Un plaisir partagé est un plaisir double (14) - histoire érotique

Un plaisir partagé est un plaisir double (14)
Aujourd’hui c’est une journée shopping qui s’annonce nous allons sortir entre filles en effet ma copine m’a appeler pour me demander si je voulais bien venir avec elle faire les magasins car elle avait envie de s’acheter une nouvelle robe. Je l’ai donc prise en voiture pour se rendre dans la galerie marchande d’un grand magasin.

« - Ce qui m’ennuie dans ces boutiques, c’est que tu rencontres des personnes qui sont habillés comme toi, je ne sais pas où tu achètes tes robes mais tu es toujours sexy et unique, je ne rencontre jamais personne qui soit habillé comme toi. »
« - Si tu veux, je peux te conduire dans mon petit magasin, en général je trouve toujours une robe à ma convenance. »
Je ne connaissais qu'une seule boutique pour trouver une robe sexy, aussi rapidement, c'est d'ailleurs le seul endroit où je trouve toujours des vêtements qui me vont, sans jamais être déçue. Nous nous rendons chez mon ami qui sait si bien me conseiller dans le choix de mes robes coquines.

« - C’est cela ta boutique, c’est un sex-shop et tu veux me faire entrer là-dedans ? Je ne cherche pas un gode mais une robe? »
« - Ne crains rien c’est un copain, il est très gentil et je trouve toujours une toilette qui me plaît. Cela ne t’engage à rien d’y jeter coup d’œil. Entrons. »
« - Qu'est-ce qui t'amènes aujourd’hui, jolie princesse ? » En s'avançant vers moi pour m'embrasser.

« - Tu n’es pas avec Bob aujourd’hui, comment va t-il ? Tu lui donneras bien le bonjour de ma part. »
« - Non, nous sommes entre filles, ma copine cherche une robe sexy. »
« - J'ai ce qu'il te faut » en la détaillant de la tête aux pieds.

« Je viens de recevoir de nouveaux modèles, cela doit te convenir, vas dans la cabine j'arrive. »
Ahmed tenait un sex-shop, il tutoyait tout le monde. Sa boutique était toute petite mais bien achalandée et il y en avait partout et pour tous les goûts (des vidéos pornos, des godes de toutes sortes de tous les calibres pour femmes, pour hommes, des tenues sexy, des livres érotiques et hard). Il était toujours à la pointe des dernières nouveautés en matière de sex-toys, de revues ou de DVD de cul. Au sous-sol il y a une scène de peep show qu'il n'ouvre que l'après-midi avec quelques femmes qui viennent s'y produire à tour de rôle. D'ailleurs il me conseille également sur le choix de mes jouets sexuels. Ici la cabine d'essayage n'est pas fermée, et les voyeurs traînent souvent dans le magasin toujours à l'affût pour mater les femmes qui tout comme moi essayent des vêtements en se déshabillant pour les essayages. Ce matin il n'y a encore personne car il venait d'ouvrir sa boutique.

« - Voilà, voilà mes jolies robes pour toi, ma belle. » En s’adressant à Annie.

Il lui tendit deux toilettes, une rouge et une noire, courte mais très sexy.

« - Déshabille-toi, je vais t’aider à les passer, après tu choisiras. »
Ahmed qui me connais depuis longtemps, à l'habitude de me voir nue. Mais Annie n’était pas très à l’aise de se déshabiller devant lui surtout que la cabine n’avait ni porte, ni rideau. J’ai du entrer avec elle pour l’aider à descendre sa fermeture éclair dans le dos pour lui tomber sa robe. Elle était maintenant en soutien gorge et en petite culotte blanche et elle essayait de se cacher derrière moi pour ne pas être vu d’Ahmed qui était planté devant nous et qui regardait. Ma copine enfila rapidement sa petite robe noire. Notre voyeur s’adressa à moi en me disant :
« - Tu n'es toujours pas décidée à venir travailler pour moi, il me manque une hôtesse et les hommes aiment beaucoup les blondes comme toi ? Tu attirerais beaucoup de monde dans mon peep show que je viens de remettre à neuf. »
Sa question resta sans réponse de ma part, cela faisait plusieurs fois qu'il me le demandait, c'est vrai que nous venons régulièrement avec mon chéri en m’exhibant devant ses clients en essayant des tenues coquines et pour voir les dernières nouveautés de godes.

Pendant que notre vendeur s’était absenté. Annie pour qui la question d’Ahmed lui avait paru surprenante m’interrogea :
« - Pourquoi te demandes t-il de venir travailler pour lui en temps qu’hôtesse de peep-show ? »
« - Je me suis exhibée une fois pour faire plaisir à mon mari sur sa scène devant des voyeurs qui se branlaient en me matant derrière les vitres sans tain. Il paraît que j’ai eu beaucoup de succès et que sa clientèle me réclame encore, aussi chaque fois qu’il me voit, il me demande de revenir pour faire le show. »
« - Tu n’étais pas gênée de te mettre à poil devant tous ces hommes ? »
« - Mais tu sais, je n’ai vu personne, je suis sur une scène tournante et je me déshabille en musique devant des hommes qui sont derrière des vitres sans tain en me regardant me dénuder pour eux. J’imagine qu’ils sont en train de s’en taper une à la main. Il y a des filles qui acceptent de les rencontrer après à leur demande et en monnayant leurs prestations comme le font les putes pour arrondir leurs fins de mois mais cela je ne l’ai jamais fait. Si tu veux nous demanderons à Ahmed de nous montrer son peep show.

Ahmed est revenu avec d’autres vêtements, allant de la nuisette à la culotte fendue mais ce n’était pas ce que nous recherchons aujourd’hui. Des tenues toutes aussi coquines, indécentes, érotiques bien que séduisantes et devant mettre en valeur nos atouts par transparence.

« - Mais pourquoi amènes-tu toutes ces choses ? Ce n’est pas ce que ma copine recherche »
« - Je sais ma belle, mais j’ai une petite idée pour ton amie, je vous expliquerais après. Alors cette robe elle te va bien, mais ma chouchoute ce n’est pas comme cela qu’il faut que tu la portes, laisses moi faire. »
Il s’approcha d’Annie, lui dégrafa son soutien gorge en passant ses mains sur ses seins pour lui enlever.

« - C’est une robe croisée sur le devant, elle se porte sans rien dessous. Regardes toi dans la glace tu n’es pas plus jolie comme cela, tu n’as pas à rougir, tu as des seins magnifiques à faire bander un âne. Et puis tes jolis tétons que l’on voit pointer sous le léger tissu de ta robe te rendent encore plus séduisante. Essaye la rouge maintenant elle est très jolie aussi, attends je t’aide. »
Ahmed aida ma copine à retirer sa robe, je ne sais pas si cela lui plaisait beaucoup de se retrouver en petite culotte devant lui surtout qu’il ne se gênait pas pour la tripoter en la tenant par les hanches. Il faut dire qu’il avait l’habitude avec les filles de petite vertu qui fréquentaient son établissement. Mais Annie ne lui disait rien.

« - Qu’est que tu en penses toi, ma chérie, tu me préfères dans la rouge ou dans la noire ? »
« - Tu es superbe dans les deux, elles te vont à ravir en plus elles sont différentes de ce que tu portes d’habitude, mais ce n’est pas pour moi. »
« - Elles me plaisent toutes les deux, mais je ne peux pas me payer les deux, bien qu’André m’ait donné sa carte bleue.

« - Attends un peu, je vais essayer d’arranger cela. »
« - Ahmed, tu pourrais faire un petit effort pour ma copine, je suis cliente chez toi depuis des années, elle te prend les deux robes pour le prix d’une. »
« - Non je ne peux pas, tu me fais perdre tout mon bénéfice, c’est difficile en ce moment. »
« - Et tu veux que je vienne travailler pour toi, tu es bien trop radin ce n’est pas comme cela que tu arriveras à me convaincre. »
« - Bon, c’est bon mais tu ne le dis à personne, ma jolie »
Annie m’a remercié en m’embrassant sur la bouche. Pendant qu’elle se rhabillait
Ahmed avait bien vu que nous étions bi et en profita pour remettre cela une seconde fois :
« - Tu ne m'as pas répondu, parles-en à Bob, tu étais superbe en t’exhibant ainsi sur la scène, on aurait dit une pro, ne me dit pas que cela ne t’a pas laissé un bon souvenir, ton chéri m'en parle encore. Ou alors tu peux le faire avec ta petite amie ? »
« - Arrêtes de m’ennuyer avec cela, montres-nous plutôt le sous-sol de ta boutique que tu as nouvellement aménagé. »
« - Tu connais les lieux, je te laisse montrer cela à ta copine, je dois aller voir si mon employé est arrivé pour tenir la caisse car j’entends des clients qui arrivent. »
Il y a avait maintenant des cabines individuelles où l'on peut passer des DVD pornos et la scène de peep show est tout neuf rose bonbon et à l’air très confortable avec des miroirs tout autour du plateau pour une vue à 360°. Le vestiaire des filles avait était refait à neuf. Il avait même maintenant un glory hole. Annie qui n’était jamais rentrée dans un sex-shop en était pantois scrutant les lieux avec attention. Ahmed est venu nous rejoindre.

« - Alors qu’est-ce que tu en penses ma belle ? Cette scène n’attends plus que toi ou vous deux. »
« - C’est beaucoup mieux que lorsque je m’y suis produite, mais de quoi voulais-tu nous parler tout à l’heure ? »
« - Mon idée était de créer un petit catalogue avec les robes et les dessous de ma nouvelle collection pour me faire de la pub. Comme j’ai sous la main deux jolies nanas, j’ai pensé que vous pourriez poser pour moi et vous faire photographier dans mes tenues sexy. »
Il était malin cet Ahmed, comme il venait de nous vendre deux robes pour le prix d’une, c’était difficile pour Annie et moi de lui refuser. Après avoir consulté ma copine nous avons posé nos modalités.

« - Nous voulons bien poser pour toi à condition que dans ta revue nous n'apparaissions pas à visage découvert et nous voulons voir toutes les photos qui seront dans ton catalogue. »
A peine as t-il eu notre accord qu’il est parti chercher les vêtements et son appareil photo qu’il plaça sur un pied sur la scène de peep show.

« - Nous allons commencer par les robes si vous voulez bien. Vous pouvez aller vous changer dans le vestiaire des filles.

La séance photo s’est bien déroulée, tantôt il voulait que nous soyons seules, tantôt à deux, il nous a demandé de ne pas mettre nos soutiens gorges pour que les robes moulantes épousent bien nos formes. Puis il nous a fait mettre en nuisettes, toutes plus polissonnes et friponnes les unes que les autres. Ultra courtes, transparentes et ouvertes. Cette fois ce n’était plus la même chose, il nous avait fait enlever notre petite culotte en nous disant que nous n’étions pas là pour un défilé de mode mais pour réaliser un catalogue érotique. Il pestait parfois lorsque nous n’étions pas assez excitantes et impudiques, en nous disant que nous devons montrer davantage nos fesses, notre cul ou encore notre sexe. Puis nous sommes passés à la lingerie. Il a fait des photos en gros plans de nos ‘juns almar’a’ lorsque nous portons une culotte fendue (comprenez ‘nos sexe’ dans sa langue) ou notre ‘alhimar’ (de notre cul) lorsque celle-ci était transparente, nos ‘alsudur’ (nos seins) lorsque l’on voyait nos tétons. Il nous a même pris en photos avec nos nibards à l’air. Nous avons vérifié toutes les photos lorsque la séance fut terminée pour voir si l’on ne nous reconnaissait pas et pour donner notre consentement pour la publication. Il me demanda une nouvelle fois si nous ne voulions pas nous produire et faire le show ensemble. Avant de répondre, je me suis retournée vers ma copine pour savoir si elle se soumettait à cette nouvelle demande puisque cela nous concernait toutes les deux.

« - Qu’est-ce que tu en penses Annie ? Tu aurais envie de te gouiner avec moi, pendant que des hommes se branlent en nous reluquant ? »
« - Je ne sais pas bien que cela me tente, j’étais très excitée lorsque nous sommes allées sur Internet en nous exhibant devant ta cam. »
Ahmed pour qui notre acceptation à demi mot remplissait de plaisir sauta sur l’occasion pour mettre en fonctionnement son peep show en mettant un fond musical, en allumant les jeux de lumières et à faire tourner la scène pour offrir aux voyeurs toutes les faces de notre anatomie renvoyée par les miroirs de la piste.

« - Allez vous changer mes fifilles pendant que je passe l’annonce au micro. »
« Dans quelques instants sur la scène vous allez voir un show unique de lesbiennes, elles vont s’offrir à vous totalement nues alors soyez les premiers, il n’y aura pas de place pour tout le monde alors « AU CUL … JEUNES GENS, AU CUL MESSIEURS…O… CUL …PEZ TOUTES LES LOGES LE SHOW VA COMMENCER. »
Nous sommes rentrées toutes les deux sur scène en se donnant la main pour se donner du courage. Nous avons revêtu la même tenue, un petit déshabillé blanc pour Annie et noir pour moi au raz de la moule sans rien dessous mis à part une petite culotte de la même couleur maintenue par des cordelettes pour pouvoir les enlever plus facilement. A pieds nus et debout nous nous sommes serrées l’une contre l’autre en se roulant un baiser appuyé sur la bouche. En pressant ma copine très fort contre moi, je lui faisais remonter sa liquette, la montrant en petite culotte échancrée. Les stores qui nous isolaient de la scène des loges s’ouvraient un à un chaque fois qu’un quidam mettait une pièce pour pouvoir nous regarder pour un laps de temps. Toutes les vitres sans tain des loges étaient ouvertes. Il y avait maintenant autour du plateau une douzaine de mecs qui nous mataient. Nous nous sommes laissées glisser l’une sur l’autre sur le doux coussin qui recouvrait la piste. Je lui ai baissé la bretelle de sa nuisette pour découvrir son opulent sein droit pour lui prendre sa tétine entre mes lèvres. Annie avait relevé ma chemise de nuit par-dessus mes reins dévoilant mon cul par transparence de mon petit slip noir. Je ne sais pas si c’est de savoir que des hommes la regardaient, mais Annie était survoltée et toute émoustillée. Elle avait tiré sur les deux cocardes qui maintenaient ma culotte, dégageant mon cul de ce petit bout de tissu et me glissa un doigt dans ma raie. En roulant toutes les deux sur le côté, je lui ai retiré sa chemise de nuit. En voyant ma copine pratiquement nue dans sa petite culotte translucide blanche, de l’autre côté de la piste, les hommes s’embrasaient en frappant sur leur vitre sans tain j’ai même entendu dire : « - enlève-lui sa culotte qu’elle nous montre sa chatte. » En fait, elle avait compris elle aussi, elle tira elle-même sur les deux cordons qui la maintenaient pour l’ôter. Pour faire comme elle, je me suis débarrasser de ma nuisette. Dans un premier temps nous nous sommes mises à genoux, face-à-face, en s’adonnant à toutes les caresses, en s’embrassant et en se faisant des câlins peau contre peau, seins contre seins ses tétons pointaient et les mien aussi. (Tout comme vous pouvez les voir sur mon avatar). Ce qui fit rapidement grimper la température avant de passer à des positions un peu plus élaborées. Puis, je me suis allongée sur le dos, pendant qu’Annie est venue s’installer à califourchon près de mon visage. Dans cette position je pouvais lui prodiguer des caresses buccales au niveau de son vagin. Nous avons totalement oublié que nous étions en train de faire le spectacle devant des hommes qui certainement se masturbaient en nous regardant. Simplement dérangées par le bruit de la fermeture et l’ouverture des volets à chaque fois que le temps était écoulé et que les voyeurs devaient remettre de l’argent pour continuer à nous reluquer. Puis nous sommes passé à un classique du kamasutra lesbien, en prenant la position du 69 ce qui nous permettait de donner et de recevoir du plaisir pour toutes les deux en même temps. Nous étions allongées l’une sur l’autre, tête bêche. De cette façon, à ce que chacune de nous prodigue des caresses avec la bouche sur les parties intimes de l’autre. On mouillait toutes les deux. Nous nous sommes mises en position de la cuillère qui favorise le contact d’une grande partie de nos corps. Allongées sur le côté, j’étais dans le dos de ma copine. Nous pouvons dans cette situation facilement se caresser le sexe en pénétrant nos doigts à l’intérieur.

Le micro s’est mis à crépiter et Ahmed d’annoncer :
« - Nous sommes désolés messieurs d’interrompre votre plaisir, mais il est midi et nous allons fermer la boutique pour déjeuner, j’espère que vous avez pris du bon temps et nous espérons revoir très bientôt nos deux lesbiennes bientôt sur cette piste. Un grand merci à toutes les deux. »
Pour clôturer notre show, nous avons décidé de faire un dernier tour de piste, allongées sur le dos les jambes bien ouvertes en grand V, montrant notre coucou prenant la liberté de sortir de sa boite.

Nous n’avons pas jouie sur scène mais l’expérience était provoquant mais sublime en laissant notre amour propre à la maison. Ahmed est entré dans notre loge pendant que nous étions totalement nues prêtes juste avant de nous rhabiller. Voyant que nous étions contrariées par sa présence, il nous dit :
« - Ne soyez pas effrayé comme cela, j’ai l’habitude de voir mes filles nues. Avec toutes les caméras que j’ai installées partout, je vois de mon comptoir votre ‘ juns almar’a’ (sexe) croyez moi il n’a plus de secret pour moi. Je peux vous dire que vous avez bien travaillé parce qu’aucune personne n’est sortie de sa loge avant la fin de votre show, par contre moi pense que nous allons avoir du travail de nettoyage dans les loges. En s’adressant à Annie il lui dit :
« - Je t’ai apporté tes robes et j’ai ajouté un petit gode vibrant de voyage pour chacune de vous à mettre dans votre sac. Vous pouvez réfléchir à ma proposition de venir faire le spectacle de temps en temps sur la piste. Parlez-en à vos maris ! »
Nous avons mangé un sandwich et bu un café avant de continuer notre shopping.

« - Veux-tu m’accompagner ma chérie chez le tatoueur qui fait aussi les piercings, je voudrais me faire percer une petite lèvre de mon sexe pour pouvoir mettre le petit diamant que mon chéri m’a offert pour la saint Valentin. »
Lorsque j’ai expliqué à l’accueil ce que je voulais, l’hôtesse m’a invité à m’installer sur la table de l’arrière boutique et d’attendre que son mari arrive en retirant ma culotte. La couche ressemblait à une table gynécologique avec des étriers qui écartaient les cuisses pour que son homme puisse travailler sur mon privé.

Quelques instants plus tard le tatoueur est rentré dans la pièce, il portait des piercings partout. Après s’être désinfecté les mains il me souleva ma jupe jusqu’à la taille et me demanda si je voulais me faire percer le clitoris, les grandes lèvres ou les petites. Après lui avoir montré l’endroit, il tira dessus et avec son appareil il me fît le petit trou.

« - Je vais vous mettre un petit anneau stérile en attendant que ça se cicatrise, après vous mettrez le bijou que vous aimez. Chaque jour et pendant une quinzaine, il faudra le désinfecter lorsque vous ferez votre petite toilette intime. Avec une petite pince il a mis en place mon piercing. »
Il me le déconseilla de remettre ma culotte pour ne pas échauffer la partie meurtrie. A ma grande surprise Annie qui avait assisté à l’opération dit :
« - A moi maintenant, vous faites la même chose que ma copine » en retirant sa culotte et en s’installant sur la table.

Ses petites lèvres à elle dépassaient de ses grandes, il était facile de les lui percer, mais lorsque son anneau sera posé, il sera visible de l’extérieur, tandis que le mien était partiellement caché par mes grandes lèvres. Elle mis sa culotte dans son sac et après avoir réglé nous sommes reparties.

« - Je ne m’attendais pas à ce que tu te fasses percer le minou, que va dire André lorsqu’il va voir cela ? »
« - Je suis encore libre de mon corps et j’en fais ce que je veux. »
« - Oui, mais si tu lui racontes tout ce que tu as fais aujourd’hui, il va penser que je ne suis pas une bonne copine pour toi, que je t’entraîne dans la débauche, dans la luxure ? »
« - Je ne suis pas obligée de tout lui raconter. Ne t’inquiètes pas ma chérie donne moi la main et embrasse moi. Il n’y a pas de honte à affirmer notre amour et de montrer que nous sommes lesbiennes et bi .»
J’ai reconduit Annie chez elle avant de rentrer chez moi. Par contre moi j'ai tout raconté à mon chéri et je n'ai eu que pour toute réponse :
« - Ah ! Ce pervers d'Ahmed, il est toujours prêt et pas le dernier pour mater un abricot. »
Sans aucun autre commentaire de sa part, même pas son désaccord d'aller me produire sur la piste de peep show. Ce n’est que quelques jours plus tard lorsque je lui ai reposé la question qu’il m’a répondue :
« - Pourquoi me poses-tu encore cette question, tu fais ce que tu veux, si tu as envie de te produire sur cette scène tu es totalement libre. Ta copine est-elle d’accord pour t’accompagner ? Rappelles toi lorsque nous étions en club échangiste que les hommes nous regardaient faire l'amour au travers des hublots, c'était la même chose mis à part que l’on va te payer pour te regarder. »
« - Je n’ai pas demandé à Annie mais je voulais savoir si cela ne te dérangeait pas ? »
« - Si vous éprouvez du plaisir à vous montrer nue et de vous offrir en spectacle, pourquoi pas ? »







































































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