UNE ADORABLE PETITE CHATTE 2
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UNE ADORABLE PETITE CHATTE 2
UN AMOUR DE PETITE CHATTE 2
Lucille n’eut pas longtemps à attendre. Marc, son mari, d’habitude fort extraverti et qui aimait faire entendre sa voix tonitruante, en l’apercevant, se tut. Claude, son copain, qui était déjà venu une ou deux fois à la maison, ouvrit de grands yeux. Elle fit semblant d’ignorer ce détail. Elle en oublia, bien sûr, de parler à Marc de la chatière bloquée.
Marc fut le premier à se remettre du spectacle de sa femme, très visiblement nue sous une robe sexy, moulante, transparente, fendue sur le côté jusqu’à la hanche ou presque.
« Oh trésor, on ne va pas s’ennuyer ce soir… »« Quoi ? Vous n’avez donc jamais rien vu ? Espèces de nigauds ! » rétorqua-t-elle, agressive, tout en tournant sur elle-même, comme pour assurer le succès définitif de sa fulgurante offensive visuelle.
« Moi, je n’ai rien dit ! » fit Claude. Il brandit alors un énorme bouquet de fleur qu’il tenait caché derrière le dos.
Il savait que Lucille adorait les fleurs. Lucille s’empara du bouquet. « Petit hypocrite ! » lui lança-t-elle. Mais elle lui adressa son plus large sourire. Elle saisit ce prétexte pour le regarder dans les yeux. Inoubliable fulgurance. Son sourire disparut. Mais elle se ressaisit presqu’aussitôt. Il ne devait quand même pas croire qu’elle allait tomber amoureuse, comme ça, au premier regard, et puis quoi encore ? Mais qu’il était beau… beau… vraiment beau ! Et un peu timide aussi. En plus ! C’était trop. Lucille sentit le danger. Elle n’allait plus le regarder dans les yeux. Plus jamais.
« Venez, les garçons, vous installer sur la terrasse où je vous sers l’apéro et puis je file mettre le bouquet dans un vase. C’est un magnifique bouquet, Claude. Je te remercie »« C’est pour une fille magnifique. » fit discrètement Claude.
Bingo. Lucille ne put s’empêcher de rougir.
Pour l’apéro, ce fut du whisky sec pour les garçons qui se servaient eux-mêmes et du champagne brut pour Lucille. Marc avait ouvert la bouteille et servait sa femme avec générosité. Lucille adorait le champagne. A partir de ce moment, Lucille laissa son mari gérer la cuisine et le service. Il était indiscutablement doué pour ça. Donc, Lucille resta assise dans le divan à côté de Claude. Elle n’avait pas délibérément provoqué cette situation. Elle ne se sentait pas coupable et entretenir la conversation avec ce timide de Claude lui donna soif. Elle n’en pouvait rien. Elle lui donna raison sur tous les sujets pour l’encourager à s’exprimer sans crainte, sans omettre de lui décocher régulièrement son plus beau sourire. Enfin, elle crut bon de se rapprocher un peu de lui, quand la conversation roula définitivement sur les relations hommes-femmes. Elle refusa même de se faire servir une nouvelle coupe de champagne qui eût pu provoquer un déplacement de personne très inopportun.
« Vous êtes mignons, tous les deux ! » avait lancé Marc, qui passait en coup de vent à proximité, mais trop rapidement pour constater que Lucille était maintenant littéralement collée à Claude. Toujours, bien sûr, dans le but de l’encourager à se confier sans crainte et, surtout, dans le domaine de ses préférences féminines.
Toutefois, Claude ne devait pas se bercer d’illusions. La tenue de Lucille, pour toute provocante qu’elle fût, ne signifiait nullement que cette dernière était une femme facile qui se jetterait au cou du premier beau garçon venu. Et même si, sous la table elle laissait traîner son pied de longs instants entre les pieds de son vis-à-vis, ce n’était que le fruit du hasard, un incident purement accidentel. Ou encore, plus tard, quand ils avaient beaucoup bu tous les trois et que son mari, éméché, s’était emparé de la main de Claude pour la déposer sur son sein à elle, que pouvait-elle faire ? Devait-elle mettre son invité mal à l’aise parce que Marc, son mari, avait trop bu ? Mais ils ne devaient pas croire pour autant qu’elle était une femme facile. Ah ça, non !
D’ailleurs, elle eut bientôt l’occasion d’étaler sa parfaite indifférence des beaux garçons. Parce que Claude était un jeune, beau et viril jeune homme, elle devait bien le reconnaître. Il était bien deux ou trois heures du matin, peut-être plus même, quand son mari s’adressa à elle en bafouillant.
« Chou… je crois que je suis incapable de reconduire Claude chez lui… Il pourrait peut-être dormir ici, sur le divan… »
Si Lucille avait craint un instant de céder au charme de ce bellâtre, elle aurait sur-le-champ proposé d’appeler un taxi ou trouver une solution. Mais non, elle ne craignait nullement les tentatives de ce jeune Apollon, même s’il était beau comme un Dieu. Elle acquiesça donc à la proposition de son mari et estima par ailleurs qu’il était temps de mettre un terme à cette longue soirée. Claude l’avait assez reluquée.
« Oui, c’est évident que plus personne d’ici présent, n’est en état de conduire… Je vais mettre ce qu’il faut pour dormir sur le divan… »« Un taxi ? …ou je peux demander à mon père de venir me chercher, il ne boit pas… »« A cette heure-ci ? Pas question ! Marc, tu peux monter te coucher …et fais attention en montant l’escalier ! Je prépare le divan pour Claude. »
« Voilà, tout est prêt ! La salle de bain est à l’étage, je t’ai préparé un essuie de bain propre et une nouvelle brosse à dents… si tu veux… »« Merci, tu es trop gentille… »
« Bon et bien, bonne nuit alors… » fit-elle à voix basse, à leur invité.
« Il a de la chance, Marc… » répondit seulement Claude. Dans la pénombre, il prit la main Lucille. Un long moment de silence s’écoula ainsi. Puis, enfin, elle lui chuchota :« Bonne nuit… » et alors seulement, elle retira tout doucement sa main.
Et elle monta rejoindre Marc. Avec des envies de sexe plein la tête.
Elle passa par la salle de bain où, après s’être brossé les dents, elle échangea sa robe noire hyper sexy contre une nuisette encore plus sexy. Comme elle approchait de la chambre, par la porte entrouverte, elle entendit, désappointée, un ronflement comme elle n’en avait jamais entendu. « Tant pis ! » se dit-elle « Ce sera pour une autre fois… » et, résignée, elle se coucha à côté de son mari profondément endormi.
Lucille n’eut pas longtemps à attendre. Marc, son mari, d’habitude fort extraverti et qui aimait faire entendre sa voix tonitruante, en l’apercevant, se tut. Claude, son copain, qui était déjà venu une ou deux fois à la maison, ouvrit de grands yeux. Elle fit semblant d’ignorer ce détail. Elle en oublia, bien sûr, de parler à Marc de la chatière bloquée.
Marc fut le premier à se remettre du spectacle de sa femme, très visiblement nue sous une robe sexy, moulante, transparente, fendue sur le côté jusqu’à la hanche ou presque.
« Oh trésor, on ne va pas s’ennuyer ce soir… »« Quoi ? Vous n’avez donc jamais rien vu ? Espèces de nigauds ! » rétorqua-t-elle, agressive, tout en tournant sur elle-même, comme pour assurer le succès définitif de sa fulgurante offensive visuelle.
« Moi, je n’ai rien dit ! » fit Claude. Il brandit alors un énorme bouquet de fleur qu’il tenait caché derrière le dos.
Il savait que Lucille adorait les fleurs. Lucille s’empara du bouquet. « Petit hypocrite ! » lui lança-t-elle. Mais elle lui adressa son plus large sourire. Elle saisit ce prétexte pour le regarder dans les yeux. Inoubliable fulgurance. Son sourire disparut. Mais elle se ressaisit presqu’aussitôt. Il ne devait quand même pas croire qu’elle allait tomber amoureuse, comme ça, au premier regard, et puis quoi encore ? Mais qu’il était beau… beau… vraiment beau ! Et un peu timide aussi. En plus ! C’était trop. Lucille sentit le danger. Elle n’allait plus le regarder dans les yeux. Plus jamais.
« Venez, les garçons, vous installer sur la terrasse où je vous sers l’apéro et puis je file mettre le bouquet dans un vase. C’est un magnifique bouquet, Claude. Je te remercie »« C’est pour une fille magnifique. » fit discrètement Claude.
Bingo. Lucille ne put s’empêcher de rougir.
Pour l’apéro, ce fut du whisky sec pour les garçons qui se servaient eux-mêmes et du champagne brut pour Lucille. Marc avait ouvert la bouteille et servait sa femme avec générosité. Lucille adorait le champagne. A partir de ce moment, Lucille laissa son mari gérer la cuisine et le service. Il était indiscutablement doué pour ça. Donc, Lucille resta assise dans le divan à côté de Claude. Elle n’avait pas délibérément provoqué cette situation. Elle ne se sentait pas coupable et entretenir la conversation avec ce timide de Claude lui donna soif. Elle n’en pouvait rien. Elle lui donna raison sur tous les sujets pour l’encourager à s’exprimer sans crainte, sans omettre de lui décocher régulièrement son plus beau sourire. Enfin, elle crut bon de se rapprocher un peu de lui, quand la conversation roula définitivement sur les relations hommes-femmes. Elle refusa même de se faire servir une nouvelle coupe de champagne qui eût pu provoquer un déplacement de personne très inopportun.
« Vous êtes mignons, tous les deux ! » avait lancé Marc, qui passait en coup de vent à proximité, mais trop rapidement pour constater que Lucille était maintenant littéralement collée à Claude. Toujours, bien sûr, dans le but de l’encourager à se confier sans crainte et, surtout, dans le domaine de ses préférences féminines.
Toutefois, Claude ne devait pas se bercer d’illusions. La tenue de Lucille, pour toute provocante qu’elle fût, ne signifiait nullement que cette dernière était une femme facile qui se jetterait au cou du premier beau garçon venu. Et même si, sous la table elle laissait traîner son pied de longs instants entre les pieds de son vis-à-vis, ce n’était que le fruit du hasard, un incident purement accidentel. Ou encore, plus tard, quand ils avaient beaucoup bu tous les trois et que son mari, éméché, s’était emparé de la main de Claude pour la déposer sur son sein à elle, que pouvait-elle faire ? Devait-elle mettre son invité mal à l’aise parce que Marc, son mari, avait trop bu ? Mais ils ne devaient pas croire pour autant qu’elle était une femme facile. Ah ça, non !
D’ailleurs, elle eut bientôt l’occasion d’étaler sa parfaite indifférence des beaux garçons. Parce que Claude était un jeune, beau et viril jeune homme, elle devait bien le reconnaître. Il était bien deux ou trois heures du matin, peut-être plus même, quand son mari s’adressa à elle en bafouillant.
« Chou… je crois que je suis incapable de reconduire Claude chez lui… Il pourrait peut-être dormir ici, sur le divan… »
Si Lucille avait craint un instant de céder au charme de ce bellâtre, elle aurait sur-le-champ proposé d’appeler un taxi ou trouver une solution. Mais non, elle ne craignait nullement les tentatives de ce jeune Apollon, même s’il était beau comme un Dieu. Elle acquiesça donc à la proposition de son mari et estima par ailleurs qu’il était temps de mettre un terme à cette longue soirée. Claude l’avait assez reluquée.
« Oui, c’est évident que plus personne d’ici présent, n’est en état de conduire… Je vais mettre ce qu’il faut pour dormir sur le divan… »« Un taxi ? …ou je peux demander à mon père de venir me chercher, il ne boit pas… »« A cette heure-ci ? Pas question ! Marc, tu peux monter te coucher …et fais attention en montant l’escalier ! Je prépare le divan pour Claude. »
« Voilà, tout est prêt ! La salle de bain est à l’étage, je t’ai préparé un essuie de bain propre et une nouvelle brosse à dents… si tu veux… »« Merci, tu es trop gentille… »
« Bon et bien, bonne nuit alors… » fit-elle à voix basse, à leur invité.
« Il a de la chance, Marc… » répondit seulement Claude. Dans la pénombre, il prit la main Lucille. Un long moment de silence s’écoula ainsi. Puis, enfin, elle lui chuchota :« Bonne nuit… » et alors seulement, elle retira tout doucement sa main.
Et elle monta rejoindre Marc. Avec des envies de sexe plein la tête.
Elle passa par la salle de bain où, après s’être brossé les dents, elle échangea sa robe noire hyper sexy contre une nuisette encore plus sexy. Comme elle approchait de la chambre, par la porte entrouverte, elle entendit, désappointée, un ronflement comme elle n’en avait jamais entendu. « Tant pis ! » se dit-elle « Ce sera pour une autre fois… » et, résignée, elle se coucha à côté de son mari profondément endormi.
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