Un plaisir partagé est un plaisir double (33)

- Par l'auteur HDS Chantalbob -
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un plaisir partagé est un plaisir double (33) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (33)
Un plaisir partagé est un plaisir double (33)
Le réveil à été difficile mais comme Annie et André ne connaissent pas la région, ils ont décidé de se rendre ce matin en ville pour visiter. Annie a un chemisier blanc transparent doublé de deux poches sur les seins qui lui cachaient les tétons mais cela n’empêchait pas de voir ses tétons pointer et une jupe très courte en jean au raz de sa moule. Sans culotte ni soutien gorge.

« - Tu ne penses pas que ta jupe est un peu trop courte pour te promener en ville ? » Lui dis-je
« - Je n’ai rien d’autre à me mettre, toutes mes autres tenues sont encore plus sexy, les ayant prises pour aller en boite et dans le village naturiste. Je ne pensais pas que nous allions sortir du centre. »
« - Tu veux que je t’en prête une ? Celle que j’ai est un peu plus longue. »
« - Non, ce n’est pas cinq centimètres de plus qui va faire la différence. »
« - Alors, mets au moins une culotte.

« - Je n’ai que des strings ficelle cela ne changera rien. Ne t’inquiètes pas je ferais attention en me baissant et j’ai mon mari pour me protéger. C’est toi qui m’as habitué à ne plus mettre de culotte. Comme dit le dicton »un cul vu n’est pas perdu pour tout le monde ! »
« - Je pense que c’est un dicton signé Annie. »
« - Alors j’en ai un autre qui n’est pas de moi celui-là ? »
« Deux yeux qui voient un beau cul, ne valent pas un doigt qui le touche. » N’est-ce pas ma chérie ?

En l’embrassant pour lui dire de profiter de cette sortie en ville, j’ai passé ma main sous sa jupette pour lui faire comprendre que n’importe quelle main baladeuse pouvait lui caresser la chatte.

André portait lui aussi un short de sport moulant qui dessinait la forme de son cornichon et de ses accompagnants. J’ai pris en main son cucurbitacée en l’embrassant comme je venais de le faire avec sa femme. Il ne portait pas lui non plus de slip.

Après leur départ, nous avons pris le chemin de la plage mon mari et moi. Les seins nus, un léger pagne transparent autour des hanches, de la crème bronzante sur tout le corps et mes lunettes de soleil. Nous marchons main dans la main le long de l’eau comme des amoureux qui venaient de se retrouver.

« - Est-ce que tu penses que nos amis sont contents d’être venus en vacances avec nous dans ce lieu de débauche dans lequel nous les avons emmenés ? En as-tu parlé avec ta petite amie. » Me demande mon chéri.

« - Je n’en ai pas parlé avec elle, mais de la façon dont elle se comporte, je crois qu’elle est heureuse d’être enfin sortie de son train-train quotidien avec son mari. Elle est toujours prête pour expérimenter une nouvelle expérience. Elle m’a dit une fois : « Le cul est la chose au monde la mieux partagée et qui fait courir le monde. » Quant à André je lui en ai parlé lorsque j’ai marché avec lui, il avait compris que son épouse avait le droit de jouir en compagnie d’un autre homme. Il ne confondait plus plaisir et amour. Par contre j’ai été vraiment surprise de le voir progresser aussi rapidement. J’ai eu beaucoup plus de mal à m’adapter en te voyant dans les bras d’une autre femme que lui lorsque nous avons décidés de devenir libertins. Ce doit être plus facile pour un homme que pour une femme. »
« - Pourtant Annie n’a pas eu ce problème. »
« - Leur couple était un point de rupture, elle attendait autre chose depuis longtemps, cette liberté que nous lui avons offerte de découvrir de nouveaux plaisirs comme le cunnilingus à du lui rappeler ses bons souvenirs de jeunesse. Tu te rends compte qu’elle n’avait même pas un gode pour se faire jouir seule. »
Nous nous sommes allongé au soleil à l’écart des autres naturistes. Les noctambules avaient du mal à faire surface le matin, après les nuits de folies qu’ils passaient dans les boites de nuit où le sexe est roi.

La chaleur et la fatigue nous plongea dans une sieste pleine de merveilleux souvenirs. Lorsque j’ai ouvert de nouveau les paupières un très jeune homme brun avait étendu sa serviette tout près de nous.

« - Il aurait pu se mettre un peu plus loin. » Dis-je à mon compagnon. »
« - Oui, mais tu ne vas pas être pudibonde. C’est ton entrecuisse qui l’intéresse cela fait plusieurs fois que je le surprends à te mater. Il se touche la queue en se masturbant dès que je le regarde, je pense qu’il aimerait que je te caresse. »
Instinctivement j’ai resserré mes cuisses.

« - Allons, ne joue pas les pucelles, d’ailleurs tu n’es «plus celle » que l’on croit, montre-lui ton mollusque et procures du plaisir à ce jeune garçon qui n'a que d'yeux que pour ton oursin ».

L’adolescent avait entendu les dires de mon compagnon, il secoua son drap de bain pour enlever la sable et en profita pour se rapprocher de nous. Il se tourna vers moi en tripotant sa jeune verge toute bronzée qui augmentait de volume et de grandeur. Sous le charme de ce jeune homme et suivant les conseils de mon mari, je me suis mise sur dos en relevant et en écartant mes jambes. J’offrais à ce jeune garçon une vue imprenable sur les chairs charnues de ma grotte. Mon mari entra dans le jeu en me caressant la vulve, il m'écarta les petites lèvres montrant l’intérieur de mon coquillage au jeune homme. Il appuya sur mes glandes de Bartholin pour faire sortir mon clitoris de son petit capuchon. Il pointait maintenant vers l'extérieur. Je ne sais pas si c’est mon chéri lui a fait signe de s’approcher mais je pouvais toucher le sexe de l’adolescent du bout des pieds. Il en prenait plein les yeux aura certainement la meilleure note du collège à ses cours d’éducation sexuelle et en particulier sur l'appareil génital de la femme.

Exhibitionniste j'éprouvais du plaisir à montrer mon intimité à ce jeune garçon qui bandait comme un cheval. Le mont de vénus glabre, les barbillons débordants, j’étalais mes chairs rosâtres et fraîches au soleil, n'attendant plus que mon mari lui donne la permission de me déguster mon oursin sur place.

Mon pied remonta doucement le long des jambes de l'adolescent jusqu'à sa verge, tripotant de mes orteils son service trois pièces. Il se laissait faire en arrêtant de se masturber. Sa main remonta le long de ma jambe. Il se déplaça une nouvelle fois sa serviette pour l’installer à côté de moi. Il se pencha sur mes seins pour me téter les petits bouts qui durcissaient entre ses lèvres. ( Un peu comme sur mon avatar que vous pouvez voir.) J’ai pris son sexe dans ma main pour le masturber. Mon mari candauliste le laissait faire et me laissa aux mains de ce jeune garçon qui en profita pour plonger sa main entre mes cuisses.
Soudain, il se releva et mit sa serviette autour de sa taille pour cacher son érection et s'éloigna de quelques mètres.

« - Que fais-tu David ? »J’ai compris que le couple qui venait de le rejoindre était ses parents.

« - Je vous attendais. » Répondit-il.

« - Tu viens avec nous, nous allons en ville pour t'acheter une nouvelle paire de tennis, je ne veux pas que tu sortes ce soir avec celles que tu as. »
Lui dit sa mère une très jolie femme brune comme son fils qui lui ressemblait beaucoup. Elle avait les cheveux longs. Du type «italienne » avec un petit duvet noir au-dessus de ses lèvres, des yeux noisette, un bronzage parfait et intégral qui laissait tout de même voir une ancienne trace d’un micro string. Des petits seins fermes avec de larges aréoles brunes et des petits bouts qui pointaient avec arrogance. Elle avait un corps parfait avec deux petites fossettes sur le haut des fesses comme Annie. Son triangle était épilé pour que ses poils ne dépassent pas de son trois fois rien qu'elle porte parfois et qui lui a laissé cette petite trace un peu plus blanche sur son corps couleur pain d'épice.

Elle me fît un sourire complice car elle avait compris ce qui se passait avec David en voyant la bosse sous la serviette de son fils. Elle me fit un sourire complice. Le papa, bel homme également n'avait rien perçu mais il se retourna plusieurs fois pour reluquer ma chatte qui se prélassait à la douceur de la brise marine.

Nous sommes rentrés à l’appartement vers 13hs, Annie et André étaient rentrés de leur ballade en ville. Ils avaient préparé le repas en ayant ouvert les huîtres de Bouzigues qu’ils avaient acheté en ville et nous avaient préparé un turbot aux épinards. Ma copine est une «maître queue » dans tous les sens du terme suivant les dires de mon chéri mais c’était également une excellente cuisinière. A table elle me demanda ce que nous avons fait ce matin, je lui ai expliqué notre rencontre sur la plage avec cet adolescent et ses parents.

Elle s’était acheté une nouvelle paire de chaussures d’été, un joli foulard et deux chapeaux de paille (un pour elle et l’autre pour moi) Je l’ai embrassé pour la remercier et j’en ai profité pour lui demander si sa tenue ultra courte ne lui avait pas posé de problèmes.

Un sourire se dessina sur ses lèvres en me disant :
« - Un homme m’a passé la main au cul en sortant du magasin de chaussures. Certainement qu’il avait remarqué que je ne portais pas de slip lorsque je me suis baissée pour attacher mes chaussures. »
« - Alors, qu’est-ce que tu lui as dit ? »
« - Que veux-tu que je lui dise ? Je ne pouvais pas faire un scandale dans le magasin, tout le monde aurait été au courant que je ne portais pas de culotte. Je me suis retournée et je lui ai souris. »
« - Tu ne pouvais pas me le dire ? Je lui aurais appris à vivre à ce malotru. » Répliqua André.

« - Tu as raison mon chéri, mais rassure toi il ne m’a pas fait «mal aux trous » d’ailleurs il n’avait pas les doigts assez longs. »
Elle a attrapé un fou rire après son mauvais jeu de mots au point de ne plus pouvoir sortir un mot, son rire était contagieux et communicatif, nous nous sommes tout mis à épouser sa bonne humeur en l’accompagnant dans son délire.

Nos hommes sont allés faire une petite sieste pendant que nous sommes restés sur la terrasse à discuter entre femmes après avoir fait la vaisselle.

« - Qu’est-ce que tu as fait comme aventures sexuelles que tu ne m’as pas encore racontées ? » Me demanda Annie.

« - Tu veux vraiment tout savoir, il y a deux ans, Bob avait vu dans un magazine coquin qu’il avait acheté que les lectrices pouvaient participer un concours de photos de vacances. Comme c’était une revue porno il me demanda si je voulais y participer et comme nous étions dans ce centre naturiste c’était très facile de prendre des clichés nus de moi. Nous avons choisit les plus belles photos et nous en avons envoyé une dizaine. Nous n’avons pas eu de réponse avant deux mois. Puis un jour en rentrant du travail mon chéri m’a posé sur la table la revue en question. Je faisais la couverture du magasine avec en gros titre «chantal, la grande gagnante du concours photos ‘ en vacances’ » Nous avions gagné un séjour à Ibiza dans un hôtel quatre étoiles pour une semaine. A l’intérieur toutes mes photos étaient parus toutes plus coquines les unes que les autres.
Après six mois nous avons été contactés de nouveau par le directeur de publication de la revue qui nous disait qu’il avait reçu un nombre impressionnant de courrier à mon sujet. Mais que c’était pour autre chose qu’il nous contactait. Il voulait nous envoyer son équipe de tournage pour que nous fassions une vidéo. Il nous disait aussi que nous pouvons être que les deux acteurs du film mais que si nous désirons aller plus loin il avait une troupe d’acteurs porno à nous proposer pour faire un trio ou plus et que cela pouvait nous rapporter beaucoup d’argent.

Nous en avons parlé Bob et moi avant de lui répondre que nous acceptons sa proposition mais uniquement en couple.

« - Hé! alors ? L’équipe de tournage est venue chez toi ? »
« - Je te raconterais la suite une autre fois. » Car nos hommes venaient de se réveiller.

« - Que faites-vous mesdames cet après midi ? »
« - Nous avons pensé allez faire quelques courses pour ce soir et demain, puis de faire un peu de shopping. Vous avez vu à quelle heure vous vous êtes réveillés, il est pratiquement dix huit heures, c'est un peu tard pour aller à la plage. Je pense qu’il ne faudra pas partir trop tard pour avoir une table pour aller danser ce soir. »
« - OK, je vais faire un petit tour à la plage avec André à tout à l’heure mes chéries soyez sages. »
A 21hs nos hommes n’étaient toujours pas rentrés alors nous décidons Annie et moi de manger une salade de tomate avec un morceau de fromage avant de nous mettre en tenue et de nous maquiller pour sortir ce soir. Annie à revêtue la robe que Bob lui avait achetée, celle dont le décolleté dans le dos descendait jusqu’à sa raie des fesses. Elle était également très courte si bien qu’on lui voyait aussi la naissance de son cul. La mienne n’était pas mieux de peur de passer pour une ringarde au côté de ma copine j’ai opté pour ma robe noire toute en dentelle transparente nouée au cou et son string assorti. Mes seins étaient apparents sous une maille résille qui ornait le haut de ma robe.

Je ne sais pas ce que nos hommes ont fait, ni ce qu’ils ont vu pour être rentrés si tard mais ils étaient de bonne humeur et bien excités.

« - Vous êtes à croquer mes chéries. » Nous disent-ils en nous attrapant par la taille. André fit virevolter sa femme en la soulevant de ses bras puissants. La robe évasée d’Annie s’était soulevée nous montrant son joli petit cul.

« - Où étiez vous ? Dépêchez de vous habiller, vous mangerez sur place un casse-croûte, nous devons partir si nous voulons avoir une table. »
Les noctambules commençaient à arriver et l’orchestre s’était mis à jouer. La parade des couples exhibant leurs femmes dans des tenues provocantes avait commencé. Quelques couples dansaient au milieu de la piste. Le monde s’arrêtait pour regarder. André invita sa femme à danser un rock. La robe de sa femme se soulevait par intermittence en dévoilant son cul. Quoi de plus normal dans un centre naturiste que de voir des fesses, elles sont à la vue de tout le monde dans la journée. Mais chose étrange, le fait qu’elles soient cachées en partie et visibles de temps en temps donne un pouvoir de séduction magique à l’attraction d’Annie qui avait attiré du monde sur la piste de danse. Le bistrot avait fait le plein.

Mon chéri me montra que David et ses parents regardaient le spectacle. Nous leur faisons signe de nous rejoindre en se serrant un peu sur notre banc. Nous leur présentons Annie et André. La jolie maman du jeune garçon se prénommait Chloé et son père Thomas. Ce dernier m’invita à danser, il était galant et charmeur il me dit :
« - Enlaces mon cou de tes bras, je t’en prie, puis écoute, que je puisse te murmurer à l’oreille des mots doux. » Puis il me chuchota «ton sourire est une merveille, tu es d'une beauté sans pareille. J'aime t'écouter, te regarder, et de mes yeux te toucher. »
Il n’y avait pas que de ses yeux qu’il me touchait, sa main droite était maintenant posée sur mon sein.

Après la danse nous sommes revenues à notre table. André avait entraîné Chloé et David ne me laissa pas le temps de m’asseoir en me demandant si je voulais bien danser avec lui.

Je suis repartie sur la piste de danse avec mon jeune cavalier. Il avait ses yeux plongés dans les miens mais son regard s’attardait par moment sur mes bouts de seins qui passaient au travers des mailles résille de ma robe. Des tétons qu’il avait tété quelques heures auparavant. L’orchestre entama une série de slows. Je serrais David contre moi. Au début il ne savait pas où poser ses mains, puis il me prit par la taille et posa sa tête dans le creux de mon épaule. Petit à petit il s’enhardissait, il me serrant par les fesses tout contre lui. Nous frottions l’un contre l’autre, je sentais sa queue se durcir au travers de ma robe légère. J’ai touché son sexe en érection par-dessus son pantalon, pensant lui faire plaisir, ce n’était pas la chose que j’aurais du faire car il éjacula presque aussitôt dans son pantalon. Il quitta rapidement la piste de danse en s’excusant.

Sa mère qui m’a vu revenir seule me demanda où était passé son fils.

Je lui ai répondu qu’il était rentré chez lui pour avoir eu un petit accident de parcours.

Elle compris tout de suite et profita d’un moment que nous étions que deux pour me faire-part de ses craintes.

« - Je ne comprends pas, je ne vois jamais mon fils avec une fille, j’ai peur, je me demande s’il n’est pas encore puceau à son âge. Pourtant nous sommes naturistes et il a l’habitude de me voir nue à la maison mais on dirait qu’il a peur des femmes ce n’est pas à moi sa mère de l’initier à ce genre de chose et son père cela ne le dérange pas du tout. J’ai vu sur la plage qu’il était plutôt ouvert envers vous, est-ce que cela ne vous dérangerez de lui parler ? »
« - Je ne vous promets rien mais je veux bien essayer. »
Thomas m’a pris une nouvelle fois dans ses bras pour m’emmener sur la piste et toujours aussi charmeur et charmant il continuait à me draguer en me disant :« - Tes yeux sont un rayon de soleil, et lorsque ton regard se pose sur moi...je bande. Excuse-moi, je voulais dire je bronze. »
Il me fit également une véritable déclaration d’amour :
« - Je passerai des heures à te contempler, des nuits blanches à t'embrasser, des nuits douces à t'aimer. Viendra en son temps le plaisir charnel, où nos deux corps enlacés, je jouirais en toi dans un moment inoubliable. »
Nous avons danser et une bonne partie de la nuit en changeant de partenaires après chaque danse. Puis nous nous sommes quitté en se donnant rendez-vous pour passer une autre soirée ensemble.

Alors que nous allions nous quitter Chloé est venue vers Annie et moi en nous demandant :
« - Je connais mon coquin de mari et je ne serais pas surprise qu’il ait essayé de vous faire du charme. Il ne peut pas faire autrement lorsqu’il est en présence de jolies femmes comme vous. »
« - Il a même fait comprendre qu’il aimerait bien me baiser. »
« - Il en a fait de même avec moi. » Répliqua Annie
« - Je m’en doutais, bien que cela reste dans le domaine du possible puisque nous avons décidé de nous revoir. »

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