Une soirée imprévue!
Récit érotique écrit par JULIE-ANAIS [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une soirée imprévue!
UNE SOIRÉE IMPRÉVUE!
Mes parents m'avaient laissé tout l'appartement du samedi matin au dimanche soir. Même s’ils me laissaient toute ma liberté, cette situation n'était pas pour me déplaire. Au lieu de sortir en ville avec des ami.e.s, je décidai de rester à l'appartement ce samedi soir, et je pensais inviter un ou une ami.e pour la soirée.J'étais depuis peu une étudiante et je contactai d'abord Jean Luc, un ami d'enfance et d'études, mais il allait à un concert. Je téléphonais alors à une amie aussi étudiante comme moi, Sylvie, mais elle avait un gros rhume. Finalement, Julie, que j'ai connue à l'université, répondit avec enthousiasme à mon invitation. Elle demanda quoi apporter et je lui répondis qu'il y avait déjà tout pour le repas.
Vers 19h 30 Julie arriva donc, avec une bouteille de vin.Comme le veut la tradition, je lui fit visiter l'appartement qu'elle trouva spacieux et bien divisé.
Après un petit verre de vin comme apéritif, on passa à la préparation du repas qui se limita à faire cuire des légumes, car la viande, les fromages et le dessert étaient déjà préparés. Comme nous ne nous connaissions pas beaucoup, les échanges allaient bon train, les anecdotes et les questions se succédant. Nous avons constaté que nous avions plusieurs points communs, par exemple le sport et la lecture.Nos morphologies étaient semblables, elle plutôt blonde, moi châtain et la mode vestimentaire n'était pas le premier de nos soucis.
Comme nous n'avons pas arrêté de bavarder pendant le repas, celui ci fut un peu long, le vin avait, sans doute, aidé à délier les langues. À la fin du repas je débarrassai sommairement la table et Julie alla s'assoir sur le divan. Quand je revins de la cuisine, Julie regardais distraitement la télévision en passant d'une chaîne à l'autre, et je lui dit que j'allais faire du café. Une fois la cafetière mise en route je retournais auprès de Julie et elle avait l'air absorbé par ce qui se passait sur l’écran. Je m'asseyais à côté d'elle et, sur l'écran, deux jeunes femmes nues se caressaient explicitement et avec tendresse. De toute évidence ce n'était pas un film pornographique. Surprise et un peu décontenancée par la situation, je restais figée à côté de Julie, mais je sentais que sa respiration était un peu plus rapide. Le sifflement de la cafetière m'obligea à aller à la cuisine. De retour, je déposais les cafés sur la table du salon. Sur l’écran de la télévision les deux jeunes femmes, toujours nues, semblaient maintenant se reposer partie habillées. Je retournais m’assoir à côté de Julie et, sans prendre garde, je mis ma main droite sur sa main gauche. Instantanément, Julie se tourna vers moi en esquissant un sourire, jeta ses bras autour de mon cou et m'embrassa sur la bouche. Presque instinctivement je serrais d'abord mes lèvres, mais je ne tardais pas à les ouvrir, cédant à la douceur des lèvres de Julie et je sentis immédiatement sa langue chercher la mienne.C'était très agréable surtout que, en même temps, un doux fourmillement envahissait mon bas ventre. Les mains de Julie étaient sur ma poitrine et je sentais la pointe de mes seins durcirent. Je fermais la télévision et, sans un mot, je déboutonnais et enlevais le corsage de Julie et je dégrafais son soutien gorge. Ses deux seins avaient des mamelons roses et, à tour de rôle, je posais ma bouche dessus et je sentais que leurs pointes se raidissaient. Julie émettait des petits gémissements continus qui manifestaient son plaisir. Elle pris alors une de mes mains et la guida vers son sexe, par dessus son pantalon. Je fis alors avec ma main des mouvements de frottements qui la fit se cambrer plusieurs fois. Julie était maintenant allongée sur le divan me laissant l'initiative. J'entrepris d'enlever son pantalon en lui laissant sa culotte. Par dessus sa culotte ma main sentait la fente de son sexe et Julie bougeait son bassin pour amplifier le contact de ma main.Pendant ce temps ma bouche allait de ses lèvres à ses seins. Nous n'échangions pas un mot, et j'enlevai sa culotte pour voir une toison blonde un peu ébouriffée, avec la fente de son sexe bien visible. Avec le tranchant de ma main, j'entrouvrais un peu son sexe humide et je sentis tout de suite que son clitoris était déjà dressé et élastique. Julie était vraiment excitée et, en moi un rayonnement irradiait dans tout mon corps à partir de mon sexe. Mes lèvres quittèrent ses lèvres et ses seins et j'allais embrasser doucement son sexe. Avec ma langue je touchais son clitoris et un frémissement, accompagné d'un petit cri, parcouru tout son corps. Je compris que Julie était au bord de l'orgasme mais, pour elle et pour moi, je voulais faire un peu durer les préliminaires. Avec ma langue j'ouvrais alors un peu plus sa fente et je contournais plusieurs fois le clitoris, le touchant chaque fois au passage. Visiblement Julie ne voulait plus attendre et, en caressant directement son clitoris avec ma langue, Julie atteint l'orgasme presque immédiatement . Tout son corps était agité de soubresauts et ses gémissements devenaient plus sourds et plus longs.Je continuais à caresser son sexe avec ma langue en évitant le clitoris devenu, sans doute, trop sensible. Je prolongeais le plaisir en massant lentement son sexe avec une main.Puis d'un coup Julie, les yeux mis clos, devint immobile, ses mains sur son ventre, dans une sorte d'anéantissement de plaisir. Je la regardais sans la toucher, et cela dura bien plusieurs minutes. Quand elle ouvrit les yeux nous échangeâmes un sourire complice et sans dire un mot, Julie m'embrassa langoureusement sur la bouche. J'enlevai alors moi même mon corsage et mon soutien gorge. Julie saisi mes deux seins dans ses paumes et sa bouche vint les embrasser. Julie m'invita à prendre sa place sur le divan et, allongée sur le dos, elle entrepris de finir de me déshabiller. Elle enleva en même temps mon pantalon et ma culotte et vit apparaitre ma toison sombre qui dissimulait ma fente. Julie qui était à genoux sur le divan en face de moi, écarta mes jambes pour contempler mon sexe offert.Elle approcha sa bouche de mon sexe et passa sa langue le long de ma fente en me pénétrant à peine. Je me mis à gémir de plaisir et passant outre les préliminaires, en écartant un peu ma fente avec ses mains, sa langue et sa bouche se mirent à caresser mon clitoris que je sentais bien ferme.L'orgasme vint doucement et par vagues et Julie su le faire durer en retirant, de temps en temps, sa langue de mon sexe. L'orgasme dura longtemps et tout mon corps était devenu sensible au moindre toucher .Lorsque Julie s'allongea sur moi, mes mains se refermèrent sur son corps. Son sexe touchait mon sexe et ses seins étaient entre les miens. Nous restâmes ainsi un bon moment, puis je proposais à Julie de lui prêter un léger peignoir si elle ne voulait pas se rhabiller. Elle accepta et je pris aussi un peignoir. Je m'assis sur le divan et Julie s'allongea en posant sa tête sur mes cuisses. Nous venions de vivre des instants magiques et, nous nous taisions, nous ne voulions pas les envoyer trop tôt dans le passé. Julie choisit de la musique classique et, alors que j'avais une main qui caressait ses seins et son ventre, elle semblait somnoler avec, de temps en temps, des soupirs de plaisir.
Finalement, Julie passa la nuit avec moi, dans mon lit, son corps collé au mien. Nous étions bien.Vers le matin, je décidai de réveiller doucement Julie en embrassant son ventre puis en caressant son sexe d'abord avec mes lèvres puis avec ma langue. Son corps répondit favorablement, je sentis ses mains se poser, avec précaution, sur ma tête et elle écarta un peu d'avantage ses cuisses. Après de longs préliminaires, Julie entrouvris ses yeux et l'orgasme qui envahit son corps la replongea dans un sommeil léger.Très excitée par l'orgasme de Julie, mes mains cherchèrent mon clitoris et je me masturbais. Julie s'en aperçut et, en m'embrassant sur la bouche, une de ses mains remplaça les miennes sur mon sexe. L'effet fut instantané et je demandais à Julie de continuer doucement.L'orgasme fut total et, à mon tour, je retombais dans un demi sommeil.
Plus tard nous primes un petit déjeuner et vers 10 h Julie retourna chez elle en me disant:"C'était vraiment très bien et très bon! ».
JULIE-ANAIS
Mes parents m'avaient laissé tout l'appartement du samedi matin au dimanche soir. Même s’ils me laissaient toute ma liberté, cette situation n'était pas pour me déplaire. Au lieu de sortir en ville avec des ami.e.s, je décidai de rester à l'appartement ce samedi soir, et je pensais inviter un ou une ami.e pour la soirée.J'étais depuis peu une étudiante et je contactai d'abord Jean Luc, un ami d'enfance et d'études, mais il allait à un concert. Je téléphonais alors à une amie aussi étudiante comme moi, Sylvie, mais elle avait un gros rhume. Finalement, Julie, que j'ai connue à l'université, répondit avec enthousiasme à mon invitation. Elle demanda quoi apporter et je lui répondis qu'il y avait déjà tout pour le repas.
Vers 19h 30 Julie arriva donc, avec une bouteille de vin.Comme le veut la tradition, je lui fit visiter l'appartement qu'elle trouva spacieux et bien divisé.
Après un petit verre de vin comme apéritif, on passa à la préparation du repas qui se limita à faire cuire des légumes, car la viande, les fromages et le dessert étaient déjà préparés. Comme nous ne nous connaissions pas beaucoup, les échanges allaient bon train, les anecdotes et les questions se succédant. Nous avons constaté que nous avions plusieurs points communs, par exemple le sport et la lecture.Nos morphologies étaient semblables, elle plutôt blonde, moi châtain et la mode vestimentaire n'était pas le premier de nos soucis.
Comme nous n'avons pas arrêté de bavarder pendant le repas, celui ci fut un peu long, le vin avait, sans doute, aidé à délier les langues. À la fin du repas je débarrassai sommairement la table et Julie alla s'assoir sur le divan. Quand je revins de la cuisine, Julie regardais distraitement la télévision en passant d'une chaîne à l'autre, et je lui dit que j'allais faire du café. Une fois la cafetière mise en route je retournais auprès de Julie et elle avait l'air absorbé par ce qui se passait sur l’écran. Je m'asseyais à côté d'elle et, sur l'écran, deux jeunes femmes nues se caressaient explicitement et avec tendresse. De toute évidence ce n'était pas un film pornographique. Surprise et un peu décontenancée par la situation, je restais figée à côté de Julie, mais je sentais que sa respiration était un peu plus rapide. Le sifflement de la cafetière m'obligea à aller à la cuisine. De retour, je déposais les cafés sur la table du salon. Sur l’écran de la télévision les deux jeunes femmes, toujours nues, semblaient maintenant se reposer partie habillées. Je retournais m’assoir à côté de Julie et, sans prendre garde, je mis ma main droite sur sa main gauche. Instantanément, Julie se tourna vers moi en esquissant un sourire, jeta ses bras autour de mon cou et m'embrassa sur la bouche. Presque instinctivement je serrais d'abord mes lèvres, mais je ne tardais pas à les ouvrir, cédant à la douceur des lèvres de Julie et je sentis immédiatement sa langue chercher la mienne.C'était très agréable surtout que, en même temps, un doux fourmillement envahissait mon bas ventre. Les mains de Julie étaient sur ma poitrine et je sentais la pointe de mes seins durcirent. Je fermais la télévision et, sans un mot, je déboutonnais et enlevais le corsage de Julie et je dégrafais son soutien gorge. Ses deux seins avaient des mamelons roses et, à tour de rôle, je posais ma bouche dessus et je sentais que leurs pointes se raidissaient. Julie émettait des petits gémissements continus qui manifestaient son plaisir. Elle pris alors une de mes mains et la guida vers son sexe, par dessus son pantalon. Je fis alors avec ma main des mouvements de frottements qui la fit se cambrer plusieurs fois. Julie était maintenant allongée sur le divan me laissant l'initiative. J'entrepris d'enlever son pantalon en lui laissant sa culotte. Par dessus sa culotte ma main sentait la fente de son sexe et Julie bougeait son bassin pour amplifier le contact de ma main.Pendant ce temps ma bouche allait de ses lèvres à ses seins. Nous n'échangions pas un mot, et j'enlevai sa culotte pour voir une toison blonde un peu ébouriffée, avec la fente de son sexe bien visible. Avec le tranchant de ma main, j'entrouvrais un peu son sexe humide et je sentis tout de suite que son clitoris était déjà dressé et élastique. Julie était vraiment excitée et, en moi un rayonnement irradiait dans tout mon corps à partir de mon sexe. Mes lèvres quittèrent ses lèvres et ses seins et j'allais embrasser doucement son sexe. Avec ma langue je touchais son clitoris et un frémissement, accompagné d'un petit cri, parcouru tout son corps. Je compris que Julie était au bord de l'orgasme mais, pour elle et pour moi, je voulais faire un peu durer les préliminaires. Avec ma langue j'ouvrais alors un peu plus sa fente et je contournais plusieurs fois le clitoris, le touchant chaque fois au passage. Visiblement Julie ne voulait plus attendre et, en caressant directement son clitoris avec ma langue, Julie atteint l'orgasme presque immédiatement . Tout son corps était agité de soubresauts et ses gémissements devenaient plus sourds et plus longs.Je continuais à caresser son sexe avec ma langue en évitant le clitoris devenu, sans doute, trop sensible. Je prolongeais le plaisir en massant lentement son sexe avec une main.Puis d'un coup Julie, les yeux mis clos, devint immobile, ses mains sur son ventre, dans une sorte d'anéantissement de plaisir. Je la regardais sans la toucher, et cela dura bien plusieurs minutes. Quand elle ouvrit les yeux nous échangeâmes un sourire complice et sans dire un mot, Julie m'embrassa langoureusement sur la bouche. J'enlevai alors moi même mon corsage et mon soutien gorge. Julie saisi mes deux seins dans ses paumes et sa bouche vint les embrasser. Julie m'invita à prendre sa place sur le divan et, allongée sur le dos, elle entrepris de finir de me déshabiller. Elle enleva en même temps mon pantalon et ma culotte et vit apparaitre ma toison sombre qui dissimulait ma fente. Julie qui était à genoux sur le divan en face de moi, écarta mes jambes pour contempler mon sexe offert.Elle approcha sa bouche de mon sexe et passa sa langue le long de ma fente en me pénétrant à peine. Je me mis à gémir de plaisir et passant outre les préliminaires, en écartant un peu ma fente avec ses mains, sa langue et sa bouche se mirent à caresser mon clitoris que je sentais bien ferme.L'orgasme vint doucement et par vagues et Julie su le faire durer en retirant, de temps en temps, sa langue de mon sexe. L'orgasme dura longtemps et tout mon corps était devenu sensible au moindre toucher .Lorsque Julie s'allongea sur moi, mes mains se refermèrent sur son corps. Son sexe touchait mon sexe et ses seins étaient entre les miens. Nous restâmes ainsi un bon moment, puis je proposais à Julie de lui prêter un léger peignoir si elle ne voulait pas se rhabiller. Elle accepta et je pris aussi un peignoir. Je m'assis sur le divan et Julie s'allongea en posant sa tête sur mes cuisses. Nous venions de vivre des instants magiques et, nous nous taisions, nous ne voulions pas les envoyer trop tôt dans le passé. Julie choisit de la musique classique et, alors que j'avais une main qui caressait ses seins et son ventre, elle semblait somnoler avec, de temps en temps, des soupirs de plaisir.
Finalement, Julie passa la nuit avec moi, dans mon lit, son corps collé au mien. Nous étions bien.Vers le matin, je décidai de réveiller doucement Julie en embrassant son ventre puis en caressant son sexe d'abord avec mes lèvres puis avec ma langue. Son corps répondit favorablement, je sentis ses mains se poser, avec précaution, sur ma tête et elle écarta un peu d'avantage ses cuisses. Après de longs préliminaires, Julie entrouvris ses yeux et l'orgasme qui envahit son corps la replongea dans un sommeil léger.Très excitée par l'orgasme de Julie, mes mains cherchèrent mon clitoris et je me masturbais. Julie s'en aperçut et, en m'embrassant sur la bouche, une de ses mains remplaça les miennes sur mon sexe. L'effet fut instantané et je demandais à Julie de continuer doucement.L'orgasme fut total et, à mon tour, je retombais dans un demi sommeil.
Plus tard nous primes un petit déjeuner et vers 10 h Julie retourna chez elle en me disant:"C'était vraiment très bien et très bon! ».
JULIE-ANAIS
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Lorsque c'est bien écrit, le lecteur aimerait des textes plus longs !
Belle histoire qui attire une suite.
Belle histoire qui attire une suite.
Terriblement excitant. Bravo.
John La Semelle se fait un plaisir à la lecture de ce merveilleux récit, et c'est avec une super trique qu'il termine cette belle histoire. Mille mercis.