Un Week-end à Madrid (4)

- Par l'auteur HDS Titus13004 -
Récit érotique écrit par Titus13004 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un Week-end à Madrid (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un Week-end à Madrid (4)
Felipe est d’une douceur extrême, d’une sensibilité quasi féminine, mais surtout la virilité d’un beau mâle. Les premières minutes ne sont que caresses, baisers, on découvre nos corps, on explore chaque partie de l’autre. Nous sommes en osmose totale. J’ai l’impression de le connaître depuis toujours, et quand nos regards se croisent, on sent quelque chose de plus qu’un simple plan cul. Puis Felipe devient plus entreprenant, il commence à être plus macho, plus directif, ce qui ne me déplait pas. Il prend mon visage entre ses mains puissantes et me plaque comme sa bouche, sa langue vient titiller ma glotte, sa barbe de trois jours me fait l’effet d’un stimulant. Lentement il me prend les bras et maintient les poignets au-dessus de ma tête et se met à califourchon sur mon ventre, il se hisse pour que son sexe vienne au bord de mes lèvres, il bouge son bassin afin que je ne puisse pas prendre l’objet du désir dans ma bouche, je ne peux que sentir ce sexe devant moi avec un parfum délicat et sensuel, puis il se penche, cherche quelque chose et je sens un objet froid enveloppé mes poignets et quelques secondes je suis attaché à la tête de lit par des menottes, cela m’excite de me sentir dominer de la sorte, mais un peu en panique quand même, je ne fais ça qu’avec des partenaires que je connais. Puis, je me dis tant pis pour moi si je tombe sur un mec pas très clair et extrêmement pervers. Mais rien de tout ça, il est attentif, sensuel et parfait dans ce rôle de dominateur. Il cherche de nouveau quelque chose et cette fois ci c’est ma vue qui est occulté par un foulard. Je suis à la merci de cet hidalgo que je connais à peine. Lentement, je le sens s’approcher de mon visage. Un souffle chaud parcours mon nez, ma bouche, mon menton et descend lentement vers mon sexe et mes couilles. C’est divin. Il fait des allers retours. Après quelques minutes de ce ballet, il se met à côté de moi, il est là et pourtant je ne sens pas sa présence, d’une main délicate, il effleure et balaye les poils de mon torse, les tétons dressés comme des pointes dures et sensibles. Il joue avec eux comme pour m’annoncer la suite. Je mouille beaucoup et je sens le liquide pré-séminal sortir et longer ma verge. Je soupire de plaisir, mon cœur s’accélère et mon souffle devient de plus en plus court. Puis il se lève du lit, je ne vois rien, je ne sens rien, je ne sais pas ce qu’il fait. J’entends des pas s’éloignés de la chambre et quelques secondes après il revient à pas de velours et s’agenouille au pied du lit, mes pieds dépassent, je tressaute, je suis surpris par le froid sur mes voutes plantaires, avec un glaçon dans chaque main il caresse mes pieds et remonte le long de mes chevilles jusqu’à ma queue qu’il enveloppe de ses mains chargées de cette froideur. L’effet est immédiat, mon excitation retombe un peu, et lorsqu’il les passe sur mes couilles, je les sens rentrer vers l’intérieur, puis il remonte encore, il est de plus en plus allongé sur moi et arrive à mes tétons durcis, le passage des glaçons a pour effet de faire remonter ma tension artérielle, puis les embrasse, les tète, les mordille affectueusement. Je ne peux m’empêcher de lui dire à cet instant présent que ce moment, je voudrais qu’il dure toujours. « Chut !!! » me répond-il. Il se met en position du « 69 », j’ai sa queue proche de ma bouche, mais je ne peux qu’accéder à ses belles couilles, que je lèche avidement, essayant de les gober et les sentir rouler sous ma langue.
De sa bouche experte il enveloppe mon gland et serre légèrement, puis il descend lentement, très lentement, trop lentement, je n’en peux plus, j’ai envie de crier d’arrêter ce supplice, mais ses mains me rassurent, il effleure à leur tour les poils de mes jambes et glisse une main entre mes cuisses de l’autre il tient ma queue et commence un va et vient qu’il accélère ou ralentit selon son envie. Il porte son pouce à sa bouche l’humidifie et vient l’insérer lentement dans mon trou encore étroit. Il reprend sa pipe et rentre son pouce, il vient d’atteindre ma prostate et il la masse. Je ne sais plus d’où vient le plaisir, je perds complètement la notion du temps et de l’espace. Son petit jeu « cruel » dure de longues minutes. J’ai toujours l’accès à ses belles couilles, il soulève son bassin et pose son gland à l’aide d’une main sur ma bouche, petit à petit son sexe vient s’empaler, il commence des va et vient dans cette position tout en gardant ma bite dans sa bouche et son pouce sur ma prostate. J’ai envie qu’il m’étouffe et c’est ce qu’il fait, ma gorge est pilonnée d’une façon docile, mais à chaque butée, j’ai le haut le cœur, puis il se retire, lâche ma bite et mon cul. Il se tourne et me gratifie d’un baiser de cinéma, lentement il me lève mon bandeau et défait les menottes. Je suis libre à présent de le prendre dans mes bras, de l’enlacer, de l’embrasser comme un fou. Il me prend une main, la porte à son sexe et imite le mouvement qu’il souhaite, je commence à le branler et lui fait de même avec la mienne. Je suis sur le dos et lui sur le côté, une main sous la tête, il me regarde, il sourit, mais ne dit toujours rien. J’ai l’impression qu’il n’est pas aussi excité que moi. Mon souffle devient court, très court, je grimace et c’est la délivrance. Je jouis comme rarement à un tel niveau, mon torse, mon visage sont inondés d’un flux généreux. A son tour il grimace, il râle puis éjecte une impressionnante quantité de foutre, même collé à moi il en reçoit jusqu’au visage et m’inonde une nouvelle fois, les draps et les oreillers ne sont pas épargnés. Nous sommes gluants et maintenant collés l’un à l’autre par nos semences. Nous restons un très long moment silencieux enlacés et heureux. Puis il se lève, va chercher des serviettes, il m’essuie avec une grande délicatesse avant de le faire sur lui-même. « Estoy feliz ! » « Je suis heureux ! » lâche-t-il ! « Yo tambien, Felipe, yo tambien ! » « Moi aussi Felipe, moi aussi ! ». Nous sommes allongés côte à côte, nous regardons le plafond. Je n’arrive pas à décrire ce moment hors du temps, je suis extrêmement bien. Felipe se lève de nouveau et revient quelques instants après, des verres remplis d’un whisky-coca bien frais. « J’ai vraiment passé un moment très très chaud et sensuel avec toi Felipe ! ». Il me gratifie d’un merci un peu gêné, puis il sourit de nouveau. « Je vais rentrer ! » . « Non, reste ici cette nuit ! J’ai envie de dormir auprès de toi ! ». Un hochement de tête de ma part et j’accepte avec grand plaisir. Nous prenons une douche ensemble, baisers et caresses sont de rigueur. Un coup d’œil à l’horloge, il est 4h30.
Je n’arrive pas à trouver le sommeil, sans doute à cause ou grâce à toutes les images de cette journée très chargée en émotion. Lui est dans un demi-sommeil, me prend la main et la plaque contre son cœur. Il est calme et souriant. Vers 6h du matin, j’ai enfin trouvé les bras de Morphée, j’ai l’impression d’avoir dormi quelques minutes quand Felipe pose un baiser sur mes lèvres. Mon réveil se fait en douceur malgré mes yeux gonflés de fatigue, je lui souris, puis il glisse une main sous le drap qui recouvre nos corps nus, quand il arrive à ma queue, il ne lui faut que quelques secondes pour me faire bander, c’est sa tête maintenant qui a disparu et je sens sa bouche enveloppé ma bite et il me gratifie d’une bonne pipe encore plus sensuelle que celle de cette nuit. Puis il revient à mes côtés, « J’ai très envie de toi ! » me murmure-t-il à l’oreille. Son excitation est très palpable, la mienne aussi. Il s’enchaîne des dizaines de caresses, des milliers de baisers, des millions de tendresses. Il me bascule sur le côté, mon cul offert à sa queue. Il ouvre le tiroir de la table de nuit, cherche et trouve ce qu’il voulait. Quelques instants après, je sens un liquide froid sur ses doigts et n’hésite pas à mouiller mon p’tit trou, puis il enfile un préservatif et présente sa tige à l’entrée de mon petit paradis. Tout en douceur, il me pénètre, je grimace pour cette légère douleur qui s’estompe rapidement. Petit à petit, je sens son sexe m’envahir tout entier, il reste quelques secondes dans cette position puis effectue des va-et-vient. Avec lui tout est douceur, il s’active, accélère, ralentit, sort, rentre, à chaque fois un plaisir différent, une sensation unique. Puis il me demande de me mettre sur le ventre, il glisse un coussin sous mes hanches, il est accroupit, il présente une nouvelle fois son dard à l’entrée de mon trou maintenant dilaté. Il n’a aucune hésitation, il fait disparaître d’un seul coup son pieu, il m’arrache un cri, et il commence des allers retours avec vigueur et force. Mon excitation est à l’extrême, il me pilonne et je sens le coussin devenir humide, « Continue Felipe, encore fort, encore plus profond ». Comme un parfait amant, il s’exécute, me soulève à chaque coup, ses cuisses claquent sur mes fesses. Je suis aux anges. Il continue encore et encore et je jouis dans le coussin dans un râle de plaisir infini. Il se retire, enlève la capote, me retourne et engouffre sa queue dans ma bouche, il ne tarde pas à jouir à son tour, mes lèvres et mon visage sont couverts de son sperme, je le tire à moi et l’embrasse fougueusement afin de partager avec lui ce nectar. La tension redescend, nous nous calmons, nous restons comme des frères siamois collés l’un à l’autre. « Il est 9h, douche et je pars au boulot ! » . 9h ????. « Felipe ? je peux rester encore un peu ? » . « Pas de soucis, n’oublie pas de tirer la porte en partant », un « OK ! » sort de ma bouche et je pense que je me suis rendormi. Nouveau réveil par la sonnerie de mon portable, « Allo ! » « Hasta Juan ! » (« Allo, c’est Juan ! »), « Salut Juan! » Je m’étire de tout mon corps et essaye de retrouver mes esprits. « Il est 13h, je t’attends en bas de ton hôtel, vite je commence à avoir faim ! » « Je ne suis pas à l’hôtel ! Donne-moi l’adresse du bar à tapas, je te rejoins là-bas ! » , « Mais tu es où ? » « Peu importe, j’arrive dans 30 minutes, l’adresse s’il te plait ! » « Calle Hortenzana numéro 35 » « Ok ! à tout de suite » et je raccroche. Je l’avais complètement oublié, je me dépêche, douche, je trouve du gel pour mes cheveux, un peu de déodorant et je me rhabille comme la veille. Je prends quelques minutes pour faire le tour de l’appartement de Felipe, pas de photos, pas de courrier qui traine, mais du café prêt dans la cuisine, je m’en sers une tasse et en me retournant je vois un post-it sur le frigo avec mon prénom dessus, intrigué je le saisis et le lit. « Seb ! J’ai passé un moment très fort avec toi, j’aimerai te revoir avant ton départ, si tu es d’accord ! Je finis tard ce soir vers 21h, attends-moi devant la boutique. Je t’embrasse, je t’….. Felipe ».

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