Un jeu à Bayonne suite...
Récit érotique écrit par Willy182427 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un jeu à Bayonne suite...
Voici la suite du jeu à Bayonne, quelques jours de vacances passés avec ma compagne, Camille.
En attendant la vengeance, qui, je n’en doutais pas risquait d’être assez terrible pour moi, la nuit fut particulièrement torride. Camille avait une folle envie de ma queue, et ce n’est qu’au petit matin que Morphée eut raison de notre endurance. Après une vrai grasse matinée, et alors que le service du petit déjeuner était déjà terminé, nous decidames de retourner déjeuner dans ce même restaurant, en espérant que notre coquine de serveuse serait encore de service ce midi. En marchant dans les rues de Bayonne, sur les pas que nous avions fait la veille, un sourire espiègle traversa la joie bouche de ma compagne. Pas de doute, elle se remémorait la promenade d’hier soir, alors qu’elle était vêtue simplement d’un chemisier largement ouvert, et couverte de sperme sur son visage, ses seins… Elle me regardait amoureusement, et vint m’embrasser d’un baiser chaud et langoureux, sa langue venant chercher la mienne pour une danse diabolique.
Camille s’était habillé de façon beaucoup plus sage qu’hier soir, une robe blanche mi cuisse à bretelles, qui soulignait parfaitement son bronzage, des sandales à semelles compensées, un léger maquillage pour souligner ses yeux rieurs et sa bouche gourmande, et ses cheveux blonds attachés, laissant simplement quelques mèches libres de virevolter autour de son visage. Pour ma part, j’avais opté pour un bermuda et un polo, classique sous les rayons du soleil basque.
Après quelques minutes de marche, le restaurant fut en vue, et, très vite, je repérais la serveuse prenant des commandes, apportant des assiettes…. Des qu’elle nous a vu, elle a laissé en plan les clients a qui elle venait a peine de présenter les plats du jour, pour venir vers nous avec un regard et un sourire gourmands. Elle était visiblement ravi de nous revoir, et nous installa sur la terrasse, sur une table voisine de celle qui fut la témoin privilégiée de nos jeux de la veille. La conversation s’engagea très vite. Notre projet pour l’après midi était de trouver une plage tranquille, plutôt naturiste, voire un peu plus, selon nos envies. Je m’était dit en revenant que cette serveuse connaîtrait sans doute les bons coins dans la région. Bien vu, elle nous donna l’adresse d’une plage, à quelques kilomètres de là, ou nous pourrions laisser libre court à nos désirs, sachant que cette plage était aussi textile, mais que, plus la soirée avançait, moins il y avait de tissus sur les corps des baigneurs. .
Le déjeuner fut sage, même si la serveuse venait plus que de nécessaire, et je sentais qu’elle voulait nous proposer quelque chose. Camille et moi en avions discuté au réveil, on avait très envie de l’inviter à venir avec nous. Au moment du café, n’y tenant plus, je l’invitais a venir nous rejoindre, si elle le désirait, et que nous serions ravis qu’elle nous accompagne. Ses yeux se mirent à briller, et son «Oh oui, génial » en dit très long sur ses intentions. Elle nous donna rendez vous à 16h sur le parking de la plage, le temps pour elle de terminer le service et de passer chez elle prendre un maillot une serviette, et, ajouta-t-elle, avec un grand sourire, quelques accessoires indispensable pour la plage. Camille lui rendit son sourire, et eu, elle me l’a dit quelques minutes plus tard, très envie de l’embrasser à pleine bouche. En partant, elle nous appris son prénom, Julie, et nous demanda si elle pouvait venir accompagnée. Aucun souci pour nous, mais elle ne nous en dit pas plus. On imagina que ce serait avec son compagnon, mais… mystere
A l’heure prévu, nous nos retrouvâmes tous les trois. Julie nous dit que son copain arriverait un peu plus tard, sans doute avec un couple d’ami. Après 20 mn de marche dans les dunes, nous vîmes devant nous une petite plage, d’environ 200 m de long, bordée de chaque coté par des roches. Il y avant déjà un peu de monde, des couples sans enfants, quelques hommes seuls, et un groupe de 3 jeunes femmesRapidement, nous avons trouvé un endroit un peu moins fréquenté, sur le haut de la plage, pas très loin d’un couple de trentenaire, et du groupe de copines.
Les serviettes posées sur le sable, il nous restais à nous changer. L’heure n’était visiblement pas encore arrivé pour le naturisme, car, à part quelques femmes topless, tout le monde avait un maillot. Julie nous précisa qu’il faut parfois lancer le mouvement pour que les corps se devoilent…
Je me changeai rapidement. Un short de bain assez classique, mi cuisse. Camille fit de mème, avec un maillot 2 pièces assez échancré, sans pour autant pouvoir choquer la bonne bourgeoisie Basque. Celui de Julie était par contre beaucoup plus singulier. Pour le bas, un string minimaliste, ou seule une toute petite bande de tissus cachait sa fente, épousant parfaitement sa chatte dans les moindre détails, et le relief de ses lèvres apparaissait parfaitement à travers le mince tissu . Ses 2 fesses n’étaient séparées que par une minuscule ficelle. Très échancré, il tenait par de fins cordons attachés sur les cotés. Pour le haut, c’était exactement la même chose. Hormis 2 petits triangles que avaient un peu de mal à cacher ses auréoles brunes, il se composait simplement d’un jeu de ficelle qui s’attachaient dans le dos et sur la nuque… Mmmmmmmhhh, ma queue commençait déjà a se réveiller.
Julie est une très jolie brune aux yeux noirs, 1,65 m environ, des cuisses assez fines, surmonter d’un très joli petit cul. Ses seins sont assez gros, un bon 90 C, je dirais, bien ronds, qui tiennent visiblement parfaitement. Son jeune age, environ 25 ans, doit certainement expliqué cela. Elle a un joli minois, une bouche aux lèvres pulpeuses, des yeux rieurs, et des cheveux mi long. Elle est parfaitement bronzée, sans aucune marque de maillot, ne laissant aucun doute sur ses habitudes.
En regardant Camille, elle lui dit, de façon assez autoritaire, reprenant le rôle qu’elle avait eu dans les toilettes du restaurant :- Non mais dis donc, tu ne vas pas garder un maillot de bain aussi moche. On dirait une grand mère. Regarde je me suis douté que tu n’aurais pas ce qu’il te faut, je t’ai apporté un maillot qui te conviendra beaucoup mieux.
Je la regardait, d’un œil amusé, me demandant qu’elle serait la réaction de ma chérie. Celle ci baissa un peu la tête, me regarda un peu perdu, et lui répondit qu’elle trouvait le maillot parfait pour Julie, mais peut être un peu trop petit pour elle..
-Ne fais pas ta mijaurée, dépêche toi d’enlever ce maillot ridicule, ou c’est moi qui vais le faire...Tu étais plus docile, hier soir….
Elle insista sur cette dernière phrase, la prononçant lentement, et suffisamment fort pour que nos voisins de plage s’intéressent un peu plus a notre arrivée… Camille, qui s’était assise sur sa serviette, ne dit rien, mais commença à détacher le haut de son maillot.
- Attends, repris Julie, remets toi debout. Et ça serait quand même beaucoup mieux que tu commences par ôter le bas, tout doucement. Tu le feras descendre le long de tes cuisses, sans les plier, en te penchant en avant. Allez, dépêche toi.
Camille se leva, et, tout en rougissant un peu, passa ses mains sus les ficelles de son maillot. Je l’encourageai du regard, en lui faisant un petit clin d’œil. J’aimais beaucoup la tournure de cet après midi, avec notre belle serveuse que prenait les rennes de nos jeux. Camille m’avait avoué plusieurs fois fantasmer sur l’envie d’être soumise à une autre femme. C’ était le moment d’en profiter. Je jouais les voyeurs, mais, visiblement, le discours de Julie avait aussi attiré notre jeune couple, qui, discrètement, regardait dans notre direction. Ils étaient parfaitement placés», à quelques mètres de Camille, qui leur tournait le dos, leur laissant voir son joie postérieur. Julie lui fit écarter un peu les jambes, et la culotte glissa doucement sur ses cuisses. Elle se pencha pour atteindre ses chevilles, laissant une vue parfaite pour nos voyeurs, qui devaient apprécier le spectacle. Et de mon point de vue, j’avais une certitude. La situation commençait a exciter Camille, et sa chatte déjà brillante était là pour me le prouver. J’imaginais la vison du jeune couple, pile dans l’axe, admirant le petit cul, et la fente imberbe qui s’ouvrait comme une fleur au soleil. Elle leva un pied, puis l’autre, pour récupérer son maillot.
- Attend un peu, ne te relève pas tout de suite, ça serait dommage que nos voisin ne profitent pas plus du spectacle.
Camille resta quelques secondes, pliant sa culotte pour se donner une contenance. C’est a ce moment que je remarquais que le jeune couple n’était pas le seul à profiter su spectacle. Les 3 copines se rinçaient l’œil également, en pouffant de rire.
Le haut tomba lui aussi rapidement, et Julie tendit à Camille son nouveau rempart, identique au sien. Également en taille. Ce qui posait deux soucis. Le haut était un peu lâche pour ma chérie, et ses tétons risquaient à tout moment de passer d’un cote ou de l’autre, tant le triangle sensé les cacher était petit. Je les voyais déjà pointer outrageusement, à la limite de la sortie de piste.
Le bas, quant a lui, était un peu trop serrer, les hanches de Camille visiblement un peu plus large que celles de sa copine. De fait, la mince bande de tissus se retrouva bientôt happée par les lèvres luisantes, et on devinait à peine la couleur du maillot, si ce n’est par la couleur des cordons. Évidemment, Julie lui interdit de régler le bikini. Les pulsions exhibitionnistes de Camille allaient pouvoir être à nouveau assouvies, après notre folle soirée d’hier.
Pour la récompenser, Julie embrassa sa soumise à pleine bouche, en promenant ses main sur ses fesse, écartant la ficelle pour titiller son petit trou.
Après quelques minutes de baisers échangés, Julie demanda à Camille de d’allonger.
- J’ai un petit cadeau pour toi. Regarde !
Elle sortie de son sac une paire de boules de geisha, un peu plus grosse que celle que Camille avait hier soir.
-Écarte bien les cuisses, tu vas adorer te baigner avec çà dans ta chatte. Tu es déjà trempée, une vraie petite cochonne.
D’un doigt, elle repoussa le maillot, et les boules furent rapidement avalés. Camille gémissait déjà, et je me réjouissait de la suite…
En attendant la vengeance, qui, je n’en doutais pas risquait d’être assez terrible pour moi, la nuit fut particulièrement torride. Camille avait une folle envie de ma queue, et ce n’est qu’au petit matin que Morphée eut raison de notre endurance. Après une vrai grasse matinée, et alors que le service du petit déjeuner était déjà terminé, nous decidames de retourner déjeuner dans ce même restaurant, en espérant que notre coquine de serveuse serait encore de service ce midi. En marchant dans les rues de Bayonne, sur les pas que nous avions fait la veille, un sourire espiègle traversa la joie bouche de ma compagne. Pas de doute, elle se remémorait la promenade d’hier soir, alors qu’elle était vêtue simplement d’un chemisier largement ouvert, et couverte de sperme sur son visage, ses seins… Elle me regardait amoureusement, et vint m’embrasser d’un baiser chaud et langoureux, sa langue venant chercher la mienne pour une danse diabolique.
Camille s’était habillé de façon beaucoup plus sage qu’hier soir, une robe blanche mi cuisse à bretelles, qui soulignait parfaitement son bronzage, des sandales à semelles compensées, un léger maquillage pour souligner ses yeux rieurs et sa bouche gourmande, et ses cheveux blonds attachés, laissant simplement quelques mèches libres de virevolter autour de son visage. Pour ma part, j’avais opté pour un bermuda et un polo, classique sous les rayons du soleil basque.
Après quelques minutes de marche, le restaurant fut en vue, et, très vite, je repérais la serveuse prenant des commandes, apportant des assiettes…. Des qu’elle nous a vu, elle a laissé en plan les clients a qui elle venait a peine de présenter les plats du jour, pour venir vers nous avec un regard et un sourire gourmands. Elle était visiblement ravi de nous revoir, et nous installa sur la terrasse, sur une table voisine de celle qui fut la témoin privilégiée de nos jeux de la veille. La conversation s’engagea très vite. Notre projet pour l’après midi était de trouver une plage tranquille, plutôt naturiste, voire un peu plus, selon nos envies. Je m’était dit en revenant que cette serveuse connaîtrait sans doute les bons coins dans la région. Bien vu, elle nous donna l’adresse d’une plage, à quelques kilomètres de là, ou nous pourrions laisser libre court à nos désirs, sachant que cette plage était aussi textile, mais que, plus la soirée avançait, moins il y avait de tissus sur les corps des baigneurs. .
Le déjeuner fut sage, même si la serveuse venait plus que de nécessaire, et je sentais qu’elle voulait nous proposer quelque chose. Camille et moi en avions discuté au réveil, on avait très envie de l’inviter à venir avec nous. Au moment du café, n’y tenant plus, je l’invitais a venir nous rejoindre, si elle le désirait, et que nous serions ravis qu’elle nous accompagne. Ses yeux se mirent à briller, et son «Oh oui, génial » en dit très long sur ses intentions. Elle nous donna rendez vous à 16h sur le parking de la plage, le temps pour elle de terminer le service et de passer chez elle prendre un maillot une serviette, et, ajouta-t-elle, avec un grand sourire, quelques accessoires indispensable pour la plage. Camille lui rendit son sourire, et eu, elle me l’a dit quelques minutes plus tard, très envie de l’embrasser à pleine bouche. En partant, elle nous appris son prénom, Julie, et nous demanda si elle pouvait venir accompagnée. Aucun souci pour nous, mais elle ne nous en dit pas plus. On imagina que ce serait avec son compagnon, mais… mystere
A l’heure prévu, nous nos retrouvâmes tous les trois. Julie nous dit que son copain arriverait un peu plus tard, sans doute avec un couple d’ami. Après 20 mn de marche dans les dunes, nous vîmes devant nous une petite plage, d’environ 200 m de long, bordée de chaque coté par des roches. Il y avant déjà un peu de monde, des couples sans enfants, quelques hommes seuls, et un groupe de 3 jeunes femmesRapidement, nous avons trouvé un endroit un peu moins fréquenté, sur le haut de la plage, pas très loin d’un couple de trentenaire, et du groupe de copines.
Les serviettes posées sur le sable, il nous restais à nous changer. L’heure n’était visiblement pas encore arrivé pour le naturisme, car, à part quelques femmes topless, tout le monde avait un maillot. Julie nous précisa qu’il faut parfois lancer le mouvement pour que les corps se devoilent…
Je me changeai rapidement. Un short de bain assez classique, mi cuisse. Camille fit de mème, avec un maillot 2 pièces assez échancré, sans pour autant pouvoir choquer la bonne bourgeoisie Basque. Celui de Julie était par contre beaucoup plus singulier. Pour le bas, un string minimaliste, ou seule une toute petite bande de tissus cachait sa fente, épousant parfaitement sa chatte dans les moindre détails, et le relief de ses lèvres apparaissait parfaitement à travers le mince tissu . Ses 2 fesses n’étaient séparées que par une minuscule ficelle. Très échancré, il tenait par de fins cordons attachés sur les cotés. Pour le haut, c’était exactement la même chose. Hormis 2 petits triangles que avaient un peu de mal à cacher ses auréoles brunes, il se composait simplement d’un jeu de ficelle qui s’attachaient dans le dos et sur la nuque… Mmmmmmmhhh, ma queue commençait déjà a se réveiller.
Julie est une très jolie brune aux yeux noirs, 1,65 m environ, des cuisses assez fines, surmonter d’un très joli petit cul. Ses seins sont assez gros, un bon 90 C, je dirais, bien ronds, qui tiennent visiblement parfaitement. Son jeune age, environ 25 ans, doit certainement expliqué cela. Elle a un joli minois, une bouche aux lèvres pulpeuses, des yeux rieurs, et des cheveux mi long. Elle est parfaitement bronzée, sans aucune marque de maillot, ne laissant aucun doute sur ses habitudes.
En regardant Camille, elle lui dit, de façon assez autoritaire, reprenant le rôle qu’elle avait eu dans les toilettes du restaurant :- Non mais dis donc, tu ne vas pas garder un maillot de bain aussi moche. On dirait une grand mère. Regarde je me suis douté que tu n’aurais pas ce qu’il te faut, je t’ai apporté un maillot qui te conviendra beaucoup mieux.
Je la regardait, d’un œil amusé, me demandant qu’elle serait la réaction de ma chérie. Celle ci baissa un peu la tête, me regarda un peu perdu, et lui répondit qu’elle trouvait le maillot parfait pour Julie, mais peut être un peu trop petit pour elle..
-Ne fais pas ta mijaurée, dépêche toi d’enlever ce maillot ridicule, ou c’est moi qui vais le faire...Tu étais plus docile, hier soir….
Elle insista sur cette dernière phrase, la prononçant lentement, et suffisamment fort pour que nos voisins de plage s’intéressent un peu plus a notre arrivée… Camille, qui s’était assise sur sa serviette, ne dit rien, mais commença à détacher le haut de son maillot.
- Attends, repris Julie, remets toi debout. Et ça serait quand même beaucoup mieux que tu commences par ôter le bas, tout doucement. Tu le feras descendre le long de tes cuisses, sans les plier, en te penchant en avant. Allez, dépêche toi.
Camille se leva, et, tout en rougissant un peu, passa ses mains sus les ficelles de son maillot. Je l’encourageai du regard, en lui faisant un petit clin d’œil. J’aimais beaucoup la tournure de cet après midi, avec notre belle serveuse que prenait les rennes de nos jeux. Camille m’avait avoué plusieurs fois fantasmer sur l’envie d’être soumise à une autre femme. C’ était le moment d’en profiter. Je jouais les voyeurs, mais, visiblement, le discours de Julie avait aussi attiré notre jeune couple, qui, discrètement, regardait dans notre direction. Ils étaient parfaitement placés», à quelques mètres de Camille, qui leur tournait le dos, leur laissant voir son joie postérieur. Julie lui fit écarter un peu les jambes, et la culotte glissa doucement sur ses cuisses. Elle se pencha pour atteindre ses chevilles, laissant une vue parfaite pour nos voyeurs, qui devaient apprécier le spectacle. Et de mon point de vue, j’avais une certitude. La situation commençait a exciter Camille, et sa chatte déjà brillante était là pour me le prouver. J’imaginais la vison du jeune couple, pile dans l’axe, admirant le petit cul, et la fente imberbe qui s’ouvrait comme une fleur au soleil. Elle leva un pied, puis l’autre, pour récupérer son maillot.
- Attend un peu, ne te relève pas tout de suite, ça serait dommage que nos voisin ne profitent pas plus du spectacle.
Camille resta quelques secondes, pliant sa culotte pour se donner une contenance. C’est a ce moment que je remarquais que le jeune couple n’était pas le seul à profiter su spectacle. Les 3 copines se rinçaient l’œil également, en pouffant de rire.
Le haut tomba lui aussi rapidement, et Julie tendit à Camille son nouveau rempart, identique au sien. Également en taille. Ce qui posait deux soucis. Le haut était un peu lâche pour ma chérie, et ses tétons risquaient à tout moment de passer d’un cote ou de l’autre, tant le triangle sensé les cacher était petit. Je les voyais déjà pointer outrageusement, à la limite de la sortie de piste.
Le bas, quant a lui, était un peu trop serrer, les hanches de Camille visiblement un peu plus large que celles de sa copine. De fait, la mince bande de tissus se retrouva bientôt happée par les lèvres luisantes, et on devinait à peine la couleur du maillot, si ce n’est par la couleur des cordons. Évidemment, Julie lui interdit de régler le bikini. Les pulsions exhibitionnistes de Camille allaient pouvoir être à nouveau assouvies, après notre folle soirée d’hier.
Pour la récompenser, Julie embrassa sa soumise à pleine bouche, en promenant ses main sur ses fesse, écartant la ficelle pour titiller son petit trou.
Après quelques minutes de baisers échangés, Julie demanda à Camille de d’allonger.
- J’ai un petit cadeau pour toi. Regarde !
Elle sortie de son sac une paire de boules de geisha, un peu plus grosse que celle que Camille avait hier soir.
-Écarte bien les cuisses, tu vas adorer te baigner avec çà dans ta chatte. Tu es déjà trempée, une vraie petite cochonne.
D’un doigt, elle repoussa le maillot, et les boules furent rapidement avalés. Camille gémissait déjà, et je me réjouissait de la suite…
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