Une belle-fille qui sait ce qu'elle veut 6 - histoire érotique

Georgette, replonge sa tête entre les cuisses de sa belle-sœur et réinvestit l'anneau boursoufflé. Sa langue fouille le plus loin possible la gaine très étroite. Pour Myriame c'est le summum du bonheur, elle agite son bassin frénétiquement en gémissant. Georgette recherche à donner à sa belle-sœur une seconde jouissance anale. Un cri terrible fait cesser l'action des deux hommes sévèrement emboités dans le corps de Justine. Ils regardent Myriame, jambes grandement ouvertes avec la tête de Georgette entre. Jacques n'en revient pas que sa femme si prude se donne en spectacle ainsi. Il se dit que Georgette doit être une fée pour dévergonder sa femme qui d'habitude est si renfermée question sexe.

Georgette joue avec le corps de Myriame, elle veut encore, et encore la faire jouir du cul. Elle sait que sa belle-sœur, aussi prude soit-elle, va adorer la sodomie. Justine jouit pour la énième fois sous les assauts de ses amants. Elle finit par demander une pose. Les deux hommes se retirent de son corps et observent Georgette qui ne cesse de fouiller le cul de Myriame avec sa langue. Les deux hommes remarquent qu'à chaque coup de langue Myriame sursaute. Ils s'approchent plus, Myriame semble ne pas les voir tellement elle est en transe, ses yeux sont embués. Elle ne sait plus où elle est. Sa chatte est une fontaine intarissable. Georgette se gave de son jus avant de se redresser.

Lucas regarde son frère et dit :

-Je peux ?

Jacques souriant répond :

-Tu as baisé la fille, je ne peux que te conseiller la mère maintenant, mais elle est moins vivace que sa fille !

Lucas, en faisant un clin d'œil à son frère, s'approche de sa belle-sœur, il lui attrape les jambes, les relève et les pose sur ses épaules. Myriame se retrouve en équilibre sur sa chaise. Lucas bande comme un animal en rut malgré les nombreuses éjaculations qu'il a eu. Il frotte quelques secondes son gland encore gluant contre l'anus de Myriame. Qui au contact du gland contre sa petite porte se cabre. Son mari intervient :

-Détends-toi ma chérie, Lucas ne veut que ton bonheur !


En l'amadouant, il lui dégrafe le corsage et dégage ses seins du carcan de tissu qui les emprisonne. Les seins de Myriame sont magnifiques. Jacques les sous-pèse, avant de donner un baiser dessus.
Lucas s'accroche sur le haut des cuisses de sa belle-sœur et pousse. Myriame grimace, elle serre les dents. Son anus ne résiste pas longtemps à la poussée de Lucas. Il cède et avale très, très doucement la verge qui s'enfonce inexorablement en elle. Myriame croit mourir tellement c'est douloureux.

Elle s'accroche comme elle peut à sa chaise en grimaçant, quelques larmes s'écoulent sur ses joues. Georgette doit intervenir, elle pose sa main sur le clito ultra-gonflé et commence un doux branlage pour atténuer la douleur qui taraude le rectum de Myriame. Au fur et à mesure, elle augmente la vitesse du branlage.
Lucas ne désarme pas, il pousse plus fort, il veut posséder sa belle-sœur totalement. Sa femme lui demande d'y aller doucement, car Myriame est vierge du cul. Jacques tout en pelotant sa femme ne quitte pas des yeux le membre qui est à moitié dans le cul de sa femme.


Lucas le ressort de quelques centimètres, puis sonne un coup de reins violent. Myriame pousse un hurlement de douleur, la verge de son beau-frère vient de s'enfoncer jusqu'aux couilles dans son fondement. Elle halète fortement, elle respire bruyamment. Ses joues sont couvertes de perles salées. Lucas reste un moment sans bouger, il attend que la douleur diminue dans le corps de Myriame. Elle tremble de tous ses membres en implorant son beau-frère de se retirer.

Mais Lucas ne l'écoute pas, il sait qu'elle doit passer par ce stade, avant de prendre un pied mémorable. Avec le plus de douceur possible, il commence à faire un très, très lent va-et-vient. Après plusieurs minutes de très lents ramonages, Myriame semble se détendre. Elle grimace moins et agite même sa croupe. L'enculage devient plus rapide. Myriame commence à geindre de plaisir. La douleur s'estampe petit à petit, les râles que pousse Myriame prouve que le plaisir a pris le dessus.

Lucas, en bon sodomiseur, accélère le rythme. Sa belle-sœur a les yeux presque retournés, elle halète comme une bête malade. Un rictus déforme son visage, soudain, elle se cabre en poussant un gémissement terrible. C'est la première fois qu'une bite la fait jouir du cul. Sa chatte envoie un flot de cyprine sur le ventre de Lucas qui retire son membre pour le replonger avec une violence extrême. Cet assaut soudain refait jouir Myriame. Lucas lui travaille le cul comme un soudard, sa belle-sœur est au bord de la syncope. Elle re-jouit plusieurs fois sous les assauts répétés de son amant. Enfin Lucas lui inonde le cul de son sperme épais.

Il se retire et invite son frère de lui faire subir une nouvelle sodomie. Jacques prend place, on l'aide à mettre sur ses épaules, les jambes tremblantes de sa femme. Avant de l'enculer, il lui bourre la chatte qui ne cesse de jeter son jus. Il donne des coups de reins très violents, à chaque enfoncement de sa bite dans le ventre de sa femme celle-ci se cabre. Enfin, il retire sa bite du puits d'amour et la plante dans l'anus encore ouvert. Myriame ne se sent plus :

-Oui, oui, mon chéri, vas-bien à fond, oh comme c'est bon, comment que j'ai pu me passer si longtemps d'un tel plaisir anal, vas-y défonce-moi bien mon chéri, oui, oui, oui !

Jacques, motivé par sa femme, la démonte comme un animal en rut. Tl l'a fait jouir deux fois avant de lui remplir l'intestin de son sperme. Georgette dit en souriant :

-Comme elle est là, elle peut supporter une bonne double mes chéris, allez-y fait lui ce plaisir !

Comme Justine, on doit l'aider à s'empaler sur la queue de son mari qui s'est allongé sur le sol. Lucas ne se fait pas prier, il embroche le cul de sa belle-sœur d'un coup. Prise en double, pour la première fois de sa vie, Myriame est au bord du coma. Elle geint comme une bête malade en jouissant terriblement fort. Une fois que les deux hommes en vidés leurs bourses, ils libèrent Myriame, qui se laisse tomber sur le sol, les bras en croix. Justine qui a assisté à l'ébat demande :

-Alors maman, comment c'était !

Faiblement, en cherchant son deuxième souffle, elle dit :

-Mon Dieu, j'ai eu un festival de jouissances, je suis morte, je n'en peux plus !

Justine dit en riant :

-Maman, tu es devenue aussi salope que moi, je suggère que Lucas et Georgette reviennent souvent !