Un plaisir partagé est un plaisir double (19)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (19)
Un plaisir partagé est un plaisir double ( 19)
Aujourd’hui nous sommes invités chez Annie et André pour prendre le dessert, vers quatorze heures nous sonnons à leur porte avec un bouquet de fleurs pour ma petite amie et une bonne bouteille de vin pour son mari. La porte s’est entrebâillée et Annie à passé sa tête dans l’ouverture. « Entrez » nous dit-elle.
Dès la porte franchie, nous sommes surpris de voir ma copine complètement nue, elle qui d’ordinaire est toujours pimpante et coquette, pas de maquillage ni de bijoux mis à part celui qui pendait entre ses jambes.
« - Qu’est-ce qui t’arrives, tu n’as pas eu le temps de t’habiller ou tu n’as plus rien à te mettre ? »
« - Pas du tout, nous avons décidé que nous vivrons maintenant une journée de temps en temps, lorsqu’il fait beau complètement nus. C’est grâce à vous qui nous avez fait connaître les joies d’être naturistes. »
« - Tu aurais été mal si ce n’avait été nous qui avions sonné. »
Nous sommes rentrés dans le salon et en effet André était en train de regarder la télévision en buvant une bière à poil lui aussi. Il s’est levé pour venir nous embrasser et cela m’a fait tout drôle de le serrer dans mes bras dans le plus simple appareil alors que j’étais habillée. André passa sa main sous ma robe. Il a senti que je portais une petite culotte dessous il me dit :
« - Il va falloir que tu enlèves tout cela, il n’y a pas de place ici pour les voyeurs. »
« - Alors, qu’est-ce que tu attends pour me dénuder ? »
Il baissa la fermeture éclair de ma robe qui tomba à mes pieds dévoilant mon tanga échancré à petites fleurs bleues et jaunes pour rappeler le printemps. Il me baissa ensuite ma petite culotte, nous étions nus et nous nous sommes serrés dans nos bras en s’embrassant. Mon chéri s’est déshabillé aussi. Il se pencha pour regarder de plus près le piercing de ma copine.
« - Je suis le seul à ne pas avoir vu ce joli bijou, cette « dame de pique » que tu as choisi et qui te va à merveille. Tu connais la signification de cette parure ? C’est que tu aimes baiser particulièrement avec des blacks. »
André qui avait entendu lui dit :
« - Pourquoi as-tu choisi cela, tu as déjà eu une aventure avec un homme de couleur ? »
« - Qu’est-ce que tu racontes, j’ai opté pour ce bijou parce que je le trouvais beau et qu’il me plaisait sans en connaître la signification. (Oh ! La menteuse, elle est amoureuse.)Vas plutôt nous préparer le café plutôt que de dire des bêtises. »
« - Je m’excuse de t’avoir mise dans l’embarras, il va falloir que je me bronze le sexe cet été maintenant que je sais que tu as un faible pour les noirs. » Lui dit Bob.
Annie s’est collée contre de mon mari et lui prenant sa bite dans la main elle lui dit à l’oreille :
« - Même si elle est bien noire, tu ne penses pas qu’elle va manquer un peu de longueur, mais ne t’inquiète pas tu es mon amant préféré et tu pourras toujours tremper ton biscuit dans ma tasse de thé, mon chou. » Elle s’est pendue à son cou et ils se sont roulé une pelle.
« - Il fait beau nous pouvons manger le gâteau dehors, mais il va falloir aller chercher la table et quatre chaises au fond du jardin pour se mettre dans le petit coin qui est à l’abri des regards des voisins. Vous faites cela les hommes ? » C’est nu qu’ils ont traversé la pelouse pour accomplir leur tâche. Annie me dit pendant que nos maris n’étaient pas là :
« - Tu te souviens d’Enzo ? »
« - C’est qui celui là ? »
« - Ne fais l’ignorante, c’est le noir avec qui nous avons fait connaissance au sex shop. »
« - C’est toi qui as eu des accointances avec lui, moi je n’ai pas eu sa carte de visite et son numéro de téléphone qui me permettait de connaître son prénom. »
« - Ce Enzo est coach sportif dans la salle de sport de ****** ( je cache le nom de la ville pour ne pas lui attirer des ennuis) Serais-tu d’accord pour m’accompagner pour aller y faire un peu de sport, jeudi je suis de repos. »
« - Si tu veux, mais je crois surtout que tu veux te remémorer un délice sexuel que tu as connu, je vais prendre un RTT, tu passeras me prendre ? »
« - De quoi parlez-vous mesdames ? »
« - Nous avons envie de nous remettre au sport et je vais y aller avec Chantal jeudi pour voir comment cela se passe, si tu n’y vois pas d’inconvénients mon chéri. »
Nous avons continué à discuter de nos futures vacances naturistes au soleil à l’abri des voisins en prenant le dessert. Tard dans l’après-midi Annie nous demanda si nous voulions allez dans leur jacuzzi qu’il avait sur leur terrasse à l’abri des regards. Il commençait à faire frais et c’est avec une sensation de bien-être que nous sommes rentrés dans l’eau chaude. Les femmes se sont mises ensemble et nos hommes étaient en face de nous. Je me suis mis dos à elle, et descendis progressivement dans l’eau pour m’asseoir entre ses jambes. Sa main gauche se dirigea vers l’endroit où j’allais m’asseoir et elle présenta son doigt tendu contre mon anus. Son doigt s’enfonça progressivement en moi, tout en douceur. Au lieu de m’asseoir, je me mis sur ses genoux entre ses jambes, offrant ma croupe à ma partenaire. Gardant son doigt enfoncé dans mon anus, l’autre main attrapa mon sein droit et me le pelota, en titillant mon téton du bout du doigt, qui ne tarda pas à se dresser. ( Comme vous pouvez le voir sur mon avatar) Je restai un moment ainsi, offerte à ma compagne qui me caressait. Le plaisir montait doucement en moi, lentement mais inexorablement. Un bienfait que l’on a du mal à interrompre. Sa main quitta mon téton pour se diriger vers mon sexe. Et ce faisant, elle poussa un deuxième doigt dans mon anus, en douceur, en veillant à ce que je ne souffre pas.
Je commençais à être sérieusement excitée et ma copine en profita pour me caresser le clitoris. Je m’agrippais des deux mains sur le bord du jacuzzi. Elle a réussit à m’offrir un orgasme puissant, que j’ai accompagné d’un cri de plaisir. Un peu essoufflée, je me suis tournée vers elle, et posant mes lèvres sur les siennes, je l’ai embrassé, la remerciant de m’avoir donné ce plaisir. Je m’écartais légèrement et ma main plongea dans l’eau pour aller à la rencontre de son sexe.
Nos hommes étaient aux premières loges et se divertissaient devant le ballet bisexuel très sensuel que nous leur proposons. J’adore malaxer la jolie poitrine plantureuse d’Annie, je l’ai saisi par les fesses pour l’attirer vers moi et frotter mon minou contre le sien. Nos mains se promènent partout, sur nos seins, nos hanches, notre pubis. Nous nous embrassons fougueusement. Je lâche son sein gauche pour venir chercher son clito momentanément disponible. Elle a sa chatte largement ouverte, les lèvres dilatées et son clitoris bien érigé, c’est un vrai plaisir que de le lui caresser. Elle bouge bien des hanches, en rythme avec ma caresse intime, pour que mes doigts appuient bien sur son petit bouton rose, je sens sa respiration s’accélérer. Mais elle se redresse un peu, elle semble vouloir que je m’intéresse aussi à l’étage inférieur, ce que je fais de suite, insérant délicatement deux doigts dans son vagin. Dans ma position derrière elle, je ne peux enfoncer mes doigts assez loin pour bien la ramoner, malgré ses mouvements coopératifs. Elle finit par me retirer doucement la main pour que je revienne sur son bouton d’amour.
Annie était sortie de l’eau pour s’asseoir sur le rebord de jacuzzi, penchée en arrière elle m’écarta ses cuisses pour que je lui broute son fourreau de chair. A quatre pattes dans le bain, alors que mes seins trempaient dans l’eau bouillonnante du jacuzzi et que je faisais du bien à ma copine en lui boulottant de son délicat bonbon, une main caressa la raie de mes fesses de ma choupinette à mon troufignon. Deux doigts se sont engouffrés dans ma cramouille et un autre un peu plus gros que je supposais être son pouce se glissa dans mon cul.
Mon mari s’est levé pour s’asseoir à côté ma copine pour la prendre dans ses bras et l’embrasser. Il lui pétrissait un sein. Elle était bien roulée et cela devait le changer de mon 85C. Pendant ce temps son mari s’occupait de moi, histoire de bien s’assurer de la dilatation optimale de mon anus, il me caressa ma petite rondelle. Ne pouvant guère faire plus avec sa main, il se recula une dernière fois et posa ses paumes sur mes fesses. Il les écarta tant qu’il pouvait. Je sentis sa bite s’approcher de mon petit trou, jusqu’à ce que le gland vienne buter tout contre. Il le fit passer tout autour du puits, comme il l’avait fait un peu plutôt avec son doigt. Enfin, il se mit à appuyer au centre, très doucement, mais fermement. Je me rappelai alors du bon conseil, qu’il m’avait donné auparavant. Je poussais fort sur mes sphincters.
André profita de la légère ouverture de mon orifice anal pour accentuer la pression et la tête de son nœud rentra presque sans forcer dans mon fondement. Son membre était très gros et fort.
Dès qu’il fut bien en place dans mon cul, il se mit à aller et venir très lentement. Il n’y avait pas la moindre violence dans ses gestes. J’avais l’anus qui chauffait et le ventre qui fourmillait. Ce n’était pas agréable tout de suite. Le plaisir vint doucement, au fur et à mesure que mon corps s’adaptait à l’intromission du membre de mon copain. Heureusement celui-ci continua de se montrer attentionné à mon égard. Il passa une main sous mes cuisses et dirigea ses doigts vers mon entrejambe. Il me força à relever légèrement le bassin et il me branla pendant tout le temps qu’il passe dans mes fesses. Le pouce dans ma chatte, il me massait le clito avec son index et son majeur joint. Cela en était plus qu’il n’en fallait pour me satisfaire. Au fil des minutes, je devenais de plus en plus réactive. Je balançais mes hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur son doigt que sur sa pine. Il n’avait presque plus à remuer, tellement j’étais agitée. Survoltée, je faisais tout mon possible pour me sentir encore mieux remplie. A la fin, il se mit tout de même à accélérer la cadence. Je crois qu’il voulait jouir. Il devait être très excité par le spectacle que je lui donnais, celui d’une femme ivre de sexe et assoiffée de plaisir.
Je ne saurai pas vous dire qui de nous deux à joui en premier. Ce que je sais par contre, c’est que l’orgasme que j’ai eu n’avait rien de commun avec ceux que je ressentais habituellement. J’ai eu l’impression que sa bite me remplissait mon canal anal de son sperme, tant ses convulsions étaient intenses. Nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de mon anus. J’étais épuisée, la tête sur les cuisses de ma copine, elle me caressait le visage. C’était la première fois que je me faisais enculer par son mari, mais André avait été cette fois caressant, affectueux et bienveillant avec moi.
Je venais de me faire entuber et prendre du plaisir avec le copain de mon chéri devant lui. Lorsque nous sommes sortis du bain bouillonnant, il est venu me prendre dans ses bras et m’embrassa. (Sa façon à lui de m’autoriser et de m’encourager à prendre du plaisir avec un autre homme.) La liqueur du corps d’André s’échappait encore de mon trou de balle et coulait le long de mes cuisses.
Pendant que nous buvons du champagne, mon chéri expliqua ce qui venait de germer dans sa tête il nous dit :
« - Je vous propose un petit jeu pour notre prochaine rencontre que j’appellerais «t’es pas cap » cela consiste en faire des photos de dogging de nos femmes. C’est à dire qu’André et moi devons avec notre portable prendre nos épouses en train de montrer leurs seins, leurs fesses ou leurs chattes, en s’exhibant dans des endroits publics. Les photos prises en considérations seront celles sur lesquelles nous verrons sur la photo, nos femmes en présence d’au moins une personne présente ( cet individu pourra être une femme ou un homme qui a ou pas remarqué la partie du corps dévoilé par nos chéries, c’est simplement pour montrer que la photo à bien été prise en public). La gagnante sera celle qui nous montrera le plus de photos, et gagnera un ensemble de dessous, slip et soutien gorge pour ne plus se promener sans culotte et sans son sous tif et son mari photographe : une bouteille de champagne pour arroser la reine du dogging. »
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Aujourd’hui nous sommes invités chez Annie et André pour prendre le dessert, vers quatorze heures nous sonnons à leur porte avec un bouquet de fleurs pour ma petite amie et une bonne bouteille de vin pour son mari. La porte s’est entrebâillée et Annie à passé sa tête dans l’ouverture. « Entrez » nous dit-elle.
Dès la porte franchie, nous sommes surpris de voir ma copine complètement nue, elle qui d’ordinaire est toujours pimpante et coquette, pas de maquillage ni de bijoux mis à part celui qui pendait entre ses jambes.
« - Qu’est-ce qui t’arrives, tu n’as pas eu le temps de t’habiller ou tu n’as plus rien à te mettre ? »
« - Pas du tout, nous avons décidé que nous vivrons maintenant une journée de temps en temps, lorsqu’il fait beau complètement nus. C’est grâce à vous qui nous avez fait connaître les joies d’être naturistes. »
« - Tu aurais été mal si ce n’avait été nous qui avions sonné. »
Nous sommes rentrés dans le salon et en effet André était en train de regarder la télévision en buvant une bière à poil lui aussi. Il s’est levé pour venir nous embrasser et cela m’a fait tout drôle de le serrer dans mes bras dans le plus simple appareil alors que j’étais habillée. André passa sa main sous ma robe. Il a senti que je portais une petite culotte dessous il me dit :
« - Il va falloir que tu enlèves tout cela, il n’y a pas de place ici pour les voyeurs. »
« - Alors, qu’est-ce que tu attends pour me dénuder ? »
Il baissa la fermeture éclair de ma robe qui tomba à mes pieds dévoilant mon tanga échancré à petites fleurs bleues et jaunes pour rappeler le printemps. Il me baissa ensuite ma petite culotte, nous étions nus et nous nous sommes serrés dans nos bras en s’embrassant. Mon chéri s’est déshabillé aussi. Il se pencha pour regarder de plus près le piercing de ma copine.
« - Je suis le seul à ne pas avoir vu ce joli bijou, cette « dame de pique » que tu as choisi et qui te va à merveille. Tu connais la signification de cette parure ? C’est que tu aimes baiser particulièrement avec des blacks. »
André qui avait entendu lui dit :
« - Pourquoi as-tu choisi cela, tu as déjà eu une aventure avec un homme de couleur ? »
« - Qu’est-ce que tu racontes, j’ai opté pour ce bijou parce que je le trouvais beau et qu’il me plaisait sans en connaître la signification. (Oh ! La menteuse, elle est amoureuse.)Vas plutôt nous préparer le café plutôt que de dire des bêtises. »
« - Je m’excuse de t’avoir mise dans l’embarras, il va falloir que je me bronze le sexe cet été maintenant que je sais que tu as un faible pour les noirs. » Lui dit Bob.
Annie s’est collée contre de mon mari et lui prenant sa bite dans la main elle lui dit à l’oreille :
« - Même si elle est bien noire, tu ne penses pas qu’elle va manquer un peu de longueur, mais ne t’inquiète pas tu es mon amant préféré et tu pourras toujours tremper ton biscuit dans ma tasse de thé, mon chou. » Elle s’est pendue à son cou et ils se sont roulé une pelle.
« - Il fait beau nous pouvons manger le gâteau dehors, mais il va falloir aller chercher la table et quatre chaises au fond du jardin pour se mettre dans le petit coin qui est à l’abri des regards des voisins. Vous faites cela les hommes ? » C’est nu qu’ils ont traversé la pelouse pour accomplir leur tâche. Annie me dit pendant que nos maris n’étaient pas là :
« - Tu te souviens d’Enzo ? »
« - C’est qui celui là ? »
« - Ne fais l’ignorante, c’est le noir avec qui nous avons fait connaissance au sex shop. »
« - C’est toi qui as eu des accointances avec lui, moi je n’ai pas eu sa carte de visite et son numéro de téléphone qui me permettait de connaître son prénom. »
« - Ce Enzo est coach sportif dans la salle de sport de ****** ( je cache le nom de la ville pour ne pas lui attirer des ennuis) Serais-tu d’accord pour m’accompagner pour aller y faire un peu de sport, jeudi je suis de repos. »
« - Si tu veux, mais je crois surtout que tu veux te remémorer un délice sexuel que tu as connu, je vais prendre un RTT, tu passeras me prendre ? »
« - De quoi parlez-vous mesdames ? »
« - Nous avons envie de nous remettre au sport et je vais y aller avec Chantal jeudi pour voir comment cela se passe, si tu n’y vois pas d’inconvénients mon chéri. »
Nous avons continué à discuter de nos futures vacances naturistes au soleil à l’abri des voisins en prenant le dessert. Tard dans l’après-midi Annie nous demanda si nous voulions allez dans leur jacuzzi qu’il avait sur leur terrasse à l’abri des regards. Il commençait à faire frais et c’est avec une sensation de bien-être que nous sommes rentrés dans l’eau chaude. Les femmes se sont mises ensemble et nos hommes étaient en face de nous. Je me suis mis dos à elle, et descendis progressivement dans l’eau pour m’asseoir entre ses jambes. Sa main gauche se dirigea vers l’endroit où j’allais m’asseoir et elle présenta son doigt tendu contre mon anus. Son doigt s’enfonça progressivement en moi, tout en douceur. Au lieu de m’asseoir, je me mis sur ses genoux entre ses jambes, offrant ma croupe à ma partenaire. Gardant son doigt enfoncé dans mon anus, l’autre main attrapa mon sein droit et me le pelota, en titillant mon téton du bout du doigt, qui ne tarda pas à se dresser. ( Comme vous pouvez le voir sur mon avatar) Je restai un moment ainsi, offerte à ma compagne qui me caressait. Le plaisir montait doucement en moi, lentement mais inexorablement. Un bienfait que l’on a du mal à interrompre. Sa main quitta mon téton pour se diriger vers mon sexe. Et ce faisant, elle poussa un deuxième doigt dans mon anus, en douceur, en veillant à ce que je ne souffre pas.
Je commençais à être sérieusement excitée et ma copine en profita pour me caresser le clitoris. Je m’agrippais des deux mains sur le bord du jacuzzi. Elle a réussit à m’offrir un orgasme puissant, que j’ai accompagné d’un cri de plaisir. Un peu essoufflée, je me suis tournée vers elle, et posant mes lèvres sur les siennes, je l’ai embrassé, la remerciant de m’avoir donné ce plaisir. Je m’écartais légèrement et ma main plongea dans l’eau pour aller à la rencontre de son sexe.
Nos hommes étaient aux premières loges et se divertissaient devant le ballet bisexuel très sensuel que nous leur proposons. J’adore malaxer la jolie poitrine plantureuse d’Annie, je l’ai saisi par les fesses pour l’attirer vers moi et frotter mon minou contre le sien. Nos mains se promènent partout, sur nos seins, nos hanches, notre pubis. Nous nous embrassons fougueusement. Je lâche son sein gauche pour venir chercher son clito momentanément disponible. Elle a sa chatte largement ouverte, les lèvres dilatées et son clitoris bien érigé, c’est un vrai plaisir que de le lui caresser. Elle bouge bien des hanches, en rythme avec ma caresse intime, pour que mes doigts appuient bien sur son petit bouton rose, je sens sa respiration s’accélérer. Mais elle se redresse un peu, elle semble vouloir que je m’intéresse aussi à l’étage inférieur, ce que je fais de suite, insérant délicatement deux doigts dans son vagin. Dans ma position derrière elle, je ne peux enfoncer mes doigts assez loin pour bien la ramoner, malgré ses mouvements coopératifs. Elle finit par me retirer doucement la main pour que je revienne sur son bouton d’amour.
Annie était sortie de l’eau pour s’asseoir sur le rebord de jacuzzi, penchée en arrière elle m’écarta ses cuisses pour que je lui broute son fourreau de chair. A quatre pattes dans le bain, alors que mes seins trempaient dans l’eau bouillonnante du jacuzzi et que je faisais du bien à ma copine en lui boulottant de son délicat bonbon, une main caressa la raie de mes fesses de ma choupinette à mon troufignon. Deux doigts se sont engouffrés dans ma cramouille et un autre un peu plus gros que je supposais être son pouce se glissa dans mon cul.
Mon mari s’est levé pour s’asseoir à côté ma copine pour la prendre dans ses bras et l’embrasser. Il lui pétrissait un sein. Elle était bien roulée et cela devait le changer de mon 85C. Pendant ce temps son mari s’occupait de moi, histoire de bien s’assurer de la dilatation optimale de mon anus, il me caressa ma petite rondelle. Ne pouvant guère faire plus avec sa main, il se recula une dernière fois et posa ses paumes sur mes fesses. Il les écarta tant qu’il pouvait. Je sentis sa bite s’approcher de mon petit trou, jusqu’à ce que le gland vienne buter tout contre. Il le fit passer tout autour du puits, comme il l’avait fait un peu plutôt avec son doigt. Enfin, il se mit à appuyer au centre, très doucement, mais fermement. Je me rappelai alors du bon conseil, qu’il m’avait donné auparavant. Je poussais fort sur mes sphincters.
André profita de la légère ouverture de mon orifice anal pour accentuer la pression et la tête de son nœud rentra presque sans forcer dans mon fondement. Son membre était très gros et fort.
Dès qu’il fut bien en place dans mon cul, il se mit à aller et venir très lentement. Il n’y avait pas la moindre violence dans ses gestes. J’avais l’anus qui chauffait et le ventre qui fourmillait. Ce n’était pas agréable tout de suite. Le plaisir vint doucement, au fur et à mesure que mon corps s’adaptait à l’intromission du membre de mon copain. Heureusement celui-ci continua de se montrer attentionné à mon égard. Il passa une main sous mes cuisses et dirigea ses doigts vers mon entrejambe. Il me força à relever légèrement le bassin et il me branla pendant tout le temps qu’il passe dans mes fesses. Le pouce dans ma chatte, il me massait le clito avec son index et son majeur joint. Cela en était plus qu’il n’en fallait pour me satisfaire. Au fil des minutes, je devenais de plus en plus réactive. Je balançais mes hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur son doigt que sur sa pine. Il n’avait presque plus à remuer, tellement j’étais agitée. Survoltée, je faisais tout mon possible pour me sentir encore mieux remplie. A la fin, il se mit tout de même à accélérer la cadence. Je crois qu’il voulait jouir. Il devait être très excité par le spectacle que je lui donnais, celui d’une femme ivre de sexe et assoiffée de plaisir.
Je ne saurai pas vous dire qui de nous deux à joui en premier. Ce que je sais par contre, c’est que l’orgasme que j’ai eu n’avait rien de commun avec ceux que je ressentais habituellement. J’ai eu l’impression que sa bite me remplissait mon canal anal de son sperme, tant ses convulsions étaient intenses. Nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de mon anus. J’étais épuisée, la tête sur les cuisses de ma copine, elle me caressait le visage. C’était la première fois que je me faisais enculer par son mari, mais André avait été cette fois caressant, affectueux et bienveillant avec moi.
Je venais de me faire entuber et prendre du plaisir avec le copain de mon chéri devant lui. Lorsque nous sommes sortis du bain bouillonnant, il est venu me prendre dans ses bras et m’embrassa. (Sa façon à lui de m’autoriser et de m’encourager à prendre du plaisir avec un autre homme.) La liqueur du corps d’André s’échappait encore de mon trou de balle et coulait le long de mes cuisses.
Pendant que nous buvons du champagne, mon chéri expliqua ce qui venait de germer dans sa tête il nous dit :
« - Je vous propose un petit jeu pour notre prochaine rencontre que j’appellerais «t’es pas cap » cela consiste en faire des photos de dogging de nos femmes. C’est à dire qu’André et moi devons avec notre portable prendre nos épouses en train de montrer leurs seins, leurs fesses ou leurs chattes, en s’exhibant dans des endroits publics. Les photos prises en considérations seront celles sur lesquelles nous verrons sur la photo, nos femmes en présence d’au moins une personne présente ( cet individu pourra être une femme ou un homme qui a ou pas remarqué la partie du corps dévoilé par nos chéries, c’est simplement pour montrer que la photo à bien été prise en public). La gagnante sera celle qui nous montrera le plus de photos, et gagnera un ensemble de dessous, slip et soutien gorge pour ne plus se promener sans culotte et sans son sous tif et son mari photographe : une bouteille de champagne pour arroser la reine du dogging. »
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