Un si bel été, et ses suites (10)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un si bel été, et ses suites (10)
Un si bel été, et ses suites (10)
Courant décembre, je reçois une invitation au vernissage de l’exposition de Stoyanka E., « Faunes et Amazones », dans une galerie de la rive gauche. Stoya a ajouté de sa main un lapidaire « Viens » que j’interprète comme une injonction. D’ailleurs j’étais curieux de découvrir cette exposition à laquelle après tout je participais modestement.
La galerie est située au premier d’un immeuble du boulevard Saint Germain. Quand j’y pénètre, il y a déjà pas mal de monde qui discute, un verre à la main. J’ai à peine le temps de m’étonner en voyant que circulent çà et là quelques jeunes gens complètement nus que Stoyanka me fait signe. Elle me présente au galeriste, élégant quinquagénaire grisonnant, et m’invite à passer dans une pièce voisine pour me dévêtir.
« Tu as vu, tous mes modèles sont nus. Ça fait partie du concept. Tu es d’accord, non » me dit-elle.
A moins de me sauver à toutes jambes, je vois mal le moyen de refuser. Je me retrouve donc bientôt moi-même nu parmi ces hommes et femmes pour la plupart élégamment vêtus. Je cherche une contenance. Les autres modèles semblent pour la plupart à l’aise, et je me dis que si je ne suis pas un apollon je ne suis pas trop mal. Et pour le zizi, je ne suis pas non plus le plus mal loti. Je commence tout juste à me rassurer lorsque je vois arriver ma tante Julie accompagnée de… maman ! Je voudrais disparaître mais c’est impossible. Elles viennent vers moi ; souriantes, et ma mère n’a pas l’air surpris le moins du monde. Julie m’apostrophe gaiment : « Alors, ça y est, Stoya t’a fait faire ton entrée dans le monde de l’art. »
Elles se sont éloignées vers le buffet, me laissant planté près de mon portrait.
« Très intéressant… »Observant la toile, la personne qui vient de faire cette remarque est une femme élégante, coiffure parfaite, tailleur chic et hauts talons. La soixantaine sans doute, son discret maquillage ne cherche pas à camoufler outrageusement les petites rides au coin des yeux ou de la bouche. Et je reconnais son parfum, celui de Cécile, N°5. C’est moi qu’elle observe à présent, « Vous êtes le modèle, n’est-ce-pas ? Stoyanka E. est une artiste très intéressante. J’adore son travail »Elle reste un moment silencieuse devant mon portrait, puis elle reprend ; « Vous voulez bien me suivre, s’il vous plaît. »Ne sachant pas trop ce qu’elle veut, je la suis. Elle me mène dans une pièce voisine et referme la porte. J’ai tout juste le temps d’apercevoir un couple très occupé, l’amazone nue taillant une pipe à un homme d’un certain âge. La femme qui m’a invité à la suivre me prend dans ses bras et m’embrasse. Je lui rends son baiser tandis que je sens sa main qui palpe mes testicules, puis ma queue. Ses doigts forment un étui pour ma bite et me masturbent lentement, de telle sorte que mon gland vient se frotter régulièrement au creux de sa paume. Je ne tarde pas à bander. Jugeant sans doute mon érection satisfaisante, elle remonte sa jupe sur ses hanches et colle son bas-ventre contre le mien. Sans doute était-elle déterminée sur me programme de sa soirée car elle ne portait pas de culotte. Saisissant mon pénis, elle le guide dans sa vulve où il trouve aisément sa place. Je sais ce qu’il me reste à faire. Elle a posé la tête au creux de mon épaule et je sens son souffle dans mon cou. Elle me chuchote : « Quand tu seras sur le point de venir, préviens-moi, veux-tu. »Je poursuis mon va-et-vient, variant le rythme et la puissance de ma pénétration. Sa vulve et son vagin sont larges et mon sexe s’y meut à l’aise. Le souffle dans mon cou se fait plus rapide, ses mains se crispent sur mes hanches et elle jouit sans bruit. Je suis sur le point d’y parvenir moi aussi : « Je vais jouir, madame… »Aussitôt dit, ce « madame » me paraît ridicule, mais elle n’y prête pas attention. Elle se laisse glisser accroupie et ape ma bite juste à temps pour recueillir mon sperme. Elle déglutit régulièrement et avale tout ce que je lâche avec de petits « hum » de satisfaction. Elle suce ensuite et lèche mon gland avec application, n’y laissant subsister aucune trace de sperme, et se redresse, tire sa jupe, la rebaisse sur ses cuisses et la lisse de la main pour en faire disparaitre les plis. Elle me dit :« J’espère que ça n’a pas été trop désagréable, mon garçon.
-Oh non, pas du tout…-Tant mieux, c’est parfait. »Nous regagnons les salles d’exposition sans rien ajouter.
L’assistance est plus clairsemée, Stoya discute avec le galeriste et quelques personnes ; je juge que je peux à présent m’éclipser. Je me rhabille en compagnie d’une des amazones, lui dis bye-bye et je file. J’avais remarqué cette fille au cours de la soirée. Sans doute avec moi l’une des plus jeunes, joli visage enfantin, yeux bleus, tignasse blonde, dents blanches de poupée. Avec ça de petits nichons tout ronds, de mignons tétons au centre d’aréoles café au lait, une petite motte tapissée de poils blonds. Elle m’avait paru tout-à-fait à l’aise et je l’avais envié.
Au moment où je sors dans la rue, elle m’interpelle pour que je retienne la porte et me rattrape.
« Alors, tu as fait connaissance avec Edith de B.
- Edith de B. ?
-Eh bien oui, la femme qui t’a kidnappé !
-Ah, tu la connais ?
-Tout le monde la connait ! C’est la femme d’un grand collectionneur d’art. Elle, c’est plutôt les artistes et les modèles qu’elle collectionne. Mais elle est courtoise et gentille. Tu as dû t’en rendre compte, non ? »Elle rit, et moi aussi. Nous marchons en bavardant. Elle est étudiante en lettres et pose dans une académie de dessin et pour quelques artistes pour payer ses études.
Arrivés au métro, je m’apprête à la quitter, mais elle me propose de l’accompagner, elle habite à quelques rues de là.
« Tu es prêt pour une ascension au 5ème sans ascenseur ? »C’est un peu mieux qu’une chambre de bonne, un petit studio propre, en ordre et agréablement décoré.
« Fais comme chez moi, » plaisante-t-elle en retirant sa parka. Je pose mon blouson, mais elle continue à se déshabiller pour ne finalement conserver qu’un T-shirt. Elle me passe les bras autour du cou : « Tu as peur d’avoir froid ou la mère de B. t’a épuisé ? » J’ai compris et je me déshabille à mon tour. Elle s’est glissé sous la couette et je la rejoins. Le lit est étroit mais nous nous serons l’un contre l’autre. Je réalise que c’est la première fois que je me trouve au lit avec une fille de mon âge.
« Je ne sais pas pourquoi, dès que je t’ai vu revenir après ton interlude avec Edith de B., j’ai eu envie de ta bite. Tu comprends ça ? »Elle me caresse doucement et j’en fais autant. Sa motte est toute ronde, les poils soyeux, et la fente me semble toute petite, très étroite. Je la parcours du bout du doigt, accentuant progressivement la pénétration. Elle a cessé de me tripoter le pénis et immobile, cuisses écartées, s’abandonne à ma caresse. Peu à peu elle est parcourue de frissons et pousse de petits cris de souri. Au cours de la soirée, j’avais remarqué son joli petit cul ; passant la main entre ses cuisses, je pousuis jusqu’à la raie des fesses, j’atteins et exerce quelques pressions sur son petit trou mais elle m’arrête :« Non, pas ça, je n’aime pas ça. » Je n’insiste pas et je plonge sous la couette où ma langue poursuit ce que la main avait commencé. Elle bascule le bassin pour mieux m’offrir sa chatte et se laisse emporter par l’orgasme qui la submerge. Puis c’est elle qui se retourne et vient sous la couette. Ses lèvres emprisonnent ma verge et je ne tarde pas à éjaculer. Elle ressort la tête, se pourlèche les lèvres en mimant la gourmandise : « Hummm, c’était délicieux ! On pourra en avoir encore ? »Nous éclatons de rire et nous nous étreignons.
« Je crois que tu as raté le dernier métro. Je t’accorde l’hospitalité, joli faune.
-Merci, belle amazone. »
Nous nous réveillons dans le bras l’un de l’autre, dans son lit étroit. Elle m’embrasse et disparait dans la petite salle de bain en roulant de ses petites fesses rondes. Cela suffit à raviver mon désir. Quand elle revient se blottir dans mes bras, je refais une tentative : je passe la main sur ses reins, caresse ses fesses, puis d’un doigt j’en suis la raie et touche sa petite rondelle.
« Tu as envie de ça, hein ? Je ne l’ai fait que deux fois et je n’ai pas trop aimé. Mais le garçon était un peu brusque, c’est peut-être pour ça. Je veux bien réessayer, mais si tu fais doucement.
-Si ça te fais mal, tu me le diras, j’arrêterai.
Est-ce que tu aurais une crème ou quelque chose ? » Juliette fouiller dans un petit placard, ce qui me redonne l’occasion d’admirer son joli petit cul.
« De l’huile d’amande douce, ça ira ?
-Parfait. »Elle se met à plat ventre, je glisse un coussin sous son ventre de sorte que ses fesses soient plus hautes et je fais couler un peu d’huile sur son anus. Je frictionne doucement sa petite rondelle rose, afin de bien la lubrifier. Juliette est silencieuse, un peu tendue. Petit à petit j’introduis le majeur dans le petit trou serré. J’agis très progressivement et je sens son sphincter commencer à se détendre en même temps que la respiration de Juliette se fait plus forte. Je poursuis et approfondis l’introduction de mon doigt, puis j’y ajoute l’index. Le muscle se détend encore quand j’entreprends un lent mouvement de rotation.et son anus reste ouvert quand je cesse ma caresse. Sans plus attendre mon gland vient combler le vide. Il est entré sans peine et Juliette a eu un petit sursaut à son contact. Comme je pénètre un peu plus, elle pousse un petit cri : « Aïe !
-Je te fais mal ?
-Non, ça va ; continue. »Ma bite est maintenant à moitié entrée, mais le conduit est étroit et les muscles contractés la pressent. Je continue délicatement, attentif aux réactions de Juliette, et d’un dernier coup de reins un peu plus énergique je m’introduis complètement. Elle a alors un soubresaut, pousse un « Ah ! » suivi de ses petits cris de souri, et c’est elle qui remue désormais le bassin pour imposer la cadence du va-et-vient de ma queue dans son cul qui s’est encore resserré pour la retenir. Je ne contrôle plus rien et éjacule en poussant à mon tour un cri de plaisir.
Nous nous retrouvons côte à côte, le souffle court. Juliette se blottit contre moi et constate :« Tu as bien fait d’insister. Je n’ai pas eu mal et j’ai joui.
-Voilà, il faut toujours s’adresser à un spécialiste. »Juliette se redresse et me donne de petits coups de poing en feignant la colère : « Espèce de vantard prétentieux !
Allez, habille-toi, on descend prendre un café. »
Nous entrons dans le troquet dont Juliette est une habituée car le garçon, corpulent chauve moustachu, l’accueille d’un jovial : « Bonjour ma princesse. On a passé une bonne nuit ?
-Salut, Paul. Excellente ; avec le prince charmant. Tu nous donnes deux grands cafés. »Elle rafle la corbeille de croissants sur le zinc et nous nous installons sur la banquette en cuir rouge. Un couple entre et vient vers nous. Le garçon, 25 ans environ, grand barbu à lunettes, la fille sans doute tout juste 18 ans, très brune et très maigre. Juliette fait les présentations ; Marc et Rachida s’assoient à notre table.
Courant décembre, je reçois une invitation au vernissage de l’exposition de Stoyanka E., « Faunes et Amazones », dans une galerie de la rive gauche. Stoya a ajouté de sa main un lapidaire « Viens » que j’interprète comme une injonction. D’ailleurs j’étais curieux de découvrir cette exposition à laquelle après tout je participais modestement.
La galerie est située au premier d’un immeuble du boulevard Saint Germain. Quand j’y pénètre, il y a déjà pas mal de monde qui discute, un verre à la main. J’ai à peine le temps de m’étonner en voyant que circulent çà et là quelques jeunes gens complètement nus que Stoyanka me fait signe. Elle me présente au galeriste, élégant quinquagénaire grisonnant, et m’invite à passer dans une pièce voisine pour me dévêtir.
« Tu as vu, tous mes modèles sont nus. Ça fait partie du concept. Tu es d’accord, non » me dit-elle.
A moins de me sauver à toutes jambes, je vois mal le moyen de refuser. Je me retrouve donc bientôt moi-même nu parmi ces hommes et femmes pour la plupart élégamment vêtus. Je cherche une contenance. Les autres modèles semblent pour la plupart à l’aise, et je me dis que si je ne suis pas un apollon je ne suis pas trop mal. Et pour le zizi, je ne suis pas non plus le plus mal loti. Je commence tout juste à me rassurer lorsque je vois arriver ma tante Julie accompagnée de… maman ! Je voudrais disparaître mais c’est impossible. Elles viennent vers moi ; souriantes, et ma mère n’a pas l’air surpris le moins du monde. Julie m’apostrophe gaiment : « Alors, ça y est, Stoya t’a fait faire ton entrée dans le monde de l’art. »
Elles se sont éloignées vers le buffet, me laissant planté près de mon portrait.
« Très intéressant… »Observant la toile, la personne qui vient de faire cette remarque est une femme élégante, coiffure parfaite, tailleur chic et hauts talons. La soixantaine sans doute, son discret maquillage ne cherche pas à camoufler outrageusement les petites rides au coin des yeux ou de la bouche. Et je reconnais son parfum, celui de Cécile, N°5. C’est moi qu’elle observe à présent, « Vous êtes le modèle, n’est-ce-pas ? Stoyanka E. est une artiste très intéressante. J’adore son travail »Elle reste un moment silencieuse devant mon portrait, puis elle reprend ; « Vous voulez bien me suivre, s’il vous plaît. »Ne sachant pas trop ce qu’elle veut, je la suis. Elle me mène dans une pièce voisine et referme la porte. J’ai tout juste le temps d’apercevoir un couple très occupé, l’amazone nue taillant une pipe à un homme d’un certain âge. La femme qui m’a invité à la suivre me prend dans ses bras et m’embrasse. Je lui rends son baiser tandis que je sens sa main qui palpe mes testicules, puis ma queue. Ses doigts forment un étui pour ma bite et me masturbent lentement, de telle sorte que mon gland vient se frotter régulièrement au creux de sa paume. Je ne tarde pas à bander. Jugeant sans doute mon érection satisfaisante, elle remonte sa jupe sur ses hanches et colle son bas-ventre contre le mien. Sans doute était-elle déterminée sur me programme de sa soirée car elle ne portait pas de culotte. Saisissant mon pénis, elle le guide dans sa vulve où il trouve aisément sa place. Je sais ce qu’il me reste à faire. Elle a posé la tête au creux de mon épaule et je sens son souffle dans mon cou. Elle me chuchote : « Quand tu seras sur le point de venir, préviens-moi, veux-tu. »Je poursuis mon va-et-vient, variant le rythme et la puissance de ma pénétration. Sa vulve et son vagin sont larges et mon sexe s’y meut à l’aise. Le souffle dans mon cou se fait plus rapide, ses mains se crispent sur mes hanches et elle jouit sans bruit. Je suis sur le point d’y parvenir moi aussi : « Je vais jouir, madame… »Aussitôt dit, ce « madame » me paraît ridicule, mais elle n’y prête pas attention. Elle se laisse glisser accroupie et ape ma bite juste à temps pour recueillir mon sperme. Elle déglutit régulièrement et avale tout ce que je lâche avec de petits « hum » de satisfaction. Elle suce ensuite et lèche mon gland avec application, n’y laissant subsister aucune trace de sperme, et se redresse, tire sa jupe, la rebaisse sur ses cuisses et la lisse de la main pour en faire disparaitre les plis. Elle me dit :« J’espère que ça n’a pas été trop désagréable, mon garçon.
-Oh non, pas du tout…-Tant mieux, c’est parfait. »Nous regagnons les salles d’exposition sans rien ajouter.
L’assistance est plus clairsemée, Stoya discute avec le galeriste et quelques personnes ; je juge que je peux à présent m’éclipser. Je me rhabille en compagnie d’une des amazones, lui dis bye-bye et je file. J’avais remarqué cette fille au cours de la soirée. Sans doute avec moi l’une des plus jeunes, joli visage enfantin, yeux bleus, tignasse blonde, dents blanches de poupée. Avec ça de petits nichons tout ronds, de mignons tétons au centre d’aréoles café au lait, une petite motte tapissée de poils blonds. Elle m’avait paru tout-à-fait à l’aise et je l’avais envié.
Au moment où je sors dans la rue, elle m’interpelle pour que je retienne la porte et me rattrape.
« Alors, tu as fait connaissance avec Edith de B.
- Edith de B. ?
-Eh bien oui, la femme qui t’a kidnappé !
-Ah, tu la connais ?
-Tout le monde la connait ! C’est la femme d’un grand collectionneur d’art. Elle, c’est plutôt les artistes et les modèles qu’elle collectionne. Mais elle est courtoise et gentille. Tu as dû t’en rendre compte, non ? »Elle rit, et moi aussi. Nous marchons en bavardant. Elle est étudiante en lettres et pose dans une académie de dessin et pour quelques artistes pour payer ses études.
Arrivés au métro, je m’apprête à la quitter, mais elle me propose de l’accompagner, elle habite à quelques rues de là.
« Tu es prêt pour une ascension au 5ème sans ascenseur ? »C’est un peu mieux qu’une chambre de bonne, un petit studio propre, en ordre et agréablement décoré.
« Fais comme chez moi, » plaisante-t-elle en retirant sa parka. Je pose mon blouson, mais elle continue à se déshabiller pour ne finalement conserver qu’un T-shirt. Elle me passe les bras autour du cou : « Tu as peur d’avoir froid ou la mère de B. t’a épuisé ? » J’ai compris et je me déshabille à mon tour. Elle s’est glissé sous la couette et je la rejoins. Le lit est étroit mais nous nous serons l’un contre l’autre. Je réalise que c’est la première fois que je me trouve au lit avec une fille de mon âge.
« Je ne sais pas pourquoi, dès que je t’ai vu revenir après ton interlude avec Edith de B., j’ai eu envie de ta bite. Tu comprends ça ? »Elle me caresse doucement et j’en fais autant. Sa motte est toute ronde, les poils soyeux, et la fente me semble toute petite, très étroite. Je la parcours du bout du doigt, accentuant progressivement la pénétration. Elle a cessé de me tripoter le pénis et immobile, cuisses écartées, s’abandonne à ma caresse. Peu à peu elle est parcourue de frissons et pousse de petits cris de souri. Au cours de la soirée, j’avais remarqué son joli petit cul ; passant la main entre ses cuisses, je pousuis jusqu’à la raie des fesses, j’atteins et exerce quelques pressions sur son petit trou mais elle m’arrête :« Non, pas ça, je n’aime pas ça. » Je n’insiste pas et je plonge sous la couette où ma langue poursuit ce que la main avait commencé. Elle bascule le bassin pour mieux m’offrir sa chatte et se laisse emporter par l’orgasme qui la submerge. Puis c’est elle qui se retourne et vient sous la couette. Ses lèvres emprisonnent ma verge et je ne tarde pas à éjaculer. Elle ressort la tête, se pourlèche les lèvres en mimant la gourmandise : « Hummm, c’était délicieux ! On pourra en avoir encore ? »Nous éclatons de rire et nous nous étreignons.
« Je crois que tu as raté le dernier métro. Je t’accorde l’hospitalité, joli faune.
-Merci, belle amazone. »
Nous nous réveillons dans le bras l’un de l’autre, dans son lit étroit. Elle m’embrasse et disparait dans la petite salle de bain en roulant de ses petites fesses rondes. Cela suffit à raviver mon désir. Quand elle revient se blottir dans mes bras, je refais une tentative : je passe la main sur ses reins, caresse ses fesses, puis d’un doigt j’en suis la raie et touche sa petite rondelle.
« Tu as envie de ça, hein ? Je ne l’ai fait que deux fois et je n’ai pas trop aimé. Mais le garçon était un peu brusque, c’est peut-être pour ça. Je veux bien réessayer, mais si tu fais doucement.
-Si ça te fais mal, tu me le diras, j’arrêterai.
Est-ce que tu aurais une crème ou quelque chose ? » Juliette fouiller dans un petit placard, ce qui me redonne l’occasion d’admirer son joli petit cul.
« De l’huile d’amande douce, ça ira ?
-Parfait. »Elle se met à plat ventre, je glisse un coussin sous son ventre de sorte que ses fesses soient plus hautes et je fais couler un peu d’huile sur son anus. Je frictionne doucement sa petite rondelle rose, afin de bien la lubrifier. Juliette est silencieuse, un peu tendue. Petit à petit j’introduis le majeur dans le petit trou serré. J’agis très progressivement et je sens son sphincter commencer à se détendre en même temps que la respiration de Juliette se fait plus forte. Je poursuis et approfondis l’introduction de mon doigt, puis j’y ajoute l’index. Le muscle se détend encore quand j’entreprends un lent mouvement de rotation.et son anus reste ouvert quand je cesse ma caresse. Sans plus attendre mon gland vient combler le vide. Il est entré sans peine et Juliette a eu un petit sursaut à son contact. Comme je pénètre un peu plus, elle pousse un petit cri : « Aïe !
-Je te fais mal ?
-Non, ça va ; continue. »Ma bite est maintenant à moitié entrée, mais le conduit est étroit et les muscles contractés la pressent. Je continue délicatement, attentif aux réactions de Juliette, et d’un dernier coup de reins un peu plus énergique je m’introduis complètement. Elle a alors un soubresaut, pousse un « Ah ! » suivi de ses petits cris de souri, et c’est elle qui remue désormais le bassin pour imposer la cadence du va-et-vient de ma queue dans son cul qui s’est encore resserré pour la retenir. Je ne contrôle plus rien et éjacule en poussant à mon tour un cri de plaisir.
Nous nous retrouvons côte à côte, le souffle court. Juliette se blottit contre moi et constate :« Tu as bien fait d’insister. Je n’ai pas eu mal et j’ai joui.
-Voilà, il faut toujours s’adresser à un spécialiste. »Juliette se redresse et me donne de petits coups de poing en feignant la colère : « Espèce de vantard prétentieux !
Allez, habille-toi, on descend prendre un café. »
Nous entrons dans le troquet dont Juliette est une habituée car le garçon, corpulent chauve moustachu, l’accueille d’un jovial : « Bonjour ma princesse. On a passé une bonne nuit ?
-Salut, Paul. Excellente ; avec le prince charmant. Tu nous donnes deux grands cafés. »Elle rafle la corbeille de croissants sur le zinc et nous nous installons sur la banquette en cuir rouge. Un couple entre et vient vers nous. Le garçon, 25 ans environ, grand barbu à lunettes, la fille sans doute tout juste 18 ans, très brune et très maigre. Juliette fait les présentations ; Marc et Rachida s’assoient à notre table.
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