Un plaisir partagé est un plaisir double (18) - histoire érotique

Un plaisir partagé est un plaisir double (18)
Ma copine est passée me prendre pour aller choisir son petit bijou de sexe pour remplacer le petit anneau stérile que notre tatoueur nous avait posé à toutes les deux lorsque nous nous sommes fait percer nos petites lèvres. Pendant le trajet Annie me demanda :
« - Tu m’as dit que certains types de bijoux intimes ont une signification pour celle qui les porte, tu peux m’en dire plus ? »
« - Je ne connais pas tout sur ce sujet mais le vendeur te renseignera mieux que moi. Certains bijoux attire le désir dans le regard de l’homme qui les contemple. Il y a parfois bien des trésors cachés sous une robe du soir. En effet, tu peux porter ces bijoux lors de tes sorties, dîners, cocktails, etc. L’exposition de ta parure sera réservée pour tes moments intimes avec ton ou tes partenaires. Les plus libertines n’hésitent pas à décorer leur sexe sous leur jupe ou sous leur robe sans mettre de culotte pour aller à une soirée ou à une réception. C’est très excitant»
« - Oui mais à Agde c’est différent puisque nous sommes toutes nues. »
« - C’est vrai mon amour, sur la plage c’est plutôt pour se montrer et faire des conquêtes en montrant notre intimité. Je sais par exemple que si tu portes un bijou qui montre « une dame de pique » c’est que tu es libre et que tu aimes particulièrement les blacks. « Un cadenas » cela veut dire que les hommes ne sont pas autorisés à te baiser. « Une clé » l’homme doit avoir le consentement de ton mari ou de ton compagnon et qu’il l’autorise à t’ouvrir les lèvres pour s’enfoncer dans toi. Tu peux aussi voir toutes sortes de breloques suspendues sur les attributs de la femme, un peu comme des boucles d’oreilles pour parer ta foufoune. ( Des cœurs, des chaînes, des perles etc ..) Après il y a, et tu va en voir des femmes qui ont des anneaux ou des chaînettes tout autour de leurs grandes lèvres, ces couples là, sont des adeptes du sado masochisme et recherchent des hommes qui ont les mêmes tendances pour leur offrir leur femme. »
« - Alors quelle est la signification du piercing avec ce diamant que ton homme t’a offert à la saint Valentin ? »
« - C’est différent, c’était pour m’affirmer son amour, le diamant symbolise l’amour éternel. »
« - Son amour éternel ! Alors que tu n’arrêtes pas de le faire cocu. »
« - C’est notre façon de vivre, l’amour c’est une histoire de cœur et non pas de cul. Regardes toi aussi tu me fais cocue avec mon mari, avec Doan et d’autres encore ce n’est pas pour cela que je ne t’aime pas. »
« - Bon d’accord viens que je t’embrasse, moi aussi je t’aime. J’adore le symbole de la « la dame de pique » c’est vrai que Doan m’a laissé un agréable souvenir avec son sexe hors du commun et je pense que les noirs sont superbement membrés et j’aime beaucoup cela. »
« - Tu fais comme tu veux, mais tu sais à Agde, tu ne vas pas en rencontrer beaucoup. Par contre, tu dois savoir que si tu en rencontre c’est qu’ils ne sont pas venus pour bronzer mais pour avoir des aventures. Généralement ils ont beaucoup de succès auprès des femmes qui désirent se faire ramoner ou vouloir assouvir un fantasme qu’elles ont depuis longtemps dans la tête sans jamais avoir eu l’audace et le courage nécessaire pour le réaliser. »
Nous étions arrivés devant la boutique de notre tatoueur, il nous a reconnues tout de suite.

« - Vous venez pour que je vous fasse un second piercing ? »
« - Non, pas du tout ma copine aimerait changer l’anneau que vous lui avez posé contre un plus joli bijou de sexe. »
« - Tout est là je vous laisse faire votre choix. »
Annie regarda assez vite la collection qu’il lui était proposé, mais son choix était déjà arrêté sur « la carte de la dame de pique »
« - Vous voulez que je vous le pose ? Il n’y en a que pour cinq minutes, juste le temps de retirer votre culotte. »
Annie s’installa de nouveau sur la table, les pieds dans les étriers, sa foune généreusement accessible, le temps que le tatoueur lui pose son joli et nouveau piercing en lui tirant un peu sa lèvre. Je me suis approché pour regarder.

« - Il est très joli le bijou que tu as choisi, j’espère qu’il va t’ouvrir des perspectives avec des blacks. » Annie à remise son string et nous sommes sortis.

« - Il n’est pas tard, si nous allions rendre visite à magasin de ton petit ami Ahmed ? »
« - Ce n’est pas mon petit ami, mais simplement un copain. »
« - Je crois qu’il en pince pour toi, d’ailleurs il te voit régulièrement toute nue. »
« - Tu as beau jeu de dire cela, toi aussi il t’a vu à poil et en plus il a tripoté tes nichons. »
« - J’ai oublié de te dire que nous avons réservé un appartement pour nous quatre au cap d’Agde à Héliovillage du 12 au 26/06. Nous avons choisi d’y aller au mois de juin, d’abord parce que c’est moins cher et ensuite je pense que ce sera plus facile pour nous d’obtenir nos congés en cette période. Dans le centre, pendant la journée nous sommes nus, même dans les galeries marchandes, les restaurants et les magasins. Le soir, c'est la débauche : Presque tous les invités vont dîner en tenue. Une apparence érotique est également attendue dans les discothèques, bars et clubs : Nous devons porter des talons et des jupes aussi courtes que possible. Nos hommes sont bien habillés avec un pantalon long et une chemise. C’est la place pour la drague et la séduction avant de passer une nuit chaude. Alors que la nudité efface la frontière entre libertins et simples naturistes en pleine journée, à l’exception peut-être de quelques bijoux intimes, nous pouvons désormais nous distinguer par notre tenue. Tu vas voir, c’est le grand défilé. Une véritable parade libertine s’offre à nos regards sous tous les styles, de la tenue la plus sexy à la plus excentrique et provocante. C’est le moment pour nous de sortir le grand jeu. C’est l’occasion de sortir dans les rues vêtues de ta robe en tulle noir transparente, en robe harnais ou de ta robe spanking (en latex ou vinyle, les fesses à l’air) que nous réservons d’habitude pour nos soirées libertines ou les clubs libertins. C’est ainsi que nous pouvons éveiller tout un univers fantasmatique sur notre passage et peut être, croiser nos premiers partenaires de jeu.

« - Mais je n’ai pratiquement pas de tenue sexy, comme tu viens de me le décrire, tu crois que je trouverais cela chez Ahmed ? »
« - Je trouve toujours des tenues très coquines chez lui. Entrons. »
« - Bonjour mes jolies, je vois que vous avez réfléchi et que vous revenez pour vous exhiber sur la piste de peep show. Vous avez de la chance, il y a du monde aujourd’hui pour vous admirer. »
« - Tu te trompes Ahmed nous sommes venues nous rhabiller pour passer des vacances au cap d’Agde. »
« - C’est bien dommage, mais ma proposition tiens toujours, je vous laisse faire votre marché, vous connaissez la boutique. Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas loin. »
Nous avons fouillé dans toute sa collection de vêtements érotiques pour trouver notre bonheur. Nous avons déniché une vingtaine de tenues très hot pour sortir le soir. Il ne nous restait plus que de passer dans la cabine d’essayage qui est toujours sans porte et sans rideau à la vue de tous. Annie est passée la première pour essayer une petite robe noire très décolletée ornée de franges de la taille à la limite de ses fesses et qui se porte sans culotte. Elle lui allait à ravir, ses gros seins débordaient juste ce qu’il faut pour qu’elle soit excitante et les franges qui lui masquaient à peine les fesses couvrant son cul en le découvrant par intermittence par leur balancement lorsqu’elle marchait dans la boutique. Elle était chic et très coquine.

« - Tu as vu ce jeune garçon qui fait semblant de regarder les livres cochons en face de nous comment il nous mate ? Il ne doit pas avoir plus de seize ans, ce sex shop n’est-il pas interdit au moins de dix huit ans ? »
« - C’est vrai qu’il paraît bien jeune, mais c’est dangereux pour Ahmed de laisser entrer un jeune qui ne soit pas majeur. »
Moi j’ai essayé un body comprenant une armature et un string en vinyle rouge qui s’attache autour du cou. Le reste étant en résille noir et l’on pouvait voir mes seins et mes fesses au travers des mailles. Mais rien n’est assez érotique pour se promener dans le centre le soir, il faut accrocher les regards pour être invités à des soirées coquines. Nous n’avons rien à cacher puisque nous sommes nus toute la journée. Nous avons essayé des corsages transparents, des jupes ultra courte au raz de la moule, des guêpières avec portes jarretelles, des micro strings etc. ( Pour le reste je vous réserve la surprise quand nous y serons.) Annie avait neuf articles et moi cinq. J’étais en string et j’aidais Annie à agrafer son soutien gorge lorsque nous avons entendu Ahmed nous dire :
« - Alors mes chéries vous avez fait votre choix ? Vous êtes superbes toutes les deux et déjà bien bronzés. »
« - Oui, nous avons en tout quatorze tenues, j’espère que tu vas nous faire un prix comme la dernière fois. »
« - Non, ce n’est pas possible, vous voulez ma perte toutes les deux. »
« - Ce jeune garçon qui nous mate derrière nous n’a pas dix huit ans, il n’a pas le droit de rentrer dans ton sex shop ? » Lui demanda Annie intriguée.

« - Il vient d’avoir ses dix huit ans, je lui ai demandé une preuve lorsqu’il est venu la première fois et j’ai été surpris tout comme vous, c’est vrai qu’il ne fait pas son âge. Il ne faut pas plaisanter avec ces choses là, je risque la fermeture de ma boutique. Il est là pratiquement tous les jours. Je me demande même s’il n’est pas puceau. »
« - Bon, revenons à nos affaires, tu vas nous faire un bon prix j’espère ? »
« - Vous êtes dures avec moi, je suis d’accord pour vous faire un prix mais en retour j’aimerais que vous alliez donner un coup de main et même ouvrir vos lèvres pour aider la pauvre poulette qui est toute seule au glory hole pour faire des pipes à tous ces messieurs. Il y a du monde aujourd’hui et elle n’arrive pas à les satisfaire. »
« - On n’a vraiment rien sans rien avec toi. »
« - Tu connais les lieux ma belle, alors vas-y avec ta copine pendant que je vous annonce au micro. »
Nous sommes descendus au sous-sol pour entrer dans une salle sombre, éclairée d’un rouge fantomatique. Nous avons attendu que nos yeux s’accommodent du peu de luminosité. C’est alors que nous avons vu les trous dans les parois avec des bites qui dépassaient, une fille nue était en train de les sucer elle nous dit :
« - Enfin la relève, ce n’est pas trop tôt, j’en ai marre, cela fait deux heures que je suce des bites, j’en ai mal à la mâchoire, je me casse. »
Le micro s’est mis à grésiller et la voix d’Ahmed de dire :
« - Au cul messieurs, au cul jeunes gens, occupez toutes les loges du glory hole, Annie et Chantal sont allés rejoindre Lola pour s’occuper de vos queues. Il n’y aura pas de place pour tout le monde. Pressez-vous si vous voulez en profiter. Vous n’aurez pas l’occasion tous les jours. »
Comme par magie, répondant à cet appel, quatre tiges sont apparues à travers les trous percés à différentes hauteurs !

« - Il faudrait peut être enlever nos vêtements, tu ne crois pas ? Tu as vu la fille était nue et elle avait du sperme sur les seins. »
Nous avons laissé nos fringues sur une chaise à l’entrée, il y avait aussi des lingettes et des préservatifs. Nous sommes passés derrière le panneau pour découvrir que de nombreux coussins étaient alignés le long de la paroi. Pratique et commode, pour ne pas avoir mal aux genoux ! Je me suis agenouillée pour prendre ma première bite en bouche, imaginant le sourire sur ses lèvres du mec alors que ma langue entamait un mouvement circulaire autour de son gland. Annie en avait fait autant. En même temps qu’elle pompe, elle branlait la verge d’à côté d’une main. Au bout de quelques minutes, une autre queue apparut au travers de la paroi, une dizaine de centimètres à ma droite. Longue et relativement fine, légèrement recourbée vers le haut, et avec un beau gland bien rose : elle était appétissante ! C’est alors qu’à ma gauche je vis une troisième bite se faufiler dans un des trous du panneau. Plus courte et plus joufflue, elle me faisait aussi envie.

Sans y penser, je pris ces deux nouvelles arrivantes dans mes mains pour les caresser pendant que je continuais à sucer la queue que j’avais entreprise. Curieuse, je ne résistais pas longtemps à la tentation de goûter mes nouveaux partenaires mystérieux et je les prenais en bouche tour à tour : la petite joufflue, puis la longue mince.

J’étais transportée dans un monde de plaisirs intenses, je ne pensais plus à rien, je profitais seulement du moment. Lorsque la petite joufflue explosa dans ma bouche, j’accueillais avec délectation le sperme chaud sur ma langue. Elle fut rapidement remplacée par une nouvelle bite bien raide, que je me mis immédiatement à caresser.

Une deuxième queue jouit dans ma bouche. Elles furent remplacées de la même manière, et je continuais à caresser, masturber, lécher, sucer… c’était un rêve pour moi, un flux ininterrompu de belles bites bien raides à ma disposition. Je pouvais en profiter autant de ce que je voulais, il n’y avait pas de limites. Entre Annie et moi une petite bite, longue et fine est apparut dans un trou un peu plus bas. Je me suis arrêtée de sucer pour la montrer à ma copine qui s’en donnait à cœur joie également devant tous ces sexes en érection.

« - Ce doit être notre petit jeunot, qui nous matait dans la cabine d’essayage ? Tu veux qu’on le dépucelle ? » Lui dis-je.

Nous avons abandonné tous les autres pour s’occuper de lui. Annie lui décalotta le prépuce pour avoir accès à son gland. Sa bite était longue et fine mais bien dure. Elle enfourna sa queue en entier dans sa bouche pour le branler en l’enserrant entre ses lèvres. Je me suis levée, le dos collé contre la paroi en passant les jambes écartées au-dessus de ma copine de façon à ce que ce jeune garçon puisse passer ses deux mains par les trous prévus à cet effet un peu plus haut. Il passa ses bras autour de ma poitrine pour me caresser les seins. Il n’avait certainement jamais peloté une femme car il me faisait mal en pinçant mes petits bouts entre ses doigts, ils se sont mis à enfler. ( Ils avaient durci comme vous pouvez le voir sur mon avatar). Un membre noir épais de dimension impressionnante venait de passer par le trou de la loge d’à côté, j’ai tapoté sur la tête de ma copine, qui mettait du cœur à son ouvrage pour lui signaler cette nouvelle présence.

« - Celui là il est pour toi, ma chérie, laisse-moi le gamin. »
Elle passa de la chipolata à la saucisse de Morteau, le contraste était spectaculaire. Annie en avait plein la bouche, elle caressait avec sa langue les papilles à l’extrémité du puissant gland. Le noir avait réussi à passer ses testicules garnis de petits poils frisés au travers de l’ouverture. Annie dans un mouvement de va et vient était à son affaire et le black appréciait également en voyant sa verge tendue et raide au paroxysme de l’excitation. Elle lui tripotait les couilles en même temps. Moi j’étais revenue sur la biloute de mon jeune garçon qui bandait très fort lui aussi, si bien que je n’ai pas tardé à recevoir quelques belles giclées de sperme dans ma bouche et sur mon visage. Je me suis levée pour attraper et tendre un préservatif à ma copine. Elle me regarda d’un air interrogateur comme si elle attendait mon approbation pour se faire plaisir. Mais la tentation était trop grande, elle le déroula la capote sur le sexe de son désir, retira son string, se pencha en avant les fesses contre la paroi et dirigea avec sa main le pieu vers son antre de douceur. Je me suis placée devant elle pour la soutenir dans cette position. Elle faisait tout le travail de glissement de ce sexe qui trempait dans son bénitier. Des petits râles de jouissance commençaient à s’échapper de sa gorge, elle lâcha un cri plus aigu, qui a du s’entendre de l’autre côté de la paroi. Le noir venait de lui envoyer sa semence dans son petit creux à lui faire du bien.

« - Ton piercing à déjà fait des adeptes, je vois que tu as la côte maintenant avec les blacks, mon amour. »
« - Arrêtes de dire des bêtises, il n’a même pas eu l’occasion de voir ma choupinette. »
« - Heureusement autrement qu’est-ce que tu aurais pris, tu as vu la quantité de sirop de corps d’homme qu’il y avait dans la capote ? »
Nous avons fait une petite toilette rapide avec les lingettes qui étaient à notre disposition, puis nous nous sommes rhabillées et nous sommes sorties de ce glory hole pour rejoindre Ahmed au comptoir et récupérer nos achats. Il a encore fallut marchander pour qu’il baisse ses prix.

« - Alors, mes minettes, comment cela s’est passé votre séance dans le glory hole ? »
« - Parlons d’autre chose, tu veux. Je n’ai toujours pas reçu ton catalogue de lingerie que nous avons fait toutes les deux la dernière fois dans ton peep show. »
« - Je sais, il est en cours d’impression, je ne devrais pas tarder à les recevoir, je ne t’oublie pas ma chérie. »
Annie cherchait des yeux dans le magasin le noir avec lequel elle avait copulé, il n’était pas trop difficile à trouver, leurs regards se sont croisés, elle lui a sourit et son bel étalon noir, d’environ trente cinq ans lui a rendu montrant ses belles dents blanches et en lui faisant les yeux doux de la séduction. Il s’est approché de nous en lui adressant la parole :
« - C’est à vous que j’ai eu affaire dans le glory hole ? Je tiens à vous remercier, je dois vous dire que j’ai passé un agréable moment et que j’ai pris beaucoup de plaisir avec vous. Je regrette seulement de ne pas vous avoir tenu dans mes bras. Mais si vous le désirez nous pouvons réparer tout cela en se revoyant, vous avez un corps magnifique et je vous trouve très jolie. Je vous laisse mon numéro de téléphone, vous pouvez m’appeler pour un rendez-vous quand vous voulez pour que l’on fasse connaissance plus intimement. »
Annie à pris sa carte de visite sans lui dire un mot, elle était rouge jusqu’au bout de ses oreilles.