Un plaisir partagé est un plaisir double (26)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (26)
Un plaisir partagé est un plaisir double ( 26)
Nous sommes le 12/6, premier jour de nos vacances nous sommes partis très tôt pour nous rendre en voiture au village naturiste de Agde avec nos amis intimes André et Annie. Après une longue route nous arrivons enfin devant l’entrée du centre. Nous voilà enfin arrivés au paradis du naturisme mais aussi celui des couples libertins qui s'affichent, se montrent et jouissent d'une vie sexuelle complètement débridée aux yeux de tous pour leur plus grand plaisir, et c'est pour cela que nous aimons y revenir chaque année pour se ressourcer et connaître des personnes avec qui partager notre désir de sexe.
C'est la première année que nous venons avec des amis, dans ce lieu unique en son genre avec l'empressement de se mettre nus pour goûter au plaisir du naturisme que nous pratiquons également ailleurs mais ici c'est très particulier comme vous allez pouvoir le constater. Après avoir réglé notre location notre droit d'entrée et celui de la voiture, nous nous dirigeons vers "héliovillage" où se trouve notre location. L'hôtesse d'accueil nous y accompagne.
Nos maris avaient chacun leur valise plus chargées que la nôtre, comme ils doivent être dans une tenue correcte pour nous accompagner le soir pour nous rendre en boite, aller au restaurant ou encore pour nous amener dans les soirées coquines dans lesquels nous serons invités. Chose qui n’est pas habituelle chez les femmes, nous n’avons qu’une seule valise pour nous deux. Pas de vêtements puisque nous vivons nus toute la journée et nos robes de sortie si légères avec si peu de tissu ne prennes pas beaucoup de place. Comme nous faisons toutes les deux du 38, ce qui appartient à l’une est aussi à l’autre. Bien qu’Annie à les seins beaucoup plus gros que moi il n’y a pas le problème du soutien gorge ici car ils sont proscrits. Nous allons nous promener pendant tout notre séjour les totottes à l’air.
Après avoir déchargé la voiture, et pris possession de l’appartement, nous nous sommes mis dans la tenue à la mode ici en se déshabillant et j’ai proposé de faire le tour du village pour leur en faire la visite. Nous trouvons tout sur place des magasins d’alimentation, des traiteurs, boulangeries, restaurants et bars. De très nombreuses boutiques, de vêtements pour tous les styles et toutes les personnalités, de la coquine à la plus dévergondée, en passant par les tenues SM, les chaussures, bijoux et autres accessoires, sont ouvertes tous les jours mais aussi des endroits pour s’amuser le soir.
Comme il n’était encore que seize heure André à voulu voir cette fameuse « baie des cochons » que je leur avait si souvent parlé. En nous y rendant et en longeant la mer, je leur ai expliqué que la plage était divisée en trois parties.
- la partie familiale, avec présence d’enfants, qui va de l’estuaire du port à l’entrée du camping,- la partie libertine, qui part de la buvette- et juste après, la partie gay
Pour le premier jour, nous avons étendu nos serviettes un peu à l’écart des groupes déjà formés. Nous croisons beaucoup de naturistes qui marchent le long de l’eau.
« - Quel est votre première impression devant ce défilé de gens nus ? »
« - Il y en a vraiment pour tous les goût des grandes, des petites, des grosses, nous sommes dans la chanson de Pierre Perret « le zizi » Ici nous pouvons comparer et faire notre choix avant de passer à l’acte. Par contre je me sens à l’aise personne ne te détaille comme une bête curieuse, alors que dans la vie courante si l’on porte une jupe un peu courte tout le monde se retourne sur toi» Me dit Annie.
« - Et toi André qu’est-ce que tu en penses ? C’est bien différents des plages naturistes où nous avons été ensemble. »
« - Ce qui m’étonne, c’est que je ne vois pas un seul homme en érection devant toutes ces jolis sexe qui se ballade en toute impudence, en toute indécence. J’avais un peu peur en arrivant ici d’être en érection, ce qui aurait pu être gênant. »
« - Ne t’inquiètes pas, il t’arriveras aussi d’être raide sur la plage, mais tu ne seras pas le seul. J’avoue qu’avec ces innombrables femmes dévêtues autour de toi, toutes plus désirables les unes que les autres, tu auras du mal à rester « zen ». »
Nous étions arrivés et nos avons posés nos serviettes dans la zone « des mateurs ». En profitant des rayons du soleil. Il n’a pas fallut bien longtemps pour que des hommes seuls installent leurs serviettes autour de nous et commencent à se masturber plus ou moins discrètement en regardant l’entrecuisses d’Annie qui se prélassait sur le ventre.
Un type juste devant elle se masturbait. Elle semblait détendue et regardait ce sexe qui enflait pour elle. Très vite, nous nous sommes retrouvés littéralement encerclés par ces mecs seuls: des jeunes, des vieux, des gros, des minces, ici nous étions au village naturiste et tous les standards de l’esthétique valables ailleurs semblaient oubliés, ou plutôt dépassés. À chaque fois qu’Annie bougeait son corps, les mouvements de va-et-vient des mains de ses « admirateurs » s’accéléraient. Elle le savait et en jouait même. Elle écarta ses cuisses, et les voyeurs de derrière pouvaient admirer sa chatte épilée et ouverte. Quand elle s’est retournée pour s’étendre sur le dos, ses pointes de sein ressemblaient à de gros grains de café, mis en valeur par la couleur foncée de ses mamelons. Elle a relevé les jambes montrant son petit bouton rose qui gonflait d’envie. Ses lèvres ouvertes le laissait pointer comme une fleur en pleine éclosion. André bandait aussi de voir sa femme s’offrir comme cela devant tous ces mecs qui auraient eu bien envie d’elle.
Je regardais faire ma copine, puis tout comme elle j’ai ouvert mes cuisses à mon tour sur mes parties intimes que l'on montre ici sans pudeur. Un voyeur est venu s’installer aux premières loges en se tripotant. J’ai décidé de me caresser le petit bouton et de lui offrir l’éclosion de mon bourgeon. Une connivence entre mon voyeur et moi s’était installé, il me montrait qu’il bandait pour moi et je lui offrait ma boite à bijoux en lui montrant ma petite perle de chair. Bob qui n'est jamais le dernier pour m’exhiber, posa sa main sur mon sexe en me caressant et en me chatouillant devant lui. Mon « singe » c'est comme cela que l'on appelle ici les hommes seuls qui vont de couple en couple pour se masturber et montrer leur service trois pièces aux couples dans l'espoir d'être invité à une de leurs soirées. Une complicité entre nous trois s'installa rapidement.
Bob m’enfonça « son chatouilleur » profondément dans ma fente, me sachant regardé, ma chatte s’était inondée de mouille . La plage commençait à se remplir autour de nous et mon « singe » s'excitait tout seul en me matant. Bob retira son doigt et se pencha sur mon mont de vénus pour m'embrasser mon petit bouton rose en le titillant avec sa langue experte.
Je me suis tournée vers mon chéri en lui offrant mes fesses pour qu'il me prenne dans ses bras. Mon voyeur était assez joli garçon d'environ une trentaine d’années, voyant que je le regardais avec insistance, il offrit à mes yeux sa trique en se la tripotant et en sortant son gland turgescent de la peau qui la recouvrait encore en partie. J'avais remarqué qu'il portait une alliance au doigt, j'en ai conclus qu'il devait être en couple et devait profiter de l'absence de sa compagne pour venir prendre un moment de plaisir en venant mater les dérives sexuelles qu'offrent les couples sur la baie des cochons. Voyant que je le regardais il passa sa langue entre ses lèvres voulant me montrer qu'il avait très envie de moi. Je ne fus pas la seule à voir ses mimiques de désir, Bob l'avais également observé et perçu. Il lui adressa la parole en lui disant qu'il pouvait s'installer à côté de moi.
André avait pris sa femme dans ses bras et l’embrassait, il y avait du monde autour d’elle. Le cercle se rétrécit de plus en plus autour du couple, les branleurs jouent des coudes pour se rapprocher et se masturbent de concert. Il faut dire que ma copine a tous les atouts nécessaires pour exciter les hommes. Une poitrine plantureuse avec de jolies aréoles brunes surmontée d’exquis mamelons, des fesses de rêve et je ne vous parle pas de son sexe avec ses petites lèvres qui sortent comme des pétales qui s’épanouissent de chaque côté de sa fleur dévoilant en son centre un joli pistil rose. Certains tendent leur sexe vers Annie, comme s’ils espéraient qu’elle les prennent en bouche. Ce ne sera pas pour cette fois. Ils s’arrêtent et s’enlacent, tandis qu’autour d’eux résonnent des applaudissement.
L’homme déplaça sa serviette et s’est assis tout contre moi. Pendant que mon chéri continuait à me caresser la pâquerette, il m'embrassa en me caressant les seins. Bob dont le candaulisme est le péché mignon me regardait prendre du plaisir avec cet inconnu. Prise en sandwich entre ces deux hommes, je me suis penchée sur son sexe pour m'enfourner la tête de son noeud dans la bouche. J'avais l'impression qu'il grandissait au fur et à mesure que je le caressais avec mes lèvres et ma langue. Ses mains me tripotaient le corps s'attardant le plus souvent sur mes seins et mon entre cuisse en collant ses lèvres aux miennes.
Voyant que je prenais du plaisir dans les bras de mon amant d'un instant, Bob lui offrit de venir passer la soirée du lendemain chez nous, en lui expliquant que nous étions fatigués du voyage et que ce soir ce ne serait pas possible. Mon mateur déclina l'invitation sous prétexte qu'il n'était pas libre. Je crois avoir vu juste en pensant qu'il était marié. Nous aurons certainement l'occasion pendant ces quinze jours de le rencontrer faisant ses courses avec son épouse ou ses enfants. Il nous quitta en nous remerciant. Il se faisait déjà tard et l'effervescence des couples exhibitionnistes et partouzeurs commençait à monter cherchant pour finir leur soirée avec des hommes ou d'autres couples pour leur donner rendez-vous. Nous avons décidé avec Annie et André de rentrer pour se doucher, manger et se mettre au lit. Que demain sera un autre jour et que nous serons en mesure de mieux apprécier ces festivités.
Contents de cette excellente fin d’après midi que nous avons passé et qui nous avait déjà laissé de bons souvenirs. Moi qui me suis faite caresser par cet homme et Bob de me voir dans les bras de cet inconnu. Comme chacun sait: Le sexe c'est d'abord dans la tête que cela se passe et cela nous avait excité tous les deux. . Je pense que nous ne sommes pas les seuls à avoir profité de cette situation et que mon "singe" devait satisfaire également sa coquine. Annie et André ont également passé un bon moment pour leur première journée au cap.
Notre appartement était conçu pour des couples libertins en effet aucune porte ne séparait les pièces, les chambres, la salle de bain et la douche étaient ouvertes à tout le monde. Notre intimité était mise à la disposition de nous quatre et réservée pour personne. Après avoir pris notre douche, nous avons mangé nus sur la terrasse profitant des derniers rayons de soleil en parlant de ce que nous venons de vivre sur la plage. Cela avait déjà beaucoup excité nos hommes. Bob et Annie s’embrassèrent goulûment ce qui fit dire à André :
« - Ce serait dommage d’en rester là pour ce soir, il serait peut-être temps que nous nous occupions de nos femmes si l’on ne veut pas qu’elles nous remplacent avec d’autres hommes, surtout qu’elles ont l’embarras du choix. »
« - Mais vous aussi mes chéris avec toutes ces chattes en liberté. Alors mettons nous au lit, je pense que nous sommes tous chauds comme de la braise. »
Nous n’avons qu’une très grande chambre, avec de grands lits que nous avons rapproché pour être tous les quatre ensemble. Nous nous sommes touchés et caressés en couple. Bob s’est jeté sur Annie en lui tétant les seins, il aime ses gros nénés. Elle gémissait sous ses caresses.
André pendant ce temps s’intéressait à ma petite rondelle brune, voyant sa femme prendre du plaisir avec mon mari. Il me demande de m’installer à genoux sur le lit, les fesses en l’air, la tête en bas. D’une main, il m’appuie sur mon dos pour me cambrer. La position est indécente. En effet, À quatre pattes ! Croupe offerte ! Dans cette position, mon cul est une belle offrande. Rien qu’à le regarder, il bande sacrement. Ma pastille est quant à elle bien ouverte et prête à s’offrir. Il me donne une fessée jusqu’à ce que mes fesses rougissent.
Il ne lui reste plus qu’à lubrifier et détendre mon petit trou. Il me tartine de gel, mon anus tente de se défendre à chaque pénétration de son doigt. Pourtant il devra bien céder au passage d’une queue bien déterminée à lui en faire voir de toutes les couleurs. Il enfonce maintenant plusieurs doigts. Le trou se détend progressivement. Je commence à ressentir les effets de ce curieux massage. Je n’ai pas mal, bien au contraire, ça devient bon. Je commence même à soupirer.
Mon mari avait fait prendre la même position à ma copine, nous étions côte à côte toutes les deux, le cul en buse, la tête dans les draps, offrant notre postérieur de manière impudique et inconvenante, à la seule différence qu’Annie se faisait déjà ramoner son conduit. Elle fermait les yeux prenant déjà son plaisir.
André s’était saisit de sa queue, la tenant fermement, il présente le gland sur mon fion. Mais la pénétration à l’air plus difficile que cela puisse paraître. Il me dit :
« - Cambres-toi ! et écartes tes fesses ! »
Je m’exécute. C’est alors que le gland amorce une lente pénétration, centimètre par centimètre. La rondelle n’a pas d’autre choix que de céder. Ouf ! La queue est enfin maintenant arrivée au fond de mon oignon. Alors, mon maître queux amorce un lent va-et-vient. Je m’ouvre de plus en plus a ses appels.
Sa queue coulisse de plus en plus vite. Je m’ouvre à la jouissance. André reprend l’option d’une fessée supplémentaire. Pendant qu’il claque vigoureusement sur mes belles fesses rebondies, le gland fait son chemin. Sa queue s’enfonce inexorablement. L’action conjuguée de la douleur des claques et du gros calibre qui progresse au fond de mon anus commence à faire son effet. Le cul finit par céder totalement. Maintenant, la queue peut agir librement. Sa queue se met à me pilonner sérieusement. Je passe des soupirs aux cris. Je le ressens au plus profond de moi-même, une jouissance explosive arrive. Annie et Bob qui avaient terminé de baiser sont allés se laver et sont venus nous retrouver.
Elle s’empare de la queue de mon chéri et me la fourre dans la bouche. Pendant qu’à l’arrière je me fais défoncer l’oignon, à l’avant mon homme me fourre sa bite au fond du gosier. Quant à André à l’arrière, il ne manque pas de redoubler d’ardeur en me défonçant vaillamment l’arrière-train. C’est si bon ! Les deux gaillards me liment sérieusement. À ce rythme-là, ils ne vont pas tarder à décharger. Ils se retirent. Chacun d’eux choisit une bouche accueillante pour décharger leur foutre. Annie a elle aussi sa part de gâteau. Nous nous retrouvons ainsi à genoux, bouche ouverte prêtes à recueillir leur foutre. Ils astiquent vigoureusement leur chibre. Dans un spasme, Ils aspergent nos gorge de foutre et nous avalons tout leur sperme chaud.
Après quelques minutes de répit, nous ne sommes pas rassasiés. Nous remettons le couvert.
Annie est venue s’empaler sur mon mari, les fesses ainsi tournées vers moi. Quelle vue, je vous ai déjà dit qu’elle était belle ? Son cul, aussi, est l’une des plus belles choses qu’il m’ait été donné de contempler. Coulissant sur son sexe, son cul me nargue, l’œillet marron de son anus semble attendre son mari pour une double pénétration.
À mon grand étonnement, André ne les rejoint pas et reste en moi tout en observant sa femme en action à nos côtés. Elle gémit intensément maintenant. Bob semble vouloir la rejoindre et accélère à nouveau le rythme de ses pénétrations, en parfaite synchronisation avec les mouvements verticaux d’Annie. Ils sont tous deux balayés par la jouissance. Pour la seconde fois, il éjacule en elle, elle râle de plaisir, puis s’effondre sur le torse de mon chéri. Je ne sais pas ce qui nous a tous excité de la sorte, mais nous étions tous chauds bouillants. Les mecs qui se masturbaient devant nous, avaient bien attisé notre libido et celle de nos hommes en nous voyant nous mettre à table devant eux en leur révélant nos chairs intimes. En tout cas notre séjour au cap commençait bien.
André stoppe son agitation et s’extrait de mon vagin. Il me regarde, il ne fait rien, je lui fais signe de venir, moi aussi j’ai encore envie, moi aussi j’ai envie de jouir comme ma copine.
Il avance. Mes cuisses s’ouvrent encore plus sous la pression de ses hanches. Son sexe est là. Il entre. Cambré, il me laisse la vision de sa queue qui disparaît en moi. Je vois, comme au ralenti, son ventre venir au contact du mien. Il est tout en moi. Je le sens palpiter, un instant, son bâton brûlant ne bouge plus.Tout doucement mon amant me possède. On dirait qu’il déguste chaque instant, avançant, reculant, laissant ma fente entrouverte pour l’accueillir à nouveau.
C’est bon, si bon, dit cet homme qui me baise lentement, les yeux fermés, ne les ouvrant que pour me donner un baiser, juste un effleurement sur mes lèvres humides. Moi aussi, lentement je sens monter mon plaisir. Il doit le sentir à mes soupirs et au fait que je me tortille pour encore mieux le sentir. Alors, et alors seulement, son regard rivé au mien, il accélère. Qu’il me baise, me bourre, m’utilise comme une pute. Mais un reste de lucidité me retient. Je mords mes lèvres au sang afin de ne rien révéler à mon chéri qui est à quelques pas. C’est bon. Si bon. Il coulisse en moi. Je suis humide. Je suis chaude. Réceptive. Abandonnée. Et puis, je sens la chaleur monter encore. Je transpire. Je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte.
À son tour mon amant jouit, il crache sa semence en moi, au fond, tout au fond de ma grotte. Chaque giclée est accompagnée par une poussée. C’est bon. Je suis épuisée, je m’étale de tout mon long sur le lit, impudique, débauchée, dépravée, dans une position obscène, les cuisses grandes ouvertes, laissant couler le sperme qui s’écoule de mon cratère sur les draps, comme la lave qui sort de la bouche du volcan en feu.
Nous sommes le 12/6, premier jour de nos vacances nous sommes partis très tôt pour nous rendre en voiture au village naturiste de Agde avec nos amis intimes André et Annie. Après une longue route nous arrivons enfin devant l’entrée du centre. Nous voilà enfin arrivés au paradis du naturisme mais aussi celui des couples libertins qui s'affichent, se montrent et jouissent d'une vie sexuelle complètement débridée aux yeux de tous pour leur plus grand plaisir, et c'est pour cela que nous aimons y revenir chaque année pour se ressourcer et connaître des personnes avec qui partager notre désir de sexe.
C'est la première année que nous venons avec des amis, dans ce lieu unique en son genre avec l'empressement de se mettre nus pour goûter au plaisir du naturisme que nous pratiquons également ailleurs mais ici c'est très particulier comme vous allez pouvoir le constater. Après avoir réglé notre location notre droit d'entrée et celui de la voiture, nous nous dirigeons vers "héliovillage" où se trouve notre location. L'hôtesse d'accueil nous y accompagne.
Nos maris avaient chacun leur valise plus chargées que la nôtre, comme ils doivent être dans une tenue correcte pour nous accompagner le soir pour nous rendre en boite, aller au restaurant ou encore pour nous amener dans les soirées coquines dans lesquels nous serons invités. Chose qui n’est pas habituelle chez les femmes, nous n’avons qu’une seule valise pour nous deux. Pas de vêtements puisque nous vivons nus toute la journée et nos robes de sortie si légères avec si peu de tissu ne prennes pas beaucoup de place. Comme nous faisons toutes les deux du 38, ce qui appartient à l’une est aussi à l’autre. Bien qu’Annie à les seins beaucoup plus gros que moi il n’y a pas le problème du soutien gorge ici car ils sont proscrits. Nous allons nous promener pendant tout notre séjour les totottes à l’air.
Après avoir déchargé la voiture, et pris possession de l’appartement, nous nous sommes mis dans la tenue à la mode ici en se déshabillant et j’ai proposé de faire le tour du village pour leur en faire la visite. Nous trouvons tout sur place des magasins d’alimentation, des traiteurs, boulangeries, restaurants et bars. De très nombreuses boutiques, de vêtements pour tous les styles et toutes les personnalités, de la coquine à la plus dévergondée, en passant par les tenues SM, les chaussures, bijoux et autres accessoires, sont ouvertes tous les jours mais aussi des endroits pour s’amuser le soir.
Comme il n’était encore que seize heure André à voulu voir cette fameuse « baie des cochons » que je leur avait si souvent parlé. En nous y rendant et en longeant la mer, je leur ai expliqué que la plage était divisée en trois parties.
- la partie familiale, avec présence d’enfants, qui va de l’estuaire du port à l’entrée du camping,- la partie libertine, qui part de la buvette- et juste après, la partie gay
Pour le premier jour, nous avons étendu nos serviettes un peu à l’écart des groupes déjà formés. Nous croisons beaucoup de naturistes qui marchent le long de l’eau.
« - Quel est votre première impression devant ce défilé de gens nus ? »
« - Il y en a vraiment pour tous les goût des grandes, des petites, des grosses, nous sommes dans la chanson de Pierre Perret « le zizi » Ici nous pouvons comparer et faire notre choix avant de passer à l’acte. Par contre je me sens à l’aise personne ne te détaille comme une bête curieuse, alors que dans la vie courante si l’on porte une jupe un peu courte tout le monde se retourne sur toi» Me dit Annie.
« - Et toi André qu’est-ce que tu en penses ? C’est bien différents des plages naturistes où nous avons été ensemble. »
« - Ce qui m’étonne, c’est que je ne vois pas un seul homme en érection devant toutes ces jolis sexe qui se ballade en toute impudence, en toute indécence. J’avais un peu peur en arrivant ici d’être en érection, ce qui aurait pu être gênant. »
« - Ne t’inquiètes pas, il t’arriveras aussi d’être raide sur la plage, mais tu ne seras pas le seul. J’avoue qu’avec ces innombrables femmes dévêtues autour de toi, toutes plus désirables les unes que les autres, tu auras du mal à rester « zen ». »
Nous étions arrivés et nos avons posés nos serviettes dans la zone « des mateurs ». En profitant des rayons du soleil. Il n’a pas fallut bien longtemps pour que des hommes seuls installent leurs serviettes autour de nous et commencent à se masturber plus ou moins discrètement en regardant l’entrecuisses d’Annie qui se prélassait sur le ventre.
Un type juste devant elle se masturbait. Elle semblait détendue et regardait ce sexe qui enflait pour elle. Très vite, nous nous sommes retrouvés littéralement encerclés par ces mecs seuls: des jeunes, des vieux, des gros, des minces, ici nous étions au village naturiste et tous les standards de l’esthétique valables ailleurs semblaient oubliés, ou plutôt dépassés. À chaque fois qu’Annie bougeait son corps, les mouvements de va-et-vient des mains de ses « admirateurs » s’accéléraient. Elle le savait et en jouait même. Elle écarta ses cuisses, et les voyeurs de derrière pouvaient admirer sa chatte épilée et ouverte. Quand elle s’est retournée pour s’étendre sur le dos, ses pointes de sein ressemblaient à de gros grains de café, mis en valeur par la couleur foncée de ses mamelons. Elle a relevé les jambes montrant son petit bouton rose qui gonflait d’envie. Ses lèvres ouvertes le laissait pointer comme une fleur en pleine éclosion. André bandait aussi de voir sa femme s’offrir comme cela devant tous ces mecs qui auraient eu bien envie d’elle.
Je regardais faire ma copine, puis tout comme elle j’ai ouvert mes cuisses à mon tour sur mes parties intimes que l'on montre ici sans pudeur. Un voyeur est venu s’installer aux premières loges en se tripotant. J’ai décidé de me caresser le petit bouton et de lui offrir l’éclosion de mon bourgeon. Une connivence entre mon voyeur et moi s’était installé, il me montrait qu’il bandait pour moi et je lui offrait ma boite à bijoux en lui montrant ma petite perle de chair. Bob qui n'est jamais le dernier pour m’exhiber, posa sa main sur mon sexe en me caressant et en me chatouillant devant lui. Mon « singe » c'est comme cela que l'on appelle ici les hommes seuls qui vont de couple en couple pour se masturber et montrer leur service trois pièces aux couples dans l'espoir d'être invité à une de leurs soirées. Une complicité entre nous trois s'installa rapidement.
Bob m’enfonça « son chatouilleur » profondément dans ma fente, me sachant regardé, ma chatte s’était inondée de mouille . La plage commençait à se remplir autour de nous et mon « singe » s'excitait tout seul en me matant. Bob retira son doigt et se pencha sur mon mont de vénus pour m'embrasser mon petit bouton rose en le titillant avec sa langue experte.
Je me suis tournée vers mon chéri en lui offrant mes fesses pour qu'il me prenne dans ses bras. Mon voyeur était assez joli garçon d'environ une trentaine d’années, voyant que je le regardais avec insistance, il offrit à mes yeux sa trique en se la tripotant et en sortant son gland turgescent de la peau qui la recouvrait encore en partie. J'avais remarqué qu'il portait une alliance au doigt, j'en ai conclus qu'il devait être en couple et devait profiter de l'absence de sa compagne pour venir prendre un moment de plaisir en venant mater les dérives sexuelles qu'offrent les couples sur la baie des cochons. Voyant que je le regardais il passa sa langue entre ses lèvres voulant me montrer qu'il avait très envie de moi. Je ne fus pas la seule à voir ses mimiques de désir, Bob l'avais également observé et perçu. Il lui adressa la parole en lui disant qu'il pouvait s'installer à côté de moi.
André avait pris sa femme dans ses bras et l’embrassait, il y avait du monde autour d’elle. Le cercle se rétrécit de plus en plus autour du couple, les branleurs jouent des coudes pour se rapprocher et se masturbent de concert. Il faut dire que ma copine a tous les atouts nécessaires pour exciter les hommes. Une poitrine plantureuse avec de jolies aréoles brunes surmontée d’exquis mamelons, des fesses de rêve et je ne vous parle pas de son sexe avec ses petites lèvres qui sortent comme des pétales qui s’épanouissent de chaque côté de sa fleur dévoilant en son centre un joli pistil rose. Certains tendent leur sexe vers Annie, comme s’ils espéraient qu’elle les prennent en bouche. Ce ne sera pas pour cette fois. Ils s’arrêtent et s’enlacent, tandis qu’autour d’eux résonnent des applaudissement.
L’homme déplaça sa serviette et s’est assis tout contre moi. Pendant que mon chéri continuait à me caresser la pâquerette, il m'embrassa en me caressant les seins. Bob dont le candaulisme est le péché mignon me regardait prendre du plaisir avec cet inconnu. Prise en sandwich entre ces deux hommes, je me suis penchée sur son sexe pour m'enfourner la tête de son noeud dans la bouche. J'avais l'impression qu'il grandissait au fur et à mesure que je le caressais avec mes lèvres et ma langue. Ses mains me tripotaient le corps s'attardant le plus souvent sur mes seins et mon entre cuisse en collant ses lèvres aux miennes.
Voyant que je prenais du plaisir dans les bras de mon amant d'un instant, Bob lui offrit de venir passer la soirée du lendemain chez nous, en lui expliquant que nous étions fatigués du voyage et que ce soir ce ne serait pas possible. Mon mateur déclina l'invitation sous prétexte qu'il n'était pas libre. Je crois avoir vu juste en pensant qu'il était marié. Nous aurons certainement l'occasion pendant ces quinze jours de le rencontrer faisant ses courses avec son épouse ou ses enfants. Il nous quitta en nous remerciant. Il se faisait déjà tard et l'effervescence des couples exhibitionnistes et partouzeurs commençait à monter cherchant pour finir leur soirée avec des hommes ou d'autres couples pour leur donner rendez-vous. Nous avons décidé avec Annie et André de rentrer pour se doucher, manger et se mettre au lit. Que demain sera un autre jour et que nous serons en mesure de mieux apprécier ces festivités.
Contents de cette excellente fin d’après midi que nous avons passé et qui nous avait déjà laissé de bons souvenirs. Moi qui me suis faite caresser par cet homme et Bob de me voir dans les bras de cet inconnu. Comme chacun sait: Le sexe c'est d'abord dans la tête que cela se passe et cela nous avait excité tous les deux. . Je pense que nous ne sommes pas les seuls à avoir profité de cette situation et que mon "singe" devait satisfaire également sa coquine. Annie et André ont également passé un bon moment pour leur première journée au cap.
Notre appartement était conçu pour des couples libertins en effet aucune porte ne séparait les pièces, les chambres, la salle de bain et la douche étaient ouvertes à tout le monde. Notre intimité était mise à la disposition de nous quatre et réservée pour personne. Après avoir pris notre douche, nous avons mangé nus sur la terrasse profitant des derniers rayons de soleil en parlant de ce que nous venons de vivre sur la plage. Cela avait déjà beaucoup excité nos hommes. Bob et Annie s’embrassèrent goulûment ce qui fit dire à André :
« - Ce serait dommage d’en rester là pour ce soir, il serait peut-être temps que nous nous occupions de nos femmes si l’on ne veut pas qu’elles nous remplacent avec d’autres hommes, surtout qu’elles ont l’embarras du choix. »
« - Mais vous aussi mes chéris avec toutes ces chattes en liberté. Alors mettons nous au lit, je pense que nous sommes tous chauds comme de la braise. »
Nous n’avons qu’une très grande chambre, avec de grands lits que nous avons rapproché pour être tous les quatre ensemble. Nous nous sommes touchés et caressés en couple. Bob s’est jeté sur Annie en lui tétant les seins, il aime ses gros nénés. Elle gémissait sous ses caresses.
André pendant ce temps s’intéressait à ma petite rondelle brune, voyant sa femme prendre du plaisir avec mon mari. Il me demande de m’installer à genoux sur le lit, les fesses en l’air, la tête en bas. D’une main, il m’appuie sur mon dos pour me cambrer. La position est indécente. En effet, À quatre pattes ! Croupe offerte ! Dans cette position, mon cul est une belle offrande. Rien qu’à le regarder, il bande sacrement. Ma pastille est quant à elle bien ouverte et prête à s’offrir. Il me donne une fessée jusqu’à ce que mes fesses rougissent.
Il ne lui reste plus qu’à lubrifier et détendre mon petit trou. Il me tartine de gel, mon anus tente de se défendre à chaque pénétration de son doigt. Pourtant il devra bien céder au passage d’une queue bien déterminée à lui en faire voir de toutes les couleurs. Il enfonce maintenant plusieurs doigts. Le trou se détend progressivement. Je commence à ressentir les effets de ce curieux massage. Je n’ai pas mal, bien au contraire, ça devient bon. Je commence même à soupirer.
Mon mari avait fait prendre la même position à ma copine, nous étions côte à côte toutes les deux, le cul en buse, la tête dans les draps, offrant notre postérieur de manière impudique et inconvenante, à la seule différence qu’Annie se faisait déjà ramoner son conduit. Elle fermait les yeux prenant déjà son plaisir.
André s’était saisit de sa queue, la tenant fermement, il présente le gland sur mon fion. Mais la pénétration à l’air plus difficile que cela puisse paraître. Il me dit :
« - Cambres-toi ! et écartes tes fesses ! »
Je m’exécute. C’est alors que le gland amorce une lente pénétration, centimètre par centimètre. La rondelle n’a pas d’autre choix que de céder. Ouf ! La queue est enfin maintenant arrivée au fond de mon oignon. Alors, mon maître queux amorce un lent va-et-vient. Je m’ouvre de plus en plus a ses appels.
Sa queue coulisse de plus en plus vite. Je m’ouvre à la jouissance. André reprend l’option d’une fessée supplémentaire. Pendant qu’il claque vigoureusement sur mes belles fesses rebondies, le gland fait son chemin. Sa queue s’enfonce inexorablement. L’action conjuguée de la douleur des claques et du gros calibre qui progresse au fond de mon anus commence à faire son effet. Le cul finit par céder totalement. Maintenant, la queue peut agir librement. Sa queue se met à me pilonner sérieusement. Je passe des soupirs aux cris. Je le ressens au plus profond de moi-même, une jouissance explosive arrive. Annie et Bob qui avaient terminé de baiser sont allés se laver et sont venus nous retrouver.
Elle s’empare de la queue de mon chéri et me la fourre dans la bouche. Pendant qu’à l’arrière je me fais défoncer l’oignon, à l’avant mon homme me fourre sa bite au fond du gosier. Quant à André à l’arrière, il ne manque pas de redoubler d’ardeur en me défonçant vaillamment l’arrière-train. C’est si bon ! Les deux gaillards me liment sérieusement. À ce rythme-là, ils ne vont pas tarder à décharger. Ils se retirent. Chacun d’eux choisit une bouche accueillante pour décharger leur foutre. Annie a elle aussi sa part de gâteau. Nous nous retrouvons ainsi à genoux, bouche ouverte prêtes à recueillir leur foutre. Ils astiquent vigoureusement leur chibre. Dans un spasme, Ils aspergent nos gorge de foutre et nous avalons tout leur sperme chaud.
Après quelques minutes de répit, nous ne sommes pas rassasiés. Nous remettons le couvert.
Annie est venue s’empaler sur mon mari, les fesses ainsi tournées vers moi. Quelle vue, je vous ai déjà dit qu’elle était belle ? Son cul, aussi, est l’une des plus belles choses qu’il m’ait été donné de contempler. Coulissant sur son sexe, son cul me nargue, l’œillet marron de son anus semble attendre son mari pour une double pénétration.
À mon grand étonnement, André ne les rejoint pas et reste en moi tout en observant sa femme en action à nos côtés. Elle gémit intensément maintenant. Bob semble vouloir la rejoindre et accélère à nouveau le rythme de ses pénétrations, en parfaite synchronisation avec les mouvements verticaux d’Annie. Ils sont tous deux balayés par la jouissance. Pour la seconde fois, il éjacule en elle, elle râle de plaisir, puis s’effondre sur le torse de mon chéri. Je ne sais pas ce qui nous a tous excité de la sorte, mais nous étions tous chauds bouillants. Les mecs qui se masturbaient devant nous, avaient bien attisé notre libido et celle de nos hommes en nous voyant nous mettre à table devant eux en leur révélant nos chairs intimes. En tout cas notre séjour au cap commençait bien.
André stoppe son agitation et s’extrait de mon vagin. Il me regarde, il ne fait rien, je lui fais signe de venir, moi aussi j’ai encore envie, moi aussi j’ai envie de jouir comme ma copine.
Il avance. Mes cuisses s’ouvrent encore plus sous la pression de ses hanches. Son sexe est là. Il entre. Cambré, il me laisse la vision de sa queue qui disparaît en moi. Je vois, comme au ralenti, son ventre venir au contact du mien. Il est tout en moi. Je le sens palpiter, un instant, son bâton brûlant ne bouge plus.Tout doucement mon amant me possède. On dirait qu’il déguste chaque instant, avançant, reculant, laissant ma fente entrouverte pour l’accueillir à nouveau.
C’est bon, si bon, dit cet homme qui me baise lentement, les yeux fermés, ne les ouvrant que pour me donner un baiser, juste un effleurement sur mes lèvres humides. Moi aussi, lentement je sens monter mon plaisir. Il doit le sentir à mes soupirs et au fait que je me tortille pour encore mieux le sentir. Alors, et alors seulement, son regard rivé au mien, il accélère. Qu’il me baise, me bourre, m’utilise comme une pute. Mais un reste de lucidité me retient. Je mords mes lèvres au sang afin de ne rien révéler à mon chéri qui est à quelques pas. C’est bon. Si bon. Il coulisse en moi. Je suis humide. Je suis chaude. Réceptive. Abandonnée. Et puis, je sens la chaleur monter encore. Je transpire. Je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte.
À son tour mon amant jouit, il crache sa semence en moi, au fond, tout au fond de ma grotte. Chaque giclée est accompagnée par une poussée. C’est bon. Je suis épuisée, je m’étale de tout mon long sur le lit, impudique, débauchée, dépravée, dans une position obscène, les cuisses grandes ouvertes, laissant couler le sperme qui s’écoule de mon cratère sur les draps, comme la lave qui sort de la bouche du volcan en feu.
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