Un week-end à Madrid
Récit érotique écrit par Titus13004 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un week-end à Madrid
Il y a une dizaine d’années, je suis tombé amoureux de la capitale espagnole « Madrid ». Je m’y rends 3 à 4 fois par an grâce aux compagnies low-cost qui permettent de voyager à des couts très bas. Grâce à elles, j’ai pu découvrir des pays différents comme l’Angleterre, les Pays-Bas, le Portugal, la Belgique, l’Allemagne et même le Maroc. Mais ma destination préféré reste, et de loin, Madrid.
Je ne choisis pas mes destinations au hasard, il faut que la ville ou le pays que je souhaite visiter soit ouvert à l’homosexualité et l’Espagne fait partie de ces pays « béni des dieux », il y fait bon vivre sans le regard désobligeant d’une population homophobe ou simplement hostile à une sexualité différente.
Mais avant de vous raconter mon dernier voyage, il est important de me présenter. Je m’appelle Sébastien et j’ai 54 ans, encore bien conservé, enfin je crois… Je suis plutôt grand, des cheveux courts, des yeux marrons qui me donne un regard très coquin et je n’ai pas jusqu’à ce jour été obligé de payer pour « coucher », ni même supplier pour me faire draguer. Mon allure très masculine et un peu macho sur les bords laisse plutôt penser que je suis hétéro, cependant tout le monde est au courant de ma préférence sexuelle et pour vous dire la vérité, je me fous éperdument de l’avis des autres.
Il y a donc quelques semaines, j’ai réservé mon vol pour Madrid et mon « hostal » dans le quartier gay « Chueca ». Après 90 minutes de voyage, l’avion se pose sur l’aéroport de Madrid-Barrajas, 25 minutes de transport en commun et j’arrive à la station « Tribunal » qui se trouve à la limite du quartier gay. Je rejoins l’hostal et je prends possession de ma chambre, petite, simple mais très bien située. Il est 20h, j’ai largement le temps de me préparer, les soirées dans la capitale espagnole ne commencent pas avant 22h. Une bonne douche, un bon lavement, petite tenue simple et un jockstap pour laisser libre cours à mes amants d’un soir. J’ai déjà établi mon programme, cruising bar, men club, sauna, bars et night-club. Plusieurs styles pour plus de plaisir, des bears, des matures, des jeunes, mais surtout des mecs chaud comme le climat espagnol. J’adore les observer, ils sont souvent brun, un sourire à faire tomber à la renverse, et une belle fierté à être gay et sans complexes.
Après quelques tapas et quelques whisky-coca, je me rends dans le premier lieu de ma liste, un bar d’ »Ours », la soirée à peine commercer et le lieu est déjà bien rempli, des regards furtifs, à droite, à gauche, je repère quelques beaux « spécimen », mais je ne suis pas pressé, j’ai toute la nuit. Je ne connais pas cet endroit malgré mes précédents voyages. Je sais par contre qu’il y a une backroom, mais où ? Pendant quelques minutes j’observe le manège de ces amants potentiels. « Bingo !! », je sais où se trouve l’endroit de toutes les perversions, direction le sous-sol. L’endroit est plutôt glaude et sombre comme je les aime, un écran projette des films X gay, deux petites cabines, un banc, des recoins encore plus sombres et quelques mecs. Premier croisement de regard, premiers échanges de phéromones et premier contact. Je le reconnais, il m’observé à l’étage et m’a suivi. Grand, brun, poilu, la quarantaine, je sens que je vais prendre l’apéritif d’un repas copieux, je m’en délecte. Il me fait un signe et je le rejoins dans une des cabines. A peine entré, il me met la main au paquet et me roule une pelle…. J’avais oublié, les espagnols ne sont pas des experts en la matière, je laisse faire quand même, puis à mon tour de lui montrer un « french kiss » et la réaction est immédiate, il apprécie, en redemande, il bande, je sens que je vais passer un délicieux moment, en espérant qu’il soit actif. Mon pantalon est sur les chevilles depuis longtemps et j’offre à cet hidalgo ma croupe. Il se met à genoux et commence à me bouffer le cul….. Puis tout s’arrête ???? Il se relève et me dit dans sa langue, « tu m’as trop excité, j’ai jouis ».. Grosse déception, mais ces des choses qui arrivent. Cela n’a duré que quelques minutes, un apéritif au goût de trop peu. Je remonte prendre un nouveau verre, toujours pareil, whisky-coca. Je commence à être vraiment excité, d’autant que j’ai pris un stimulant et que je me promène toujours avec une ou deux bouteilles de poppers que je sniffe régulièrement. Aurais-je plus de chance pour une deuxième tentative ? Je repars en chasse dans le brouhaha de ce bar. Rien de vraiment sympa, ils sont surtout là pour prendre un verre entre amis. Je pense alors que ce n’est pas l’endroit pour trouver de quoi assouvir mes pulsions. Pas grave, j’ai d’autres lieux dans ce quartier très branché. C’est à ce moment là que j’entends un « Hola ! », je me tourne et je vois un « ange », enfin presque. Je lui réponds par un « Hola ! Como estas ? ». Puis se déroule une conversation très sympathique, il s’appelle Juan, il a 38 ans, pas très grand 1m70, brun, des yeux noirs, une barbe de trois jours et un sourire d’une blancheur immaculée, pas très « Oso » (Ours en espagnol), pas très musclé, du moins je le devine, mais un charme fou, il travaille dans une boutique de fringue dans le quartier gay, ce qui explique les vêtements très mode qu’il porte, à côté, j’ai l’impression d’être un mendiant (Rires). Puis arrive les questions plus intimes. Manque de chance pour moi, il est passif et vit en co-colocation comme souvent à Madrid. Il m’invite à descendre dans la backroom, je le suis, tant pis, une fois n’est pas coutume, je serai actif. Premiers baisers dans la salle devant le film X et un public (ce qui n’est pas pour me déplaire), il n’est pas un expert en la matière (voir plus haut), par contre, il est très excité et très chaud. Il soulève son tee-shirt et dégrafe son pantalon, je peux sentir au travers de son caleçon son membre qui durcit, il plonge sa main dans mon jogging. Je commence sérieusement à être très excité, puis il m’entraine dans un recoin plus sombre. Nous nous retrouvons tous les deux presque nu, tee-shirt relevés, pantalons et sous-vêtements sur les chevilles. Il a une queue d’enfer, qui n’est pas proportionné à son gabarit, une bonne vingtaine de centimètres et épaisse à souhait, je ne peux m’empêcher de me retrouver à genoux pour l’avoir dans ma bouche, c’est un délice, elle est parfumée délicatement, je l’avale goulument, il gémit, il me tient la tête pour que je ne m’enfuis pas, il pilonne la gorge. Je me relève après quelques minutes, nos bouches ne cessent de trouver, il me mordille la lèvre supérieure, nos langues se croisent et se décroisent, puis à son tour de se retrouver à genoux et enveloppe ma queue de sa bouche, qui pour le coup est experte, il me suce à fond, je suis au bord de l’explosion, il sent que je vais partir s’il continue, il s’arrête net, se relève et un nouveau ballet de langues commencent. Nous sommes tous les deux surexcités, j’en voudrais plus et je commence à m’imaginer dans un lit avec lui, toute une nuit à s’embrasser, se caresser, se faire jouir, s’aimer….. Nous restons une heure environ à ce manège incessant, chacun son tour suçant l’autre, puis s’embrassant sans jouir, c’est l’extase, un moment de grâce dans ce lieu glauque et sombre. Il est presque minuit, je demande à Juan, s’il veut venir dans ma chambre d’hôtel pour passer la nuit et continuer nos ébats. Il me répond qu’il a une grosse livraison de bonne heure le lendemain. C’est dommage, nous échangeons nos portables, je lui explique que je suis à Madrid pour quelques jours et que je serai ravi de le revoir. Il est d’accord, il m’embrasse langoureusement, me sourit, puis s’en va. Je n’ai toujours pas joui, je pars à mon tour pour un autre lieu, d’autres rencontres pour cette première soirée madrilène.
Je quitte cet endroit sympathique, le parfum de Juan dans ma bouche et sur mon corps, je sens encore la présence de ce corps contre moi, l’excitation à son comble et un goût amer d’inachevé.
Deuxième lieu, un cruising bar dans la rue Pelayo, je connais l’endroit, je le fréquente à chaque voyage, c’est le lieu où tout est permis ou presque. Nous sommes jeudi soir, il est plus de minuit quand je sonne à la porte d’entrée de cet endroit. C’est Pablo qui m’ouvre, je le connais (depuis le temps), échange de banalité, il est très sympa, mais pas à mon goût, ni moi au sien de toute façon. Il y a du monde, beaucoup de monde. Je commande mon verre et je vais faire le tour de l’établissement, rez-de-chaussée, à côté du bar, il y a un long couloir avec des pissotières sur la gauche, puis un alignement de petites cabines avec des glory-holes, mais la nouveauté, c’est la backroom qui s’est transformé en labyrinthe et au sous-sol, il y a également un long couloir plus large avec des cabines et des petites pièces ouvertes et pour certaines un matelas pour des parties plus coquines. Je ne suis pas pressé, mais j’aimerais bien trouver quelque chose à me mettre dans la bouche ou ailleurs. Il y a de quoi faire, toutes sortes de mecs de 20 à 60 ans, des grands, des petits, des chauves, des chevelus. Des barbus, des imberbes. Je me crois au marché (Rires). Je n’ai pas le temps de finir mon verre qu’un mec m’aborde et m’invite dans une cabine. Jeune, très jeune, trop jeune sans doute, je me laisse quand même tenté, il ferme la porte, pas de discours, pas de salutations, je me retrouve à poil dans la seconde qui suit. Il est beau, imberbe, brun. Il est déjà à genou et commence à me pomper avec envie, je me laisse faire, mais à ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Quand il se relève, il me dit (en espagnol bien sûr), 20 € la pipe et 50€ pour une heure….. Je suis choqué, c’est la première fois qu’il y a un tapin dans cet endroit. Je refuse catégoriquement et je sors légèrement en colère. J’en parle à Pablo et le fait sortir immédiatement, la prostitution n’est vu d’un très bon œil et surtout interdite. Je culpabilise, mais tant pis pour lui. Je suis au bar tranquillement installé sur un tabouret, ma première soirée n’est pas vraiment un succès, je suis un peu déçu, l’âge y serait-il pour quelque chose ? Alexandro, le barman, me tend un verre et me dit c’est offert ! Offert ? Par qui ? Il me montre discrètement celui qui a eu cette gentillesse. Je réponds d’un merci avec la tête, il me sourit et s’approche de moi. Aussi grand que moi, la bonne quarantaine, mince, brun cendré, un très beau sourire, des yeux verts, pas très banal pour un espagnol, et se présente, il s’appelle Miguel et me dit qu’il me trouve charmant, un compliment de dragueur, je me laisse une nouvelle fois tenté, je me retrouve pour la énième fois dans une cabine, les pantalons sur les chevilles, il m’embrasse (pas encore un expert) et me dit qu’il est actif et qu’il aimerait mon bouffer l’arrière-train. Je me laisse faire et offre ma croupe à ce séducteur, une nouvelle fois, je me trouve dans un état d’excitation optimale et je ne compte pas laisser échapper cette nouvelle aventure. Sa barbe naissante m’excite encore plus. Il me propose d’aller chez lui finir ce que nous venions de commencer, je ne suis pas très chaud pour y aller, par contre, je luis propose de venir dans ma chambre qui n’est pas très loin. Il accepte, pas le temps de finir le verre offert, nous partons direction l’hôtel. Dans la rue, il n’hésite pas à me faire la main au cul et le malaxer et moi je ne me gêne pas pour l’exciter.
Arrivé dans la chambre, la porte à peine fermée, je l’embrasse goulument, les vêtements valsent à travers la pièce, je me retrouve à quatre pattes sur le lit, laissant libre cours à son imagination. Sa langue, puis, un doigt, deux doigts viennent titiller ma rondelle afin de la dilater, je prends alors une bonne expiration de poppers pour aider. Il m’en demande aussi, (le poppers est interdit en Espagne), je lui en donne un pour exciter son appétit d’actif, il me demande de le sucer. Sa queue encore molle, je m’active pour lui faire prendre de la vigueur, beaucoup de vigueur. Elle devient raide, pas très longue et pas très épaisse, mais bon, je ne vais pas faire la fine bouche, (Rires). Il est excité comme un fou, le poppers fait son effet, il me demande de me mettre sur le parquet, je m’exécute, il enfile un préservatif et présente sa tige à mon trou, nouvelle prise de poppers pour tous les deux. Puis me pénètre, d’abord doucement et à fond, je gémis de plaisir et l’invite à me baiser plus fort.
A suivre………………….
Je ne choisis pas mes destinations au hasard, il faut que la ville ou le pays que je souhaite visiter soit ouvert à l’homosexualité et l’Espagne fait partie de ces pays « béni des dieux », il y fait bon vivre sans le regard désobligeant d’une population homophobe ou simplement hostile à une sexualité différente.
Mais avant de vous raconter mon dernier voyage, il est important de me présenter. Je m’appelle Sébastien et j’ai 54 ans, encore bien conservé, enfin je crois… Je suis plutôt grand, des cheveux courts, des yeux marrons qui me donne un regard très coquin et je n’ai pas jusqu’à ce jour été obligé de payer pour « coucher », ni même supplier pour me faire draguer. Mon allure très masculine et un peu macho sur les bords laisse plutôt penser que je suis hétéro, cependant tout le monde est au courant de ma préférence sexuelle et pour vous dire la vérité, je me fous éperdument de l’avis des autres.
Il y a donc quelques semaines, j’ai réservé mon vol pour Madrid et mon « hostal » dans le quartier gay « Chueca ». Après 90 minutes de voyage, l’avion se pose sur l’aéroport de Madrid-Barrajas, 25 minutes de transport en commun et j’arrive à la station « Tribunal » qui se trouve à la limite du quartier gay. Je rejoins l’hostal et je prends possession de ma chambre, petite, simple mais très bien située. Il est 20h, j’ai largement le temps de me préparer, les soirées dans la capitale espagnole ne commencent pas avant 22h. Une bonne douche, un bon lavement, petite tenue simple et un jockstap pour laisser libre cours à mes amants d’un soir. J’ai déjà établi mon programme, cruising bar, men club, sauna, bars et night-club. Plusieurs styles pour plus de plaisir, des bears, des matures, des jeunes, mais surtout des mecs chaud comme le climat espagnol. J’adore les observer, ils sont souvent brun, un sourire à faire tomber à la renverse, et une belle fierté à être gay et sans complexes.
Après quelques tapas et quelques whisky-coca, je me rends dans le premier lieu de ma liste, un bar d’ »Ours », la soirée à peine commercer et le lieu est déjà bien rempli, des regards furtifs, à droite, à gauche, je repère quelques beaux « spécimen », mais je ne suis pas pressé, j’ai toute la nuit. Je ne connais pas cet endroit malgré mes précédents voyages. Je sais par contre qu’il y a une backroom, mais où ? Pendant quelques minutes j’observe le manège de ces amants potentiels. « Bingo !! », je sais où se trouve l’endroit de toutes les perversions, direction le sous-sol. L’endroit est plutôt glaude et sombre comme je les aime, un écran projette des films X gay, deux petites cabines, un banc, des recoins encore plus sombres et quelques mecs. Premier croisement de regard, premiers échanges de phéromones et premier contact. Je le reconnais, il m’observé à l’étage et m’a suivi. Grand, brun, poilu, la quarantaine, je sens que je vais prendre l’apéritif d’un repas copieux, je m’en délecte. Il me fait un signe et je le rejoins dans une des cabines. A peine entré, il me met la main au paquet et me roule une pelle…. J’avais oublié, les espagnols ne sont pas des experts en la matière, je laisse faire quand même, puis à mon tour de lui montrer un « french kiss » et la réaction est immédiate, il apprécie, en redemande, il bande, je sens que je vais passer un délicieux moment, en espérant qu’il soit actif. Mon pantalon est sur les chevilles depuis longtemps et j’offre à cet hidalgo ma croupe. Il se met à genoux et commence à me bouffer le cul….. Puis tout s’arrête ???? Il se relève et me dit dans sa langue, « tu m’as trop excité, j’ai jouis ».. Grosse déception, mais ces des choses qui arrivent. Cela n’a duré que quelques minutes, un apéritif au goût de trop peu. Je remonte prendre un nouveau verre, toujours pareil, whisky-coca. Je commence à être vraiment excité, d’autant que j’ai pris un stimulant et que je me promène toujours avec une ou deux bouteilles de poppers que je sniffe régulièrement. Aurais-je plus de chance pour une deuxième tentative ? Je repars en chasse dans le brouhaha de ce bar. Rien de vraiment sympa, ils sont surtout là pour prendre un verre entre amis. Je pense alors que ce n’est pas l’endroit pour trouver de quoi assouvir mes pulsions. Pas grave, j’ai d’autres lieux dans ce quartier très branché. C’est à ce moment là que j’entends un « Hola ! », je me tourne et je vois un « ange », enfin presque. Je lui réponds par un « Hola ! Como estas ? ». Puis se déroule une conversation très sympathique, il s’appelle Juan, il a 38 ans, pas très grand 1m70, brun, des yeux noirs, une barbe de trois jours et un sourire d’une blancheur immaculée, pas très « Oso » (Ours en espagnol), pas très musclé, du moins je le devine, mais un charme fou, il travaille dans une boutique de fringue dans le quartier gay, ce qui explique les vêtements très mode qu’il porte, à côté, j’ai l’impression d’être un mendiant (Rires). Puis arrive les questions plus intimes. Manque de chance pour moi, il est passif et vit en co-colocation comme souvent à Madrid. Il m’invite à descendre dans la backroom, je le suis, tant pis, une fois n’est pas coutume, je serai actif. Premiers baisers dans la salle devant le film X et un public (ce qui n’est pas pour me déplaire), il n’est pas un expert en la matière (voir plus haut), par contre, il est très excité et très chaud. Il soulève son tee-shirt et dégrafe son pantalon, je peux sentir au travers de son caleçon son membre qui durcit, il plonge sa main dans mon jogging. Je commence sérieusement à être très excité, puis il m’entraine dans un recoin plus sombre. Nous nous retrouvons tous les deux presque nu, tee-shirt relevés, pantalons et sous-vêtements sur les chevilles. Il a une queue d’enfer, qui n’est pas proportionné à son gabarit, une bonne vingtaine de centimètres et épaisse à souhait, je ne peux m’empêcher de me retrouver à genoux pour l’avoir dans ma bouche, c’est un délice, elle est parfumée délicatement, je l’avale goulument, il gémit, il me tient la tête pour que je ne m’enfuis pas, il pilonne la gorge. Je me relève après quelques minutes, nos bouches ne cessent de trouver, il me mordille la lèvre supérieure, nos langues se croisent et se décroisent, puis à son tour de se retrouver à genoux et enveloppe ma queue de sa bouche, qui pour le coup est experte, il me suce à fond, je suis au bord de l’explosion, il sent que je vais partir s’il continue, il s’arrête net, se relève et un nouveau ballet de langues commencent. Nous sommes tous les deux surexcités, j’en voudrais plus et je commence à m’imaginer dans un lit avec lui, toute une nuit à s’embrasser, se caresser, se faire jouir, s’aimer….. Nous restons une heure environ à ce manège incessant, chacun son tour suçant l’autre, puis s’embrassant sans jouir, c’est l’extase, un moment de grâce dans ce lieu glauque et sombre. Il est presque minuit, je demande à Juan, s’il veut venir dans ma chambre d’hôtel pour passer la nuit et continuer nos ébats. Il me répond qu’il a une grosse livraison de bonne heure le lendemain. C’est dommage, nous échangeons nos portables, je lui explique que je suis à Madrid pour quelques jours et que je serai ravi de le revoir. Il est d’accord, il m’embrasse langoureusement, me sourit, puis s’en va. Je n’ai toujours pas joui, je pars à mon tour pour un autre lieu, d’autres rencontres pour cette première soirée madrilène.
Je quitte cet endroit sympathique, le parfum de Juan dans ma bouche et sur mon corps, je sens encore la présence de ce corps contre moi, l’excitation à son comble et un goût amer d’inachevé.
Deuxième lieu, un cruising bar dans la rue Pelayo, je connais l’endroit, je le fréquente à chaque voyage, c’est le lieu où tout est permis ou presque. Nous sommes jeudi soir, il est plus de minuit quand je sonne à la porte d’entrée de cet endroit. C’est Pablo qui m’ouvre, je le connais (depuis le temps), échange de banalité, il est très sympa, mais pas à mon goût, ni moi au sien de toute façon. Il y a du monde, beaucoup de monde. Je commande mon verre et je vais faire le tour de l’établissement, rez-de-chaussée, à côté du bar, il y a un long couloir avec des pissotières sur la gauche, puis un alignement de petites cabines avec des glory-holes, mais la nouveauté, c’est la backroom qui s’est transformé en labyrinthe et au sous-sol, il y a également un long couloir plus large avec des cabines et des petites pièces ouvertes et pour certaines un matelas pour des parties plus coquines. Je ne suis pas pressé, mais j’aimerais bien trouver quelque chose à me mettre dans la bouche ou ailleurs. Il y a de quoi faire, toutes sortes de mecs de 20 à 60 ans, des grands, des petits, des chauves, des chevelus. Des barbus, des imberbes. Je me crois au marché (Rires). Je n’ai pas le temps de finir mon verre qu’un mec m’aborde et m’invite dans une cabine. Jeune, très jeune, trop jeune sans doute, je me laisse quand même tenté, il ferme la porte, pas de discours, pas de salutations, je me retrouve à poil dans la seconde qui suit. Il est beau, imberbe, brun. Il est déjà à genou et commence à me pomper avec envie, je me laisse faire, mais à ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Quand il se relève, il me dit (en espagnol bien sûr), 20 € la pipe et 50€ pour une heure….. Je suis choqué, c’est la première fois qu’il y a un tapin dans cet endroit. Je refuse catégoriquement et je sors légèrement en colère. J’en parle à Pablo et le fait sortir immédiatement, la prostitution n’est vu d’un très bon œil et surtout interdite. Je culpabilise, mais tant pis pour lui. Je suis au bar tranquillement installé sur un tabouret, ma première soirée n’est pas vraiment un succès, je suis un peu déçu, l’âge y serait-il pour quelque chose ? Alexandro, le barman, me tend un verre et me dit c’est offert ! Offert ? Par qui ? Il me montre discrètement celui qui a eu cette gentillesse. Je réponds d’un merci avec la tête, il me sourit et s’approche de moi. Aussi grand que moi, la bonne quarantaine, mince, brun cendré, un très beau sourire, des yeux verts, pas très banal pour un espagnol, et se présente, il s’appelle Miguel et me dit qu’il me trouve charmant, un compliment de dragueur, je me laisse une nouvelle fois tenté, je me retrouve pour la énième fois dans une cabine, les pantalons sur les chevilles, il m’embrasse (pas encore un expert) et me dit qu’il est actif et qu’il aimerait mon bouffer l’arrière-train. Je me laisse faire et offre ma croupe à ce séducteur, une nouvelle fois, je me trouve dans un état d’excitation optimale et je ne compte pas laisser échapper cette nouvelle aventure. Sa barbe naissante m’excite encore plus. Il me propose d’aller chez lui finir ce que nous venions de commencer, je ne suis pas très chaud pour y aller, par contre, je luis propose de venir dans ma chambre qui n’est pas très loin. Il accepte, pas le temps de finir le verre offert, nous partons direction l’hôtel. Dans la rue, il n’hésite pas à me faire la main au cul et le malaxer et moi je ne me gêne pas pour l’exciter.
Arrivé dans la chambre, la porte à peine fermée, je l’embrasse goulument, les vêtements valsent à travers la pièce, je me retrouve à quatre pattes sur le lit, laissant libre cours à son imagination. Sa langue, puis, un doigt, deux doigts viennent titiller ma rondelle afin de la dilater, je prends alors une bonne expiration de poppers pour aider. Il m’en demande aussi, (le poppers est interdit en Espagne), je lui en donne un pour exciter son appétit d’actif, il me demande de le sucer. Sa queue encore molle, je m’active pour lui faire prendre de la vigueur, beaucoup de vigueur. Elle devient raide, pas très longue et pas très épaisse, mais bon, je ne vais pas faire la fine bouche, (Rires). Il est excité comme un fou, le poppers fait son effet, il me demande de me mettre sur le parquet, je m’exécute, il enfile un préservatif et présente sa tige à mon trou, nouvelle prise de poppers pour tous les deux. Puis me pénètre, d’abord doucement et à fond, je gémis de plaisir et l’invite à me baiser plus fort.
A suivre………………….
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