Un plaisir partagé est un plaisir double (24)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (24)
Un plaisir partagé est un plaisir double ( 24)
Je suis bien ennuyée, je viens de recevoir de mon Maître un coup de téléphone me demandant de venir ce soir au donjon en me disant qu'il avait des invités de marque. Mon Maître m'a demandé de venir en tenue SM. J’en ai profité pour lui recommander ma copine en lui imposant sa présence. Comme il était à court de femmes il n’a pas pu me refuser sa présence pour animer sa soirée. Bien sur, je lui ai expliqué que pour elle c’était une première, bien qu’il soit réticent au début, il a tout de même accepté.
De suite après j’ai téléphoné à Annie en lui disant que nous avons un rendez-vous au donjon le soir même et pour une bonne partie de la nuit. J’ai vu qu’elle était ennuyée ne sachant pas trop comment annoncer cela à son mari.
Je sais que le mien n’est pas d'accord pour que je me rende à ce genre de rendez-vous mais il est très ouvert d'esprit et ne m'a jamais interdit de me rendre au donjon, bien que l’entrée lui soit interdite. Je pense qu’elle n’a pas mis au courant son mari que je lui avais proposé de nous rendre ensemble en Belgique pour une initiation SM. Une heure plus tard elle me rappelait pour me dire qu’elle arrivait chez moi.
« - Comment as-tu convaincu ton mari pour qu’il accepte que tu m’accompagne ? »
« - J’ai prétexté que tu m’avais appelé pour participer à un enterrement de vie de jeune fille d’une de tes copines. »
Nous nous sommes préparées en nous épilant les quelques poils qui avaient repoussé sur nos pubis et je lui ai fais essayer une tenue en cuir pour nous rendre à notre rendez-vous avec un petit sac de voyage comprenant des dessous, nos chaussures à talon aiguille et une paire de cuissardes. J'ai pris plusieurs tenues sexy pour pouvoir nous changer. Et nous nous sommes mises en route pour la Belgique.
Nous sommes arrivés vers seize heures devant la demeure du Maître je me suis présentée à l’Interphone comme il se doit :
« - C'est le numéro 23 pour le donjon. »
Et le lourd portail d'entrée s'est ouvert. Il n’y avait aucune voiture dans la cour du château sauf la notre. J'ai frappé trois fois à la porte avec une certaine appréhension et le trouillomètre à zéro ne sachant pas à quelle sauce nous allons être mangées cette nuit. Bien que Bob ne puisse pas m'accompagner dans ce genre de réunion, je me sens plus rassurée lorsqu'il m’attend à l'extérieur, c'est idiot mais c'est comme cela.
La porte vient de s'ouvrir, j'annonce une nouvelle fois :
« - Je suis le n°23 et je suis accompagnée de ma copine, le Maître est au courant. »
Le major d'homme nous accompagne jusqu'à la salle de torture que je connaissais déjà pour y avoir été éduquée. Maître Jean était présent et nous a reçu, en slip zippé et tout de cuir vêtu avec un martinet à la main.
« - Tu as fais bonne impression la dernière fois, si bien que l'un de mes invités te voulais absolument ce soir et si je t'ai fait venir un peu plus tôt c'est pour m'assurer que tu n'as rien perdu de l'apprentissage de soumission que je t'ai enseigné et en même temps initier ta copine avant de recevoir mes invités. Tu peux te déshabiller numéro 23 et ta copine aussi. Mais auparavant je dois lui faire lire et signer le contrat de fidélité dans lequel elle s’engage. »
Voici les termes du contrat que j’ai également signé quelque temps plutôt.
- La soumise s’engage à accepter toutes les pratiques sexuelles ou non et humiliations que ce soit en public ou en privé.
- La soumise s’engage à porter tout accessoire sexuel ou tenue imposée en tout lieu et à tout moment.
- La soumise laisse l’accès et le contrôle total de sa sexualité et de son intimité à son Maître.
- La soumise n’a aucun secret pour son Maître et a obligation de vérité dans ses réponses.
- La soumise doit entretenir avec son Maître une communication honnête et ouverte.
- La soumise doit révéler ses pensées, ses sentiments et ses désirs sans hésitation et sans gêne et informer le Maître de ses souhaits et de ses besoins perceptibles.
- La soumise a droit à des mots de sécurité.
- La soumise doit se conformer aux directives de vie que lui indiquera son Maître.
- La soumise doit obéir aux ordres de son Maître, à veiller constamment à la satisfaction de ses désirs.
Tout manquement implique une punition ou la résiliation du présent traité en cas de faute grave.
La lingerie est au cœur du jeu ! Elle attire les regards et attise l’excitation c’est pour cela que j’ai prêté à Annie un body imitation cuir ouvert aux fesses sublimé par des lanières, ouvert entre jambes. Il mettait en valeur sa généreuse poitrine, une couture cintrée remontait sous ses seins leur laissant toute la place pour s'épanouir. Il a fallut que j’insiste et que je lui montre que l’on voyait également mon sexe et mes seins pour qu’elle porte ce justaucorps. Moi je portais une guêpière en vinyle noire seins nus et courte maintenus par deux sangles qui passaient de chaque côté de ma vulve avec des portes jarretelles pour accrocher mes bas résilles.
Notre Maître fut surpris de nous voir dans ces accoutrements SM lorsque nous avons ôté nos robes.
« - Je vais maintenant t’introniser pour que tu sois une soumise fidèle à ton Maître, agenouilles toi devant moi tête baissée. »
Annie s’exécute, genoux par terre, elle prend la main droite du Maître et lui embrasse le dos, lentement et sensuellement. Puis elle pose délicatement son front sur le dos de la main de son Maître. Son initiateur lui fait une caresse pour lui montrer son attachement et retirera sa main. Il a ouvert la fermeture éclair de son slip en cuir en lui présentant son sexe en érection devant la bouche pour qu’elle le suce avec douceur et application en jouant d abord avec le gland puis la hampe au moins deux minutes. Ensuite il lui fait faire quelques allers retours sur son sexe, jusqu’à sa racine et l’oblige à rester immobile avec son sexe au fond de sa gorge en attendant que le Maître la libère. Son dominateur à ce moment lui passe un collier autour de son cou et la séance peut commencer.
Pratiquement nue en guêpière et en bas, Maître Jean m'attache à la croix qui était fixée au mur. Il me pose un bandeau noir sur les yeux et des pinces sur les tétons.
Il commence à me fouetter la vulve d'abord doucement puis en me cravachant de plus en plus fort, mon sexe commence à me chauffer. Entre mes jambes ouvertes il posa un gode sur le bord de ma fente et écartant mes lèvres de ses deux mains, puis il me l'enfonce dans le vagin en le maintenant avec un doigt jusqu'à le faire disparaître complètement dans mon trou.
« - Fais travailler ton muscle constricteur de ta vulve pour maintenir le gode à l'intérieur de ton vagin sans que je le maintienne. Les Japonaises, le travaille régulièrement pour offrir du plaisir à leur partenaire. »
J’obéis en silence pour ne pas subir l'emportement de mon Maître. Bien que je fasse mon possible pour garder cet intrus entre les cuisses je sentais qu'il ressortait lentement hors de mon orifice.
Pendant ce temps, il avait attaché d’Annie, la face contre une table en lui mettant un bandeau sur les yeux et lui donnait des coups de cravache sur les fesses. Je la voyais se tortiller sur la table et elle criait après chaque coup. Il lui posa une boule de silicone sur la bouche pour l’empêcher de gémir. Il continua de lui cingler les fesses qui étaient maintenant toute rouges. Puis il lui enfonça la tête d’un énorme gode vibrant noir sur le bord des lèvres de sa chatte. Le gland était le double de celui de Doan qu’elle avait eu l’occasion de tester.
Maître Jean s'était rendu compte que le godmichet était en train de sortir de mon orifice et il n'était pas content du tout.
« - Tu ne fais aucun effort, ce n'est pas ce que je t'ai ordonné, je vais être obligé de te punir pour que tu comprennes. »
Il me détacha de la croix pour m'allonger sur une table en me demandant de bien écarter mes cuisses en guidant mes pieds sur un reposoir comme sur une table gynécologique puis il m'attacha les mains au-dessus de ma tête. La chatte écartelée, il plaça des pinces sur mes grandes et petites lèvres en leur pratiquant une élongation.
Il m'a laissé seule un bon moment dans cette position. La violente douleur que j'avais ressentie à la pose des brucelles et à l'étirement de mes lèvres avait pratiquement disparue. Si bien que mon Maître qui devait connaître cela, vint me retrouver pour tirer un peu plus sur mes escalopes pour les faire sortir en dehors de ma fente. Le temps passé dans cette position m'a semblé une éternité. Pour oublier un peu cette nouvelle douleur, je pensais à mon compagnon qui n'arrivait pas à comprendre que je prenne du plaisir de subir ces séances SM.
Il nous laissa toutes les deux un bon moment, j’essayais de parler à ma copine mais avec le bâillon qu’elle avait sur la bouche, elle ne pouvait guère me répondre.
La porte de la salle des tortures s'ouvrit de nouveau
« - Bon, je crois que tu as compris maintenant numéro 23, je ne t'ai pas entendu geindre, je vais donc te libérer. » Me dit-il en me retirant mes pinces de mon sexe une à une.
« - Je te sens que vous êtes prêtes toutes les deux, vous serez des soumises parfaites pour mes hôtes. Déshabilles-toi, je vais te remettre sur la croix avec ton gode dans la chatte et cette fois tu n'as pas intérêt à ce qu'il glisse ».
« - Et toi, tu vas te mettre nue, je vais t’attacher sur ces planches en bois, je veux t’essayer avant de t’offrir à mes invités. »
Annie retira sans broncher tous ses habits, elle qui avait peur de se montrer nue la première fois avec celui qui était en train de devenir son Maître se dépoilait sans pudeur devant lui.
Elle s’allongea sur son lit de bois, le Maître lui attacha les mains en croix avec des grosses cordes, puis les pieds en maintenant ses jambes en lui faisant faire le grand écart et il lui posa un bandeau sur les yeux. Annie respirait fortement et acceptait cette souffrance sans rien dire. Je voyais ses jolis seins et son ventre se dilater et s’amplifier au rythme de sa respiration. De ma croix, sur laquelle j’étais attachée, je ne pouvais pas voir son sexe écartelé qu’elle offrait pour la première fois à son Maître. J’imaginais sa fissure ouverte telle une crevasse. J’ai vu par contre son initiateur ouvrir une nouvelle fois la fermeture de son slip et sortir son pieu sur lequel il déroula un préservatif et pénétrer ma copine sauvagement. Son corps entier s’est mis à tressaillir, à s’agiter, à onduler et à frémir. Elle n’a pas pu retenir un gémissement et une petite larme s’est mise à perler au coin de son œil. Après avoir baiser ma copine notre Maître quitta de nouveau la pièce.
Je regrettais à cet instant de l’avoir entraîné dans ce lieu de perversion et de débauche. Je pouvais maintenant parler à Annie :
« - Comment tu vas ? Est-ce qu’il t’a fait mal ma chérie ? »
« - Oui j’ai eu mal lorsqu’il m’a attaché les jambes en faisant le grand écart, mais très vite la douleur s’est estompée et j’ai ressenti une certaine excitation lorsqu’il m’a investi. Une chaleur intense est remontée le long de mon corps et je ne pensais plus à ma souffrance. »
« - C’est inimaginable, jamais je n’arriverais à écarter mes jambes comme tu le fais ? »
« - J’ai fais trois ans de danse classique dans mon enfance mais je vois que j’ai encore de bons restes, j’ai tout de même souffert lorsqu’il m’a obligé à faire un grand jeté sans aucun échauffement. »
Je me suis posé plein de questions car l'attente devenait interminable, je commençais à avoir froid et Annie certainement aussi d’être nues dans cette cave sans chauffage. Je me souvenais encore de ce que m'avait dit mon mari lorsque je lui avais dit que j’aimerais bien connaître les plaisirs du SM :
« - Ces séances de sado-maso, tu sais où cela commence mais tu ne sais pas où cela peut s'arrêter. »
Et j'avais un peu peur de ce que nous allions subir comme sévices ce soir, combien d'hommes seront présents et que vont-ils nous faire étant leurs soumises pour la soirée, nos corps devaient leur appartenir sans se plaindre. Je me demandais aussi si mes lèvres qui me brûlaient encore allaient reprendre leur place entre les cotylédons de ma chatte après avoir subit cette élongation. La porte s’ouvrit enfin.
Mon Maître s’approcha de moi pour me détacher de ma croix, il glissa sa main entre mes cuisses pour en retirer le gode qu'il m'avait enfoncé et me félicita de l'avoir gardé ce n'était pas comme un plug que l'on garde dans le fion, qui est maintenu par le sphincter par sa forme en olive. Il me demanda de me rhabiller en m'aidant à agrafer ma guêpière dans le dos puis il me prit dans ses bras et m'embrassa tout en me caressant ma chatte humide. J'avais l'impression que mes lèvres étaient plus épaisses après le traitement qu'elles venaient de subir. Je pense que ce long baiser était ma récompense d'avoir obéit à ses ordres.
Il libéra ensuite Annie de ses liens, cette fois j’ai vu sa jolie chatte accueillante, généreusement ouverte découvrant son gracieux et délicieux bourgeon qui pointait vers l’extérieur. Sa déchirure offrait une entrée de grotte dans laquelle n’importe lequel des spéléologues aimerait s’y rendre pour en découvrir les richesses.
Notre Maître était revenu avec une multitude de tenues coquines noires, des guêpières, des strings, des soutiens gorges dont beaucoup sont en cuir.
« - Tous les participants sont maintenant arrivés, je vais choisir vos vêtements pour vous habiller avant de rejoindre mes hôtes. Je compte sur vous numéro 23 et sur toi, dont le numéro sera désormais le 35. Sachant que l’anonymat doit être respecté pour tous, vous devez vous faire connaître simplement par votre numéro. »
Nous avons été préparées dans la salle des tortures et habillée par notre mentor. Il a affublé Annie d’un harnais muni de chaînettes qui subliment sa poitrine et se rejoignent au milieu du dos, tout en maintenant la structure du harnais en vinyle bien en place. Deux caches tétons adhésifs complètent la tenue. Ils sont eux-mêmes reliés par une chaîne, un porte jarretelle, un string, des bas résilles et des chaussures à talons aiguilles terminent de la parer. Pour moi il a prévu de me vêtir de rouge avec une guêpière que s’ouvre sur un dos nu et qui met en valeur la rondeur de mes fesses, de fines bandes de résille décorent la guêpière et la culotte. La paire de bas résille rouge sans jarretière termine mon ensemble sexy et élégant et des cuissardes.
Il était l'heure de nous faire entrer dans la cage aux fauves pour rencontrer nos partenaires de ce soir. Notre Maître et patron nous a conduit avec une laisse et des menottes aux poignées comme toute bonne esclave qui doit être offerte et nous avait recouvertes toutes les deux d’une longue cape noire.
Avant d'entrer dans la salle où nos participants attendaient, Maître Jean nous posa un bandeau sur les yeux. Dans ce genre d'endroit, la discrétion doit être de rigueur, nous n’avons pas le droit de voir nos partenaires qui venaient de la haute société.
La suite de notre nuit au donjon vous sera racontée dans : « Un plaisir partagé est un plaisir double (25) »
Je suis bien ennuyée, je viens de recevoir de mon Maître un coup de téléphone me demandant de venir ce soir au donjon en me disant qu'il avait des invités de marque. Mon Maître m'a demandé de venir en tenue SM. J’en ai profité pour lui recommander ma copine en lui imposant sa présence. Comme il était à court de femmes il n’a pas pu me refuser sa présence pour animer sa soirée. Bien sur, je lui ai expliqué que pour elle c’était une première, bien qu’il soit réticent au début, il a tout de même accepté.
De suite après j’ai téléphoné à Annie en lui disant que nous avons un rendez-vous au donjon le soir même et pour une bonne partie de la nuit. J’ai vu qu’elle était ennuyée ne sachant pas trop comment annoncer cela à son mari.
Je sais que le mien n’est pas d'accord pour que je me rende à ce genre de rendez-vous mais il est très ouvert d'esprit et ne m'a jamais interdit de me rendre au donjon, bien que l’entrée lui soit interdite. Je pense qu’elle n’a pas mis au courant son mari que je lui avais proposé de nous rendre ensemble en Belgique pour une initiation SM. Une heure plus tard elle me rappelait pour me dire qu’elle arrivait chez moi.
« - Comment as-tu convaincu ton mari pour qu’il accepte que tu m’accompagne ? »
« - J’ai prétexté que tu m’avais appelé pour participer à un enterrement de vie de jeune fille d’une de tes copines. »
Nous nous sommes préparées en nous épilant les quelques poils qui avaient repoussé sur nos pubis et je lui ai fais essayer une tenue en cuir pour nous rendre à notre rendez-vous avec un petit sac de voyage comprenant des dessous, nos chaussures à talon aiguille et une paire de cuissardes. J'ai pris plusieurs tenues sexy pour pouvoir nous changer. Et nous nous sommes mises en route pour la Belgique.
Nous sommes arrivés vers seize heures devant la demeure du Maître je me suis présentée à l’Interphone comme il se doit :
« - C'est le numéro 23 pour le donjon. »
Et le lourd portail d'entrée s'est ouvert. Il n’y avait aucune voiture dans la cour du château sauf la notre. J'ai frappé trois fois à la porte avec une certaine appréhension et le trouillomètre à zéro ne sachant pas à quelle sauce nous allons être mangées cette nuit. Bien que Bob ne puisse pas m'accompagner dans ce genre de réunion, je me sens plus rassurée lorsqu'il m’attend à l'extérieur, c'est idiot mais c'est comme cela.
La porte vient de s'ouvrir, j'annonce une nouvelle fois :
« - Je suis le n°23 et je suis accompagnée de ma copine, le Maître est au courant. »
Le major d'homme nous accompagne jusqu'à la salle de torture que je connaissais déjà pour y avoir été éduquée. Maître Jean était présent et nous a reçu, en slip zippé et tout de cuir vêtu avec un martinet à la main.
« - Tu as fais bonne impression la dernière fois, si bien que l'un de mes invités te voulais absolument ce soir et si je t'ai fait venir un peu plus tôt c'est pour m'assurer que tu n'as rien perdu de l'apprentissage de soumission que je t'ai enseigné et en même temps initier ta copine avant de recevoir mes invités. Tu peux te déshabiller numéro 23 et ta copine aussi. Mais auparavant je dois lui faire lire et signer le contrat de fidélité dans lequel elle s’engage. »
Voici les termes du contrat que j’ai également signé quelque temps plutôt.
- La soumise s’engage à accepter toutes les pratiques sexuelles ou non et humiliations que ce soit en public ou en privé.
- La soumise s’engage à porter tout accessoire sexuel ou tenue imposée en tout lieu et à tout moment.
- La soumise laisse l’accès et le contrôle total de sa sexualité et de son intimité à son Maître.
- La soumise n’a aucun secret pour son Maître et a obligation de vérité dans ses réponses.
- La soumise doit entretenir avec son Maître une communication honnête et ouverte.
- La soumise doit révéler ses pensées, ses sentiments et ses désirs sans hésitation et sans gêne et informer le Maître de ses souhaits et de ses besoins perceptibles.
- La soumise a droit à des mots de sécurité.
- La soumise doit se conformer aux directives de vie que lui indiquera son Maître.
- La soumise doit obéir aux ordres de son Maître, à veiller constamment à la satisfaction de ses désirs.
Tout manquement implique une punition ou la résiliation du présent traité en cas de faute grave.
La lingerie est au cœur du jeu ! Elle attire les regards et attise l’excitation c’est pour cela que j’ai prêté à Annie un body imitation cuir ouvert aux fesses sublimé par des lanières, ouvert entre jambes. Il mettait en valeur sa généreuse poitrine, une couture cintrée remontait sous ses seins leur laissant toute la place pour s'épanouir. Il a fallut que j’insiste et que je lui montre que l’on voyait également mon sexe et mes seins pour qu’elle porte ce justaucorps. Moi je portais une guêpière en vinyle noire seins nus et courte maintenus par deux sangles qui passaient de chaque côté de ma vulve avec des portes jarretelles pour accrocher mes bas résilles.
Notre Maître fut surpris de nous voir dans ces accoutrements SM lorsque nous avons ôté nos robes.
« - Je vais maintenant t’introniser pour que tu sois une soumise fidèle à ton Maître, agenouilles toi devant moi tête baissée. »
Annie s’exécute, genoux par terre, elle prend la main droite du Maître et lui embrasse le dos, lentement et sensuellement. Puis elle pose délicatement son front sur le dos de la main de son Maître. Son initiateur lui fait une caresse pour lui montrer son attachement et retirera sa main. Il a ouvert la fermeture éclair de son slip en cuir en lui présentant son sexe en érection devant la bouche pour qu’elle le suce avec douceur et application en jouant d abord avec le gland puis la hampe au moins deux minutes. Ensuite il lui fait faire quelques allers retours sur son sexe, jusqu’à sa racine et l’oblige à rester immobile avec son sexe au fond de sa gorge en attendant que le Maître la libère. Son dominateur à ce moment lui passe un collier autour de son cou et la séance peut commencer.
Pratiquement nue en guêpière et en bas, Maître Jean m'attache à la croix qui était fixée au mur. Il me pose un bandeau noir sur les yeux et des pinces sur les tétons.
Il commence à me fouetter la vulve d'abord doucement puis en me cravachant de plus en plus fort, mon sexe commence à me chauffer. Entre mes jambes ouvertes il posa un gode sur le bord de ma fente et écartant mes lèvres de ses deux mains, puis il me l'enfonce dans le vagin en le maintenant avec un doigt jusqu'à le faire disparaître complètement dans mon trou.
« - Fais travailler ton muscle constricteur de ta vulve pour maintenir le gode à l'intérieur de ton vagin sans que je le maintienne. Les Japonaises, le travaille régulièrement pour offrir du plaisir à leur partenaire. »
J’obéis en silence pour ne pas subir l'emportement de mon Maître. Bien que je fasse mon possible pour garder cet intrus entre les cuisses je sentais qu'il ressortait lentement hors de mon orifice.
Pendant ce temps, il avait attaché d’Annie, la face contre une table en lui mettant un bandeau sur les yeux et lui donnait des coups de cravache sur les fesses. Je la voyais se tortiller sur la table et elle criait après chaque coup. Il lui posa une boule de silicone sur la bouche pour l’empêcher de gémir. Il continua de lui cingler les fesses qui étaient maintenant toute rouges. Puis il lui enfonça la tête d’un énorme gode vibrant noir sur le bord des lèvres de sa chatte. Le gland était le double de celui de Doan qu’elle avait eu l’occasion de tester.
Maître Jean s'était rendu compte que le godmichet était en train de sortir de mon orifice et il n'était pas content du tout.
« - Tu ne fais aucun effort, ce n'est pas ce que je t'ai ordonné, je vais être obligé de te punir pour que tu comprennes. »
Il me détacha de la croix pour m'allonger sur une table en me demandant de bien écarter mes cuisses en guidant mes pieds sur un reposoir comme sur une table gynécologique puis il m'attacha les mains au-dessus de ma tête. La chatte écartelée, il plaça des pinces sur mes grandes et petites lèvres en leur pratiquant une élongation.
Il m'a laissé seule un bon moment dans cette position. La violente douleur que j'avais ressentie à la pose des brucelles et à l'étirement de mes lèvres avait pratiquement disparue. Si bien que mon Maître qui devait connaître cela, vint me retrouver pour tirer un peu plus sur mes escalopes pour les faire sortir en dehors de ma fente. Le temps passé dans cette position m'a semblé une éternité. Pour oublier un peu cette nouvelle douleur, je pensais à mon compagnon qui n'arrivait pas à comprendre que je prenne du plaisir de subir ces séances SM.
Il nous laissa toutes les deux un bon moment, j’essayais de parler à ma copine mais avec le bâillon qu’elle avait sur la bouche, elle ne pouvait guère me répondre.
La porte de la salle des tortures s'ouvrit de nouveau
« - Bon, je crois que tu as compris maintenant numéro 23, je ne t'ai pas entendu geindre, je vais donc te libérer. » Me dit-il en me retirant mes pinces de mon sexe une à une.
« - Je te sens que vous êtes prêtes toutes les deux, vous serez des soumises parfaites pour mes hôtes. Déshabilles-toi, je vais te remettre sur la croix avec ton gode dans la chatte et cette fois tu n'as pas intérêt à ce qu'il glisse ».
« - Et toi, tu vas te mettre nue, je vais t’attacher sur ces planches en bois, je veux t’essayer avant de t’offrir à mes invités. »
Annie retira sans broncher tous ses habits, elle qui avait peur de se montrer nue la première fois avec celui qui était en train de devenir son Maître se dépoilait sans pudeur devant lui.
Elle s’allongea sur son lit de bois, le Maître lui attacha les mains en croix avec des grosses cordes, puis les pieds en maintenant ses jambes en lui faisant faire le grand écart et il lui posa un bandeau sur les yeux. Annie respirait fortement et acceptait cette souffrance sans rien dire. Je voyais ses jolis seins et son ventre se dilater et s’amplifier au rythme de sa respiration. De ma croix, sur laquelle j’étais attachée, je ne pouvais pas voir son sexe écartelé qu’elle offrait pour la première fois à son Maître. J’imaginais sa fissure ouverte telle une crevasse. J’ai vu par contre son initiateur ouvrir une nouvelle fois la fermeture de son slip et sortir son pieu sur lequel il déroula un préservatif et pénétrer ma copine sauvagement. Son corps entier s’est mis à tressaillir, à s’agiter, à onduler et à frémir. Elle n’a pas pu retenir un gémissement et une petite larme s’est mise à perler au coin de son œil. Après avoir baiser ma copine notre Maître quitta de nouveau la pièce.
Je regrettais à cet instant de l’avoir entraîné dans ce lieu de perversion et de débauche. Je pouvais maintenant parler à Annie :
« - Comment tu vas ? Est-ce qu’il t’a fait mal ma chérie ? »
« - Oui j’ai eu mal lorsqu’il m’a attaché les jambes en faisant le grand écart, mais très vite la douleur s’est estompée et j’ai ressenti une certaine excitation lorsqu’il m’a investi. Une chaleur intense est remontée le long de mon corps et je ne pensais plus à ma souffrance. »
« - C’est inimaginable, jamais je n’arriverais à écarter mes jambes comme tu le fais ? »
« - J’ai fais trois ans de danse classique dans mon enfance mais je vois que j’ai encore de bons restes, j’ai tout de même souffert lorsqu’il m’a obligé à faire un grand jeté sans aucun échauffement. »
Je me suis posé plein de questions car l'attente devenait interminable, je commençais à avoir froid et Annie certainement aussi d’être nues dans cette cave sans chauffage. Je me souvenais encore de ce que m'avait dit mon mari lorsque je lui avais dit que j’aimerais bien connaître les plaisirs du SM :
« - Ces séances de sado-maso, tu sais où cela commence mais tu ne sais pas où cela peut s'arrêter. »
Et j'avais un peu peur de ce que nous allions subir comme sévices ce soir, combien d'hommes seront présents et que vont-ils nous faire étant leurs soumises pour la soirée, nos corps devaient leur appartenir sans se plaindre. Je me demandais aussi si mes lèvres qui me brûlaient encore allaient reprendre leur place entre les cotylédons de ma chatte après avoir subit cette élongation. La porte s’ouvrit enfin.
Mon Maître s’approcha de moi pour me détacher de ma croix, il glissa sa main entre mes cuisses pour en retirer le gode qu'il m'avait enfoncé et me félicita de l'avoir gardé ce n'était pas comme un plug que l'on garde dans le fion, qui est maintenu par le sphincter par sa forme en olive. Il me demanda de me rhabiller en m'aidant à agrafer ma guêpière dans le dos puis il me prit dans ses bras et m'embrassa tout en me caressant ma chatte humide. J'avais l'impression que mes lèvres étaient plus épaisses après le traitement qu'elles venaient de subir. Je pense que ce long baiser était ma récompense d'avoir obéit à ses ordres.
Il libéra ensuite Annie de ses liens, cette fois j’ai vu sa jolie chatte accueillante, généreusement ouverte découvrant son gracieux et délicieux bourgeon qui pointait vers l’extérieur. Sa déchirure offrait une entrée de grotte dans laquelle n’importe lequel des spéléologues aimerait s’y rendre pour en découvrir les richesses.
Notre Maître était revenu avec une multitude de tenues coquines noires, des guêpières, des strings, des soutiens gorges dont beaucoup sont en cuir.
« - Tous les participants sont maintenant arrivés, je vais choisir vos vêtements pour vous habiller avant de rejoindre mes hôtes. Je compte sur vous numéro 23 et sur toi, dont le numéro sera désormais le 35. Sachant que l’anonymat doit être respecté pour tous, vous devez vous faire connaître simplement par votre numéro. »
Nous avons été préparées dans la salle des tortures et habillée par notre mentor. Il a affublé Annie d’un harnais muni de chaînettes qui subliment sa poitrine et se rejoignent au milieu du dos, tout en maintenant la structure du harnais en vinyle bien en place. Deux caches tétons adhésifs complètent la tenue. Ils sont eux-mêmes reliés par une chaîne, un porte jarretelle, un string, des bas résilles et des chaussures à talons aiguilles terminent de la parer. Pour moi il a prévu de me vêtir de rouge avec une guêpière que s’ouvre sur un dos nu et qui met en valeur la rondeur de mes fesses, de fines bandes de résille décorent la guêpière et la culotte. La paire de bas résille rouge sans jarretière termine mon ensemble sexy et élégant et des cuissardes.
Il était l'heure de nous faire entrer dans la cage aux fauves pour rencontrer nos partenaires de ce soir. Notre Maître et patron nous a conduit avec une laisse et des menottes aux poignées comme toute bonne esclave qui doit être offerte et nous avait recouvertes toutes les deux d’une longue cape noire.
Avant d'entrer dans la salle où nos participants attendaient, Maître Jean nous posa un bandeau sur les yeux. Dans ce genre d'endroit, la discrétion doit être de rigueur, nous n’avons pas le droit de voir nos partenaires qui venaient de la haute société.
La suite de notre nuit au donjon vous sera racontée dans : « Un plaisir partagé est un plaisir double (25) »
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