Un plaisir partagé est un plaisir double (25)

- Par l'auteur HDS Chantalbob -
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un plaisir partagé est un plaisir double (25) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (25)
Un plaisir partagé est un plaisir double (25)
Il était pratiquement une heure du matin lorsque notre Maître nous fait entrer avec notre bandeau noir sur les yeux dans la salle dans laquelle attendait ses invités, il nous présenta à ses hôtes.

« - Je vous présente le numéro 23 que certains d’entre vous connaissent déjà et le numéro 35 qui est une toute nouvelle venue dans notre cercle. Je vous demanderais de les accueillir comme il se doit et je pense que c’est inutile de vous rappeler que toutes pénétrations doivent se faire avec des condoms que vous avez à votre disposition, j’y veillerais personnellement. »
Il retira notre cape pour nous montrer en dessous à nos nouveaux partenaires de cette nuit. Nous ne savons pas combien ils sont devant à nous mater en petite tenue. Parmi les éclats de voix et les ovations des participants lorsque Maître Jean a ôté nos capes, j'ai reconnu parmi eux une voix que je connaissais pour avoir été chez lui à Anvers et qui disait aux autres personnes présentes :
« - Elle est toujours aussi jolie et elle fait délicieusement l'amour. »
J'étais sur maintenant que c'était cet homme qui avait demandé à mon Maître que je sois présente. Mon Maître me prit par la main et m’attacha une nouvelle fois les poignées et les chevilles avec les colliers et les chaînes dos au mur, m'exposant en dessous aux regards des hommes présents. J'entendis mon mentor leur dire :
« - Je vous la laisse entre vos mains, faites en bon usage. » Avant certainement de s’occuper d’Annie. »
A peine ces recommandations avaient été dites que des mains me tripotèrent. Une main venait de plonger dans ma petite culotte en cherchant à écarter ma fente à la recherche de ma petite perle de chair, pendant que d'autres s'occupaient de caresser mes tétons en passant leurs mains dans ma guêpière. Un homme nu vint se coller contre moi et m’embrassa dans le cou, sa main glissa dans mon string fendu en glissant deux doigts dans ma chatte. Il me pinça mon petit bouton d’amour si fort qu'au bout d'un moment mon clitoris s'est mis à durcir si bien qu'il a pu le prendre entre deux doigts pour me le branler doucement. Ma petite perle était toute gonflée et sortie de son coquillage. Cette bestiale caresse contre toute attente avait mis mes sens en émoi et je sentais que je mouillais. Sa bouche parcourait tout en descendant le long de mon cou pour s’arrêter sur ma poitrine. Il abaissa le soutien gorge de ma guêpière avec ses dents pour en découdre avec mon téton qu’il se mit à mordiller. Tout comme mon clitoris, mon mamelon s’est mis à durcir entre ses lèvres. Il lui pratiqua une élongation en tirant dessus avec ses lèvres. ( Je suis sure qu’à ce moment, ils devaient être le double de ce que vous pouvez voir sur mon avatar.)
Je ne pouvais pas voir Annie, mais j’entendais ce qu’il se disait dans la pièce. Je pense qu’ils étaient en train de la ficeler sur une chaise.

Attachée au mur, les bras en croix, je subissais les sévices d’un autre homme qui m’avait retiré mon string en faisant sauter les pressions qui le maintenaient, il me caressait la vulve en effleurant mon mont de vénus avec les lanières d’un martinet. Puis il se mit à me fouetter de plus en plus fort. Au début cela me faisait mal, mais je souffrais en silence suivant les recommandations de mon Maître. Plus mon sexe s’échauffait, moins je ressentais la douleur. Lorsqu’il a pensé que j’étais prête, il s’est installé entre mes cuisses ouvertes pour plonger son museau dans mes chairs intimes. Il avait une bonne expérience de la chose et maniait sa langue avec dextérité allant de mon oignon à mon amande. De la feuille de rose à son bourgeon, son nez enfouit dans mes pétales il en humait son parfum et sa langue n'était pas de reste pour goûter aux sucs qui s'en dégageaient.

J’entendais ma copine gémir, pas très loin de moi et un homme disait à un autre :
« - Tu aurais du lui du la déshabiller avant de l’attacher, on ne peut même pas voir sa cramouille, ni la caresser avec sa culotte. »
« - Contentes-toi pour le moment de profiter de cette belle poitrine et profite de cette jolie bouche pour qu’elle te fasse une petite gâterie. Tu auras encore bien le temps de découvrir son terrier rose. Il faut savoir garder le meilleur pour la fin. »
Je suppose qu’Annie était en train de faire des fellations à ces Messieurs de la haute. Maître Jean me détacha un côté, pour me faire pivoter pour me mettre cette fois face au mur les jambes en retrait, pour que je me cambre et offrir mon cul, il me dit :
« - Ca va numéro 23 ? Je vais te retirer ta guêpière. J’espère que tu prends du plaisir ? » Il passa son doigt dans ma fente pour voir si je mouillais. »
« - Oui Maître. » Je ne pouvais pas lui dire non, car il avait bien senti que ma minette bavait de plaisir.

Nue comme un ver, le cul en buse, mon troufignon et ma chatoune exposés au bon vouloir de tous, les jambes largement écartées, j’aurais du avoir honte mais c’était tout le contraire, j’éprouvais un sentiment de fierté malgré mon indécence et mon impudeur. L’arrogance et l’audace avec laquelle je m’offrais devaient satisfaire mon Maître.

On me donna la fessée avec une main bien appuyée pour me faire rougir les fesses. Puis on me flagella avec une cravache. Chaque coup devenait de plus en plus violent. J’avais peur que cela me laisse des traces sur mon postérieur. Mon chéri qui ne comprend toujours pas pourquoi je viens au donjon et d’être maltraitée, ne serais pas content de voir ma croupe flagellée de la sorte. J’avais peur qu’il me reste des traces de cravache sur les fesses pour nous rendre dans une semaine au cap. Chaud devant et brûlant derrière le plaisir étant au rendez-vous, je ne me plaignais pas.

Ma punition cessa. Deux mains écartèrent mon joufflu et un doigt glissa dans ma devanture pour venir lubrifier l’entrée de mon arrière boutique. J’ai compris que j’allais me faire sodomiser, mais on m’enfonça dans le fion un sex toy. Les perles anales en latex que l’on me rentrait une à une dans l’anus me procuraient des sensations extrêmes à chaque insertion ou retrait de celles-ci. Mes partenaires ont réussit à enfuir cinq perles consécutives dans mon fondement. Je n’avais encore jamais ressenti un ravissement de la sorte, c’était un plaisir et une excitation nouvelle venant de mon petit trou. Je n’avais qu’une seule envie c’était qu’il me pénètre en entrant en même temps dans ma boutique, mais cela ne s’est pas fait.

Notre maître est intervenu en disant :
« - Messieurs mettez vos masques, je vais libérer et retirer les foulards des yeux des n° 35 et 23. »
Il me détacha et retira mon bandeau que j’avais sur les yeux. J’ai pu voir autour de la pièce six hommes nus d’un certain âge, muni d’un masque vénitien pour que nous ne puissions pas les reconnaître. Ils étaient un peu grassouillets à mon goût et parfois même bedonnant avec des quéquettes plus petites que la normale. Parmi eux il y en avait deux qui nous faisaient honneur en bandant. J’ai compris pourquoi le gars qui s’occupait de moi n’a pas eu l’envi de me pénétrer. La pauvre Annie était saucissonnée sur une chaise, pieds et mains attachés, des cordes prenaient en tenaille ses seins rougis. Ses caches tétons avaient été remplacés par des pinces. Ses aréoles et ses petits bouts qui avaient été malmenés pointaient comme le cul d’un citron arrivé à maturité. Elle avait du sperme sur le visage et sur les seins. Maître Jean la libéra et lui demanda de se mettre à poil. Ce qu’elle fit sans aucune retenue, ni réserve.

Notre Maître nous a amenées sur un lit dont le matelas était surélevé pour que nous soyons à la hauteur des bites de ces messieurs. Il nous disposa côte à côte de telle sorte qu’Annie sois sur le dos et moi sur le ventre. Offrant à ses invités un côté pile et un côté face de nos corps dénudés. Il a attaché les jambes en V de ma copine avec des cordes qui pendaient du plafond et les miennes en A au sol à l’aide d’une barre d’écartement. Il sangla nos mains au-dessus de nos têtes avec des bracelets de cuir.

Tous les participants étaient autour de nous, bien contents de voir enfin ouvert l’écrin rose de ma copine. Dans cette position même son rubis était visible. D’ailleurs à peine installée, un lithophile s’occupait déjà de sa petite pierre précieuse. Mon corps était en angle droit, la tête posée sur la couche. J’ai pu dans cette position embrasser ma chérie pour l’encourager sachant que cette fois nous allions y passer.

Une main s’était glissé entre mes jambes et s’incrustait dans mon abîme de volupté pendant qu’un doigt s’engageait dans mon œillet. Une secousse imprévue du corps d’Annie me fit comprendre qu’une bite s’était aventurée dans son calice d'amour. Le gars était penché sur elle pour lui tripatouillait les nichons en les serrant dans ses grosses paluches en même temps qu’il la ramone. Après avoir déchargé sa semence, un autre prit sa place.

De mon côté, les hommes ne restaient pas non plus inactifs, on me lubrifia mon trou de balle et certaines petites bites avaient retrouvé de la vigueur. Un gars s’était assis entre mes jambes et plaça un jouet à tête rotative au bord des lèvres en l'enfonçant doucement comme un piston dans sa culasse. La tête d’un coprin chevelu avait pris possession de mon pot d’échappement. Décalaminée par cette double pénétration, je bougeais mon pont arrière avec frénésie et déchaînement. J’étais en surexcitation et en transe. Moite de sueur, ma boite à mouille n’avait jamais si bien porté son nom. Mes jambes flageolaient, je tremblais de partout, mon corps était secoué de spasmes. Je me crispais, je convulsais, je me raidissais, mon sphincter se refermait sur la bite qui m’avait investi. Et puis ce fut le trou noir, je venais de perdre connaissance.

Quand j’ai ouvert de nouveau les yeux, il n’y avait plus personne autour de moi. Le sex-toy gisait inerte à côté de moi. J’étais incapable pour le moment de recevoir de nouveaux attouchements. Mon corps aurait réagit à la plus petite des sollicitations. Dans ce cas le contact léger aurait produit chez moi une réaction immédiate. Ayant ma sensibilité à fleur de peau j’aurais été susceptible de réagir de manière brutale à ce qu'il peut être pris de ma part pour une agression. Les pervers qui s’occupaient de moi le savaient bien car ils s’étaient tous appropriés le corps d’Annie.

Autour d’elle, douze mains la palpaient, la fouillaient. Il y en avait un qui lui branlait son bouton sensible de la délicieuse petite fente en lui écartant de deux doigts ses lèvres, deux autres lui malaxaient les seins en lui étalant la purée qu’on lui avait balancée sur le corps. Un autre avait sa main dans sa raie de ses fesses, je la voyais remuer son popotin avec une agilité inconcevable pour qu’il lui doigte le cyclope. Les deux derniers s’affairaient en agitant leurs sexes sur ses lèvres pour qu’elle les prenne en bouche. Elle recevait des giclées de sperme sur tout le corps, son visage et dans la bouche.

Il était cinq heures du matin lorsque Maître Jean ordonna la fin de la sauterie, il nous détacha, nous ne sentions plus nos jambes, ni nos bras qui étaient endoloris qui étaient restés dans même position pendant plusieurs heures sans que nous puissions bouger. Pendant que notre Maître nous conduisait à la douche tenue en laisse nos partenaires se rhabillaient.

« - Vous avez été à la hauteur de mes espérances, bien que le numéro 35 ce soit une première, je suis très content de sa prestation d’ailleurs vous avez les remerciements de tous mes hôtes. » Il nous tapota les fesses en guise de remerciements
Nous sommes repassés dans la salle des tortures pour récupérer notre sac avec nos vêtements et nos affaires de toilette. Il était temps pour nous également de remercier notre Maître en s’agenouillant devant son sexe en érection qu’il avait sorti de son slip, nous lui embrassons. Maître jean nous caresse la tête, nous relève, nous baise le front en nous remerciant pour la séance. Il nous enlève le collier et nous libère des contraintes de soumise. Nous prenons le collier et nous allons le ranger à sa place.

La salle de douche était rudimentaire, je me demande même si elle ne sert pas parfois comme salle SM. Nous nous sommes mises sous l’eau chaude. Annie pleurait à chaudes larmes, elle s’est jetée dans ses bras et s’est mise à sangloter sur mon épaule. Moi qui pensais qu’elle avait pris du plaisir, je me suis trompée. J’étais dépitée et attristé de la voir dans cet état. Je n’essayais même pas de la consoler en la laissant en larmes dans mes bras, il fallait qu’elle évacue tout ce stress, toute cette tension, toute cette angoisse qu’elle avait emmagasinée durant toutes ces heures. De 16 heures la veille à 5 heures du matin le lendemain, c’était trop long pour une première séance de soumission. Je m’en voulais de l’avoir de l’avoir entraîné dans ce lieu de dépravation et de perversion. L’eau chaude coulait sur nos corps, nous étions serrées l’une contre l’autre et j’essayais de la calmer. Je lui ai pris la tête entre mes mains collant mes lèvres aux siennes et nous nous sommes embrassées d’un baiser tendre et langoureux qui n’en finissait plus. Sa bouche avait encore le goût du sperme qu’on lui avait fait ingurgiter, mais peu importe ce n’était pas la première fois que mes papilles s’étaient gargarisées de foutre. C’était aussi pour moi une façon de compatir à cette contrariété qu’elle avait sur le cœur. J’ai enfin réussit à lui dire quelques mots pour la calmer :
« - Excuses-moi ma chérie de t’avoir embarqué dans ce lieu de débauche et d’asservissement. »
« - Non, ce n’est pas de ta faute d’abord je n’étais pas obligée d’accepter et ensuite tu as vu à que j’ai rappliqué de suite chez toi en inventant une excuse à André lorsque que tu m’as proposé de venir avec toi. Ce qui m’a mise dans cet état, c’est lorsque tu as perdu connaissance et que personne n’est venu à ton secours. J’avais envie à ce moment là d’être auprès de toi, ficelée comme je l’étais, je ne pouvais rien faire. Ils ont tous rappliqué sur moi. Et puis j’ai eu l’impression en ayant tous ces hommes qui m’investissaient par tous les trous d’être une prostituée. »
« - Qu’est-ce que tu racontes, premièrement une fille de joie fait cela pour de l’argent et ce n’est pas ton cas. Secondement une véritable libertine aura l’occasion de faire l’amour avec plusieurs hommes lors d’orgies ou de gang bang, c’est ce qui nous attends en allant à Agde le mois prochain. Il ne fallait pas t’inquiéter pour moi, cela m’arrive assez fréquemment de tomber en syncope en faisant l’amour, lorsque la jouissance que j’éprouve est trop forte, j’ai tendance à vouloir résister à la limite du raisonnable. Mon orgasme est tellement fort que j’en perds connaissance. »
J’ai savonné énergiquement le corps de ma copine pour lui éliminer tous les stigmates du déshonneur et d’avilissement qu’elle pouvait encore ressentir. Elle en a fait de même avec moi. Puis nous nous sommes rhabillées, son gros chagrin s’était effacé et j’ai eu le droit à son adorable sourire avec un « je t’aime » qui m’a fait beaucoup de bien à moi aussi.

Notre Maître est entré dans la salle de douche pour nous remettre nos habits SM que nous avions emportés et une enveloppe que les postulants lui avaient remis pour nous. Il donna à Annie le règlement qu’elle avait signé et les recommandations pour être une bonne soumise qui ressemblait aux dix commandements. C’est une fois dans la voiture qu’Annie s’est mise à me les lire.

1) Tu dois obéissance totale envers ton Maître.
2) Tu garderas toujours tes orifices à sa disposition en tout temps.
3) Il peut mettre dans ton sexe, ton anus, ta bouche, tout jouet sexuel ou objet de son choix.
4) Quand le sexe de ton Maître sera dans ta bouche, tu le suceras avec Art et passion et tu avaleras sa semence en le remerciant pour ce cadeau.
5) Tu n’utiliseras jamais tes mains en le suçant sauf s’il te permet de le faire.
6) En aucun cas, tu dois te faire jouir seule sans son ordre.
7) Pour recevoir du plaisir tu devras le mériter.
8) Tu honoreras le sexe de ton Maître.
9) Soumise, tu accepteras toutes pratiques BDSM10) Tu consens à perdre ta dignité de femme et n’être qu’un objet soumis dont je serais le propriétaire dont je peux user et abuser à ma guise.

Le sperme de ton Maître est une semence sacrée.

Quand ton Maître aura éjaculé, tu garderas mon sperme dans ta bouche jusqu’à ce qu’il t’autorise à l’avaler !
Tu seras punie si tu en perds une goutte.
Tu nettoieras son sexe en extrayant à fond chaque goutte.
C’est un cadeau que te fait ton Maître et un honneur pour toi de recevoir en toi sexe et semence.

Comment faire plaisir à ton Maître ?

En lui faisant une fellation a un moment inattendu.
Lui offrir ton anus à un moment inattenduTu peux dépasser la limite que tu t’es fixéeTu peux effectuer un sacrifice, en lui autorisant de faire une chose que tu n’aimes pas.
Tu dois rendre tes orifices sexuels disponibles à tout moment et toujours épilés impeccablement et intégralement.

Quelle tenue dois-tu adapter si tu dois sortir en ville avec ton Maître ?

Port d’un collier de sortie Taille de la jupe, de la robe, du genou a mi-cuissePas de soutiens gorgesPas de sous-vêtements.
Fesses et sexe nu sous la jupe.

Quelle tenue dois-tu adapter pour faire une exhibition ?

Jupe très courte, très sexy.
Haut moulant.
Pas de soutien gorge, pas de sous-vêtements.
Nue sous un manteau long arrivant à mi-mollet ou aux genoux, facile à ouvrir.

Quelle tenue dois-tu adapter si ton Maître te demande d’être une vrai salope ?

Jupe très courte, très sexy, en cuir noir, vulgaire.
Haut moulant ou transparentPas de soutien gorge, pas de sous-vêtements.
Maquillage excessif, vulgaire et criard.

Quelle tenue dois-tu adapter si ton Maître te demande d’être une servante ?

Tablier de soubrette blancCoiffe de soubrette blanchebas résille, porte jarretelle blancPas de sous-vêtements.

Quelle tenue dois-tu adapter si ton Maître te demande d’être une écolière ?

Jupette au ras de ton sexe plissée écossaise, nue dessousChaussette blanche, souliers vernisChemisier blanc ouvert jusqu’au seinsCheveux avec deux couettes.

Pour tes sorties en ville avec ton Maître.

Le maquillage du visage n’est pas obligatoire ou doit être discret.
Le rouge à lèvres sera de couleur rouge vif.

Pour la maison :
Rouge aux ongles et lèvres uniquement
En exhibition ou en tenue sexy
Maquillage visible et très provocant à son goûtPas d’alliance.
Pour la soumise qui a reçu la bague de soumise, son port est obligatoire tout le temps
Sous-vêtements :
Jamais.

Habillement des jambes
Collants fins et sexy, bas auto-fixant tolérés.
Bas sans coutures avec jarretelles recommandés.
Jamais de chaussette sauf dans le cas d’une tenue d’écolière et là elles seront blanches.

Chaussures :
Chaussures à talons pour les sorties.
Bottes seulement avec des talons sur demandes spéciales.

En intérieur, au donjon :
Nue.
En cas de visite, tu devras porter ta tenue de soubrette, de salope ou d’exhibition selon les consignes de ton Maître.

Pour la nuit :
Toujours nue
« - Dis donc c’est tout un programme, on ne peut pas faire ce que l’on veut ? Tu ne crois pas que je vais sortir en ville avec lui en temps que soumise. »
« - Pourquoi, as-tu l’intention d’y retourner ? Article 1 des dix commandements ma chérie. Tu dois obéissance totale à ton Maître. Dis nous plutôt ce qu’il y a dans l’enveloppe qu’il ta remise. »
Annie a sorti une carte de visite avec simplement un numéro de téléphone et ses mots : « pour les numéros 23 et 35 »
« - Qu’est-ce que cela veut dire ? »
« - Je pense que c’est une invitation à nous rendre chez un des participants de cette nuit. »
« - Tu penses que nous allons nous y rendre ? »
« - Tout cela dépends de toi, ma chérie, tu as le temps d’y réfléchir. »
« - Regardes, il y a aussi de l’argent, désolée de te décevoir mais j’avais raison en te disant que nous étions des prostituées. »
« - Nous n’avons pas fait cela pour de l’argent, il nous a été offert en guise de récompense pour notre participation, c’est la preuve qu’ils ont été contents de nous. Disons plutôt que nous somme des call-girls contrairement aux prostituées traditionnelles, notre activité est cachée du grand public. Cela fait plus classe mon amour, tu ne trouves pas ? »

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