Un plaisir partagé est un plaisir double (31)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (31)
Un plaisir partagé est un plaisir double (31)
Après notre nuit passé au Glamour, nous n’avons vu le soleil qu’à quatorze heures, heureusement qu’après la douche nous n’avons pas besoin de nous habiller, ni de nous maquiller. Nous mettons plus de temps à se bécoter dans nos bras de l’un et de l’autre pour se dire bonjour surtout lorsque cela dérape en touche pipi, en caresses ou qu’un désir de baise se réveille.
Depuis mon exhibition sur la plage il y a deux jours et notre soirée en club, nous ne passons plus inaperçus beaucoup d'hommes et de couples qui ont du assister à la scène, nous disent maintenant bonjour. Certains même nous accostent pour nous remercier ou nous demander si nous sommes libres ce soir.
Aujourd'hui nous sommes arrivés en début d’après-midi pour bronzer un peu, en traversant la plage nous pouvons voir beaucoup de femmes qui masturbent délicatement et tranquillement leurs hommes (et souvent l’inverse), des regards, des sourires échangés et beaucoup de mateurs qui s’impatientent de trouver des spectacles pour se masturber. Plus la journée avance, plus les bouches remplacent les mains sur le sexe de leur compagne ou de leur compagnon. Un homme viens s'installer en posant sa serviette tout près de nous en nous faisant de grands sourires, mais nous ne voulons pas l'encourager en lui répondant de la même façon, bien qu'il se masturbe devant nous en nous fixant dans les yeux, nous faisons semblant de l'ignorer en regardant furtivement sa bite se dresser. Un anneau lui enserrait le sexe et les testicules pour les mettre en valeur.
Voyant que nous ne intéressions pas à lui, il essaya à plusieurs reprises d'engager la conversation avec André et mon chéri en leur disant des banalités comme :
« Il fait beau aujourd’hui, c'est une belle journée pour bronzer. »
Mon chéri n'essayait pas d'entretenir la conversation avec lui, trop occupé à regarder ce qui se passait autour de nous. Chaque fois il revenait à la charge en devenant de plus en plus précis dans sa démarche de nous conquérir. Il nous dit :
« - Je suis bi et vous ? »
Sans réponse de nos maris que cela commençait à énerver il continua :
« - J'ai vu votre femme prendre son plaisir hier sur la plage. »
« - Et cela vous a fait du bien, je suppose. » Lui répondit mon chéri.
« - Oui bien sur, mais j'ai cru comprendre qu'elle était plus clitoridienne que vaginale. »
J'écoutais leur conversation les yeux fermés et je me disais en quoi cela le regarde.
« - Je suis représentant en lingerie coquine et en godmichet, je suis sur qu'elle ne doit pas connaître notre dernier modèle qui la ferait jouir très rapidement, si vous voulez nous pourrions l'essayer sur elle, je l'ai avec moi. »
Il fouilla dans son sac à dos et en sorti un petit boîtier muni d’une tige qu'il fit vibrer en appuyant sur un bouton. Bob le prit en main et l'actionna, il ne faisait pratiquement pas de bruit il lui dit :
« - Ce n’est pas à moi qu’il faut le demander. Si elle désire l'essayer c’est elle et uniquement elle qui peut vous donner son accord ? »
André avait maintenant prit l’appareil en et cela semblait l’intéresser.
Plus l'heure avance plus on ose, on s’aventure plus loin et c’est souvent aux alentours de dix huit heures que le spectacle de la plage libertine débute vraiment. Dès que le poste de police descend le pavillon vert, jaune ou rouge qui indique que la plage n’est plus surveillée, vous n’êtes plus à Agde, mais dans une orgie géante. Dès que le poste de garde a été fermé, notre quidam est revenu à la charge.
« - Le drapeau est baissé, je peux demander à votre femme si elle veut bien tester mon appareil ? »
André qui n’avait rien dit jusqu’à maintenant s’adressa à sa femme :
« - Tu as entendu chérie ce que ce Monsieur propose. Tu ne serais pas tentée par l'expérience ? »
Bien sur qu’elle avait entendu la conversation et que l’envie lui avait traversé l’esprit, mais un petit « non » sorti de sa bouche, un « non » qui ressemblait à un « oui ».
Son mari est revenu à la charge.
« - Tu n’es vraiment pas tentée ? Rien ne te coûte d’essayer, si comme le dit si bien ce monsieur cela peut d’envoyer au septième ciel et te faire jouir. »
Elle murmura un « oui » timide. Il n'en fallut pas plus pour que l'homme s'installa rapidement à la hauteur de son pubis en lui demandant de bien lui ouvrir ses cuisses. Posant sa main sur mon bas ventre, il écarta ses petites lèvres pour accéder à son clitoris. Puis il mis en marche son gode qu'il fit vibrer sur ses chairs intimes. En un rien de temps, j’ai vu que ma copine serrer les dents et son visage se crisper en essayant de prolonger le plaisir qui l’envahissait.
Sur place, les voyeurs qui ont attendu de nombreuses heures pour commencer à repérer les premiers shows qui se forment autour des libertins et libertines les plus entreprenants s’agglutinent autour d’une fille qui se masturbe, de couples qui se tripotent ensemble ou d’un couple qui propose un spectacle un tant soit peu original. C'est ce qui s'est passé, comme la veille un attroupement s’est formé autour d’elle.
Le gars à accélérait les vibrations. Annie commençait à se contracter, elle serrait la main de son mari pour essayer de résister. Il l’encourageait en la caressant doucement. Elle fermait les yeux et se laissait faire en se délectant du branle de son intimité, étalée devant une vingtaine de personnes qui la regardaient avec intérêt. Certains se masturbaient, d’autres caressaient leur épouse. La tête en arrière, Annie fermait les yeux, laissant le plaisir l'envahir.
Mais ce n'était que les préliminaires, le vendeur de sex toys faisait pression sur ses grandes lèvres appuyant sur les petites pour libérer son clitoris de son petit capuchon. Il prit entre ses doigts son prépuce en érection qu’il branla un moment avant de placer le doigt de son appareil sur son petit bouton en accélérant les vibrations au maximum, Annie attrapa la main du gars en la serra très fort pour qu'il continu de l’osciller au même endroit. Elle était en train de partir, il ne lui a pas fallut plus de cinq minutes pour qu'il arrive à l’envoyer en l’air. Son corps tout entier s’est prit de tremblements, elle se trémoussait sur sa serviette. Elle se crispe, elle convulse, elle tremble de partout, elle gesticule, elle s’agite en proférant des cris de jouissance qu’elle ne peut pas retenir. Tous les regards sont pointés sur elle. Elle vient de jouir sur la plage devant tout ce petit monde qui la regarde et qu’ils l’applaudissent en la récompensant avec des mots qui lui font certainement plaisir.
Le divertissement était terminé, tous les voyeurs s'éloignent à la recherche d'une nouvelle attraction ou tout simplement une expérience auprès des femmes qui aiment la pluralité masculine, qui se laissent toucher, qui aiment se faire mater et choisir l’un ou l’autre (ou plusieurs d’entre eux) pour baiser, tout simplement. Il y a parfois trois ou quatre shows qui se déroulent en même temps, une jeunette qui s’exhibe pour allumer les hommes seuls ou une femme mûre qui suce avec gourmandise les sexes qui l’entourent pour satisfaire son envie. Des hommes candaulistes qui se masturbent en regardant leur femme prendre du plaisir avec d’autres hommes, des femmes qui assouvissent un fantasme de bukkake, comme moi hier (avec André et ses quarante branleurs.) Je plaisante, j’ai sucer beaucoup de bites et j’ai aimé cela c’était ma première éjaculation collective avec cet épanchement de sperme sur mon visage et sur mon corps dénudé.
Bob est entré de nouveau en discussion avec le vendeur qui a remercier Annie d'avoir bien voulu jouer le jeu devant tout ce petit monde de libertins. Il est en train de négocier l’acquisition de ce joujou. Mais d'après ce que j'entendais son interlocuteur ne voulait rien savoir.
« - Après la publicité qu’Annie vous a faite ? Vous pourriez faire un effort, vous allez crouler sous les demandes. »
« - Je regrette mais je ne peux pas, mon patron va me demander des comptes. »
« - C'est simplement un geste commercial que je vous demande. »
Après un moment de réflexion, il proposa enfin à mon chéri :
« - Il faut que j'en parle à mon patron s'il accepte que je l'offre à Madame. »
« - C’est une sage réflexion, Nous sommes à Héliovillage au 36 pendant encore huit jours, je vous fais confiance, je compte sur vous. » Lui dit Bob.
Le reste de la journée, nous sommes abordés par des hommes qui cherchent à tremper leurs queues dans notre bénitier en nous montrant leurs bijoux de famille en se pignolant devant nous. Ils profitent souvent que nos maris font une petite sieste au soleil ou qu’il soient allés se rafraîchir pour nous aborder.
« - Que faites-vous ce soir ? Je vous offre un verre ? « « Vous n’êtes pas intéressés par un petit jeune ? » Il y en a aussi qui sont plus direct en nous demandant si nous voulons coucher avec eux. Ou encore «je vous ai vu faire votre exhibition, vous étiez superbes, je peux m’installer entre vos jambes ? » Ou carrément une invitation à baiser »je loge à port nature bâtiment A premier étage au 102 venez me retrouver ce soir. »
Entre temps Annie avait été abordé par une femme d’un certain âge, tannée par le soleil et affichant publiquement son amour pour les noirs avec le tatouage sur son pubis d’une « dame de cœur. » Ses tétons étaient percés et sa chatte était ornée d’un chapelet d’anneaux et de chaînettes.
« - Je vois que vous aimez les blacks » en regardant « la dame de pique » accrochée sur les lèvres intimes de ma copine. »
« - Je peux vous organiser cela, j’ai beaucoup d’amis noirs. »
« - Merci c’est gentil, mais nous aussi nous avons des connaissances qui sont noirs. » Lui répondit-elle.
« - Tu as eu raison de ne pas accepter ce genre d’invitation. Tu te serais fait défoncer sans ménagement. Tu vas voir si Azaan arrive à nous organiser un gang bang ce sera bien différent. Ses copains sont bien intentionnés et respectueux. »
Des hommes, nous avons Annie et moi l’embarras du choix, ce qui nous intéressent maintenant c’est d’être invités à participer à des orgies entre des couples libertins pour que nos maris puissent eux aussi prendre du plaisir avec d’autres femmes.
La plage commençait à se vider, au moment ou nous allons rentrer nous aussi, deux couples nous ont abordé. Un couple d’allemand que nous avons du mal à comprendre, accompagnés d’un couple français.
« - Nous sommes Mélanie et Franck mais c’est Anna et Ulrich ce sont eux qui nous ont aiguillés sur vous pour vous avoir vu vous donnez en spectacle sur la plage. Nous organisons de sympathiques rendez-vous avec d’autres couples si cela vous intéresse nous pouvons vous contacter. »
« - Je vous présente Annie et André, nos amis intimes et moi je suis Chantal et mon mari Bob. Nous sommes échangistes et libertins et nous sommes heureux de vous rencontrer. Nous affectionnons les rencontres avec d’autres couples libertins pour nous divertir et agrémenter nos soirées. »
Anna était une jolie blonde allemande, d’environ quarante ans, élancée, totalement épilée et bien bâtie, son mari Ulrich était un solide gaillard. Il semblait un peu plus âgé que son épouse. Il portait un piercing sur le gland dit : « du Prince Albert. » J’avais lu que les mouvements de déplacement du bijou dans le sexe d’une femme peuvent augmenter les simulations des nerfs et créer plus de plaisir lors des relations. J’ai hâte d’essayer.
Mélanie est une mignonne brunette, mince aux cheveux courts avec un joli sourire et des petits seins en forme de poire et des petits bouts qui donnent envie de la téter. ( Ses glandes aréolaires sont plus développées que les miennes que vous pouvez voir sur mon avatar) Ce qu’il lui fait une jolie poitrine. Son sexe rasé laissait voir son triangle plus foncé à la hauteur de son pubis. (C’est une véritable brune.) Son mari ne parlait pas beaucoup mais il était bel homme. Je ne leur donnais un peu moins de trente ans. Son regard bleu azur me troublait et mon cœur battait la chamade lorsqu’il croisait le miens. Franck s’était rendu compte qu’il me déstabilisait et il jouait de son charme. Il ne me quittait plus des yeux, me détaillant de la tête aux pieds en souriant. J’étais comme paralysée et je n’osais même pas regarder son sexe.
« - Nous vous ferons signe dès que l’un de nous organise une petite sauterie en amis. » Nous dit Mélanie avant de prendre congé de nous.
Nous sommes rentrés prendre notre douche et nous nous sommes préparés pour sortir ce soir au bras de nos maris habillés comme des touristes en nous exhibant presque nue, moulée de cuir ou de résille. Ici c’est le bonheur des dames. Nous pouvons nous habiller comme nous voulons, sachant qu’il ne nous arrivera jamais rien.
Après notre nuit passé au Glamour, nous n’avons vu le soleil qu’à quatorze heures, heureusement qu’après la douche nous n’avons pas besoin de nous habiller, ni de nous maquiller. Nous mettons plus de temps à se bécoter dans nos bras de l’un et de l’autre pour se dire bonjour surtout lorsque cela dérape en touche pipi, en caresses ou qu’un désir de baise se réveille.
Depuis mon exhibition sur la plage il y a deux jours et notre soirée en club, nous ne passons plus inaperçus beaucoup d'hommes et de couples qui ont du assister à la scène, nous disent maintenant bonjour. Certains même nous accostent pour nous remercier ou nous demander si nous sommes libres ce soir.
Aujourd'hui nous sommes arrivés en début d’après-midi pour bronzer un peu, en traversant la plage nous pouvons voir beaucoup de femmes qui masturbent délicatement et tranquillement leurs hommes (et souvent l’inverse), des regards, des sourires échangés et beaucoup de mateurs qui s’impatientent de trouver des spectacles pour se masturber. Plus la journée avance, plus les bouches remplacent les mains sur le sexe de leur compagne ou de leur compagnon. Un homme viens s'installer en posant sa serviette tout près de nous en nous faisant de grands sourires, mais nous ne voulons pas l'encourager en lui répondant de la même façon, bien qu'il se masturbe devant nous en nous fixant dans les yeux, nous faisons semblant de l'ignorer en regardant furtivement sa bite se dresser. Un anneau lui enserrait le sexe et les testicules pour les mettre en valeur.
Voyant que nous ne intéressions pas à lui, il essaya à plusieurs reprises d'engager la conversation avec André et mon chéri en leur disant des banalités comme :
« Il fait beau aujourd’hui, c'est une belle journée pour bronzer. »
Mon chéri n'essayait pas d'entretenir la conversation avec lui, trop occupé à regarder ce qui se passait autour de nous. Chaque fois il revenait à la charge en devenant de plus en plus précis dans sa démarche de nous conquérir. Il nous dit :
« - Je suis bi et vous ? »
Sans réponse de nos maris que cela commençait à énerver il continua :
« - J'ai vu votre femme prendre son plaisir hier sur la plage. »
« - Et cela vous a fait du bien, je suppose. » Lui répondit mon chéri.
« - Oui bien sur, mais j'ai cru comprendre qu'elle était plus clitoridienne que vaginale. »
J'écoutais leur conversation les yeux fermés et je me disais en quoi cela le regarde.
« - Je suis représentant en lingerie coquine et en godmichet, je suis sur qu'elle ne doit pas connaître notre dernier modèle qui la ferait jouir très rapidement, si vous voulez nous pourrions l'essayer sur elle, je l'ai avec moi. »
Il fouilla dans son sac à dos et en sorti un petit boîtier muni d’une tige qu'il fit vibrer en appuyant sur un bouton. Bob le prit en main et l'actionna, il ne faisait pratiquement pas de bruit il lui dit :
« - Ce n’est pas à moi qu’il faut le demander. Si elle désire l'essayer c’est elle et uniquement elle qui peut vous donner son accord ? »
André avait maintenant prit l’appareil en et cela semblait l’intéresser.
Plus l'heure avance plus on ose, on s’aventure plus loin et c’est souvent aux alentours de dix huit heures que le spectacle de la plage libertine débute vraiment. Dès que le poste de police descend le pavillon vert, jaune ou rouge qui indique que la plage n’est plus surveillée, vous n’êtes plus à Agde, mais dans une orgie géante. Dès que le poste de garde a été fermé, notre quidam est revenu à la charge.
« - Le drapeau est baissé, je peux demander à votre femme si elle veut bien tester mon appareil ? »
André qui n’avait rien dit jusqu’à maintenant s’adressa à sa femme :
« - Tu as entendu chérie ce que ce Monsieur propose. Tu ne serais pas tentée par l'expérience ? »
Bien sur qu’elle avait entendu la conversation et que l’envie lui avait traversé l’esprit, mais un petit « non » sorti de sa bouche, un « non » qui ressemblait à un « oui ».
Son mari est revenu à la charge.
« - Tu n’es vraiment pas tentée ? Rien ne te coûte d’essayer, si comme le dit si bien ce monsieur cela peut d’envoyer au septième ciel et te faire jouir. »
Elle murmura un « oui » timide. Il n'en fallut pas plus pour que l'homme s'installa rapidement à la hauteur de son pubis en lui demandant de bien lui ouvrir ses cuisses. Posant sa main sur mon bas ventre, il écarta ses petites lèvres pour accéder à son clitoris. Puis il mis en marche son gode qu'il fit vibrer sur ses chairs intimes. En un rien de temps, j’ai vu que ma copine serrer les dents et son visage se crisper en essayant de prolonger le plaisir qui l’envahissait.
Sur place, les voyeurs qui ont attendu de nombreuses heures pour commencer à repérer les premiers shows qui se forment autour des libertins et libertines les plus entreprenants s’agglutinent autour d’une fille qui se masturbe, de couples qui se tripotent ensemble ou d’un couple qui propose un spectacle un tant soit peu original. C'est ce qui s'est passé, comme la veille un attroupement s’est formé autour d’elle.
Le gars à accélérait les vibrations. Annie commençait à se contracter, elle serrait la main de son mari pour essayer de résister. Il l’encourageait en la caressant doucement. Elle fermait les yeux et se laissait faire en se délectant du branle de son intimité, étalée devant une vingtaine de personnes qui la regardaient avec intérêt. Certains se masturbaient, d’autres caressaient leur épouse. La tête en arrière, Annie fermait les yeux, laissant le plaisir l'envahir.
Mais ce n'était que les préliminaires, le vendeur de sex toys faisait pression sur ses grandes lèvres appuyant sur les petites pour libérer son clitoris de son petit capuchon. Il prit entre ses doigts son prépuce en érection qu’il branla un moment avant de placer le doigt de son appareil sur son petit bouton en accélérant les vibrations au maximum, Annie attrapa la main du gars en la serra très fort pour qu'il continu de l’osciller au même endroit. Elle était en train de partir, il ne lui a pas fallut plus de cinq minutes pour qu'il arrive à l’envoyer en l’air. Son corps tout entier s’est prit de tremblements, elle se trémoussait sur sa serviette. Elle se crispe, elle convulse, elle tremble de partout, elle gesticule, elle s’agite en proférant des cris de jouissance qu’elle ne peut pas retenir. Tous les regards sont pointés sur elle. Elle vient de jouir sur la plage devant tout ce petit monde qui la regarde et qu’ils l’applaudissent en la récompensant avec des mots qui lui font certainement plaisir.
Le divertissement était terminé, tous les voyeurs s'éloignent à la recherche d'une nouvelle attraction ou tout simplement une expérience auprès des femmes qui aiment la pluralité masculine, qui se laissent toucher, qui aiment se faire mater et choisir l’un ou l’autre (ou plusieurs d’entre eux) pour baiser, tout simplement. Il y a parfois trois ou quatre shows qui se déroulent en même temps, une jeunette qui s’exhibe pour allumer les hommes seuls ou une femme mûre qui suce avec gourmandise les sexes qui l’entourent pour satisfaire son envie. Des hommes candaulistes qui se masturbent en regardant leur femme prendre du plaisir avec d’autres hommes, des femmes qui assouvissent un fantasme de bukkake, comme moi hier (avec André et ses quarante branleurs.) Je plaisante, j’ai sucer beaucoup de bites et j’ai aimé cela c’était ma première éjaculation collective avec cet épanchement de sperme sur mon visage et sur mon corps dénudé.
Bob est entré de nouveau en discussion avec le vendeur qui a remercier Annie d'avoir bien voulu jouer le jeu devant tout ce petit monde de libertins. Il est en train de négocier l’acquisition de ce joujou. Mais d'après ce que j'entendais son interlocuteur ne voulait rien savoir.
« - Après la publicité qu’Annie vous a faite ? Vous pourriez faire un effort, vous allez crouler sous les demandes. »
« - Je regrette mais je ne peux pas, mon patron va me demander des comptes. »
« - C'est simplement un geste commercial que je vous demande. »
Après un moment de réflexion, il proposa enfin à mon chéri :
« - Il faut que j'en parle à mon patron s'il accepte que je l'offre à Madame. »
« - C’est une sage réflexion, Nous sommes à Héliovillage au 36 pendant encore huit jours, je vous fais confiance, je compte sur vous. » Lui dit Bob.
Le reste de la journée, nous sommes abordés par des hommes qui cherchent à tremper leurs queues dans notre bénitier en nous montrant leurs bijoux de famille en se pignolant devant nous. Ils profitent souvent que nos maris font une petite sieste au soleil ou qu’il soient allés se rafraîchir pour nous aborder.
« - Que faites-vous ce soir ? Je vous offre un verre ? « « Vous n’êtes pas intéressés par un petit jeune ? » Il y en a aussi qui sont plus direct en nous demandant si nous voulons coucher avec eux. Ou encore «je vous ai vu faire votre exhibition, vous étiez superbes, je peux m’installer entre vos jambes ? » Ou carrément une invitation à baiser »je loge à port nature bâtiment A premier étage au 102 venez me retrouver ce soir. »
Entre temps Annie avait été abordé par une femme d’un certain âge, tannée par le soleil et affichant publiquement son amour pour les noirs avec le tatouage sur son pubis d’une « dame de cœur. » Ses tétons étaient percés et sa chatte était ornée d’un chapelet d’anneaux et de chaînettes.
« - Je vois que vous aimez les blacks » en regardant « la dame de pique » accrochée sur les lèvres intimes de ma copine. »
« - Je peux vous organiser cela, j’ai beaucoup d’amis noirs. »
« - Merci c’est gentil, mais nous aussi nous avons des connaissances qui sont noirs. » Lui répondit-elle.
« - Tu as eu raison de ne pas accepter ce genre d’invitation. Tu te serais fait défoncer sans ménagement. Tu vas voir si Azaan arrive à nous organiser un gang bang ce sera bien différent. Ses copains sont bien intentionnés et respectueux. »
Des hommes, nous avons Annie et moi l’embarras du choix, ce qui nous intéressent maintenant c’est d’être invités à participer à des orgies entre des couples libertins pour que nos maris puissent eux aussi prendre du plaisir avec d’autres femmes.
La plage commençait à se vider, au moment ou nous allons rentrer nous aussi, deux couples nous ont abordé. Un couple d’allemand que nous avons du mal à comprendre, accompagnés d’un couple français.
« - Nous sommes Mélanie et Franck mais c’est Anna et Ulrich ce sont eux qui nous ont aiguillés sur vous pour vous avoir vu vous donnez en spectacle sur la plage. Nous organisons de sympathiques rendez-vous avec d’autres couples si cela vous intéresse nous pouvons vous contacter. »
« - Je vous présente Annie et André, nos amis intimes et moi je suis Chantal et mon mari Bob. Nous sommes échangistes et libertins et nous sommes heureux de vous rencontrer. Nous affectionnons les rencontres avec d’autres couples libertins pour nous divertir et agrémenter nos soirées. »
Anna était une jolie blonde allemande, d’environ quarante ans, élancée, totalement épilée et bien bâtie, son mari Ulrich était un solide gaillard. Il semblait un peu plus âgé que son épouse. Il portait un piercing sur le gland dit : « du Prince Albert. » J’avais lu que les mouvements de déplacement du bijou dans le sexe d’une femme peuvent augmenter les simulations des nerfs et créer plus de plaisir lors des relations. J’ai hâte d’essayer.
Mélanie est une mignonne brunette, mince aux cheveux courts avec un joli sourire et des petits seins en forme de poire et des petits bouts qui donnent envie de la téter. ( Ses glandes aréolaires sont plus développées que les miennes que vous pouvez voir sur mon avatar) Ce qu’il lui fait une jolie poitrine. Son sexe rasé laissait voir son triangle plus foncé à la hauteur de son pubis. (C’est une véritable brune.) Son mari ne parlait pas beaucoup mais il était bel homme. Je ne leur donnais un peu moins de trente ans. Son regard bleu azur me troublait et mon cœur battait la chamade lorsqu’il croisait le miens. Franck s’était rendu compte qu’il me déstabilisait et il jouait de son charme. Il ne me quittait plus des yeux, me détaillant de la tête aux pieds en souriant. J’étais comme paralysée et je n’osais même pas regarder son sexe.
« - Nous vous ferons signe dès que l’un de nous organise une petite sauterie en amis. » Nous dit Mélanie avant de prendre congé de nous.
Nous sommes rentrés prendre notre douche et nous nous sommes préparés pour sortir ce soir au bras de nos maris habillés comme des touristes en nous exhibant presque nue, moulée de cuir ou de résille. Ici c’est le bonheur des dames. Nous pouvons nous habiller comme nous voulons, sachant qu’il ne nous arrivera jamais rien.
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