UNE AMIE SURPRENANTE !

- Par l'auteur HDS JULIE-ANAIS -
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Récit libertin : UNE AMIE SURPRENANTE ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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UNE AMIE SURPRENANTE !
J’ai fait connaissance avec Marie dans la classe de première d’un lycée de Marseille où elle et moi habitions alors. Nous avons fait ensemble la classe terminale, mais à partir de l’université nos études ont divergé. Nous sommes restées amies et nous nous écrivons deux ou trois fois par année.Marie habite toujours Marseille et elle ne manque pas de passer nous voir à Paris quand elle vient dans la capitale. Marie est, comme moi une femme de 35 ans, sportive et active. Elle prend la vie comme elle vient et n’est pas à cheval sur les principes et les conventions.
Il y a quinze jours, dans un courriel, Marie me demanda si on pouvait l’héberger pour une nuit, car elle passait par Paris pour aller au Japon. J’ai compris que ce voyage au Japon était un voyage mi-affaires, mi-vacances. Immédiatement, je lui répondis qu’il n’y avait pas de problème, cela nous faisait plaisir et nous avions une chambre d’ami.

Le jour prévu Marie arriva vers 18h. Je lui présentai Paul, mon compagnon, et après le tour du propriétaire, elle voulut faire un brin de toilette. En déposant ses bagages dans la chambre d’ami Marie nous offrit une bouteille de vin d’un de ses oncles viticulteurs, près de Nîmes.
On prit un apéritif léger dans le salon et, sans attendre, on passa à table dans la cuisine. Ce fut un repas simple, qui dura cependant longtemps car, moi et Marie avions pas mal de mises à jour à faire. Paul suivait nos échanges, mais il était difficile pour lui de placer un mot. On prit le café au salon et, pendant que je débarrassais la table, je compris que Marie et Paul discutaient musique classique, pour finalement se mettre d’accord pour écouter des sonates de Mozart. À 22 heures passées, Marie nous demanda la permission de prendre congé et gagna sa chambre en passant par la salle de bain. Avant d’aller à son ordinateur Paul vint me dire: « Marie est vraiment une belle femme, de compagnie agréable en plus! ». J’acquiesçai, déposai un baiser sur la bouche de mon compagnon et je me mis à faire un peu de lecture. Une demie heure plus tard, après le brossage des dents, je me dirigeai vers le lit. Pour tout vêtement, j’avais enfilé une légère chemise de nuit. Le sommeil tarda à venir car je pensais à Marie. Je l’aimais bien. Je trouvais enfin le sommeil et, un peu plus tard, Paul vint s’étendre à ma gauche après m’avoir embrassé sur le front.

Vers le milieu de la nuit, je sentis sur ma droite une présence et, en même temps, une main se posa, par dessus ma chemise de nuit, sur un de mes seins. Ça ne pouvait pas être une main de Paul et, après avoir entrouvert les yeux, je vis que c’était une main de Marie. Elle était allongée à ma droite et je devinais qu’elle avait mis, comme haut, un T-shirt à manches courtes. J’étais sur le point de m’exclamer, quand la main qui était sur un de mes seins, vint se plaquer sur ma bouche. À mon oreille Marie murmura: » Je me trouve trop seule dans mon grand lit ». Marie ôta alors sa main de ma bouche et je lui souris pour indiquer que je compatissais. Marie interpréta tout autrement ce sourire, car sa main droite, à nouveau libre, alla dessous ma chemise de nuit et se mit à caresser mes seins de manière non équivoque. J’allai à nouveau m’exclamer quand les lèvres de Marie se posèrent sur les miennes. Ma tête fit un mouvement de recul, mais il n’était pas possible de résister à des lèvres si douces et si chaudes. J’ouvrai les miennes et sa langue sucrée caressa la mienne. J’avais des sensations de plus en plus agréables et un doux fourmillement montait de mon bas ventre. Les bouts de mes seins avaient durci. La main droite de Marie quitta mes seins et se dirigea, sans aucun doute possible, vers mon sexe. Avec ma main gauche j’arrêtai le mouvement de sa main. Je ne comprenais pas mon geste, car j’ai connu des relations intimes et toujours agréables avec des femmes. Peut-être la présence de Paul à mon côté?
En tout cas, de toute évidence, si ma tête disait : »non », mon corps disait clairement : »oui ». Finalement, je guidai le main de Marie qui atteignit directement ma toison déjà humide, puisque je n’avais pas mis de culotte. La main de Marie caressait et massait doucement mon pubis et, avec un doigt, elle ouvrait un peu ma fente, sans toucher au clitoris. Elle faisait durer le plaisir et, à cause des petits mouvements de mon bassin, elle comprit que je voulais un orgasme. Elle branla alors doucement mon clitoris humide et dressé, et l’orgasme vint par vagues de différentes intensités. Un petit cri, suivit d’un long gémissement sortirent de ma bouche que les lèvres de Marie avaient libérée.

Paul qui dormait à ma gauche se réveilla alors et alluma sa lampe de chevet. Uniquement en mini-slip, il se mit sur le coude droit et le spectacle qu’il vit le laissa, quelques instants, figé. Je ne sais pas si mon compagnon avait déjà vu, devant lui, une femme, qui plus est sa compagne, jouir à la suite des caresses d’une autre femme. De mon côté j’étais tout simplement bien, les effets de mon orgasme récent se faisaient encore sentir. Cette situation provoquait aucune gène chez moi.
Paul se remit sur le dos, les bras le long du corps. Alors Marie ne perdit pas de temps. En passant son bras droit par dessus moi, elle posa sa main sur le renflement du mini-slip de Paul et me demanda: »Je peux? ». Un peu abasourdi par cette demande qui, en fait, me concernait qu’indirectement, je restai sans voix. Je pense qu’un peu indépendamment de ma volonté, j’ai dû faire oui de la tête. Car alors, Marie, avec l’aide de Pau, lui enleva son mini-slip, libérant ainsi un pénis en partie cambré.Toujours le bras par dessus mon corps, elle prit le membre de Paul dans sa main droite et se mit à le masturber lentement. Je regardais la scène curieuse, sereine, cela m’excitait. La respiration de Paul devenait plus rapide et son sexe était en pleine érection. Enlevant alors son T-shirt et passant par dessus moi, Marie alla s’installer à califourchon sur le ventre de Paul. La lumière de la lampe de chevet de Paul éclairait un peu le pubis de Marie et je vis que Marie n’avait pas ou plus de culotte. On voyait aussi sa toison blonde et drue et on pouvait deviner le haut de sa fente.Soulevant alors un peu son bassin, avec l’aide de sa main gauche, elle fit disparaitre le membre de Paul entre ses cuisses et Paul émis un petit cri. D’un coup, je réalisais que Paul était, à côté de moi, en train de pénétrer une autre femme, et qui plus c’était Marie! C’était pour moi une situation réelle entièrement inconnue, peut-être déjà seulement imaginée comme fantasme! Et je me répétais en moi même : « Mon compagnon est en train de pénétrer une femme devant moi et je suis bien ! ». Non seulement j’étais bien, mais je me surpris à allonger ma main droite vers le torse de Paul pour caresser ses mamelons, je savais qu’il aimait ça. J’étais heureusement surprise de mes réactions. Paul devait être bien lui aussi, mais il ne fit aucun mouvement pour caresser les beaux seins de Marie.
Marie bougeait lentement son bassin dans un léger mouvement de haut en bas et Paul se mit un peu à gémir. À ma grande surprise, Marie quitta rapidement sa position à califourchon sur le bas ventre de Paul . Ce dernier réagit à ce retrait imprévu en essayant, sans succès, de retenir Maris sur lui. Marie repassa par dessus moi et revint à ma droite en essayant d’entrainer, avec sa main droite, le corps de Paul sur moi. Sans doute, Marie voulait lui faire comprendre qu’il devrait venir sur moi, pour me pénétrer et jouir en moi. Marie pensait vraiment à tout et pensait aussi aux autres!
Paul comprit l’intention de Marie et, pour le recevoir sur moi, j’écartai beaucoup plus mes cuisses ouvrant ainsi mon sexe trempé. Paul s’allongea sur moi, en appui sur ses mains de chaque côté de mon corps. Je sentais bien son pénis dur et libre sur mon sexe et ses lèvres chaudes sur les miennes. L’idée de savoir que le sexe de mon compagnon était encore plein du lubrifiant de Marie m’excitait. J’avais très envie du sexe de Paul qui se frottait le long de ma fente sans me pénétrer. Alors, entre nos deux ventres, je glissai ma main droite vers le sexe de Paul et, pas vraiment étonnée, je rencontrai la main droite de Marie qui allait dans le même sens. Nos deux mains se rejoignirent sur le membre dur de Paul pour le présenter à l’entrée de mon vagin Mon sexe et le sexe de Paul étaient tellement bien lubrifiés que mon sexe aspira littéralement le membre bien bandé. Je poussais un petit cri de jouissance car, avec cette pénétration douce et rapide, une boule de feu se mit à irradier, partir de mon bas ventre, vers le reste de mon corps. Le visage de Paul manifesta aussi son plaisir.

Toujours allongée sur ma droite, Marie, entièrement nue, se masturbait jJe me relevai un peu pour sucer les seins de Paul et, en me tenant sur le coude droit, j’arrivai aussi, en me courbant un peu, à sucer les pointes des seins de Marie qui réagissaient bien. Marie commença à gémir de manière continue et elle avait des petits soubresauts. Je sentais en moi le gland du pénis de Paul gonflait de plus en plus. Marie et Paul jouirent en même temps et le jet du sperme de Paul en moi, me fit pousser un petit cri de jouissance aigüe qui se mêla aux soupirs de Marie et aux gémissements de Paul.

Nous sommes restés une bonne dizaine de minutes dans la même position, Marie sur le dos à ma droite, les mains sur son ventre, et Paul sur moi, son ventre contre le mien. Marie tomba dans le sommeil dans cette position et Paul se remit sur le dos, à ma gauche. Le sommeil nous gagna tous.

On se réveilla lentement et en plusieurs étapes, content et contentes, mais un peu fatigués d’une nuit « bien remplie ».
Des sourires complices et des gestes affectueux accompagnèrent les préparatifs du petit déjeuner qui fut particulièrement gai.

Dessous la douche, je ne sais pas quelles pensées avait Paul. Pour ma part, plutôt habituée, avec Paul, à une hétérosexualité active, agréable mais plutôt « normale », je me disais que, dans ce domaine, des choses qui semblent compliquées peuvent finalement être très simples et, en plus… très agréables. En sortant de la salle de bain, je faillis prendre Marie à part et lui dire : »Merci ». Après cette nuit avec Marie et Paul, j’avais l’impression de mieux respirer la vie! Et, au risque de me répéter, j’étais vraiment contente de moi!

Marie nous quitta vers midi pour aller prendre son avion pour le Japon Alors, avec un petit sourire malicieux, elle nous dit: «  Promis, du Japon, je vous rapporte une estampe japonaise! » » On éclata de rire.

JULIE-ANAIS
Le 23 janvier 2023

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J’ai bien envie de me faire prendre par une femme un jour

Ici John La Semelle, Ce si beau récit ne m'a pas laissé de marbre, bin au contraire, et ai fini avec une super trique. Mille mercis.

Histoire Libertine
c ette histoire ma bien fait mouillée et mon clito a bien faillie eclater

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Très belle histoire, pleine de tendresse et d’amitié.



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