrippe à son cou, mes mains fouillent ses cheveux poivre et sel.
J'ondule, monte, descend. Comment imaginer que j'appréhendais notre union?
Il est parfait, l’épaisseur de sa verge écarte mes lèvres, me caresse le vagin. Son gland s'amuse avec mon utérus.
Je l'embrasse, me perds en lui ou lui en moi.
Je fatigue, lui aussi.
Il m'allonge, les fesses au bord du lit et, les mains refermées sur ma taille, il me martèle, s'enfonce, me distend.
J'étire mes bras au dessus de ma tête, essaie de m'accrocher aux draps, me cambre, gémit.
Je veux jouir, je vais jouir, j'ai des fourmillements dans tout le corps. NOOONN ! Je veux l'attendre, je veux lui en moi, je veux nous deux, ensemble, en même temps.
Il prend mes chevilles et redresse mes jambes. J'ai les pieds sur ses épaules, il se penche pour m'embrasser me forçant à une gymnastique osée, heureusement que je suis souple.
Il me pistonne pendant que ses mains pincent mes tétons durs, si durs... Il me pistonne de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je sens, si c'est encore possible, sa verge grossir encore en moi. Il va jouir... Je vais jouir... Il se vide en moi en d'interminables jets, je me vide aussi et nos fluides se mélangent.
Il reste un long moment et me libère enfin de sa poigne, du poids de son corps et de cette verge infatigable. Je sens un liquide couler de ma chatte, glisser sur mon périnée, sur mon anus. Mon anus? Non!!! Quelle idée! Il ne pourrait pas passer par là!
Sa queue a perdu de sa fierté mais même comme ça, elle est encore aussi grosse que celle de mon ex-mari dans ses beaux jours.
Il me glisse à l'oreille:
- Laisse-moi récupérer quelques minutes et si tu le désires, je ferai comme il te plaira!
J'essaie de reprendre mon souffle, avec mon étalon, c'est sportif, physique, intensif, super jouissif!!!
Je ne savais pas qu'un homme pouvait autant me faire jouir.
Je me blottis contre lui, ma tête sur son épaule, son bras droit m'entoure et glisse vers mes fesses.
Tiens j'ai déjà pensé à ça tout à l'heure. La sodomie, je n'ai essayé qu'une seule fois, pas concluant mais rien ne l'était et puis il n'y a jamais eu d'autre tentative.
Mon bras gauche est coincé, inactif mais avec ma main droite je caresse son torse. Je joue avec mon index en partant de sa clavicule et, en d'innombrables circonvolutions, je passe autour de ses tétons, de son nombril, je descends, effleure doucement ce braquemart.
Je remonte, et ma main vient caresser son cou, son menton, mes doigts se posent doucement sur ses lèvres. Il souffle doucement, mime un petit baiser tout léger et du bout de sa langue touche mes doigts. Oh, l'effet qu'il me fait ! Je sens toutes mes terminaisons nerveuses frémir. Je croyais être repue, assouvie. Il a réveillé une femme en moi, qui veut plus, encore. Il m'a dit quelques minutes... c'est 5, 10, 15.... Hum, je savoure déjà la reprise.
(À suivre)
Mais il veut aussi découvrir mon corps, il me repousse vers ma chambre, me retire ma nuisette et pétrit mes seins. Il se couche ensuite sur le lit et me dit de lui donner ma chatte.
Je lui donne ma fente entrouverte et déjà humide, sa langue en explore les premiers centimètres mais revient régulièrement sur mon bouton dressé, je me penche et écarte les mâchoires pour gober ce gros fruit mûr.
(Suite)
Je fais attention que mes dents ne déchirent pas cette peau si fine gorgée de sang. J'essaie de me concentrer sur ce que je fais, essayant d'aller le plus loin possible.
Son rostre envahit ma bouche mais je ne peux tout absorber, tenant la base de son nœud à deux mains, mais il me donne tant de plaisir que je défaillis et inonde pour la première fois sa bouche de ma liqueur. Il est doué, le bougre.
Je fais mon maximum pour l'accueillir au plus loin, je le caresse de ma langue pour le peu que j'arrive à la bouger... Seigneur ! Il est plus imposant que je pouvais l'imaginer.
Il souffle sur ma chatte et me mordille l'intérieur des cuisses, puis rentre deux doigts, coulisse, ajoute un troisième....
J'ai du mal à respirer, je continue mes aller-retour, je sens sa bite durcir encore!!!! Je n’en peux plus.... je soulève la tête et le lèche en enroulant ma langue, je peux faire courir mes mains serrées. J'ai envie et j'ai peur. Comment va-t-il entrer en moi? Il va me déchirer!!! Je n’ai pas l'habitude.
Il continue à me préparer, je coule tellement que mon liquide ruisselle sur mes cuisses.
- Prête ma belle?
Il me retourne sans effort, il m'embrasse, je sens cette chose dure entre nos deux corps en sueur, j'insinue une main entre nous et me saisis de cette hampe formidable.
Je la redresse et la frotte plusieurs fois sur mon abricot.
Vais-je oser? Je coince le gland mafflu entre mes lèvres intimes, introduis un peu plus loin ce pénis si dur. Malgré mes appréhensions, mon vagin s'adapte à l'épaisseur peu commune de cette teub.
Ça y est... Je me lance et laisse descendre mon bassin, centimètre après centimètre.
L'effet est incroyable de sentir ses chairs intimes repoussées par ce manche de pioche.
Son gland vient de franchir une frontière qu'aucune autre verge n'a explorée. Il me faut un moment avant que je ne commence à manœuvrer sur cet axe formidable, allant de plus en plus loin à mesure que mon vagin s'adapte à son pal, arrivant avec difficulté et douleur à enfin absorber en moi la totalité de son sexe. Mais sa queue bute au fond de moi. Je n'ai jamais connu ça et un orgasme me transperce.
Il a été patient... J'ai réussi! Je me sens pleine, entière... il a réussi à combler tous mes vides.
Je commence à coulisser le long de sa hampe, montée lente en me cambrant relevant la tête, descente rapide pour qu'il vienne taper au fond de moi, là où personne n'est jamais allé, c'est BON........
- Ouiiiiii!
Je reste posée, le temps de savourer. Je l'embrasse, passionnément, sa langue me caresse, nos souffles se mêlent. Je suis bien.
Et c'est reparti suivant un rythme lent, vite, profond.
- OUIIIIIII! Encore ! Encore ! Encore ! Ouiiiiiii!
J'explose, toujours pas lui, le bougre.
Je me dégage, je veux le goûter, absorber son sperme, sentir les jets dans ma bouche.
Mais il ne l'entend pas de cette oreille. Il me positionne en levrette et me prend sans ménagement, il va encore plus loin, plus fort, ne me ménageant plus, je suis un jouet avec lequel il joue.
Mais que fait-il? Il enserre mon corps de ses bras puissants et me tire vers lui. Je suis au bord du lit, il garde un bras autour de ma taille et passe l’autresous l'une de mes cuisses et se redresse.
Je suis suspendue dans le vide, je m'accroche comme je peux à son cou pendant qu'il passe son deuxième bras sous mon autre cuisse.
Je n'ai jamais connu ça, mon dos est collé sur sa poitrine, son sexe relie nos deux corps. Il me soulève et me laisse retomber dessus, allant encore plus loin en moi. Pendant de longues minutes, je reçois ses ruades, mais il commence à fatiguer. Il me repose sur le lit, prend mes seins à pleines mains pour s'assurer une bonne prise et me baise à la hussarde.
Soudain, il se retire et vient présenter son boutefeu devant mon visage, il branle sa lance pour faire encore monter la pression dans ses burnes.
J’entrouvre les lèvres, sors ma langue et lape le gland, il agite fermement sa main. Je presse une main contre mon ventre... Ah le vide qu'il a laissé en moi!
- Sophie?
J’ouvre grand ma bouche, prête, j'aspire et là... un premier jet. Ouah! Je suis surprise par la puissance de l’éruption mais je ne lâche pas.
Il garde sa main sur la base de son manche, et continue quelques mouvements. J'ouvre plus grand et enfonce sa verge au fond de ma gorge. Je presse de mes deux mains ses fesses pour le forcer à oser... encore un jet, j'adore, j'adore tout, son goût, sa force et ses gémissements.
Je me prends pour une reine sur son trône, fière, arrogante, la tête bien haute.
"Je l'ai fait, il est à moi!".
Je l'apaise par des coups de langue. Je remonte lentement son corps le parsemant de baisers, de coups de langues. Je lèche, mordille, goûte, apprécie et je me perds dans sa bouche. Il m'entoure de ses bras.
Je sens son pieu contre mon aine mais il est toujours aussi dur, il n'a même pas débandé!!!
Il plie un peu les jambes et son axe d'airain vient se remettre au chaud dans ma grotte, il ne bouge plus.
Sa verge commence à débander mais j'ai encore fin de lui, j’enserre son cou de mes bras et me suspends à lui, enserrant sa taille de mes jambes et croisant mes pieds au dessus de ses fesses.
Il met ses mains sous mes fesses pour soulager la pression sur sa teub et remue avec douceur, son organe reprend vie et occupe de nouveau ma grotte.
Je l'aide en tirant sur mes bras puis me laisse glisser pour m'empaler encore plus loin, toujours plus loin. Quel étalon!!!
C'est bon ! Je m'agrippe à son cou, mes mains fouillent ses cheveux poivre et sel.
J'ondule, monte, descend. Comment imaginer que j'appréhendais notre union?
Il est parfait, l’épaisseur de sa verge écarte mes lèvres, me caresse le vagin. Son gland s'amuse avec mon utérus.
Je l'embrasse, me perds en lui ou lui en moi.
Je fatigue, lui aussi.
Il m'allonge, les fesses au bord du lit et, les mains refermées sur ma taille, il me martèle, s'enfonce, me distend.
J'étire mes bras au dessus de ma tête, essaie de m'accrocher aux draps, me cambre, gémit.
Je veux jouir, je vais jouir, j'ai des fourmillements dans tout le corps. NOOONN ! Je veux l'attendre, je veux lui en moi, je veux nous deux, ensemble, en même temps.
Il prend mes chevilles et redresse mes jambes. J'ai les pieds sur ses épaules, il se penche pour m'embrasser me forçant à une gymnastique osée, heureusement que je suis souple.
Il me pistonne pendant que ses mains pincent mes tétons durs, si durs... Il me pistonne de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je sens, si c'est encore possible, sa verge grossir encore en moi. Il va jouir... Je vais jouir... Il se vide en moi en d'interminables jets, je me vide aussi et nos fluides se mélangent.
Il reste un long moment et me libère enfin de sa poigne, du poids de son corps et de cette verge infatigable. Je sens un liquide couler de ma chatte, glisser sur mon périnée, sur mon anus. Mon anus? Non!!! Quelle idée! Il ne pourrait pas passer par là!
Sa queue a perdu de sa fierté mais même comme ça, elle est encore aussi grosse que celle de mon ex-mari dans ses beaux jours.
Il me glisse à l'oreille:
- Laisse-moi récupérer quelques minutes et si tu le désires, je ferai comme il te plaira!
J'essaie de reprendre mon souffle, avec mon étalon, c'est sportif, physique, intensif, super jouissif!!!
Je ne savais pas qu'un homme pouvait autant me faire jouir.
Je me blottis contre lui, ma tête sur son épaule, son bras droit m'entoure et glisse vers mes fesses.
Tiens j'ai déjà pensé à ça tout à l'heure. La sodomie, je n'ai essayé qu'une seule fois, pas concluant mais rien ne l'était et puis il n'y a jamais eu d'autre tentative.
Mon bras gauche est coincé, inactif mais avec ma main droite je caresse son torse. Je joue avec mon index en partant de sa clavicule et, en d'innombrables circonvolutions, je passe autour de ses tétons, de son nombril, je descends, effleure doucement ce braquemart.
Je remonte, et ma main vient caresser son cou, son menton, mes doigts se posent doucement sur ses lèvres. Il souffle doucement, mime un petit baiser tout léger et du bout de sa langue touche mes doigts. Oh, l'effet qu'il me fait ! Je sens toutes mes terminaisons nerveuses frémir. Je croyais être repue, assouvie. Il a réveillé une femme en moi, qui veut plus, encore. Il m'a dit quelques minutes... c'est 5, 10, 15.... Hum, je savoure déjà la reprise.
(À suivre)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dommage qu'elle fantasme
À suivre...
N°175: Drôlement persuasif, l'auteur
mlkjhg39 a dégoté un talent caché, le ressenti est superbe
Enfin! Un très beau texte. Bravo