Un plaisir partagé est un plaisir double (29)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (29)
Un plaisir partagé est un plaisir double (29)
Aujourd’hui, je suis bien décidée à suivre les conseils d’Azaan en m’exhibant sur la plage en public. J’en ai parlé à mon chéri de ce que nous devons faire pour que nous soyons remarqués pour être invités chez des libertins partouzeurs.
« - Qu’est-ce que tu en penses chéri ? »
« - Je ne sais pas trop, c’est plutôt à toi de me dire si tu es prête à t’offrir en spectacle devant tout se monde qui va te regarder. »
« - Je veux bien essayer, mais je compte aussi sur toi pour me servir de garde du corps au cas où il faudrait remettre en place quelques hommes un peu trop entreprenants. »
Nous sommes partis un peu tôt cette fois pour pouvoir avoir une place au beau milieu de la plage, il y avait déjà beaucoup de monde mais nous avons trouvé un emplacement pour poser nos quatre serviettes de plage. Il fallait déjà montrer que nous n’étions pas venus pour faire de la figuration. Aussi j’ai demandé à mon homme s’il voulait bien me passer de la crème solaire sur les fesses. Mon chéri à bien joué son rôle en écartant mes fesses pour me badigeonner le cul et l’intérieur de ma raie avec la crème solaire au monoï. Je me suis ensuite retournée et cette fois j’ai passé le flacon à André pour qu’il m’enduise les seins et le mont de vénus en lui écartant bien les cuisses pour qu’il m’en passe entre les lèvres. J’ai vu que j’avais attiré l’intention des couples qui nous entouraient en me faisant enduire le corps par des hommes différents.
Pour le moment tout paraissait calme, c'était plus l'heure de la bronzette et de la sieste. Bien que tout le monde mate le sexe de ses voisins et voisines qui sont étalés au soleil. Bob avait devant lui une jolie femme avec vue sur sa foufoune qu'elle montrait sans aucun complexe en ignorant complètement mon compagnon qui n’arrêtait pas de lui mater l’abricot. Par contre son mari qui voyait que mon chéri avait les yeux braqués sur son entre jambe s’est mis à lui caresser la chatte en lui écartant les lèvres. ( La solidarité entre hommes existe bien.)
Sur la plage tout le monde attendait 18 heures que le poste de police ferme pour passer à l'acte. Un long coup de sifflet était le signal pour commencer les festivités. Bob me chuchota quelques mots à l'oreille :
« - J'ai vu que tu matais les trois hommes à côté de nous, est-ce que tu aimerais que je leur fasse signe pour qu'ils viennent s'occuper de toi ? »
« - C'est vrai qu'ils me plaisent bien, on pourrait peut-être les inviter ce soir dans l'appartement pour que Annie en profite aussi ? » ( Solidarité entre femmes cette fois. )
« - Je sais que tu as un faible pour les jeunes hommes, alors pourquoi ne veux-tu pas en profiter de suite ? Et c’est peut-être l’occasion pour toi d’attirer les regards. »
« - Tu ne les trouves pas un peu jeunes pour qu’ils s’occupent de ta femme ? » Lui demanda André.
« - Nous ne sommes pas au beau milieu de tous ces libertins pour qu’elle me fasse une crise de pudeur, surtout que nous ne sommes pas les derniers à mater ce qui se passe autour de nous. »
« - J’étais bien décidé hier mais aujourd’hui j'ai un peu peur de me donner en spectacle en public. » Dit Chantal.
« - La peur n'évite pas le désir, tu l'as bien fais sur la scène du peepshow d'Ahmed et je vois que tu en as envie. Veux-tu essayer ? »
Je n'ai pas eu le temps de répondre que Bob s'était déjà levé pour parler aux trois jeunes. Ils m’ont regardé et d'un signe de tête j'ai compris qu'ils étaient d'accord. L'un des deux s'agenouilla derrière moi, posa ses mains sur ma poitrine en faisant glisser son membre en érection qui me mouillait ma colonne vertébrale d’un peu de sperme qui s’échappait de son gland.
Très vite, nous nous sommes retrouvés littéralement encerclés par une foule de voyeurs en majorité d’hommes : des jeunes, des vieux, des gros, des minces, ici nous étions sur la plage des cochons et tous les standards de l’esthétique valables ailleurs semblaient oubliés ou plutôt dépassés ! À chaque fois que je bougeais mon corps, les mouvements de va-et-vient des mains de mes «admirateurs » s’accéléraient, sur leur sexe. L’autre jeune s’était mis à genoux devant moi pour que je lui prenne son sexe et me l'enfoncer au plus profond de ma gorge, si bien que je ne voyais plus ce qui se passait autour de moi. Je fermais les yeux appréciant l'instant présent.
Mes jambes s'ouvrirent comme par enchantement livrant à tous mes admirateurs ma figue offerte et juteuse, une invitation à venir me la déguster. Mais ici il y a des règles à respecter personne ne s'y aventura, Bob qui avait invité les trois hommes, étaient les seuls à pouvoir s'occuper de moi. D'ailleurs c'est ce qui se passa le dernier des trois me caressa les lèvres intimes et mon clitoris en me doigtant.
Ses doigts fouillèrent l'intérieur de mon vagin écartant mes lèvres, montrant à tous les voyeurs qui se masturbaient devant moi ma petite perle de chair gonflée par le plaisir. Pendant ce temps je continuais à pomper la queue du jeune homme qui entrait en cadence du bord de mes lèvres au fond de ma gorge. Par moment je sentais son sexe se gonfler comme s'il était prêt à éjaculer.
Pendant que je le pompais, il se pencha sur moi pour placer à son tour sa main sur mon sexe en me tapotant doucement mon clitoris puis il introduit un autre doigt avec celui de son copain qui était déjà en place dans ma fente baignée de mouille. Sa queue et son doigt insufflaient le même rythme en s'enfonçant et en s'extirpant de ma gorge et de mon vagin de plus en plus rapidement.
Jusqu'à ce qu'un premier jet de sperme se déversa dans ma bouche suivi d'autres spasmes de son sexe qui déchargèrent un flot de sa liqueur d'homme qui coula dans le fond de ma gorge. Il se retira en giclant une dernière fois sur mes lèvres. Je me suis redressée en m'étranglant, en toussotant et en crachant une partie de son foutre que je n'avais pas pu avaler. J'ai eu moi aussi mon heure de gloire sur cette plage de libertins qui se sont tout mis à m'applaudir en quittant le lieu de mon exhibition en quête d'une nouvelle attraction qu'un autre couple pouvait leur offrir. Mon chéri me présenta de l'eau pour que je me rince la bouche en me demandant :
« - Comment as-tu vécu cette aventure ? »
« - Hé bien ! Je ne me suis pas vraiment posé de questions en plus je ne voyais pas trop se qui se passait autour de moi, le seul souvenir qui me reste c'est le goût du sperme que j'ai avalé et que j'ai faillit m'étrangler avec la dose qu'il m'a déchargée dans la gorge. Par contre j’ai beaucoup apprécié les applaudissements. »
« - Je peux te dire moi, pour avoir participé en tant que spectateur que tu as été superbe et que beaucoup d'hommes qui t'entouraient ont prit leur plaisir en te regardant. J’en ai même vu un éjaculer pour toi dans le sable. »
Ici la concurrence est rude avec toutes ces moules libertines ouvertes à la vue de tout le monde. Pour attirer le regard des hommes de plus en plus de femmes portent des piercings sur leur chatte, tout comme moi avec mon petit diamant sur ma petite lèvre qui lance des feux, attirant les regards des hommes, c’est d’ailleurs pour cela que mon chéri m’avait offert ce bijou pour la saint Valentin.
A dix mètres de nous, se trouvent deux hommes, plutôt beaux gosses qui papotent ensemble et qui matent à tour de bras sans pour autant se lever et pour aller se branler devant les couples qui s’exhibent. Je demande à ma copine :
« - Comment trouves-tu ces deux hommes ? »
Nous lançons quelques regards appuyés dans leur direction, un des gars capte notre manège. Il se met à nous reluquer en nous faisant un clin d’œil. Le temps passe, mais aucun de nous n'arrive pas à faire la première approche.
Un couple situé à proximité de ces deux gaillards débute une exhibe, on commence à s’amasser autour d’eux, nous profitons de cet instant pour emboîter le pas des voyeurs et aller nous placer devant ces deux hommes et le couple, histoire d’amorcer une rencontre. Nous commençons à mater le couple, Bob qui nous avait suivit, me caresse le bas des reins devant les deux gars, celui avec qui j'avais eu des échanges visuels était assis au niveau de mes pieds. Après la prestation du couple et avant de repartir, pour rejoindre nos serviettes de bains, je le touche discrètement. Il me regarde et je lui fais un petit signe pour qu’il vienne nous rejoindre. D’un coup de tête j’ai vu qu’il avait compris ma proposition.
Je m'allonge sur ma serviette de bain, au côté de mon mari. Je lui dis que les hommes que nous avons repairé sont italiens et que l'un d'eux va venir nous rejoindre.
« - Comment as-tu réussi à le draguer ma chérie, je n'ai rien vu. »
Je n'ai pas eu le temps de répondre à mon homme que le gars est venu nous rejoindre et installa sa serviette à côté de la mienne. Nous échangeons quelques mots de français, d’anglais et d’espagnol pour arriver à faire un minimum connaissance, mais le dialogue est difficile. Nous comprenons tout de même qu'il était là avec son ami pour trois jours, nous lui expliquons que nous sommes ici pour une quinzaine avec nos amis et Bob essaye de lui expliquer que nous recherchons de beaux garçons pour moi et Annie. Je ne sais pas s'il a tout compris mais le feeling passe plutôt bien entre nous malgré la barrière de la langue. Nous savons très bien que le sexe n’ait pas de frontière et que c’est très facile de faire comprendre à son partenaire nos envies. Au bout de trois à quatre minutes d’échanges il commence à me caresser les cuisses en remontant doucement le long de mes jambes lisses pour atteindre mon entrecuisse, je me laisse faire en répondant à ses attouchements.
Me voyant réceptive, il se met à genoux face à mon visage, Bob nous regardait faire et ne s'opposa pas à ce que je le suce. Claudio, c'est son prénom est aux anges, je lui gobe la queue dans un mouvement de vas et viens, une des mains de mon italien se pose sur ma tête l’autre prend la direction de ma chatte et commence à me doigter. Inconsciemment j'ai émis quelques gémissements, ce qui a ameuté de nouveau la population de voyeurs et de libertins qui n’a pas tardée à nous entourer de nouveau pour nous observer.
Souhaitant profiter de cet instant, mon chéri décide de me prendre devant tout ce monde. Il me demande de me mettre une position de levrette n’étant pas encore tout à fait à l’aise avec autant de regards sur moi en plein jour et en public. Je trouve cette position plus «discrète et surtout que je ne pouvais pas voir le regard des hommes derrière moi ». Mon chéri se place derrière moi et trempe sa queue dans mon bénitier. Le tempo de va est donné et j'entends le bruit de ses testicules claquer contre mes fesses. Puis il se retire et m’éjacule sur le dos. Bob fait signe à André qui nous regardait de venir prendre sa place derrière moi. Mon copain et amant s’est mis à genoux dans le sable, plaça son sexe à l’entrée de ma grotte par la présence de son gland. Je me suis relevée pour m’asseoir sur sa bite qui s’enfonça en moi comme dans du beurre. De ses deux mains posées sur mes seins, il me fit semblant de me soulever pour me faire comprendre que dans sa position, il ne pouvait pas amorcer ce mouvement de va et viens et que c’était à moi de faire le travail. Ce que je fis avec plaisir pour sentir son bel oiseau d’entrer et de sortir de sa cage dorée et trempée en toute liberté.
De son côté mon italien se sentait un peu abandonné, il se releva et me présenta de nouveau son sexe à la commissure de mes lèvres pour que je prenne son gland turgescent dans la bouche. J’ai pompé mon bel italien comme jamais, la situation m’avait excitée. J'ai eu le droit à une belle éjaculation faciale de la part de Claudio, tandis qu’André m'a englué les muqueuses de son sperme. Je me suis relevée et des libertins se sont mis à me parler en me félicitant. La question qui les turlupinait était de savoir qui était mon mari, ayant vu André éjaculer en moi sans préservatif et que Bob mon époux s’était lui retiré en déposant sa semence dans le bas du dos. En plus pendant que je tirais mon coup avec André, ils l’avaient fricoter avec Annie. Couverte de sperme je suis allée rejoindre la mer pour me laver sous les applaudissements le long de la haie d’honneur qu’ils m’avaient faite.
« - Dis donc, tu as mis le paquet aujourd’hui, par deux fois tu étais la naïade de la plage en faisant le spectacle aujourd’hui. » Me dit ma copine.
« - C’est pour vous que j’ai fais cela pour que nous soyons remarqués et être invités dans les soirées coquines, vous devriez me remercier et puis je n’ai fais qu’en public ce que nous faisons tout ensemble le soir au lit. »
Avant que Claudio ne reparte rejoindre son ami, nous lui proposons un plan cul dans notre location. Claudio est partant mais nous dit qu’il va en parler à son copain, nous échangeons nos numéros de téléphone pour le contacter.
Le soleil commençait à baisser et la plage se vidait progressivement de ce petit monde de libertins. Nous décidons également de rejoindre notre appartement. En passant près des deux italiens, mon mari s’arrêta devant eux pour leur demander s’ils étaient d’accord pour venir passer une soirée chez nous dans la semaine.
« - C’est que cela va être difficile demain c’est notre dernière journée au cap. » Nous dit le copain de Claudio dans un français hésitant.
« - C’est bien dommage car vous êtes les types d’hommes qu’aiment nos femmes. Elles sont tout de suite tombée sous votre charme en vous voyant et en plus votre accent italien les ont fait craquer. »
« - Nous sommes désolés Mesdames de vous décevoir et croyez nous sommes également attristés de ne pas vous satisfaire de ne pas pouvoir vous contenter surtout en présence d’aussi jolies femmes. ( Ha, ces Italiens, toujours aussi charmeurs. Ils savent parler aux femmes) Mais cela ne nous empêche pas de faire connaissance asseyez-vous donc à côté de nous pour parler un peu, il y a de la place sur nos serviettes de bain. »
Nos deux Italiens se sont reculé pour nous laisser la place de nous asseoir à leur côté, tandis que nos maris ont installé leur serviette à proximité de nous.
Nous avons parlé de choses et d’autres mais surtout de l’Italie. Nous leur expliquons que nous ne connaissons que Venise. Ils nous disent qu’il faut à tout prix aller à Florence que c’est une très jolie ville et qu’ils peuvent nous servir de guide car ils n'habitent pas très loin de là et qu’ils peuvent nous recevoir. Nous avons appris également que le second larron (celui qui parle un peu le Français) se prénommait Gianni. Une heure était passée et nous pouvons admirer le coucher de soleil sur la Méditerranée.
Pendant que nous parlions Claudio s’était rapproché de moi pour me caresser les cuisses et m’embrasser dans le cou.
Bob l’avait vu faire. Discrètement Claudio remonta sa main et la glissa entre mes cuisses. Je lui ai ouvert le passage et tout en discutant avec son collègue il pénétrait mon intimité avec son doigt. Je pense qu’il a dit en italien que nous n’étions pas qu’ouverte à la discussion car j’ai vu Gianni prendre Annie par le cou et l’embrasser sous l’œil stupéfié d’André qui n’a rien dit. Ils sont allés plus vite que nous, collés dans un long baiser, il bascula Annie sur la serviette de bain en lui caressait ses jolis nénés.
Je vois sur le visage de mon chéri candauliste que la situation lui plaisait. La nuit commençait à tomber. Faire l’amour nu sur la plage avec un jeune et bel italien était une occasion stimulante et excitante pour moi. Claudio me fit écarquiller les cuisses généreusement. Sa main posée sur mon mont de vénus me taquina mon bouton rose en m’embrassant. Je pris son sexe pour le branler. Je mouillais et il bandait.
Comme tous les Italiens ils parlaient beaucoup avec ses mains ! Je ne sais pas si ma copine comprenait tout ce qu’il lui confiait, mais ses mains en disaient long sur son intention. Je peux vous dire que nos corps nus ont été pelotés, cajolés et attouchés. Claudio fouilla dans son sac pour sortir deux préservatifs et en lança un à son ami qu’ils déroulèrent sur leur sexe en érection
Devant André qui regardait sa belle emportée par la suprématie de son bel italien. Sous son emprise elle s’abandonna à lui en lui ouvrant sa fleur aux pétales débordants. Il n’avait plus qu’a la cueillir en montant sur elle et incrusta sa tige dans sa corolle. Annie se donnait corps et âme à son jeune Italien. Ils roulèrent ensemble sur le sable encore tiède, tantôt dessus, tantôt dessous. André voyant sa femme prendre du plaisir se colla derrière elle. Elle tourna la tête pour l’embrasser, la façon peut-être pour elle de le remercier, d’accepter de la laisser prendre du plaisir avec ce jeune homme. Sa main attrapa le sexe de son mari et le présenta au bord de son anus. Prise en sandwich par ses deux hommes, elle subissait une double pénétration. Les râles de plaisir qui s’échappaient de sa gorge auraient ameuté un troupeau de voyeurs autour d’elle, mais la plage était maintenant pratiquement déserte à cette heure. Elle avait le souffle de plus en plus court et l’on sentait bien qu’elle n’soit plus très loin de l’orgasme.
De mon côté Claudio s’était glissé sous moi, j’avais la tête posée dans le creux de son épaule, ses mains me pelotaient les deux seins en me triturant les petits bouts qui avaient enflé entre ses doigts (comme vous pouvez les voir sur mon avatar.) Son sexe me labourait la chatte, les cuisses grandement écartées laissaient largement la place à mon chéri pour butiner le petit bouton. Il n’en resta pas là, sa langue fouillait maintenant les pétales de ma fleur et s’abreuvait du nectar qui s’en échappait sans se soucier l’occupation de mon vagin par Claudio.
Annie en avait fini avec André et Gianni, chacun d’eux avait éjaculé en elle. Elle était en train d’essuyer son intimité avec la serviette de bain. Claudio venait aussi de m’envoyer son engrais dans mon jardin secret qui n’avait d’ailleurs plus rien de secret pour un bon nombre de libertins et de voyeurs qui m’avaient vu m’exhiber sur la plage aujourd’hui.
Nous sommes rentrés tous les six au village naturiste en longeant la mer. Claudio et Gianni nous ont invité à prendre un dernier verre à la terrasse d’un café pour nous remercier. Il était très tard, la nuit était tombée et les noctambules étaient de sortie. Il était temps pour nous de rentrer car nous étions encore tout nus.
Quelques personnes qui avaient participées au spectacle nous félicitaient en passant en nous balançant de gentilles paroles.
« - Vous étiez formidables. » « - Superbe vos prestations sur la plage. » Ou encore «- Vous êtes de fort jolies coquines. » Un autre couple plus discret a levé le pouce en l'air en passant pour nous féliciter. Nous avons eu également une invitation à rejoindre un couple âgé chez eux pour terminer la soirée. Mais nous avons décliné l’invitation prétextant être fatigués.
« - Je ne pensais pas que je serais capable de m'offrir ainsi en spectacle devant tant de personnes. Mais je vois que cela à porté ses fruits, nous sommes maintenant reconnus pour entrer dans ce monde libertin. »
« - En tous cas je tiens à vous remercier et à vous féliciter, vous avez été merveilleuses toutes les deux, je suis fier de vous et vous nous avez drôlement excités. » Nous dit Bob.
Nous avons pris congé de Claudio et de Gianni en les embrassant. Ils nos ont remercier pour la soirée que nous avons passé ensemble en réitérant leur invitation pour les rejoindre en Italie.
Aujourd’hui, je suis bien décidée à suivre les conseils d’Azaan en m’exhibant sur la plage en public. J’en ai parlé à mon chéri de ce que nous devons faire pour que nous soyons remarqués pour être invités chez des libertins partouzeurs.
« - Qu’est-ce que tu en penses chéri ? »
« - Je ne sais pas trop, c’est plutôt à toi de me dire si tu es prête à t’offrir en spectacle devant tout se monde qui va te regarder. »
« - Je veux bien essayer, mais je compte aussi sur toi pour me servir de garde du corps au cas où il faudrait remettre en place quelques hommes un peu trop entreprenants. »
Nous sommes partis un peu tôt cette fois pour pouvoir avoir une place au beau milieu de la plage, il y avait déjà beaucoup de monde mais nous avons trouvé un emplacement pour poser nos quatre serviettes de plage. Il fallait déjà montrer que nous n’étions pas venus pour faire de la figuration. Aussi j’ai demandé à mon homme s’il voulait bien me passer de la crème solaire sur les fesses. Mon chéri à bien joué son rôle en écartant mes fesses pour me badigeonner le cul et l’intérieur de ma raie avec la crème solaire au monoï. Je me suis ensuite retournée et cette fois j’ai passé le flacon à André pour qu’il m’enduise les seins et le mont de vénus en lui écartant bien les cuisses pour qu’il m’en passe entre les lèvres. J’ai vu que j’avais attiré l’intention des couples qui nous entouraient en me faisant enduire le corps par des hommes différents.
Pour le moment tout paraissait calme, c'était plus l'heure de la bronzette et de la sieste. Bien que tout le monde mate le sexe de ses voisins et voisines qui sont étalés au soleil. Bob avait devant lui une jolie femme avec vue sur sa foufoune qu'elle montrait sans aucun complexe en ignorant complètement mon compagnon qui n’arrêtait pas de lui mater l’abricot. Par contre son mari qui voyait que mon chéri avait les yeux braqués sur son entre jambe s’est mis à lui caresser la chatte en lui écartant les lèvres. ( La solidarité entre hommes existe bien.)
Sur la plage tout le monde attendait 18 heures que le poste de police ferme pour passer à l'acte. Un long coup de sifflet était le signal pour commencer les festivités. Bob me chuchota quelques mots à l'oreille :
« - J'ai vu que tu matais les trois hommes à côté de nous, est-ce que tu aimerais que je leur fasse signe pour qu'ils viennent s'occuper de toi ? »
« - C'est vrai qu'ils me plaisent bien, on pourrait peut-être les inviter ce soir dans l'appartement pour que Annie en profite aussi ? » ( Solidarité entre femmes cette fois. )
« - Je sais que tu as un faible pour les jeunes hommes, alors pourquoi ne veux-tu pas en profiter de suite ? Et c’est peut-être l’occasion pour toi d’attirer les regards. »
« - Tu ne les trouves pas un peu jeunes pour qu’ils s’occupent de ta femme ? » Lui demanda André.
« - Nous ne sommes pas au beau milieu de tous ces libertins pour qu’elle me fasse une crise de pudeur, surtout que nous ne sommes pas les derniers à mater ce qui se passe autour de nous. »
« - J’étais bien décidé hier mais aujourd’hui j'ai un peu peur de me donner en spectacle en public. » Dit Chantal.
« - La peur n'évite pas le désir, tu l'as bien fais sur la scène du peepshow d'Ahmed et je vois que tu en as envie. Veux-tu essayer ? »
Je n'ai pas eu le temps de répondre que Bob s'était déjà levé pour parler aux trois jeunes. Ils m’ont regardé et d'un signe de tête j'ai compris qu'ils étaient d'accord. L'un des deux s'agenouilla derrière moi, posa ses mains sur ma poitrine en faisant glisser son membre en érection qui me mouillait ma colonne vertébrale d’un peu de sperme qui s’échappait de son gland.
Très vite, nous nous sommes retrouvés littéralement encerclés par une foule de voyeurs en majorité d’hommes : des jeunes, des vieux, des gros, des minces, ici nous étions sur la plage des cochons et tous les standards de l’esthétique valables ailleurs semblaient oubliés ou plutôt dépassés ! À chaque fois que je bougeais mon corps, les mouvements de va-et-vient des mains de mes «admirateurs » s’accéléraient, sur leur sexe. L’autre jeune s’était mis à genoux devant moi pour que je lui prenne son sexe et me l'enfoncer au plus profond de ma gorge, si bien que je ne voyais plus ce qui se passait autour de moi. Je fermais les yeux appréciant l'instant présent.
Mes jambes s'ouvrirent comme par enchantement livrant à tous mes admirateurs ma figue offerte et juteuse, une invitation à venir me la déguster. Mais ici il y a des règles à respecter personne ne s'y aventura, Bob qui avait invité les trois hommes, étaient les seuls à pouvoir s'occuper de moi. D'ailleurs c'est ce qui se passa le dernier des trois me caressa les lèvres intimes et mon clitoris en me doigtant.
Ses doigts fouillèrent l'intérieur de mon vagin écartant mes lèvres, montrant à tous les voyeurs qui se masturbaient devant moi ma petite perle de chair gonflée par le plaisir. Pendant ce temps je continuais à pomper la queue du jeune homme qui entrait en cadence du bord de mes lèvres au fond de ma gorge. Par moment je sentais son sexe se gonfler comme s'il était prêt à éjaculer.
Pendant que je le pompais, il se pencha sur moi pour placer à son tour sa main sur mon sexe en me tapotant doucement mon clitoris puis il introduit un autre doigt avec celui de son copain qui était déjà en place dans ma fente baignée de mouille. Sa queue et son doigt insufflaient le même rythme en s'enfonçant et en s'extirpant de ma gorge et de mon vagin de plus en plus rapidement.
Jusqu'à ce qu'un premier jet de sperme se déversa dans ma bouche suivi d'autres spasmes de son sexe qui déchargèrent un flot de sa liqueur d'homme qui coula dans le fond de ma gorge. Il se retira en giclant une dernière fois sur mes lèvres. Je me suis redressée en m'étranglant, en toussotant et en crachant une partie de son foutre que je n'avais pas pu avaler. J'ai eu moi aussi mon heure de gloire sur cette plage de libertins qui se sont tout mis à m'applaudir en quittant le lieu de mon exhibition en quête d'une nouvelle attraction qu'un autre couple pouvait leur offrir. Mon chéri me présenta de l'eau pour que je me rince la bouche en me demandant :
« - Comment as-tu vécu cette aventure ? »
« - Hé bien ! Je ne me suis pas vraiment posé de questions en plus je ne voyais pas trop se qui se passait autour de moi, le seul souvenir qui me reste c'est le goût du sperme que j'ai avalé et que j'ai faillit m'étrangler avec la dose qu'il m'a déchargée dans la gorge. Par contre j’ai beaucoup apprécié les applaudissements. »
« - Je peux te dire moi, pour avoir participé en tant que spectateur que tu as été superbe et que beaucoup d'hommes qui t'entouraient ont prit leur plaisir en te regardant. J’en ai même vu un éjaculer pour toi dans le sable. »
Ici la concurrence est rude avec toutes ces moules libertines ouvertes à la vue de tout le monde. Pour attirer le regard des hommes de plus en plus de femmes portent des piercings sur leur chatte, tout comme moi avec mon petit diamant sur ma petite lèvre qui lance des feux, attirant les regards des hommes, c’est d’ailleurs pour cela que mon chéri m’avait offert ce bijou pour la saint Valentin.
A dix mètres de nous, se trouvent deux hommes, plutôt beaux gosses qui papotent ensemble et qui matent à tour de bras sans pour autant se lever et pour aller se branler devant les couples qui s’exhibent. Je demande à ma copine :
« - Comment trouves-tu ces deux hommes ? »
Nous lançons quelques regards appuyés dans leur direction, un des gars capte notre manège. Il se met à nous reluquer en nous faisant un clin d’œil. Le temps passe, mais aucun de nous n'arrive pas à faire la première approche.
Un couple situé à proximité de ces deux gaillards débute une exhibe, on commence à s’amasser autour d’eux, nous profitons de cet instant pour emboîter le pas des voyeurs et aller nous placer devant ces deux hommes et le couple, histoire d’amorcer une rencontre. Nous commençons à mater le couple, Bob qui nous avait suivit, me caresse le bas des reins devant les deux gars, celui avec qui j'avais eu des échanges visuels était assis au niveau de mes pieds. Après la prestation du couple et avant de repartir, pour rejoindre nos serviettes de bains, je le touche discrètement. Il me regarde et je lui fais un petit signe pour qu’il vienne nous rejoindre. D’un coup de tête j’ai vu qu’il avait compris ma proposition.
Je m'allonge sur ma serviette de bain, au côté de mon mari. Je lui dis que les hommes que nous avons repairé sont italiens et que l'un d'eux va venir nous rejoindre.
« - Comment as-tu réussi à le draguer ma chérie, je n'ai rien vu. »
Je n'ai pas eu le temps de répondre à mon homme que le gars est venu nous rejoindre et installa sa serviette à côté de la mienne. Nous échangeons quelques mots de français, d’anglais et d’espagnol pour arriver à faire un minimum connaissance, mais le dialogue est difficile. Nous comprenons tout de même qu'il était là avec son ami pour trois jours, nous lui expliquons que nous sommes ici pour une quinzaine avec nos amis et Bob essaye de lui expliquer que nous recherchons de beaux garçons pour moi et Annie. Je ne sais pas s'il a tout compris mais le feeling passe plutôt bien entre nous malgré la barrière de la langue. Nous savons très bien que le sexe n’ait pas de frontière et que c’est très facile de faire comprendre à son partenaire nos envies. Au bout de trois à quatre minutes d’échanges il commence à me caresser les cuisses en remontant doucement le long de mes jambes lisses pour atteindre mon entrecuisse, je me laisse faire en répondant à ses attouchements.
Me voyant réceptive, il se met à genoux face à mon visage, Bob nous regardait faire et ne s'opposa pas à ce que je le suce. Claudio, c'est son prénom est aux anges, je lui gobe la queue dans un mouvement de vas et viens, une des mains de mon italien se pose sur ma tête l’autre prend la direction de ma chatte et commence à me doigter. Inconsciemment j'ai émis quelques gémissements, ce qui a ameuté de nouveau la population de voyeurs et de libertins qui n’a pas tardée à nous entourer de nouveau pour nous observer.
Souhaitant profiter de cet instant, mon chéri décide de me prendre devant tout ce monde. Il me demande de me mettre une position de levrette n’étant pas encore tout à fait à l’aise avec autant de regards sur moi en plein jour et en public. Je trouve cette position plus «discrète et surtout que je ne pouvais pas voir le regard des hommes derrière moi ». Mon chéri se place derrière moi et trempe sa queue dans mon bénitier. Le tempo de va est donné et j'entends le bruit de ses testicules claquer contre mes fesses. Puis il se retire et m’éjacule sur le dos. Bob fait signe à André qui nous regardait de venir prendre sa place derrière moi. Mon copain et amant s’est mis à genoux dans le sable, plaça son sexe à l’entrée de ma grotte par la présence de son gland. Je me suis relevée pour m’asseoir sur sa bite qui s’enfonça en moi comme dans du beurre. De ses deux mains posées sur mes seins, il me fit semblant de me soulever pour me faire comprendre que dans sa position, il ne pouvait pas amorcer ce mouvement de va et viens et que c’était à moi de faire le travail. Ce que je fis avec plaisir pour sentir son bel oiseau d’entrer et de sortir de sa cage dorée et trempée en toute liberté.
De son côté mon italien se sentait un peu abandonné, il se releva et me présenta de nouveau son sexe à la commissure de mes lèvres pour que je prenne son gland turgescent dans la bouche. J’ai pompé mon bel italien comme jamais, la situation m’avait excitée. J'ai eu le droit à une belle éjaculation faciale de la part de Claudio, tandis qu’André m'a englué les muqueuses de son sperme. Je me suis relevée et des libertins se sont mis à me parler en me félicitant. La question qui les turlupinait était de savoir qui était mon mari, ayant vu André éjaculer en moi sans préservatif et que Bob mon époux s’était lui retiré en déposant sa semence dans le bas du dos. En plus pendant que je tirais mon coup avec André, ils l’avaient fricoter avec Annie. Couverte de sperme je suis allée rejoindre la mer pour me laver sous les applaudissements le long de la haie d’honneur qu’ils m’avaient faite.
« - Dis donc, tu as mis le paquet aujourd’hui, par deux fois tu étais la naïade de la plage en faisant le spectacle aujourd’hui. » Me dit ma copine.
« - C’est pour vous que j’ai fais cela pour que nous soyons remarqués et être invités dans les soirées coquines, vous devriez me remercier et puis je n’ai fais qu’en public ce que nous faisons tout ensemble le soir au lit. »
Avant que Claudio ne reparte rejoindre son ami, nous lui proposons un plan cul dans notre location. Claudio est partant mais nous dit qu’il va en parler à son copain, nous échangeons nos numéros de téléphone pour le contacter.
Le soleil commençait à baisser et la plage se vidait progressivement de ce petit monde de libertins. Nous décidons également de rejoindre notre appartement. En passant près des deux italiens, mon mari s’arrêta devant eux pour leur demander s’ils étaient d’accord pour venir passer une soirée chez nous dans la semaine.
« - C’est que cela va être difficile demain c’est notre dernière journée au cap. » Nous dit le copain de Claudio dans un français hésitant.
« - C’est bien dommage car vous êtes les types d’hommes qu’aiment nos femmes. Elles sont tout de suite tombée sous votre charme en vous voyant et en plus votre accent italien les ont fait craquer. »
« - Nous sommes désolés Mesdames de vous décevoir et croyez nous sommes également attristés de ne pas vous satisfaire de ne pas pouvoir vous contenter surtout en présence d’aussi jolies femmes. ( Ha, ces Italiens, toujours aussi charmeurs. Ils savent parler aux femmes) Mais cela ne nous empêche pas de faire connaissance asseyez-vous donc à côté de nous pour parler un peu, il y a de la place sur nos serviettes de bain. »
Nos deux Italiens se sont reculé pour nous laisser la place de nous asseoir à leur côté, tandis que nos maris ont installé leur serviette à proximité de nous.
Nous avons parlé de choses et d’autres mais surtout de l’Italie. Nous leur expliquons que nous ne connaissons que Venise. Ils nous disent qu’il faut à tout prix aller à Florence que c’est une très jolie ville et qu’ils peuvent nous servir de guide car ils n'habitent pas très loin de là et qu’ils peuvent nous recevoir. Nous avons appris également que le second larron (celui qui parle un peu le Français) se prénommait Gianni. Une heure était passée et nous pouvons admirer le coucher de soleil sur la Méditerranée.
Pendant que nous parlions Claudio s’était rapproché de moi pour me caresser les cuisses et m’embrasser dans le cou.
Bob l’avait vu faire. Discrètement Claudio remonta sa main et la glissa entre mes cuisses. Je lui ai ouvert le passage et tout en discutant avec son collègue il pénétrait mon intimité avec son doigt. Je pense qu’il a dit en italien que nous n’étions pas qu’ouverte à la discussion car j’ai vu Gianni prendre Annie par le cou et l’embrasser sous l’œil stupéfié d’André qui n’a rien dit. Ils sont allés plus vite que nous, collés dans un long baiser, il bascula Annie sur la serviette de bain en lui caressait ses jolis nénés.
Je vois sur le visage de mon chéri candauliste que la situation lui plaisait. La nuit commençait à tomber. Faire l’amour nu sur la plage avec un jeune et bel italien était une occasion stimulante et excitante pour moi. Claudio me fit écarquiller les cuisses généreusement. Sa main posée sur mon mont de vénus me taquina mon bouton rose en m’embrassant. Je pris son sexe pour le branler. Je mouillais et il bandait.
Comme tous les Italiens ils parlaient beaucoup avec ses mains ! Je ne sais pas si ma copine comprenait tout ce qu’il lui confiait, mais ses mains en disaient long sur son intention. Je peux vous dire que nos corps nus ont été pelotés, cajolés et attouchés. Claudio fouilla dans son sac pour sortir deux préservatifs et en lança un à son ami qu’ils déroulèrent sur leur sexe en érection
Devant André qui regardait sa belle emportée par la suprématie de son bel italien. Sous son emprise elle s’abandonna à lui en lui ouvrant sa fleur aux pétales débordants. Il n’avait plus qu’a la cueillir en montant sur elle et incrusta sa tige dans sa corolle. Annie se donnait corps et âme à son jeune Italien. Ils roulèrent ensemble sur le sable encore tiède, tantôt dessus, tantôt dessous. André voyant sa femme prendre du plaisir se colla derrière elle. Elle tourna la tête pour l’embrasser, la façon peut-être pour elle de le remercier, d’accepter de la laisser prendre du plaisir avec ce jeune homme. Sa main attrapa le sexe de son mari et le présenta au bord de son anus. Prise en sandwich par ses deux hommes, elle subissait une double pénétration. Les râles de plaisir qui s’échappaient de sa gorge auraient ameuté un troupeau de voyeurs autour d’elle, mais la plage était maintenant pratiquement déserte à cette heure. Elle avait le souffle de plus en plus court et l’on sentait bien qu’elle n’soit plus très loin de l’orgasme.
De mon côté Claudio s’était glissé sous moi, j’avais la tête posée dans le creux de son épaule, ses mains me pelotaient les deux seins en me triturant les petits bouts qui avaient enflé entre ses doigts (comme vous pouvez les voir sur mon avatar.) Son sexe me labourait la chatte, les cuisses grandement écartées laissaient largement la place à mon chéri pour butiner le petit bouton. Il n’en resta pas là, sa langue fouillait maintenant les pétales de ma fleur et s’abreuvait du nectar qui s’en échappait sans se soucier l’occupation de mon vagin par Claudio.
Annie en avait fini avec André et Gianni, chacun d’eux avait éjaculé en elle. Elle était en train d’essuyer son intimité avec la serviette de bain. Claudio venait aussi de m’envoyer son engrais dans mon jardin secret qui n’avait d’ailleurs plus rien de secret pour un bon nombre de libertins et de voyeurs qui m’avaient vu m’exhiber sur la plage aujourd’hui.
Nous sommes rentrés tous les six au village naturiste en longeant la mer. Claudio et Gianni nous ont invité à prendre un dernier verre à la terrasse d’un café pour nous remercier. Il était très tard, la nuit était tombée et les noctambules étaient de sortie. Il était temps pour nous de rentrer car nous étions encore tout nus.
Quelques personnes qui avaient participées au spectacle nous félicitaient en passant en nous balançant de gentilles paroles.
« - Vous étiez formidables. » « - Superbe vos prestations sur la plage. » Ou encore «- Vous êtes de fort jolies coquines. » Un autre couple plus discret a levé le pouce en l'air en passant pour nous féliciter. Nous avons eu également une invitation à rejoindre un couple âgé chez eux pour terminer la soirée. Mais nous avons décliné l’invitation prétextant être fatigués.
« - Je ne pensais pas que je serais capable de m'offrir ainsi en spectacle devant tant de personnes. Mais je vois que cela à porté ses fruits, nous sommes maintenant reconnus pour entrer dans ce monde libertin. »
« - En tous cas je tiens à vous remercier et à vous féliciter, vous avez été merveilleuses toutes les deux, je suis fier de vous et vous nous avez drôlement excités. » Nous dit Bob.
Nous avons pris congé de Claudio et de Gianni en les embrassant. Ils nos ont remercier pour la soirée que nous avons passé ensemble en réitérant leur invitation pour les rejoindre en Italie.
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