Un Week-end à Madrid (2)

- Par l'auteur HDS Titus13004 -
Récit érotique écrit par Titus13004 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un Week-end à Madrid (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un Week-end à Madrid (2)
Miguel est chaud, très chaud même, il n’a aucune hésitation à me pilonner. A chaque coup de butoir s’entend son bassin claquait sur mes fesses. Tantôt rapidement, tantôt plus en douceur, je prends enfin un vrai plaisir mais pas de jouissance pour l’instant. Il me demande de me mettre sur le dos au bord au lit la tête en arrière, il lève sa capote et me pilonne maintenant la gorge, heureusement pour moi que ce n’est pas un engin de 25 cm sinon je crois que je dégeulerai mes tripes et mes boyaux. Des larmes perlent quand même de mes yeux à cause de l’étouffement. J’ai maintenant envie de jouir et je porte ma main à ma bite pour me branler, c’est à ce moment-là que je prends une gifle et qu’il m’ordonne de me pas me toucher. Je me soumets à ce maître. Puis il prend mes jambes et les pose sur ses épaules, enfile une autre capote et me défonce à nouveau, avec encore plus de vigueur que tout à l’heure. Je l’entends gémir et je sais que sa jouissance n’est pas loin, je m’offre encore plus pour le recevoir encore mieux. Il sort enfin sa bite, lève la capote et s’astique le manche, je le regarde prendre son pied, c’est beau un homme sur le point de lâcher la purée. Une première giclée s’écrase sur mon pubis, puis une deuxième qui arrive presque à mon visage, la troisième inonde mon torse. Je suis sur un petit nuage, sur un signe de tête, il m’invite à jouir à mon tour. C’est avec un malin plaisir que j’essuie avec mes doigts sa semence sur mon corps et le porte à ma bouche et je jouis à mon tour dans un râle de plaisir infini. La tension redescend, nos bites aussi. Il m’embrasse, m’enveloppe de ses bras dans une tendresse absolue et nous restons quelques minutes ainsi. Je regarde l’heure presque 3 heure du mat’. Nous prenons une douche sage ensemble et s’apprête à repartir, je l’invite à rester avec moi toute la nuit. Il accepte et nous nous endormons comme des adolescents la main dans la main.
Après quelques heures de repos, j’ouvre un œil et je vois Miguel s’habiller, il me dit qu’il doit partir bosser. Derniers baisers, puis il quitte la chambre. J’ai vraiment passé une très bonne soirée. Je reste au lit, je suis en vacances, j’en profite. Je n’aurais pas été contre un petit réveil coquin, mais plus personne dans mon lit et je n’ai pas franchement envie de me branler avec tous ces mecs chauds comme des braises autour de moi.
Fin de matinée, il est temps de prendre un café près de l’hostal. Après un débarbouillage, je m’habille et je prends mon « desayuno » (petit-déjeuner en espagnol), puis je pars à la re-découverte de cette magnifique ville, rue Fuencaral et Grand Via avec ses boutiques, le palais Royal, la place Mayor, la Puerta del Sol. Le temps passe vite, je m’achète mes bocadillos (sandwichs) au jambon ibérique, une boisson et je dirige vers le parc de La Retiro pour manger et m’allonger sous des pins centenaires. Il fait beau, le parc est toujours aussi merveilleux, son lac artificiel, ses allées magnifiques, un sentiment de sécurité absolue, bref le paradis sur terre. Après m’être restauré, je m’allonge sur cette splendide pelouse et établi mon programme de la soirée, plusieurs solutions s’offrent à moi, je retourne au Leather Club, je tomberai peut-être à nouveau sur un Miguel, je vais plutôt dans un club naturiste (lieu inconnu pour moi), peut-être au Sauna, ou alors une bonne drague dans le parc ce soir et une bonne baise en extérieur (ce que j’affectionne particulièrement), dernière option je drague avec une application sur mon smartphone…… J’ai le temps, je préfère profiter de l’instant présent. Fin de l’après-midi, il est temps de rentrer à l’hôtel, mais avant je vais faire les boutiques de la rue Hortenzana au beau milieu du quartier gay, j’ai très envie de me faire plaisir avec de nouveaux habits. Premier arrêt, un sex-shop, bon je sais ce n’est pas vraiment une boutique de fringues, mais pour un beau jock strap, c’est l’endroit idéal, après un petit tour du côté des accessoires, godes, pinces à sein, masturbateur, etc… Je me dirige vers le rayon sexy. « Bonjour, je peux vous aider ? ». J’allais répondre à cette voix, je me retourne et je reste muet quelques secondes ! Je reste bouche bée devant le vendeur. Je « kiffe » le type espagnol, mais là, franchement les « bras m’en tombent », le mec parfait, mais vraiment, rien à jeter, tout à consommer, de la tête aux pieds. 1m80, cheveux noirs assez courts coiffés en arrière, des sourcils assez fins, des yeux couleurs ébène, une barbe de trois jours, une boucle d’oreille en forme de croix, un large sourire, une dentition parfaite et d’une blancheur absolue, un tee-shirt gris échancré avec une pilosité discrète mais présente, un jeans déchiré au niveau des cuisses qui laissent entrevoir son boxer, et, comment dire, assez moulé pour tout deviner ou presque, un corps mince mais quelque peu musclée, des mains bien lisse et une bague très sympa à l’annulaire, on dirait un mannequin, il me manque que son âge et son prénom. (Rires). « Oui ! Bonjour, je voudrais un jock strap sympa, rouge…. Rouge comme moi à l’instant, j’ai l’impression de manquer d’air, je vais me liquéfier sur place. Je n’arrive pas à le regarder. « Nous avons ce modèle, il est en coton, très confortable, ou bien celui-ci en lycra, il sera parfait pour vous, nous avons des cabines si vous voulez l’essayer, quelle taille ?. « Je…je !!!, reprends toi Seb ce n’est qu’un vendeur », « Je ne sais pas peut-être un « M ». « Ils taillent petit, vous devriez essayer un « L », il me tend les articles. Je ne savais même pas que l’on pouvait essayer des jock strap comme n’importe quelles autres fringues. Je reprends mes esprits, je lui demande si je dois garder mon boxer pour essayer, il me répond oui, à cause de l’hygiène. Me voilà quasiment à poil dans une cabine, en train d’essayer un jock strap avec un vendeur canon juste derrière le rideau. Je n’ose pas sortir de la cabine. « Comment vous vous sentez ? ». Si je dois répondre franchement, j’ai bien envie de lui dire, « excité » (Rires). « Vous avez raison, ça taille petit ». Dans un bruit sourd, le rideau s’ouvre et le vendeur juge qu’il me va et ajuste l’arrière du jock sur mes fesses. Je ne suis pas à l’aise, mais pas à l’aise du tout. Il se penche et je sens son souffle sur mes épaules, cette fois-ci c’est sûr, je vais m’évanouir. « Je m’appelle Felipe, si vous êtes libre ce soir, on pourrait boire un verre ensemble ! ». « Oui, bien sûr !!! » Je recommence à balbutier, à rougir. Puis je souris et je dis « Avec plaisir Felipe, je m’appelle Sébastien ». « Vous êtes français ? », « Oui ! », vous connaissez le LL Bar rue Pelayo ? » « Oui ! », « 22 heures, c’est OK pour toi ? ». Ce tutoiement ne me déplais pas. « OK ! 22 heures au LL Bar ». Il essuie mes épaules comme pour ajuster un costume. Je me rhabille, paye et quitte ce sex shop avec un large sourire. Je n’ai plus très envie de faire d’autres boutiques. Comme un gamin, il me presse d’être à ce soir pour revoir et boire un verre avec Felipe.

Les minutes et les heures ne passent pas. Un coup d’œil sur ma montre, 20h30, 90 minutes à attendre c’est long. Toutes les 30 secondes, je vérifie que je ne me sois pas trompé d’heure. J’ai l’impression que chaque minute dure une heure. Mon portable sonne. « Allo ! », « Allo ! C’est Juan ». « Bonsoir Juan ! Pas trop fatigué par cette journée ? « Non, ça va ! J’aimerai bien te revoir, tu es libre ce soir ? ». « Ce soir ? (je dois inventer quelques chose de plausible, je n’ai pas envie de le laisser filer, hier, je suis resté un peu sur ma faim et j’ai quand même envie de le revoir, mais pas ce soir !), « Ce soir ce n’est pas possible, je dois voir des amis, tu es libre demain ? ». « C’est dommage pour ce soir, demain je suis de repos, je suis libre toute la journée. Tu as prévu quoi? ». « J’avais l’intention d’aller au sauna Octopuss ». « OK pour le sauna, j’adore cet endroit. On mange ensemble avant ? Je connais un endroit où les tapas sont géniaux ». « OK Juan, pas de soucis, on se téléphone demain vers midi ? ». « OK ! À demain Seb et bonne soirée ». « A demain Juan, toi aussi passe une bonne soirée. Je ne pensais pas qu’il appellerait, mais je suis très content qu’il est fait. Il faut que je finisse de me préparer et à moi la soirée !! Olé !!

A suivre…..

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