Un plaisir partagé est un plaisir double (8)
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (8)
Un plaisir partagé est un plaisir double (8)
Alors que j’étais en train de lire, j’ai reçu un coup de fil de ma meilleure amie.
« - Je sais que tu es en congé aujourd’hui alors je viens prendre de tes nouvelles, que fais-tu ma chérie cet après midi ?
« - Rien de spécial, je suis en train de lire le roman que tu m’as conseillé, je l’avais réservé à la médiathèque et il m’ont averti ce matin que je pouvais passer le prendre. »
« - Et toi comment vas-tu depuis la saint Sylvestre, c’était génial et nous nous sommes bien amusés, ton repas était parfait, il nous a fallut deux jours à Bob et à moi pour récupérer. Je ne sais pas si c’est parce que nous avions trop mangé ou parce que nous étions fatigués de cette folle nuit ? »
« - C’est vrai que l’on s’est bien envoyés en l’air, je regrette seulement que nous n’ayons pas passé assez de temps ensemble toutes les deux. Quand nos maris se sont endormis, je n’avais plus trop envie de faire des galipettes avec toi. Ton mari m’avait épuisé et je crois que c’était la même chose pour toi, tu m’as dit qu’André était en superbe forme et qu’il t’avait limé toute la soirée. »
« - Et toi que fais-tu ma belle ? Comme toi pas grand chose et je n’ennuie un peu ! . »
« - Pourquoi ne ferais-tu pas un petit saut jusque chez moi, nous pourrions parler de tout cela tranquillement avec une tasse de thé et des petits gâteaux. »
« - Non, je ne vais pas toujours t’embêter. »
« - Mais que tu es bête ou alors tu ne m’aimes plus ? Je suis tellement heureuse lorsque je suis en ta compagnie. »
« - D’accord je me change et j’arrive mon amour. »
Dans la demi-heure qui à suivie Annie était rendue chez moi. Nous nous sommes embrassés tendrement elle est toujours sereine et toute pimpante dans son manteau noir.
« - Fais voir que je t’enlève les traces de rouge à lèvres que je viens de te mettre sur la figure. »
« - Retires ton manteau et passons au salon je vais te servir un café. »
« - Tu es radieuse dans tes cuissardes et dans ta mini jupe. »
« - C’est l’occasion de la mettre, bien qu’il fasse un peu frais mais avec mon manteau et mes bas ça va. J’ai tout de même mise une culotte aujourd’hui, je ne voudrais pas que ma pépette s’enrhume. »
« - Alors est-ce que tu en penses que je vais plaire à ton amant ? Comment se prénomme déjà ?
« - Doan, tu es venue pour le rencontrer ? Tu aurais pu me le dire avant je lui aurais téléphoner pour savoir s’il était libre. »
« - Je vois bien que tu veuilles le garder pour toi ton beau black. »
« - Ne dis pas cela ; tu sais bien que je partage tout avec toi, mon intimité et mon mari alors tu penses bien que mon soupirant passe après vous deux. »
Elle me prit dans ses bras et m’embrassa.
« - Excuse-moi, mon ange si je t’ai mouché, c’était pour plaisanter, toi aussi tu es ma chouchoute et je t’aime. »
J’ai pris mon téléphone et j’ai appelé mon bel africain.
« - Bonjour Doan c’est Chantal, je voulais savoir si tu étais libre de suite pour venir chez moi ? »
« - Tu as de la chance de me trouver, j’ai travaillé de nuit et je me lève. Je prends une douche et j’arrive, mais à seize heures j’ai un rendez-vous important que je ne puisse pas manquer, je serais obligé de partir. Qui a t-il de si pressant pour que tu m’appelles, nous n’avions pas rendez-vous ? »
« - C’est une surprise et j’espère que tu es en forme. Prends des préservatifs, je ne sais pas si j’en ai assez de ta taille »
« - Tu me connais, Doan toujours en forme pour toi ma petite meuf blanche. Prépares ton joli minou j’arrive »
J’ai raccroché et ils ne nous restent plus qu’à attendre son arrivée.
« - Tu reste habillée comme tu es, je suis plus sexy que toi aujourd’hui ? »
« - C’est vrai, viens dans la chambre et dans la salle de bain avec moi, je vais me changer, je n’avais pas prévu de recevoir Doan. Je vais préparer mon minou comme il dit si bien et me maquiller, tu peux aussi en profiter pour te refaire une beauté pour plaire à notre invité. »
Je me suis déshabillée, j’ai épilé les quelques poils furtifs qui avaient repoussé de mon pubis et j’ai profité de ce que ma copine soit là pour qu’elle me fasse l’anus. D’ordinaire c’est mon chéri qui me le fait lorsque je n’ai pas le temps d’aller chez mon esthéticienne.
« - Pourquoi fais-tu cela, Il t’a déjà enculé ?
« - Oui bien sur, tu sais avec lui il faut s’y attendre, en général tous nos trous vont y passer. »
« - Alors tu veux bien regarder, si le mien est bien lisse. »
« - Bien sur ma chérie, retire ta culotte et installe-toi sur le lit se sera plus facile. Ecartes moi tes fesses. »
Sa petite pastille brune qui était encore inviolé il y a quelques semaines s’offrait à moi relâchée, élargie et détendue. Je lui ai enlevé les quelques poils rebelles qui avaient échappé à son rasoir. Une fois terminées, je n’ai pas pu résister d’aller lui embrasser son troufignon en passant ma langue dessus, elle n’a pas protesté, elle s’est même soulevée en mettant son petit cul en buse pour que je lui lèche son sillon jusqu’à sa porte d’entrée principale.
« - Il va falloir que nous arrêtions ma chérie, nous ne sommes pas prête et notre étalon va bientôt arriver. »
Je me suis habillée comme elle sexy avec des bas auto fixant une jupe courte et un slip et soutien gorge noir également, puis nous nous sommes remaquillées en attendant notre chevalier servant.
« - Je devrais peut-être enlever mes cuissardes qu’est-ce que tu en penses ? »
« - C’est très érotique, tu pourras les retirer que lorsque nous irons au lit. »
« - Qu’est-ce que tu as Annie tu l’air angoissé et anxieuse, ne t’inquiètes pas tout ira bien, tu es venue dans l’intention de rencontrer Doan pour avoir ta première expérience black, je t’ai trouvé l’homme qu’il te faut, il est gentil, doux, délicat, attentif, attachant et en superbement membré, tu vas t’éclater. Tu vas te trémousser de plaisir. Cela va être nouveau pour toi, rien à voir avec nos chéris crois-moi. Tu ne peux plus reculer maintenant, sois confiante d’ailleurs il va arriver. Nous avons eu de la chance qu’il soit disponible. »
« - Je suis un peu angoissée, c’est toi qui me pousse au vice, avant moi n’avais pas ce genre d’idées dans la tête, maintenant que tu m’as fait connaître d’autres plaisirs, je n’arrête pas d’y penser et j’en mouille ma petite culotte. J’ai toujours envie d’en connaître plus et depuis que tu m’as parlé de ton beau noir, j’ai toujours cette idée en tête, et je me masturbe quand je suis seule, chose que je ne faisais jamais avant. Mais ce qui m’ennuie le plus, c’est de cocufier mon chéri sans qu’il le sache, tu vois par exemple je ne peux pas lui dire que ton mari m’a sodomisé et qu’aujourd’hui que je vais me taper un noir. Par contre, il accepte que je fasse l’amour avec toi et même que je fornique avec ton homme. Je pense qu’il lui faut quelque chose en retour, tu vois cela ne lui fait rien que ton mari me baise parce que lui aussi il couche avec toi et s’il avait une petite noire à se mettre à se mettre sous la queue, il supporterait de me voir niquer avec un black. Tu as bien de la chance d’avoir un mari qui est consentant pour t’offrir tous ces plaisirs, je ne sais pas…
Annie n’a pas eu le temps de terminer son dialogue, on venait de sonner à la porte. Je suis allée ouvrir à Doan, qui était content de me revoir.
« - Alors ma bien-aimée, tu as des envies pour m’appeler précipitamment. »
En entrant dans le salon, il a vu que je n’étais pas seule.
« - Excusez--moi madame, je ne savais pas que Chantal n’était pas seule. »
« - Ce n’est rien, c’est la surprise, veux-tu une tasse de café que l’on t’explique la situation. »
« - Oui je veux bien mais je ne voudrais pas vous déranger. Monsieur Bob n’est pas là ? »
« - Non, il est au travail et tu ne nous déranges pas bien au contraire, si je t’ai fais venir sans te prévenir auparavant, c’est que ma meilleure amie, ici présente aimerait bien faire l’amour avec un noir, c’est une première pour elle aussi je t’ai proposé. J’ai pensé que tu accepterais de nous baiser toutes les deux ensemble, je me trompe ? »
« - Ben ! C’est délicat, mais si Madame veut faire l’expérience, je ne peux pas refuser. »
« - Arrêtes de faire semblant que tu n’as pas envie d’elle, regardes comme elle est mignonne et sexy et je vois une bosse au niveau de ta brayette. Allons dans la chambre, nous serons plus à l’aise pour débaucher ma copine. »
Annie passa devant en montant les escaliers, je pouvais voir la fin de ses bas, comme je la suivais, j’ai soulevé un peu sa jupe sans qu’elle s’en aperçoive pour montrer à Doan sa jolie petite culotte noire sur ses fesses rebondissantes.
Je lui ai demandé de s’allonger sur le lit pour lui ôter ses cuissardes. Dans la bataille que nous livrons pour lui retirer ses bottes, sa jupe s’est relevée montrant ses cuisses et son slip légèrement transparent pour le bonheur de mon amant. Sans qu’elle s’y attende, j’ai glissé mes deux mains sous sa petite jupe et je lui ai retiré sa petite culotte.
En se relevant elle me dit :
« - Tu exagères de montrer ma choupinette à ton soupirant. »
« - Il faut bien commencer, tu ne vas pas faire l’amour tout habillé, Tu ne seras pas longtemps seule sans culotte, nous allons nous dénuder aussi. »
Doan se tourna vers ma copine la prit dans ses bras et l’embrassa. Ses grosses lèvres se collèrent aux siennes, sa main glissa sous sa jupe. Elle le laissa faire et prit même l’assurance en lui caressant le sexe par-dessus son pantalon, elle écarta ses jambes en lui laissant la liberté de lui fouiller sa fente. Pendant ce temps j’ai ôté mes vêtements et je me suis allongée nue sur le lit. Doan qui avait une nouvelle partenaire dans ses bras, commença à la défroquer en lui retirant son corsage, puis fit glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tomba à ses pieds et enfin lui dégrafa son soutien gorge pour lui mettre ses beaux nibards en liberté. Il la prit dans ses bras pour la déposer nue sur le lit à côté de moi. Il se déshabilla à son tour, lorsqu’il retira son caleçon, j’ai serré la main de ma copine pour qu’elle regarde la longueur de son morceau de viande qui traînait entre ses cuisses. Elle appuya deux fois sur mes doigts pour me montrer qu’elle avait compris et qu’elle était impressionnée de la longueur de son engin au repos.
Doan chevaucha Annie en mettant ses genoux de chaque côté de son visage, sa pendeloque lui caressait ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et lui ingurgita une bonne partie de son sexe. Ma copine n’était pas née de la dernière pluie et ses caresses buccales devaient être tellement douces que le membre de mon amant durcit rapidement. Notre black s’agitait au-dessus d’elle entrant et sortant sa bite d’entre ses lèvres. Je l’entendais parfois avoir des hauts de cœur lorsqu’il lui enfonçait sa biloute un peu trop profonde dans sa gorge. Elle se crispait en me serrant la main de plus en plus fort.
Doan changea de partenaire me chevauchant à mon tour, son gros gland en érection glissa dans ma bouche. Ma langue lui chatouilla ses papilles et je me délectais de la perle de sperme qui s’y échappait. Plus audacieuse et plus intime avec lui que ma compagne, je l’ai attiré à moi en posant mes mains sur ses fesses musclées. Sa bite se promenait dans ma gorge en entrant et en sortant au rythme de ses vas et vient. Une main de mon bel africain s’occupait de ma fissure qui s’est ouverte aux exigences de ses caresses.
J’avais très envie que ma meilleure amie puisse goûter à ce joli membre noir dont je lui avais parlé. Je pense qu’elle devait être impressionnée par mon bel étalon noir bâti comme un athlète mais surtout par cette queue hors du commun d’au moins cinq centimètres de plus que celles de nos maris. On dit toujours qu’il vaut moins une petite courageuse qu’une grande paresseuse. Mais croyez-moi mesdames une grande c’est aussi la panacée, un remède pour toutes celles qui n’arrivent pas à prendre leur plaisir parce que leur mari en a une toute petite. Les nôtres en ont une de dix huit centimètres environ mais une de vingt trois c’est autre chose. Cinq centimètres c’est peu mais lorsqu’ils se trouvent à cet endroit c’est magique.
J’avais vu dans le livre de kamasutra lorsque nous sommes allés chez Annie, une position que nous pouvons faire à trois en étant FFH qui m’est restée dans la tête c’est «la double offrande » J’en ai parlé à mes partenaires de jeu qui m’ont tout de suite approuvés et qui voulaient de bien essayer.
Nous nous sommes mises toutes les deux en position de levrette, l’une sur l’autre offrant à Doan nos quatre orifices disposés à être introduites après quelques préliminaires. C’était le rôle de notre black qui s’est mis à nous les lécher et à nous faire une feuille de rose jusqu’au baiser zézette en nous y en introduisant ses doigts. Comme deux salopes que nous sommes, il ne nous a pas fallut très longtemps pour que l’on se mette à mouiller. Doan a truffé de gel intime nos petits trous et s’est ensuite déroulé un préservatif sur son sexe. Les préparations étant terminées le balai des introductions pouvait commencer. Il commença par prendre Annie qui était au-dessus de moi en la sodomisant, une petite plainte de douleur s’échappa de sa bouche et ses mains se crispèrent sur mes seins. (Que vous pouvez voir sur mon avatar) Bientôt la pression se relâcha et le petit cri de douleur fut remplacé par des gémissements de plaisir !
Doan était passé par la grande porte maintenant, je sentais ma copine gesticuler au-dessus de moi, ses gros seins se promenaient sur mon dos en se balançant. Elle s’était agrippée en passant ses deux bras autour de ma poitrine en ondulant de la croupe. J’entendais les couilles de notre invité taper sur les fesses d’Annie. Sa respiration s’accélérait, des mots d’orgasme sortaient de sa bouche.
« - Haaaa ouiiiii…. C’est boooonnnn…. Encore…. Plus vite…. Ouais comme ça. je pars … »
Puis plus rien, elle s’étala de tout son poids sur moi, tremblante de partout, elle venait de connaître l’extase, le bonheur, l’ivresse, le ravissement de se faire prendre par une longue biloute noire qui lui avait ouvert une brèche encore inexplorée de son vagin.
Doan qui s’était sorti de son puits d’amour, venait de changer de capote en nouant l’autre chargé de son sperme. Mon tour était venu de passer à la casserole. Il pointa son gland à l’entrée de ma petite pastille brune et me l’enfonça. Il glissa sa verge dans mon petit trou qui entra aussi facilement qu’un suppositoire. Ce n’était pas la première fois qu’il entrait dans mon fion il était donc largement alésé. Tout en m’enculant, il caressait la minette de ma copine qui lui disait :
« - Mets-y tes doigts Doan. »
Sans que mon plaisir en soit perturbé, J’ai resserré mon muscle du sphincter pour enserrant sa verge lors de ses vas et vient dans mon troufignon. Ma façon de lui emprisonner sa bite faisait son effet, elle enfla et des spasmes m’indiquaient qu’il venait de me décharger sa semence dans l’oignon. Il changea une nouvelle fois de préservatif.
Ce fut ensuite un florilège de pénétrations, passant de mon trou du cul à la choupinette de copine, de sa grande porte à la mienne, en revenant par l’entrée des artistes, jusqu’à ce que son pénis répandit sa liqueur dans son fion.
Nous laissant toutes les deux amorphes, inertes et ramollies nues sur le lit, Doan s’est rhabillé en s’excusant de ne pas pouvoir rester plus longtemps afin de se rendre à son rendez-vous, en nous laissant en cadeau les trois préservatifs noués dans lesquels il venait d’éjaculer.
« Je regrette mesdames de vous laisser ainsi sur votre faim, j’aurais aimé vous butiner davantage en voyant vos délicieuses fleurs épanouies aux pistils désireux d’être excités et vos deux merveilleuses poitrines qui méritent d’être caressées, mais je suis obligé de partir. La prochaine fois si vous le désirez prendre de nouveau du plaisir avec moi, n’hésitez pas à m’appeler pour que je prenne mes dispositions et de me consacrer entièrement à vous. J’ai été très heureux de faire votre connaissance madame Annie. »
Je pense bien qu’il soit heureux de baiser ma jolie copine, Quel homme ne le serait pas ?
Seules et toutes nues nous sommes rentrés sous la couette, on s’est enlacées et embrassée longuement.
« - Alors comment l’as-tu trouvé ton premier apprentissage avec un black ? »
« - Absolument sublime, impressionnant, prodigieux, phénoménal, je n’ai pas assez de superlatifs pour exprimer le ravissement que j’ai ressenti. »
Nous nous sommes endormies enchevêtrées l’une dans l’autre avec des étoiles plein les yeux.
Alors que j’étais en train de lire, j’ai reçu un coup de fil de ma meilleure amie.
« - Je sais que tu es en congé aujourd’hui alors je viens prendre de tes nouvelles, que fais-tu ma chérie cet après midi ?
« - Rien de spécial, je suis en train de lire le roman que tu m’as conseillé, je l’avais réservé à la médiathèque et il m’ont averti ce matin que je pouvais passer le prendre. »
« - Et toi comment vas-tu depuis la saint Sylvestre, c’était génial et nous nous sommes bien amusés, ton repas était parfait, il nous a fallut deux jours à Bob et à moi pour récupérer. Je ne sais pas si c’est parce que nous avions trop mangé ou parce que nous étions fatigués de cette folle nuit ? »
« - C’est vrai que l’on s’est bien envoyés en l’air, je regrette seulement que nous n’ayons pas passé assez de temps ensemble toutes les deux. Quand nos maris se sont endormis, je n’avais plus trop envie de faire des galipettes avec toi. Ton mari m’avait épuisé et je crois que c’était la même chose pour toi, tu m’as dit qu’André était en superbe forme et qu’il t’avait limé toute la soirée. »
« - Et toi que fais-tu ma belle ? Comme toi pas grand chose et je n’ennuie un peu ! . »
« - Pourquoi ne ferais-tu pas un petit saut jusque chez moi, nous pourrions parler de tout cela tranquillement avec une tasse de thé et des petits gâteaux. »
« - Non, je ne vais pas toujours t’embêter. »
« - Mais que tu es bête ou alors tu ne m’aimes plus ? Je suis tellement heureuse lorsque je suis en ta compagnie. »
« - D’accord je me change et j’arrive mon amour. »
Dans la demi-heure qui à suivie Annie était rendue chez moi. Nous nous sommes embrassés tendrement elle est toujours sereine et toute pimpante dans son manteau noir.
« - Fais voir que je t’enlève les traces de rouge à lèvres que je viens de te mettre sur la figure. »
« - Retires ton manteau et passons au salon je vais te servir un café. »
« - Tu es radieuse dans tes cuissardes et dans ta mini jupe. »
« - C’est l’occasion de la mettre, bien qu’il fasse un peu frais mais avec mon manteau et mes bas ça va. J’ai tout de même mise une culotte aujourd’hui, je ne voudrais pas que ma pépette s’enrhume. »
« - Alors est-ce que tu en penses que je vais plaire à ton amant ? Comment se prénomme déjà ?
« - Doan, tu es venue pour le rencontrer ? Tu aurais pu me le dire avant je lui aurais téléphoner pour savoir s’il était libre. »
« - Je vois bien que tu veuilles le garder pour toi ton beau black. »
« - Ne dis pas cela ; tu sais bien que je partage tout avec toi, mon intimité et mon mari alors tu penses bien que mon soupirant passe après vous deux. »
Elle me prit dans ses bras et m’embrassa.
« - Excuse-moi, mon ange si je t’ai mouché, c’était pour plaisanter, toi aussi tu es ma chouchoute et je t’aime. »
J’ai pris mon téléphone et j’ai appelé mon bel africain.
« - Bonjour Doan c’est Chantal, je voulais savoir si tu étais libre de suite pour venir chez moi ? »
« - Tu as de la chance de me trouver, j’ai travaillé de nuit et je me lève. Je prends une douche et j’arrive, mais à seize heures j’ai un rendez-vous important que je ne puisse pas manquer, je serais obligé de partir. Qui a t-il de si pressant pour que tu m’appelles, nous n’avions pas rendez-vous ? »
« - C’est une surprise et j’espère que tu es en forme. Prends des préservatifs, je ne sais pas si j’en ai assez de ta taille »
« - Tu me connais, Doan toujours en forme pour toi ma petite meuf blanche. Prépares ton joli minou j’arrive »
J’ai raccroché et ils ne nous restent plus qu’à attendre son arrivée.
« - Tu reste habillée comme tu es, je suis plus sexy que toi aujourd’hui ? »
« - C’est vrai, viens dans la chambre et dans la salle de bain avec moi, je vais me changer, je n’avais pas prévu de recevoir Doan. Je vais préparer mon minou comme il dit si bien et me maquiller, tu peux aussi en profiter pour te refaire une beauté pour plaire à notre invité. »
Je me suis déshabillée, j’ai épilé les quelques poils furtifs qui avaient repoussé de mon pubis et j’ai profité de ce que ma copine soit là pour qu’elle me fasse l’anus. D’ordinaire c’est mon chéri qui me le fait lorsque je n’ai pas le temps d’aller chez mon esthéticienne.
« - Pourquoi fais-tu cela, Il t’a déjà enculé ?
« - Oui bien sur, tu sais avec lui il faut s’y attendre, en général tous nos trous vont y passer. »
« - Alors tu veux bien regarder, si le mien est bien lisse. »
« - Bien sur ma chérie, retire ta culotte et installe-toi sur le lit se sera plus facile. Ecartes moi tes fesses. »
Sa petite pastille brune qui était encore inviolé il y a quelques semaines s’offrait à moi relâchée, élargie et détendue. Je lui ai enlevé les quelques poils rebelles qui avaient échappé à son rasoir. Une fois terminées, je n’ai pas pu résister d’aller lui embrasser son troufignon en passant ma langue dessus, elle n’a pas protesté, elle s’est même soulevée en mettant son petit cul en buse pour que je lui lèche son sillon jusqu’à sa porte d’entrée principale.
« - Il va falloir que nous arrêtions ma chérie, nous ne sommes pas prête et notre étalon va bientôt arriver. »
Je me suis habillée comme elle sexy avec des bas auto fixant une jupe courte et un slip et soutien gorge noir également, puis nous nous sommes remaquillées en attendant notre chevalier servant.
« - Je devrais peut-être enlever mes cuissardes qu’est-ce que tu en penses ? »
« - C’est très érotique, tu pourras les retirer que lorsque nous irons au lit. »
« - Qu’est-ce que tu as Annie tu l’air angoissé et anxieuse, ne t’inquiètes pas tout ira bien, tu es venue dans l’intention de rencontrer Doan pour avoir ta première expérience black, je t’ai trouvé l’homme qu’il te faut, il est gentil, doux, délicat, attentif, attachant et en superbement membré, tu vas t’éclater. Tu vas te trémousser de plaisir. Cela va être nouveau pour toi, rien à voir avec nos chéris crois-moi. Tu ne peux plus reculer maintenant, sois confiante d’ailleurs il va arriver. Nous avons eu de la chance qu’il soit disponible. »
« - Je suis un peu angoissée, c’est toi qui me pousse au vice, avant moi n’avais pas ce genre d’idées dans la tête, maintenant que tu m’as fait connaître d’autres plaisirs, je n’arrête pas d’y penser et j’en mouille ma petite culotte. J’ai toujours envie d’en connaître plus et depuis que tu m’as parlé de ton beau noir, j’ai toujours cette idée en tête, et je me masturbe quand je suis seule, chose que je ne faisais jamais avant. Mais ce qui m’ennuie le plus, c’est de cocufier mon chéri sans qu’il le sache, tu vois par exemple je ne peux pas lui dire que ton mari m’a sodomisé et qu’aujourd’hui que je vais me taper un noir. Par contre, il accepte que je fasse l’amour avec toi et même que je fornique avec ton homme. Je pense qu’il lui faut quelque chose en retour, tu vois cela ne lui fait rien que ton mari me baise parce que lui aussi il couche avec toi et s’il avait une petite noire à se mettre à se mettre sous la queue, il supporterait de me voir niquer avec un black. Tu as bien de la chance d’avoir un mari qui est consentant pour t’offrir tous ces plaisirs, je ne sais pas…
Annie n’a pas eu le temps de terminer son dialogue, on venait de sonner à la porte. Je suis allée ouvrir à Doan, qui était content de me revoir.
« - Alors ma bien-aimée, tu as des envies pour m’appeler précipitamment. »
En entrant dans le salon, il a vu que je n’étais pas seule.
« - Excusez--moi madame, je ne savais pas que Chantal n’était pas seule. »
« - Ce n’est rien, c’est la surprise, veux-tu une tasse de café que l’on t’explique la situation. »
« - Oui je veux bien mais je ne voudrais pas vous déranger. Monsieur Bob n’est pas là ? »
« - Non, il est au travail et tu ne nous déranges pas bien au contraire, si je t’ai fais venir sans te prévenir auparavant, c’est que ma meilleure amie, ici présente aimerait bien faire l’amour avec un noir, c’est une première pour elle aussi je t’ai proposé. J’ai pensé que tu accepterais de nous baiser toutes les deux ensemble, je me trompe ? »
« - Ben ! C’est délicat, mais si Madame veut faire l’expérience, je ne peux pas refuser. »
« - Arrêtes de faire semblant que tu n’as pas envie d’elle, regardes comme elle est mignonne et sexy et je vois une bosse au niveau de ta brayette. Allons dans la chambre, nous serons plus à l’aise pour débaucher ma copine. »
Annie passa devant en montant les escaliers, je pouvais voir la fin de ses bas, comme je la suivais, j’ai soulevé un peu sa jupe sans qu’elle s’en aperçoive pour montrer à Doan sa jolie petite culotte noire sur ses fesses rebondissantes.
Je lui ai demandé de s’allonger sur le lit pour lui ôter ses cuissardes. Dans la bataille que nous livrons pour lui retirer ses bottes, sa jupe s’est relevée montrant ses cuisses et son slip légèrement transparent pour le bonheur de mon amant. Sans qu’elle s’y attende, j’ai glissé mes deux mains sous sa petite jupe et je lui ai retiré sa petite culotte.
En se relevant elle me dit :
« - Tu exagères de montrer ma choupinette à ton soupirant. »
« - Il faut bien commencer, tu ne vas pas faire l’amour tout habillé, Tu ne seras pas longtemps seule sans culotte, nous allons nous dénuder aussi. »
Doan se tourna vers ma copine la prit dans ses bras et l’embrassa. Ses grosses lèvres se collèrent aux siennes, sa main glissa sous sa jupe. Elle le laissa faire et prit même l’assurance en lui caressant le sexe par-dessus son pantalon, elle écarta ses jambes en lui laissant la liberté de lui fouiller sa fente. Pendant ce temps j’ai ôté mes vêtements et je me suis allongée nue sur le lit. Doan qui avait une nouvelle partenaire dans ses bras, commença à la défroquer en lui retirant son corsage, puis fit glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tomba à ses pieds et enfin lui dégrafa son soutien gorge pour lui mettre ses beaux nibards en liberté. Il la prit dans ses bras pour la déposer nue sur le lit à côté de moi. Il se déshabilla à son tour, lorsqu’il retira son caleçon, j’ai serré la main de ma copine pour qu’elle regarde la longueur de son morceau de viande qui traînait entre ses cuisses. Elle appuya deux fois sur mes doigts pour me montrer qu’elle avait compris et qu’elle était impressionnée de la longueur de son engin au repos.
Doan chevaucha Annie en mettant ses genoux de chaque côté de son visage, sa pendeloque lui caressait ses lèvres. Elle ouvrit la bouche et lui ingurgita une bonne partie de son sexe. Ma copine n’était pas née de la dernière pluie et ses caresses buccales devaient être tellement douces que le membre de mon amant durcit rapidement. Notre black s’agitait au-dessus d’elle entrant et sortant sa bite d’entre ses lèvres. Je l’entendais parfois avoir des hauts de cœur lorsqu’il lui enfonçait sa biloute un peu trop profonde dans sa gorge. Elle se crispait en me serrant la main de plus en plus fort.
Doan changea de partenaire me chevauchant à mon tour, son gros gland en érection glissa dans ma bouche. Ma langue lui chatouilla ses papilles et je me délectais de la perle de sperme qui s’y échappait. Plus audacieuse et plus intime avec lui que ma compagne, je l’ai attiré à moi en posant mes mains sur ses fesses musclées. Sa bite se promenait dans ma gorge en entrant et en sortant au rythme de ses vas et vient. Une main de mon bel africain s’occupait de ma fissure qui s’est ouverte aux exigences de ses caresses.
J’avais très envie que ma meilleure amie puisse goûter à ce joli membre noir dont je lui avais parlé. Je pense qu’elle devait être impressionnée par mon bel étalon noir bâti comme un athlète mais surtout par cette queue hors du commun d’au moins cinq centimètres de plus que celles de nos maris. On dit toujours qu’il vaut moins une petite courageuse qu’une grande paresseuse. Mais croyez-moi mesdames une grande c’est aussi la panacée, un remède pour toutes celles qui n’arrivent pas à prendre leur plaisir parce que leur mari en a une toute petite. Les nôtres en ont une de dix huit centimètres environ mais une de vingt trois c’est autre chose. Cinq centimètres c’est peu mais lorsqu’ils se trouvent à cet endroit c’est magique.
J’avais vu dans le livre de kamasutra lorsque nous sommes allés chez Annie, une position que nous pouvons faire à trois en étant FFH qui m’est restée dans la tête c’est «la double offrande » J’en ai parlé à mes partenaires de jeu qui m’ont tout de suite approuvés et qui voulaient de bien essayer.
Nous nous sommes mises toutes les deux en position de levrette, l’une sur l’autre offrant à Doan nos quatre orifices disposés à être introduites après quelques préliminaires. C’était le rôle de notre black qui s’est mis à nous les lécher et à nous faire une feuille de rose jusqu’au baiser zézette en nous y en introduisant ses doigts. Comme deux salopes que nous sommes, il ne nous a pas fallut très longtemps pour que l’on se mette à mouiller. Doan a truffé de gel intime nos petits trous et s’est ensuite déroulé un préservatif sur son sexe. Les préparations étant terminées le balai des introductions pouvait commencer. Il commença par prendre Annie qui était au-dessus de moi en la sodomisant, une petite plainte de douleur s’échappa de sa bouche et ses mains se crispèrent sur mes seins. (Que vous pouvez voir sur mon avatar) Bientôt la pression se relâcha et le petit cri de douleur fut remplacé par des gémissements de plaisir !
Doan était passé par la grande porte maintenant, je sentais ma copine gesticuler au-dessus de moi, ses gros seins se promenaient sur mon dos en se balançant. Elle s’était agrippée en passant ses deux bras autour de ma poitrine en ondulant de la croupe. J’entendais les couilles de notre invité taper sur les fesses d’Annie. Sa respiration s’accélérait, des mots d’orgasme sortaient de sa bouche.
« - Haaaa ouiiiii…. C’est boooonnnn…. Encore…. Plus vite…. Ouais comme ça. je pars … »
Puis plus rien, elle s’étala de tout son poids sur moi, tremblante de partout, elle venait de connaître l’extase, le bonheur, l’ivresse, le ravissement de se faire prendre par une longue biloute noire qui lui avait ouvert une brèche encore inexplorée de son vagin.
Doan qui s’était sorti de son puits d’amour, venait de changer de capote en nouant l’autre chargé de son sperme. Mon tour était venu de passer à la casserole. Il pointa son gland à l’entrée de ma petite pastille brune et me l’enfonça. Il glissa sa verge dans mon petit trou qui entra aussi facilement qu’un suppositoire. Ce n’était pas la première fois qu’il entrait dans mon fion il était donc largement alésé. Tout en m’enculant, il caressait la minette de ma copine qui lui disait :
« - Mets-y tes doigts Doan. »
Sans que mon plaisir en soit perturbé, J’ai resserré mon muscle du sphincter pour enserrant sa verge lors de ses vas et vient dans mon troufignon. Ma façon de lui emprisonner sa bite faisait son effet, elle enfla et des spasmes m’indiquaient qu’il venait de me décharger sa semence dans l’oignon. Il changea une nouvelle fois de préservatif.
Ce fut ensuite un florilège de pénétrations, passant de mon trou du cul à la choupinette de copine, de sa grande porte à la mienne, en revenant par l’entrée des artistes, jusqu’à ce que son pénis répandit sa liqueur dans son fion.
Nous laissant toutes les deux amorphes, inertes et ramollies nues sur le lit, Doan s’est rhabillé en s’excusant de ne pas pouvoir rester plus longtemps afin de se rendre à son rendez-vous, en nous laissant en cadeau les trois préservatifs noués dans lesquels il venait d’éjaculer.
« Je regrette mesdames de vous laisser ainsi sur votre faim, j’aurais aimé vous butiner davantage en voyant vos délicieuses fleurs épanouies aux pistils désireux d’être excités et vos deux merveilleuses poitrines qui méritent d’être caressées, mais je suis obligé de partir. La prochaine fois si vous le désirez prendre de nouveau du plaisir avec moi, n’hésitez pas à m’appeler pour que je prenne mes dispositions et de me consacrer entièrement à vous. J’ai été très heureux de faire votre connaissance madame Annie. »
Je pense bien qu’il soit heureux de baiser ma jolie copine, Quel homme ne le serait pas ?
Seules et toutes nues nous sommes rentrés sous la couette, on s’est enlacées et embrassée longuement.
« - Alors comment l’as-tu trouvé ton premier apprentissage avec un black ? »
« - Absolument sublime, impressionnant, prodigieux, phénoménal, je n’ai pas assez de superlatifs pour exprimer le ravissement que j’ai ressenti. »
Nous nous sommes endormies enchevêtrées l’une dans l’autre avec des étoiles plein les yeux.
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