un shooting avec mon boss - histoire érotique

Tom fait partie de ces hommes vifs d’esprit et d’une rigueur implacable. Tout le monde le respecte avec une forme d’admiration et de jalousie mêlée. Il sait être à l’écoute de son équipe quand celle-ci a besoin de lui. Autoritaire quand la situation l’exige, il apporte toujours une note d’humour lorsqu’il y a des tensions. Travailler sous les ordres de quelqu’un de son charisme est un vrai plaisir.
C’est pour ça que le jour où il m’a révélé, à la pause déjeuner, ses hobbies, j’en ai presque renversé ma tasse de café. Il m’a fait un signe discret de la main pour que je vienne regarder l’écran de son ordinateur. La photo d’une jeune femme posait à quatre pattes s’affichait. 
Une autre photo montrait une femme le dos cambré, un collier et une laisse autour du cou.
Encore une autre avait dans son anus une bougie.
Je reste estomaquée alors qu'il me demande  de façon tout à fait naturelle:
« Comment tu trouves mon éclairage ? Je ne suis pas trop sous exposé ? »
Je me demande si je rêve pas. Je savais qu'il était photographe amateur, mais je l’avais toujours imaginé dans la prise de vue d’animaux sauvages ou de paysages. J’étais à des lustres qu’il passait son temps à mitrailler des femmes nues.
 « Euh… Je ne sais pas, il faudrait que vous… Euh… que vous m'en montriez plus..enfin.. D'autres m’en montres d’autres pour que je me fasse une idée ? »
Tom fait alors défiler sur son écran différents clichés qu’il a sur son disque dur externe. Des jeunes femmes, entre 18 et 30 ans, prenaient des poses osées devant son objectif. L’une d’entre elle attire particulièrement mon attention. Elle a les seins entravés par une corde rouge.
« Qu’est ce qu’elle doit ressentir, à votre… avis ? » Ai-je osé lui souffler.
« Je ne sais pas ? Il faudrait que tu essaye pour le savoir. » M’a-t-il répondu en me déshabillant du regard.
« Passe chez moi, demain soir si tu as envie d'essayer. Se sera entre nous. Personne ne sera au courant au bureau, je te le promets. »
Stupéfaite, je reste muette alors que les photos défilent sur son écran.
Je reprends ma tasse de café pour me donner un semblant de contenance, tout en ne quittant pas les yeux de son PC.
Je fais quelques pas en arrière en direction de mon bureau et timidement, une boule au ventre, sans oser le regardé, j'accepte son rendez-vous dans un souffle à peine audible.
Le lendemain, je sonne à sa porte. Son studio photo occupe l’intégralité de son vaste salon. Gentleman, il m'offre un whisky pour me détendre. Puis il me propose d'aller me déshabiller dans sa chambre. J'en suis sortie en petite culotte et soutien-gorge d’un pas timide.
Il me contemple, un sourire aux coins des lèvres, et me demande de prendre place pour qu’il puisse régler ses lumières.
« Tu sais Maryaline, si tu veux que je  passe des cordes autour de ton corps, il faudrait que tu sois nue. Intégralement nue. » Me dit-il entre deux clics sur son appareil photo.
Tremblante, je commence par ôter mon soutien-gorge, pendant qu’il déroule dans un coin de la pièce des cordes. Je me retrouve nue comme il me l'a demandé cachant tant que faire se peu, mes seins et mon sexe.
A la vue des cordes, je me remémore les photos des femmes entravées. A cette simple pensée, je commence à mouiller. J'ai honte et me dis  en mon for intérieur :
« Mince, pas là, pas maintenant, pas avec ton boss ? »
Il s’approche de moi et fait glisser les longues cordes autour de mes seins, mes hanches et entre ma fente et mes fesses. Je frissonne à ce contacte.
Délicat, il me dit :
« Surtout, si ça ne va pas ou si les liens sont trop serrés, n’hésite pas à me le dire ! »
Une fois intégralement ligotée, il accroche la corde au plafond et me voilà suspendue comme un morceau de viande.
Il m'embrasse sur le front en me chuchotant :
« Ça va aller… »
Mon cœur bat à tout rompre. Tout d’un coup, une bouffée d’angoisse m’envahie. J’ai peur qu’il abuse de moi, peur de cette situation que je ne maîtrise plus, peur de me sentir aussi vulnérable et impuissante. Je ferme les yeux en entendant le cliquetis de son appareil photo.
« Ouvre les yeux et regarde moi ! »
J'ouvre les yeux et un large miroir reflète mon image. L'image d'une belle femme soumise dont les cordes subliment les lignes terriblement sexy.
D’un coup, toute mon appréhension s’envole et je me sens juste belle et désirable.
Une idée germe dans mon esprit. J’ai une envie folle que Tom me prenne. J’efface rapidement cette image de ma tête. La séance prend fin. J'ai des papillons dans le ventre et je mouille. Il doit s'en apercevoir en me détachant car la corde qui passait sans ma fente est trempée de cyprine. Mais il ne m'en parle pas et fait comme si de rien était.
Il me détache en me remerciant.
« Merci Maryaline ! On a bien travaillé. On va faire une pause. J'ai tout ce qui faut ! Tu as été au top. On a terminé le shooting. Tu peux te rhabiller. »
Je suis presque frustrée qu'il ne tente rien. J'ai une envie folle de me faire baiser ou de le sucer. J'ai la chatte en feu et je n'ai qu'une envie me masturber. Mais lui, très calme m'offre un verre. Au lieu de me rhabiller, je reste nue devant lui espérant qu'il fasse le premier pas mais rien. Je me colle à lui en demandant innocemment :
« Je peux voir les rush ? »
Enthousiaste, en voyant les photos, je m'exclame :
« Wahooo ! Trop sexy ces photos ! Tu es un photographe génial ! »
Mais avec une claque amicale sur les fesses il me dit :
« Allez ! Va t'habiller ! »
Je repart me changer en me demande à quel jeux il joue en me laissant comme ça aussi frustrée. Je tente encore quelque chose. Je me retourne en demandant :
« Au fait, il est quelle heure? »
« Presque 23 heures ; pourquoi ? »
« Ah! Merde! J'suis venue en bus et le dernier passait il y a quelques minutes! »
« Je suis vraiment désolé, la séance a été beaucoup plus longue que prévue. Tu veux que je te reconduise ? »
Je m'approche de lui, et sur un ton de petite fille en faute, je lui demande :
" Je ne peux pas coucher ici? Je ne voudrais pas abuser."
Là, il saisit l'occasion :
« Mais non c'est un vrai plaisir ma chérie. »
Je l'embrasse sur la bouche et sa langue aussitôt se mêle à la mienne.
Sa main caresse mon dos et descend sur mes fesses. Je me cambre dans feulement de plaisir. Ma main glisse sur son pantalon, frôlant son sexe de plus en plus à l'étroit. D'un seul mouvement, je m'agenouille en ouvrant sa braguette et sort sa verge tendue. Je commence aussitôt une fellation gourmande.
Il me dit :
« Je ne te connaissais pas ces talents Maryaline ! Tu es aussi bonne suceuse que modèle ma chérie. »
Puis, portée par ses compliments, je lui fait une cravate de notaire. Son sexe glisse divinement entre mes seins.
Pour l'instant, il reste passif et profite de mes initiatives. C'est moi qui mène la danse. Je me redresse et me mettant à califourchon sur lui, je prends son sexe et le guide vers le vestibule de mon vagin en feu. Je descends sur sa hampe et m'empale dessus en poussant un feulement de plaisir. Nos respirations se font plus rapide. Il agrippe mes hanches pour guider son mouvement. Mes seins se balancent sous ses yeux. Mon plaisir monte rapidement en moi.
Je me met en cadence à scander :
« Oui ! Ho oui !! C'est booooon ! Ha ouiiiii ! »
Tom accélère la cadence en un va-et-vient effréné relâchant toute la tension accumulée. Mon corps tressaille sous un orgasme violent.
Nous restons un moment sa queue dans mon vagin à reprendre notre souffle, les yeux dans le vague, un sourire béat sur les lèvres. Il me soulève délicatement séparant notre emmanchent sexuel. Je lui murmure :
« Merci Tom. Tu m'a fait jouir comme jamais. »