Un week-end à Madrid (5)
Récit érotique écrit par Titus13004 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un week-end à Madrid (5)
Ce petit mot est touchant, encore une fois, je ne m’attendais pas à une telle rencontre. Il est le mec que j’ai toujours rêvé de rencontrer, parfait dans les moindres détails, aussi bien physiquement, que mentalement, il est bourré de qualités, douceur, tendresse, attentionné, présent et bien d’autres, je n’ai pas pour l’instant trouvé de défaut à cette carapace. Je me dépêche de rejoindre Juan. Il est là à quelques dizaines de moi, et je lui trouve moins de charme que lors de notre première rencontre. Il est excité comme une puce, sautille tout le temps, parle vite, une vraie pile électrique. Je suis complètement claqué par la nuit passée avec Felipe, j’aurais besoin de beaucoup de calme. Juan me mène dans un bar à tapas très sympa que je ne connaissais pas. Nous mangeons quelques spécialités espagnoles dont notamment la « Tortilla », des « Calamares frits » et des « Croquetas de pollo » avec une « Cerveza » (une bière). Il me raconte pleins de choses, sur sa vie, ce qu’il fait, ce qu’il veut…… Il m’épuise. J’ai envie de dormir, mais une promesse est une promesse. Direction le sauna Octopuss, métro Tribunal. Je connais très bien l’endroit, il est très grand. Quand on arrive, on trouve les vestiaires, puis des cabines et au fond le bar. Au sous-sol, une piscine avec des jets de massage, juste au-dessus le sauna sec, des douches, puis un couloir avec le hammam, une petite salle avec des films de cul et au bout du couloir la backroom. Après avoir payé notre entrée, nous commençons à nous déshabiller, je porte le jock rouge en lycra. Juan ne peut s’empêcher de siffler son « admiration ». « Tu étais où cette nuit ? ». « Chez un ami ! On y va ? ». Il reste perplexe devant ma réponse et nous descendons prendre une douche, direction la piscine. Juan se colle à moi, il bande déjà, mais Felipe est toujours là dans un coin de ma tête. On ne s’est rien promis, mais j’ai l’impression de le tromper en venant au sauna. Un homme d’environ 45 ans entre dans l’eau, une vraie baraque, des épaules larges, un torse imberbe, des pecs de folie, une taille trop fine pour sa corpulence, et surtout tout rien entre les jambes, ni au cerveau à prioris, Juan le salue et me présente. «Mika, je te présente Seb », il s’approche m’embrasse sur les joues. « Qui c’est ? », mon ex me répond Juan. Son ex ???? Deux gabarits aussi différents, mais pas de jugement…. Ils discutent, Juan le chambre, je reste à l’écart, ma première impression était la bonne, le cerveau de ce mec sonne creux.
Après la nuit que je viens de passer, je n’ai pas très envie de baise. J’explique à Juan que je suis fatigué, mais il me demande de la suivre. Je m’exécute, petit circuit, sauna finlandais, hammam, douche, piscine et on recommence. Au bout d’une bonne heure de ce manège Juan me prend la main et m’entraine vers la backroom. Malgré tout ce que je viens de penser sur Felipe, la nuit, la rencontre et tout le reste, je ne peux m’empêcher de bander en voyant tous ces mâles espagnols en rut en train de se sucer, de se faire bouffer le cul, se faire défoncer la rondelle, les entendre gémir, jouir. Mon instinct de prédateur reprend le dessus. Dans la pénombre de cette salle, des mecs s’approchent de moi, commencent à me caresser, touchent ma bite. Ma serviette sur les épaules, j’offre à tout ce petit monde mon anatomie. C’est Juan qui le premier se met à genoux devant moi et engouffre ma bite aussi loin qu’il puisse l’avaler. Les mecs s’agglutinent autour de moi comme s’ils voulaient de la chair fraiche. En train de me faire pomper, un m’embrasse goulument, un palpe mes fesses, un joue avec mes tétons. Je n’arrive pas à résister à autant de tentations. Derrière moi ce trouve une banquette, je m’assois, Juan toujours en train de me sucer. Un mec monte sur la banquette pose ses jambes de part et d’autre de mon corps et me présente son gland que j’enfourne rapidement et avidement, il a une très belle bite, d’une bonne taille aussi bien en longueur qu’en épaisseur. Puis il coince mes mains avec ses pieds et me pilonne la gorge en me tenant la tête. Juan se retourne et veut s’assoir sur ma bite, je le repousse d’un geste de cuisse et avec courtoisie. Il comprend et part à la recherche de son bonheur. Un autre prend sa place, les salives se mélangent, l’excitation est présente, la testostérone aussi. Mon amant de l’instant descend et me faire mettre à quatre pattes sur la banquette, avec sa puissante langue, il la rentre dans mon trou de cul, il me mouille tant qu’il peut, puis il appuie sur mon bas de dos et d’un coup sec rentre entièrement sa queue heureusement protégée. Je pousse un cri et chaque coup je crie de nouveau, la douleur s’estompe et j’ai une autre queue qui se présente à ma bouche, je me fais embrocher des deux côtés. « Tu es une bonne chienne, viens avec mon pote et moi ». Nous entrons dans une cabine à proximité de la backroom, j’ai perdu Juan. La porte fermée, je peux voir les deux lascars. Le premier est plus grand que moi environ 1m90 , un torse et des jambes velues, une barbe très fournie mais courte. Le deuxième est plus petit, plus fin. Tous les deux ont de belle tiges, bien raides. Je me retrouve à nouveau à quatre pattes sur cette paillasse et à tour de rôle me prennent la bouche et le cul. Le plus petit des deux s’allonge sur le dos à ma place et je me mets à califourchon sur lui pendant qu’il me défonce, je peux sucer son ami alors qu’il joue avec mes tétons. Puis il se place derrière moi, s’accroupit, il pose son gland sur mon cul déjà prit par l’autre bite. Ils vont réaliser l’un de mes phantasmes, une double pénétration. Il essaye à plusieurs reprises mais ne parvient pas à faire céder ce dernier rempart. Alors il y va avec ses doigts pour dilater ma rondelle, un puis deux et enfin trois, j’ai mal, mais d’essaye d’y faire abstraction. Quand il a fini de jouer, il essaye de nouveau et sa queue glisse entre mes fesses et longe celle qui est déjà en moi. Je suffoque, j’ai une douleur intense, mais je résiste et me laisse aller à ce plaisir que je ne connaissais pas. Ils ne tardent pas ni l’un, ni l’autre et jouir puissamment, ils se retirent, lève le préservatif et se font sucer à tour de rôle. Ils me mettent sur le dos, je prends au passage quelques claques sur le visage, sur mon corps et sur ma bite. Ils me relèvent les jambes et claque mon cul avec plus de vigueur. Je suis sûr à cet instant qu’il y a du monde devant la porte pour écouter et s’exciter de cette scène qu’ils ne peuvent pas voir. Le plus grand ouvre la porte et offre mon corps à ces badauds. Juan est le premier à regarder. Je ne peux pas résister à l’envie de jouir devant ce public, j’entame le va et vient avec ma main afin de laisser ma jouissance exploser. D’autres se branlent y compris Juan et un flot de sperme s’abat sur moi, toute cette excitation me fait jouir dans des râles infinis.
Ce petit spectacle terminé, la « foule » sort de la cabine, je traverse le sauna à poil, couvert de toutes ses semences, la queue encore raide, je vais prendre une douche salvatrice. J’entends des commentaires sur moi et cela ne me déplait pas. Nouvelle serviette prise auprès de l’accueil pour peut-être de nouvelles partouzes.
Je m’enfonce lentement dans l’eau chaude de la piscine, les jets de massage me font un bien fou. Juan s’approche de moi encore tout excité par ce qu’il avait vu et entendu. « Tu es une vraie salope ! », je souris mais ne dis rien. Il disparait de nouveau, sans doute pas encore rassasié de bonne baise. Les yeux clos, je me délecte de ce moment de tranquillité, j’entends les clapotis de l’eau, mon imagination vagabonde lorsque je suis interpellé par un « Hola ! », j’ouvre mon œil, dirige mon regard vers cette voix que je crois ne pas connaître. Je suis surpris de trouver à cet endroit une bonne connaissance marseillaise. Il s’est installé il y a quelques mois dans la capitale espagnole, ce que je ne savais pas, puis nous discutons de tout et de rien. Il me demande ce que je viens faire à Madrid et je lui explique mes différents voyages. « Et toi ? Qu’est-ce que tu deviens ? ». Et il me répond qu’il a quitté Marseille et la France pour tenter sa chance, il a ouvert un bar français dans le quartier de Salamanca pas très loin de Chueca. Il est heureux et il a rencontré quelqu’un avec qui il s’entend bien. Je suis ravi pour lui. « A l’occasion passe me voir au bar, je te donne l’adresse ». Une fois parti, j’essaye de me rappeler de son prénom, mais rien à faire, pas moyen d’y parvenir.
« Seb ? …. Viens voir ! » Juan m’interpelle du bord de la piscine. Je sors et le rejoint, il me tire une nouvelle fois vers la backroom. Là, je vois un mec très jeune à peine vingt ans à quatre pattes et une file d’au moins dix mecs excités, la queue à la main, défoncer à tout de rôle ce jeune ébène. La scène est inhabituelle, mais très excitante, je m’approche pour regarder ce spectacle. Il ne veut aucune bite dans sa bouche, seul son petit cul ferme doit être sollicité, sans aucune protection, il se prend ces bites l’une après l’autre, après quelques va et vient, les mecs jouissent sur son dos et quitte la scène. Je suis super excité par tout ce manège, je bande, Juan se met à genoux et me suce, je ne tarde pas à vider une nouvelle fois mes bourses en lui tenant la tête pour qu’il avale tout. Epuisé par la nuit avec Felipe et le sauna. Je quitte Juan et je rentre à l’hostal pour me reposer. J’arrive enfin à ma chambre et m’écroule littéralement sur le lit, il ne faut pas plus de dix secondes pour m’endormir profondément.
A suivre……..
Après la nuit que je viens de passer, je n’ai pas très envie de baise. J’explique à Juan que je suis fatigué, mais il me demande de la suivre. Je m’exécute, petit circuit, sauna finlandais, hammam, douche, piscine et on recommence. Au bout d’une bonne heure de ce manège Juan me prend la main et m’entraine vers la backroom. Malgré tout ce que je viens de penser sur Felipe, la nuit, la rencontre et tout le reste, je ne peux m’empêcher de bander en voyant tous ces mâles espagnols en rut en train de se sucer, de se faire bouffer le cul, se faire défoncer la rondelle, les entendre gémir, jouir. Mon instinct de prédateur reprend le dessus. Dans la pénombre de cette salle, des mecs s’approchent de moi, commencent à me caresser, touchent ma bite. Ma serviette sur les épaules, j’offre à tout ce petit monde mon anatomie. C’est Juan qui le premier se met à genoux devant moi et engouffre ma bite aussi loin qu’il puisse l’avaler. Les mecs s’agglutinent autour de moi comme s’ils voulaient de la chair fraiche. En train de me faire pomper, un m’embrasse goulument, un palpe mes fesses, un joue avec mes tétons. Je n’arrive pas à résister à autant de tentations. Derrière moi ce trouve une banquette, je m’assois, Juan toujours en train de me sucer. Un mec monte sur la banquette pose ses jambes de part et d’autre de mon corps et me présente son gland que j’enfourne rapidement et avidement, il a une très belle bite, d’une bonne taille aussi bien en longueur qu’en épaisseur. Puis il coince mes mains avec ses pieds et me pilonne la gorge en me tenant la tête. Juan se retourne et veut s’assoir sur ma bite, je le repousse d’un geste de cuisse et avec courtoisie. Il comprend et part à la recherche de son bonheur. Un autre prend sa place, les salives se mélangent, l’excitation est présente, la testostérone aussi. Mon amant de l’instant descend et me faire mettre à quatre pattes sur la banquette, avec sa puissante langue, il la rentre dans mon trou de cul, il me mouille tant qu’il peut, puis il appuie sur mon bas de dos et d’un coup sec rentre entièrement sa queue heureusement protégée. Je pousse un cri et chaque coup je crie de nouveau, la douleur s’estompe et j’ai une autre queue qui se présente à ma bouche, je me fais embrocher des deux côtés. « Tu es une bonne chienne, viens avec mon pote et moi ». Nous entrons dans une cabine à proximité de la backroom, j’ai perdu Juan. La porte fermée, je peux voir les deux lascars. Le premier est plus grand que moi environ 1m90 , un torse et des jambes velues, une barbe très fournie mais courte. Le deuxième est plus petit, plus fin. Tous les deux ont de belle tiges, bien raides. Je me retrouve à nouveau à quatre pattes sur cette paillasse et à tour de rôle me prennent la bouche et le cul. Le plus petit des deux s’allonge sur le dos à ma place et je me mets à califourchon sur lui pendant qu’il me défonce, je peux sucer son ami alors qu’il joue avec mes tétons. Puis il se place derrière moi, s’accroupit, il pose son gland sur mon cul déjà prit par l’autre bite. Ils vont réaliser l’un de mes phantasmes, une double pénétration. Il essaye à plusieurs reprises mais ne parvient pas à faire céder ce dernier rempart. Alors il y va avec ses doigts pour dilater ma rondelle, un puis deux et enfin trois, j’ai mal, mais d’essaye d’y faire abstraction. Quand il a fini de jouer, il essaye de nouveau et sa queue glisse entre mes fesses et longe celle qui est déjà en moi. Je suffoque, j’ai une douleur intense, mais je résiste et me laisse aller à ce plaisir que je ne connaissais pas. Ils ne tardent pas ni l’un, ni l’autre et jouir puissamment, ils se retirent, lève le préservatif et se font sucer à tour de rôle. Ils me mettent sur le dos, je prends au passage quelques claques sur le visage, sur mon corps et sur ma bite. Ils me relèvent les jambes et claque mon cul avec plus de vigueur. Je suis sûr à cet instant qu’il y a du monde devant la porte pour écouter et s’exciter de cette scène qu’ils ne peuvent pas voir. Le plus grand ouvre la porte et offre mon corps à ces badauds. Juan est le premier à regarder. Je ne peux pas résister à l’envie de jouir devant ce public, j’entame le va et vient avec ma main afin de laisser ma jouissance exploser. D’autres se branlent y compris Juan et un flot de sperme s’abat sur moi, toute cette excitation me fait jouir dans des râles infinis.
Ce petit spectacle terminé, la « foule » sort de la cabine, je traverse le sauna à poil, couvert de toutes ses semences, la queue encore raide, je vais prendre une douche salvatrice. J’entends des commentaires sur moi et cela ne me déplait pas. Nouvelle serviette prise auprès de l’accueil pour peut-être de nouvelles partouzes.
Je m’enfonce lentement dans l’eau chaude de la piscine, les jets de massage me font un bien fou. Juan s’approche de moi encore tout excité par ce qu’il avait vu et entendu. « Tu es une vraie salope ! », je souris mais ne dis rien. Il disparait de nouveau, sans doute pas encore rassasié de bonne baise. Les yeux clos, je me délecte de ce moment de tranquillité, j’entends les clapotis de l’eau, mon imagination vagabonde lorsque je suis interpellé par un « Hola ! », j’ouvre mon œil, dirige mon regard vers cette voix que je crois ne pas connaître. Je suis surpris de trouver à cet endroit une bonne connaissance marseillaise. Il s’est installé il y a quelques mois dans la capitale espagnole, ce que je ne savais pas, puis nous discutons de tout et de rien. Il me demande ce que je viens faire à Madrid et je lui explique mes différents voyages. « Et toi ? Qu’est-ce que tu deviens ? ». Et il me répond qu’il a quitté Marseille et la France pour tenter sa chance, il a ouvert un bar français dans le quartier de Salamanca pas très loin de Chueca. Il est heureux et il a rencontré quelqu’un avec qui il s’entend bien. Je suis ravi pour lui. « A l’occasion passe me voir au bar, je te donne l’adresse ». Une fois parti, j’essaye de me rappeler de son prénom, mais rien à faire, pas moyen d’y parvenir.
« Seb ? …. Viens voir ! » Juan m’interpelle du bord de la piscine. Je sors et le rejoint, il me tire une nouvelle fois vers la backroom. Là, je vois un mec très jeune à peine vingt ans à quatre pattes et une file d’au moins dix mecs excités, la queue à la main, défoncer à tout de rôle ce jeune ébène. La scène est inhabituelle, mais très excitante, je m’approche pour regarder ce spectacle. Il ne veut aucune bite dans sa bouche, seul son petit cul ferme doit être sollicité, sans aucune protection, il se prend ces bites l’une après l’autre, après quelques va et vient, les mecs jouissent sur son dos et quitte la scène. Je suis super excité par tout ce manège, je bande, Juan se met à genoux et me suce, je ne tarde pas à vider une nouvelle fois mes bourses en lui tenant la tête pour qu’il avale tout. Epuisé par la nuit avec Felipe et le sauna. Je quitte Juan et je rentre à l’hostal pour me reposer. J’arrive enfin à ma chambre et m’écroule littéralement sur le lit, il ne faut pas plus de dix secondes pour m’endormir profondément.
A suivre……..
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