Un plaisir partagé est un plaisir double (4)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (4)
Un plaisir partagé est un plaisir double (4)
Le confinement nous empêche de recevoir nos amis et cela nous rends bien tristes. La dernière fois nous sommes allés chez Annie pour la réconforter, son mari était rentré à l’hôpital pour le covid, mais heureusement ce n’était pas une forme grave et il est maintenant sorti de l’hôpital. Je lui ai téléphoné pour prendre de ses nouvelles. Ils devaient être confinés pendant sept jours chez eux sans recevoir personne avant de pouvoir inviter de nouveau. Notre désir serait d’amener nos amis à devenir libertins comme nous pour les faire profiter des parties coquines que nous organisons parfois avec d’autres couples ou avec des étrangers. Annie était plus portée sur le cul que son mari un peu coincé, peut-être un peu jaloux et légèrement macho. Nous sommes tout de même heureux que depuis le temps que nous nous connaissions, nous n’avions jamais osé faire le premier pas dans la débauche. Il a fallut un concours de circonstance pour que je réussisse à amener ma copine à retirer sa culotte et qu’elle ose pour la première fois montrer sa figue à un homme en l’occurrence mon mari. Le jeu avait l’air de lui plaire et nous sommes allés beaucoup plus loin ce soir là. Si aujourd’hui le confinement nous a desservi puisque nous ne pouvons pas nous voir, ce soir là le couvre feu nous nous a bien aidé à se connaître plus intimement.
« - Crois-tu chéri que qu’il nous sera possible un jour d’avoir une complicité de débauche avec eux ? »
« - Je crois qu’avec Annie ce sera plus facile, je pense qu’elle découvre des façons de se faire plaisir qu’elle ne doit pas avoir avec son mari. Elle est ouverte, n’a pas peur de se montrer nue. Elle prend son plaisir sans arrière pensée, impudique, sensuelle, euphorique parfois et se prends au jeu comme un divertissement orgastique. »
« - Et toi comment la trouves-tu ? »
« - Moi je l’apprécie beaucoup, elle est mignonne, coquette, j’adore flirter avec elle, faire l’amour elle connaît mes zones érogènes, ses caresses sont délicates et je suis sensible à ses tendres baisers. Elle est câline, je suis bien dans ses bras, j’admire ses jolis seins et son sexe avec ses lèvres débordantes qui je suce comme une friandise qu’elle m’offre en m’écartant ses cuisses. Non seulement, je savoure sa nudité lorsque nous sommes collées l’une à l’autre mais en plus elle me déguste la moule avec passion allant chercher au centre de mon huître la petite perle qui s’y cache soulevant son petit capuchon et en l’excitant avec son bout de langue. Je l’aime et je pense que c’est réciproque. »
« - Hé bien, il va falloir que je fasse attention que tu ne me quitte pas pour te mettre avec elle avec tous les éloges que tu lui fais ! »
« - Grand nigaud, je ne vais pas te quitter pour vivre avec elle, mais je dois te remercier au contraire de me laisser partager les merveilleux moments de notre liaison, de notre attachement l’une pour l’autre. Et puis c’est très bien de ne pas se voir trop souvent cela décuple notre envie de se retrouver ensemble. »
« - Maintenant parles moi d’André, toi qui as passé du temps au lit avec lui. »
« - Il est un peu bloqué, il n’aime pas fourrer sa tête entre mes cuisses pour me sucer la chatte, ma petite pastille brune ne l’intéresse pas. Avec lui c’est crack crack et c’est tout. Pas de préliminaires, il n’essaye même pas de me faire mouiller avant l’acte sexuel. Cela doit l’emmerder que tu lui baise sa femme. Il ne dit rien parce qu’il a très envie de me niquer. Tout le monde n’est pas candauliste comme toi et ne prend pas du plaisir de voir sa femme se faire saillir par un autre. »
« - Ces personnes là n’ont toujours pas compris la différence entre faire l’amour et prendre du plaisir et l’amour que l’on porte pour son ou sa partenaire dans le cœur. »
« - Je crois que ce sera long et difficile pour qu’il arrive à nous suivre dans des lieux de débauche, dans des clubs échangistes ou d’offrir sa femme à des inconnus lors d’un gang bang. Et toi avec André comment cela se passe t-il ? »
« - Comment cela au point de vu sexe ou en amitié ? »
« - Les deux. »
« - En amitié, je n’ai pas vu d’animosité. Et question sexe rien de spécial, ce n’est pas lui qui va se coller à moi ou me sucer la bite, et moi je n’ose pas l’entreprendre sans vouloir le brusquer et briser notre belle amitié. »
« - Tu serais d’accord pour te faire sodomiser par lui ou inversement et te faire sucer le sexe ? »
« - Pourquoi pas, vous le faites bien entre filles, et puis il ne faut pas mourir idiot ma chérie, le plaisir il faut le prendre ou il se trouve. Tu vois quelque chose d’anormal ou de dérangeant pour toi ? »
« - Pas du tout, au contraire je sais que tu as une grande ouverture d’esprit, mais je ne pensais pas que tu te laisserais sodomiser par un mec. »
« - Avec cette période difficile, nous ne pouvons plus rencontrer personne, je ne peux même pas appeler Doan, ton amant black pour que tu prennes du plaisir. Je suis à cours d’idées et toi qu’aimerais-tu faire ? »
« - Nous pourrions aller à la sablonnière et tu pourrais me déshabiller devant des voyeurs si cela te fait envie. »
« - Je ne sais pas s’il y aura quelqu’un pour te mater avec le droit de ne sortir qu’une heure et en plus nous ne pourrons pas ouvrir les vitres pour te faire tripoter. »
« - Je sais mais faute de mieux, nous pouvons aller voir, il y a toujours un homme qui traîne dans ces bois et en cette triste période cela lui mettra un peu de plaisir dans le cœur et à nous aussi, je vais m’habiller pour la circonstance. »
J’ai revêtu une jupe portefeuille très courte, au raz de la moule que je porte souvent en été par-dessus mon maillot de bain avec un gilet que mon chéri peut déboutonner à son gré. Dessous j’ai passé un combi résille noir ouvert entre mes cuisses sans autre dessous.
« - Comment me trouves-tu, je suis assez sexy pour toi ? »
« - Tu es superbe ma chérie, si tu es prête tu peux monter en voiture. »
La sablonnière se trouve dans un lieu dit où il y a un petit parking au milieu d’un petit bois, c’est un endroit tranquille bien connu des voyeurs qui attendent parfois des heures qu’un couple se présente en voiture pour exhiber la femme et parfois plus s’il y a affinité. Le soir et surtout le samedi, il y effervescence autour des voitures. Suivant l’humeur de dame, elle peut être offerte par son mari ou se faire caresser ses parties intimes par les voyeurs. L’été, le couple s’aventure dans les sentiers du bois suivi par les voyeurs qui attendent le signal ou ils pourront eux même la toucher, la caresser ou une fellation. La femme est souvent sexy et nue sous sa robe Dans ce genre de relation c‘est toujours la femme qui décide et qui reste la maîtresse du jeu.
En arrivant sur le parking, il n’y avait pas de voiture et aucun voyeur à l’horizon. C’était la première fois qu’aucune personne ne soit présente bien que je m’en doute un peu en cette période de confinement. Nous avons attendu un peu car ici nous savons que par expérience, bien que l’on se croit seul au monde il y a toujours un homme en embuscade qui attends de voir si nous sommes un couple exhibitionniste ou pas. La nuit, nous laissons les veilleuses de la voiture allumées, c’est le code qui prévient les voyeurs qu’il y a au moins une nana dans la voiture. Mais de jour, il faut que nous montrions qu’il va y avoir du spectacle dans la voiture en s’embrassant et en se caressant. Après cinq minutes pendant lesquelles mon mari m’a fait des attouchements pour m’exciter un homme sortant des sous bois s’est approché de la voiture. Mon chéri a déboutonné tous les boutons de mon gilet pour lui montrer mes seins au travers les résilles de ma combinaison. (Que vous pouvez voir également sur mon avatar) Il me pinça légèrement les tétons pour les faire grossir au travers les mailles !
Derrière la vitre, le gars a baissé son pantalon et son slip me montrant sa bite en érection et s’est mis à se masturber devant moi Il avait une quarantaine d’année plutôt beau gosse et s’il n’y avait pas eu cette saloperie de virus, je pense que je lui aurais fait une pipe. Il avait un joli sexe avec un chouette gland entièrement décalotté qui me faisait penser à un gros bonbon rose. En plus moi qui n’aime pas les poils, il avait le pubis imberbe. Cela aurait été un plaisir pour moi de lui sucer son sucre d’orge. Je lui ai ouvert ma vitre pour le lui dire.
« - J’ai sacrement envie de vous faire une fellation, devant ce séduisant paquet que vous me montrez, mais la conjoncture actuelle ne me le permet pas. Et vous non plus vous ne pouvez pas me toucher, mais nous aurons certainement le plaisir de nous revoir, nous venons sur ce parking assez régulièrement et là je vous promets de vous faire une petite gâterie. »
« - Merci pour ces compliments mais vous aussi vous êtes ravissante et vous avez des petits seins à faire dresser n’importe qu’elle verge même celles qui sont en sommeil depuis longtemps. »
« - C’est gentil, la seule chose que je peux vous offrir aujourd’hui c’est ma nudité pour le plaisir de vos yeux. »
Pendant que je parlais, mon chéri avait remonté mes cuisses, direction zézette que j’ai rendue accessible en écartant mes cuisses. Ses doigts furtifs se sont glissés dans ma fente.
« - Dit donc, tu es déjà bien mouillée ma petite salope de voir cette magnifique bite bander pour toi. Allonges toi sur les sièges et pose ta tête sur mes cuisses. »
Avant de m’étaler sur les genoux de mon mari, j’ai retiré ma veste offrant mon torse nu au travers le filet de ma combinaison. Bob passa sa main à l’intérieur et la posa sur mon sein. Ma jupe portefeuille, déjà bien courtes était remontée au niveau de ma chatoune, montrant l’échancrure de l’entre jambe du combi. Je voyais mon voyeur se pencher essayant de voir ma craquelure.
Un autre homme que nous n’avons pas vu venir avait rejoint le premier, il frappa à ma vitre pour manifester sa présence. Nous avions déjà rencontré ce gars lors d’une exhibition précédente et il devait se souvenir de moi lui aussi. Il me montra sa queue qu’il venait de déballer en se masturbant. J’entendais qu’ils parlaient ensemble et mon premier mateur lui expliquait ce que je lui avais dit.
« - Avec le covid cette désirable dame ne peut pas nous ouvrir son carreau pour nous autoriser à la patouiller. »
« - C’est bien dommage, elle m’a fait une fellation la dernière fois que je l’ai vu et crois moi c’est une experte, il ne lui a pas fallut deux heures pour me faire cracher mon jésus. »
Cela m’amusait de les entendre parler de moi, mais Bob avait maintenant dégrafé ma jupe et me demanda d’écarquiller mes cuisses. Je n’étais plus qu’en parure résille, la chatoune à l’air généreusement accueillante face à mes admirateurs. De son autre main mon chéri me chatouillait mon bouton rose. Devant le spectacle que je leur proposais, mes pignoleurs ont éjaculé pratiquement ensemble sur ma vitre.
« - Chéri j’ai envie de faire pipi. »
« - Tu n’as pas le choix que de descendre et de faire dans la nature. » Me répondit-il
« - Oui mais pas devant mes deux admirateurs ? »
« - Tu ne vas pas me faire ta mijaurée, tu viens de leur dévoiler ta nénette et maintenant tu ne veux pas qu’ils te voient pisser, ne t’inquiètes pas je vais surveiller qu’il ne te touche pas. »
Je suis sortie de la voiture dans ma combinaison résille et je me suis accroupie sur le parking, mon jet doré a jaillit de mon méat telle une cascade. Mes deux protagonistes étaient au premier rang accroupis pour me regarder faire coulette. J’avais honte de me montrer comme cela, alors que je n’éprouve aucune gêne à montrer ma figue lors d’une exhibition. Je me suis vite relevée pour m’essuyer la chagatte avec un mouchoir en papier qu’un de mes admirateurs a voulu récupérer. Ensuite j’ai remis ma jupe et mon gilet et tous les deux m’ont remercié pour le bon moment qu’ils avaient passé en notre compagnie.
« - Nous aurions voulu vous faire plaisir d’avantage mais ce sera pour une prochaine fois, lorsque nous serons déconfinés. »
Nous sommes remontés en voiture pour rentrer à la maison. En cours de route nous avons eu un contrôle routier pour vérifier nos attestations. Nous n’étions pas en règle ayant coché une mauvaise case.
« - Vous n’allez tout de même pas nous dire que vous êtes allés faire les magasins alors que vous êtes en pleine campagne. »
Nous ne pouvions pas lui dire que nous étions sortis pour faire une exhibition, d’ailleurs il n’y a pas de case à cocher pour cela.
Pendant qu’un des flics contrôlait nos papiers l’autre faisait le tour de notre voiture et se rinçait l’oeil en regardant mes cuisses gainées de résille à la limite de ma moule. Si son collègue n’avait pas dit :
« - C’est bon pour une fois, mais la prochaine ce sera 135€ alors faites attention à vous. Laisse les partir. »
J’étais prête à écarter mes cuisses pour lui montrer que je n’avais pas de culotte afin de plaider notre cause. Heureusement que nous avions roulé et que le sperme de mes deux voyeurs avait séché sur ma vitre ? Je crois qu’ils auraient compris d’où nous venions, car ils doivent bien savoir qu’il se passe des choses pas très nettes à la sablonnière.
« - Tu crois chéri que de montrer mes cuisses cela nous a évité d’avoir un procès ? »
« - C’est sur, j’ai vu que son collègue de ton côté n’arrêtait pas de te regarder et celui qui contrôlait mes papiers zieutait sans arrêt tes gambettes. »
Sur le chemin du retour Bob me demanda :
« - Penses-tu qu’André et Annie seraient prêts à faire ce que nous avons fait cette après midi ? »
« - Je ne sais pas s’ils sont murs pour ce genre d’exhibition avec des étrangers, avec nous ils n’ont pas de problèmes pour se montrer nus, mais je pense que ce sera difficile. »
Le confinement nous empêche de recevoir nos amis et cela nous rends bien tristes. La dernière fois nous sommes allés chez Annie pour la réconforter, son mari était rentré à l’hôpital pour le covid, mais heureusement ce n’était pas une forme grave et il est maintenant sorti de l’hôpital. Je lui ai téléphoné pour prendre de ses nouvelles. Ils devaient être confinés pendant sept jours chez eux sans recevoir personne avant de pouvoir inviter de nouveau. Notre désir serait d’amener nos amis à devenir libertins comme nous pour les faire profiter des parties coquines que nous organisons parfois avec d’autres couples ou avec des étrangers. Annie était plus portée sur le cul que son mari un peu coincé, peut-être un peu jaloux et légèrement macho. Nous sommes tout de même heureux que depuis le temps que nous nous connaissions, nous n’avions jamais osé faire le premier pas dans la débauche. Il a fallut un concours de circonstance pour que je réussisse à amener ma copine à retirer sa culotte et qu’elle ose pour la première fois montrer sa figue à un homme en l’occurrence mon mari. Le jeu avait l’air de lui plaire et nous sommes allés beaucoup plus loin ce soir là. Si aujourd’hui le confinement nous a desservi puisque nous ne pouvons pas nous voir, ce soir là le couvre feu nous nous a bien aidé à se connaître plus intimement.
« - Crois-tu chéri que qu’il nous sera possible un jour d’avoir une complicité de débauche avec eux ? »
« - Je crois qu’avec Annie ce sera plus facile, je pense qu’elle découvre des façons de se faire plaisir qu’elle ne doit pas avoir avec son mari. Elle est ouverte, n’a pas peur de se montrer nue. Elle prend son plaisir sans arrière pensée, impudique, sensuelle, euphorique parfois et se prends au jeu comme un divertissement orgastique. »
« - Et toi comment la trouves-tu ? »
« - Moi je l’apprécie beaucoup, elle est mignonne, coquette, j’adore flirter avec elle, faire l’amour elle connaît mes zones érogènes, ses caresses sont délicates et je suis sensible à ses tendres baisers. Elle est câline, je suis bien dans ses bras, j’admire ses jolis seins et son sexe avec ses lèvres débordantes qui je suce comme une friandise qu’elle m’offre en m’écartant ses cuisses. Non seulement, je savoure sa nudité lorsque nous sommes collées l’une à l’autre mais en plus elle me déguste la moule avec passion allant chercher au centre de mon huître la petite perle qui s’y cache soulevant son petit capuchon et en l’excitant avec son bout de langue. Je l’aime et je pense que c’est réciproque. »
« - Hé bien, il va falloir que je fasse attention que tu ne me quitte pas pour te mettre avec elle avec tous les éloges que tu lui fais ! »
« - Grand nigaud, je ne vais pas te quitter pour vivre avec elle, mais je dois te remercier au contraire de me laisser partager les merveilleux moments de notre liaison, de notre attachement l’une pour l’autre. Et puis c’est très bien de ne pas se voir trop souvent cela décuple notre envie de se retrouver ensemble. »
« - Maintenant parles moi d’André, toi qui as passé du temps au lit avec lui. »
« - Il est un peu bloqué, il n’aime pas fourrer sa tête entre mes cuisses pour me sucer la chatte, ma petite pastille brune ne l’intéresse pas. Avec lui c’est crack crack et c’est tout. Pas de préliminaires, il n’essaye même pas de me faire mouiller avant l’acte sexuel. Cela doit l’emmerder que tu lui baise sa femme. Il ne dit rien parce qu’il a très envie de me niquer. Tout le monde n’est pas candauliste comme toi et ne prend pas du plaisir de voir sa femme se faire saillir par un autre. »
« - Ces personnes là n’ont toujours pas compris la différence entre faire l’amour et prendre du plaisir et l’amour que l’on porte pour son ou sa partenaire dans le cœur. »
« - Je crois que ce sera long et difficile pour qu’il arrive à nous suivre dans des lieux de débauche, dans des clubs échangistes ou d’offrir sa femme à des inconnus lors d’un gang bang. Et toi avec André comment cela se passe t-il ? »
« - Comment cela au point de vu sexe ou en amitié ? »
« - Les deux. »
« - En amitié, je n’ai pas vu d’animosité. Et question sexe rien de spécial, ce n’est pas lui qui va se coller à moi ou me sucer la bite, et moi je n’ose pas l’entreprendre sans vouloir le brusquer et briser notre belle amitié. »
« - Tu serais d’accord pour te faire sodomiser par lui ou inversement et te faire sucer le sexe ? »
« - Pourquoi pas, vous le faites bien entre filles, et puis il ne faut pas mourir idiot ma chérie, le plaisir il faut le prendre ou il se trouve. Tu vois quelque chose d’anormal ou de dérangeant pour toi ? »
« - Pas du tout, au contraire je sais que tu as une grande ouverture d’esprit, mais je ne pensais pas que tu te laisserais sodomiser par un mec. »
« - Avec cette période difficile, nous ne pouvons plus rencontrer personne, je ne peux même pas appeler Doan, ton amant black pour que tu prennes du plaisir. Je suis à cours d’idées et toi qu’aimerais-tu faire ? »
« - Nous pourrions aller à la sablonnière et tu pourrais me déshabiller devant des voyeurs si cela te fait envie. »
« - Je ne sais pas s’il y aura quelqu’un pour te mater avec le droit de ne sortir qu’une heure et en plus nous ne pourrons pas ouvrir les vitres pour te faire tripoter. »
« - Je sais mais faute de mieux, nous pouvons aller voir, il y a toujours un homme qui traîne dans ces bois et en cette triste période cela lui mettra un peu de plaisir dans le cœur et à nous aussi, je vais m’habiller pour la circonstance. »
J’ai revêtu une jupe portefeuille très courte, au raz de la moule que je porte souvent en été par-dessus mon maillot de bain avec un gilet que mon chéri peut déboutonner à son gré. Dessous j’ai passé un combi résille noir ouvert entre mes cuisses sans autre dessous.
« - Comment me trouves-tu, je suis assez sexy pour toi ? »
« - Tu es superbe ma chérie, si tu es prête tu peux monter en voiture. »
La sablonnière se trouve dans un lieu dit où il y a un petit parking au milieu d’un petit bois, c’est un endroit tranquille bien connu des voyeurs qui attendent parfois des heures qu’un couple se présente en voiture pour exhiber la femme et parfois plus s’il y a affinité. Le soir et surtout le samedi, il y effervescence autour des voitures. Suivant l’humeur de dame, elle peut être offerte par son mari ou se faire caresser ses parties intimes par les voyeurs. L’été, le couple s’aventure dans les sentiers du bois suivi par les voyeurs qui attendent le signal ou ils pourront eux même la toucher, la caresser ou une fellation. La femme est souvent sexy et nue sous sa robe Dans ce genre de relation c‘est toujours la femme qui décide et qui reste la maîtresse du jeu.
En arrivant sur le parking, il n’y avait pas de voiture et aucun voyeur à l’horizon. C’était la première fois qu’aucune personne ne soit présente bien que je m’en doute un peu en cette période de confinement. Nous avons attendu un peu car ici nous savons que par expérience, bien que l’on se croit seul au monde il y a toujours un homme en embuscade qui attends de voir si nous sommes un couple exhibitionniste ou pas. La nuit, nous laissons les veilleuses de la voiture allumées, c’est le code qui prévient les voyeurs qu’il y a au moins une nana dans la voiture. Mais de jour, il faut que nous montrions qu’il va y avoir du spectacle dans la voiture en s’embrassant et en se caressant. Après cinq minutes pendant lesquelles mon mari m’a fait des attouchements pour m’exciter un homme sortant des sous bois s’est approché de la voiture. Mon chéri a déboutonné tous les boutons de mon gilet pour lui montrer mes seins au travers les résilles de ma combinaison. (Que vous pouvez voir également sur mon avatar) Il me pinça légèrement les tétons pour les faire grossir au travers les mailles !
Derrière la vitre, le gars a baissé son pantalon et son slip me montrant sa bite en érection et s’est mis à se masturber devant moi Il avait une quarantaine d’année plutôt beau gosse et s’il n’y avait pas eu cette saloperie de virus, je pense que je lui aurais fait une pipe. Il avait un joli sexe avec un chouette gland entièrement décalotté qui me faisait penser à un gros bonbon rose. En plus moi qui n’aime pas les poils, il avait le pubis imberbe. Cela aurait été un plaisir pour moi de lui sucer son sucre d’orge. Je lui ai ouvert ma vitre pour le lui dire.
« - J’ai sacrement envie de vous faire une fellation, devant ce séduisant paquet que vous me montrez, mais la conjoncture actuelle ne me le permet pas. Et vous non plus vous ne pouvez pas me toucher, mais nous aurons certainement le plaisir de nous revoir, nous venons sur ce parking assez régulièrement et là je vous promets de vous faire une petite gâterie. »
« - Merci pour ces compliments mais vous aussi vous êtes ravissante et vous avez des petits seins à faire dresser n’importe qu’elle verge même celles qui sont en sommeil depuis longtemps. »
« - C’est gentil, la seule chose que je peux vous offrir aujourd’hui c’est ma nudité pour le plaisir de vos yeux. »
Pendant que je parlais, mon chéri avait remonté mes cuisses, direction zézette que j’ai rendue accessible en écartant mes cuisses. Ses doigts furtifs se sont glissés dans ma fente.
« - Dit donc, tu es déjà bien mouillée ma petite salope de voir cette magnifique bite bander pour toi. Allonges toi sur les sièges et pose ta tête sur mes cuisses. »
Avant de m’étaler sur les genoux de mon mari, j’ai retiré ma veste offrant mon torse nu au travers le filet de ma combinaison. Bob passa sa main à l’intérieur et la posa sur mon sein. Ma jupe portefeuille, déjà bien courtes était remontée au niveau de ma chatoune, montrant l’échancrure de l’entre jambe du combi. Je voyais mon voyeur se pencher essayant de voir ma craquelure.
Un autre homme que nous n’avons pas vu venir avait rejoint le premier, il frappa à ma vitre pour manifester sa présence. Nous avions déjà rencontré ce gars lors d’une exhibition précédente et il devait se souvenir de moi lui aussi. Il me montra sa queue qu’il venait de déballer en se masturbant. J’entendais qu’ils parlaient ensemble et mon premier mateur lui expliquait ce que je lui avais dit.
« - Avec le covid cette désirable dame ne peut pas nous ouvrir son carreau pour nous autoriser à la patouiller. »
« - C’est bien dommage, elle m’a fait une fellation la dernière fois que je l’ai vu et crois moi c’est une experte, il ne lui a pas fallut deux heures pour me faire cracher mon jésus. »
Cela m’amusait de les entendre parler de moi, mais Bob avait maintenant dégrafé ma jupe et me demanda d’écarquiller mes cuisses. Je n’étais plus qu’en parure résille, la chatoune à l’air généreusement accueillante face à mes admirateurs. De son autre main mon chéri me chatouillait mon bouton rose. Devant le spectacle que je leur proposais, mes pignoleurs ont éjaculé pratiquement ensemble sur ma vitre.
« - Chéri j’ai envie de faire pipi. »
« - Tu n’as pas le choix que de descendre et de faire dans la nature. » Me répondit-il
« - Oui mais pas devant mes deux admirateurs ? »
« - Tu ne vas pas me faire ta mijaurée, tu viens de leur dévoiler ta nénette et maintenant tu ne veux pas qu’ils te voient pisser, ne t’inquiètes pas je vais surveiller qu’il ne te touche pas. »
Je suis sortie de la voiture dans ma combinaison résille et je me suis accroupie sur le parking, mon jet doré a jaillit de mon méat telle une cascade. Mes deux protagonistes étaient au premier rang accroupis pour me regarder faire coulette. J’avais honte de me montrer comme cela, alors que je n’éprouve aucune gêne à montrer ma figue lors d’une exhibition. Je me suis vite relevée pour m’essuyer la chagatte avec un mouchoir en papier qu’un de mes admirateurs a voulu récupérer. Ensuite j’ai remis ma jupe et mon gilet et tous les deux m’ont remercié pour le bon moment qu’ils avaient passé en notre compagnie.
« - Nous aurions voulu vous faire plaisir d’avantage mais ce sera pour une prochaine fois, lorsque nous serons déconfinés. »
Nous sommes remontés en voiture pour rentrer à la maison. En cours de route nous avons eu un contrôle routier pour vérifier nos attestations. Nous n’étions pas en règle ayant coché une mauvaise case.
« - Vous n’allez tout de même pas nous dire que vous êtes allés faire les magasins alors que vous êtes en pleine campagne. »
Nous ne pouvions pas lui dire que nous étions sortis pour faire une exhibition, d’ailleurs il n’y a pas de case à cocher pour cela.
Pendant qu’un des flics contrôlait nos papiers l’autre faisait le tour de notre voiture et se rinçait l’oeil en regardant mes cuisses gainées de résille à la limite de ma moule. Si son collègue n’avait pas dit :
« - C’est bon pour une fois, mais la prochaine ce sera 135€ alors faites attention à vous. Laisse les partir. »
J’étais prête à écarter mes cuisses pour lui montrer que je n’avais pas de culotte afin de plaider notre cause. Heureusement que nous avions roulé et que le sperme de mes deux voyeurs avait séché sur ma vitre ? Je crois qu’ils auraient compris d’où nous venions, car ils doivent bien savoir qu’il se passe des choses pas très nettes à la sablonnière.
« - Tu crois chéri que de montrer mes cuisses cela nous a évité d’avoir un procès ? »
« - C’est sur, j’ai vu que son collègue de ton côté n’arrêtait pas de te regarder et celui qui contrôlait mes papiers zieutait sans arrêt tes gambettes. »
Sur le chemin du retour Bob me demanda :
« - Penses-tu qu’André et Annie seraient prêts à faire ce que nous avons fait cette après midi ? »
« - Je ne sais pas s’ils sont murs pour ce genre d’exhibition avec des étrangers, avec nous ils n’ont pas de problèmes pour se montrer nus, mais je pense que ce sera difficile. »
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