Une nuit en refuge de montagne.

- Par l'auteur HDS JULIE-ANAIS -
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Récit libertin : Une nuit en refuge de montagne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Une nuit en refuge de montagne.
Une nuit en refuge de montagne.


Je suis une femme de 42 ans, sportive, active et...célibataire. Mariée puis divorcée, j'ai connu des hommes et des femmes et pour moi il est clair que sexualité et amour sont deux choses différentes. Je déteste l'utilisation de l’expression "faire l'amour" pour signifier des rapports sexuels.
Cet été, j'avais décidé de faire de la montagne et pour faire un sommet de plus de 3000m, dans les Alpes, je réservais une nuit dans un refuge que je connaissais, à 2000 m d'altitude.
C'était un jour de semaine et il n'y avait pas beaucoup de monde au refuge que j'atteignais vers 18h. Un gardien du refuge me montra mon lit, dans une chambre prévue pour 4 personnes. Sur la terrasse je pris un apéritif et , après une petite marche autour du refuge, vint l'heure du repas. Nous étions par tablée de 6 et nous faisions nous même le service à partir de plats assez copieux.L'ambiance était bon enfant et la plupart des convives parlaient de randonnées et de montagne. Comme j'aime mieux en faire qu'en parler, je trouvais une jeune femme seule pour parler de l'actualité et de la pluie et du beau temps.Le repas fini j'allai sur la terrasse prendre un café et j'y restais un bon moment pour admirer le ciel étoilé.
La fatigue se faisant sentir je regagnais ma chambre et je vis que nous serions deux à la partager. Je m'installais dans un lit du bas et en guise de pyjama je mis un grand Tshirt et je gardais ma culotte. Avec une lampe frontale je regardais le parcours de la randonnée de demain et, d'un coup, entra mon compagnon de chambre, un homme d'une trentaine d'année d'allure sportive. Après un échange de salutations, et, après avoir pris un livre dans ses affaires, il quitta la chambre à nouveau.

Le sommeil vint doucement et, dessus moi, je gardais uniquement un drap car, malgré l'altitude il ne faisait pas froid. Vers le milieu de la nuit une porte mal fermée claqua et je me réveillais un peu. Mon compagnon de chambre avait pris aussi le lit du bas et il avait rejeté drap et couverture.Couché sur le dos il avait une érection que pouvait difficilement contenir son slip taille basse.Une bouffée de chaleur m'envahit et immédiatement je sentais que mon sexe devenait humide. À ma grande surprise je me levais et, à genoux à côté du lit de mon compagnon de chambre, je glissais une main dans son slip et prenait doucement et fermement son sexe dans une main. Il était dur et, mon compagnon de chambre émis un petit gémissement de plaisir. Visiblement Il aimait cette situation et, en le masturbant, je sentais très bien le gland du pénis se gonfler. Je lui enlevais son slip et je commençais alors par lécher son sexe avec ma langue.Il eut un soubresaut et quand je mis son organe dans ma bouche il ne put s'empêcher d'émettre un petit cri de plaisir. Avec la pointe de ma langue je suivais les bords de son gland. Il semblait beaucoup apprécier cette fantaisie. J'étais de plus en plus excitée et je m'attendais à ce que du sperme jaillisse dans ma bouche. Au lieu de cela , mon compagnon de chambre, me fit comprendre qu'il voulait aussi me faire plaisir. Cependant la dimension et la position des lits étants ce qu'ils sont dans un refuge, nous ne pouvions avoir nos ébats dans un lit. Alors, j'étalai draps et couvertures par terre entre les deux lits et je me positionnais "à quatre pattes" après avoir enlevé ma culotte et mon T shirt. Il colla son ventre contre mes fesses et je sentis son pénis dur qui voulait se relever.Il le guida vers mon sexe, mais en le faisant glisser le long de ma fente, évitant de me pénétrer. Son sexe toucha quand même mon clitoris inondé et dressé et je tressaillis. J'avais hâte qu'il me pénètre et je creusais mes reins pour lui présenter l'ouverture de mon sexe. Il me comprit et je sentis alors son gland glisser dans mon sexe et ouvrir ainsi la voie au reste du pénis. J'avais une douce boule de feu dans mon bas ventre et je sentais très bien les va et vient de son sexe qui glissait dans ma vulve. Je gémissais de plaisir et, en moi, les mouvements du gland de son pénis indiquait qu'il allait bientôt éjaculer. Le jet de son sperme me fit pousser un cri comme si une pointe de plaisir avait éclaté dans mon ventre.Un peu dans un état second je me mis sur le ventre. Je n'avais pas joui mais quelle jouissance ! Je sentais des mains qui caressaient mon dos et mes fesses et, mon compagnon me remis lentement dans la position "levrette". Son pénis était à nouveau bandé et, à ma grande surprise, c'est mon anus qui semblait l'intéresser. En passant une main entre mes jambes je rejoignais son pénis et je l’éloignai de mon anus. J'entendis pour la première fois sa voix qui me dit:" Attendez". Je ne savais pas trop quoi penser, j'étais un peu dans les nuages du plaisir.et aucun des hommes que j'ai connus a même essayé de me sodomiser. J'attendais avec une curiosité un peu inquiète, car aucun des hommes que j’ai connu m’a proposé une sodomie.
Toujours dans la même position, mon compagnon de chambre revint s’installer à genoux derrière moi, et, avec une main, il se mit à masser mon anus avec une crème. Pénétrant mon anus avec un doigt, il faisait un mouvement circulaire totalement inconnu de moi. Ce n'était pas déplaisant du tout et il fit la même chose avec deux, puis trois doigts. Je sentais que mon anus devenait plus élastique. Anticipant mon appréhension, il me dit" Si ça vous fait mal, j'arrête.". Je voyais mal comment le gland de son pénis pouvait pénétrer mon anus vierge. Pourtant, son gland commença à forcer un peu mon anus qui s'ouvrit doucement et les massages avaient fait leurs effets. C'était vraiment bon et je souhaitais maintenant qu'il continue. Il présenta plusieurs fois son gland à mon anus, en insistant un peu plus chaque fois. Tout d'un coup, son gland fut comme avalé par mon anus et je poussai un bref cri de plaisir, suivi d'un long gémissement quand le reste de son organe s'enfonça au complet. À chaque va et vient de son sexe c'était une nouvelle vague de plaisir chaude et intense qui irradiait à partir du milieu de mes reins. Je sentais à nouveau les mêmes mouvements de son gland d'avant l'éjaculation. Comme il me tenait par la taille de ses deux mains, je libérais une de mes mains qui alla rejoindre mon clitoris excité et humide. Je le branlais doucement et la réaction ne se fit pas attendre. L'orgasme me secoua fortement et arriva en même temps que le râlement de mon compagnon de chambre, qui lui, jouissait en moi pour la deuxième fois. Un peu épuisés, nous sommes restés ainsi, son ventre contre mes fesses puis il retira délicatement son sexe de mon anus et le passage du gland de son pénis m'arracha un dernier cri de jouissance. Je me laissais tomber sur le ventre et mon compagnon de chambre me couvrit de son corps.

Au bout de quelques minutes, sans échanger un mot, nous regagnâmes nos couches respectives pour nous enfoncer dans le sommeil.
Assez tôt, je l'entendis se lever et préparer ses affaires. J’étais à peine réveillée, Il vint vers moi et me dit" Merci pour cette nuit. J'espère que ça été aussi bon pour vous que pour moi." Pour toute réponse, je lui fit un sourire qui en disait long. Il ajouta :" Je dois vous dire que je suis plutôt homosexuel mais hier soir vous avez été irrésistible.". À mon tour, je ne pus m'empêcher de lui demander: "C'est quoi votre crème ?". Il me répondit avec un sourire retenu:"C'est mon sésame ouvre toi!". Je ris alors franchement.
Il pris ses affaires et nous nous fîmes un petit signe de la main.Il ne sut pas mon prénom et je ne sus pas le sien.
Je quittai le refuge vers 10h pour aller vers "mon 3000m" et je me disais :"C'était tellement bon cette nuit au refuge...mais pas pour faire une randonnée le lendemain! ».

JULIE-ANAIS

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