Une boite écolo
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Une boite écolo
La fille de l'accueil était sympa. Tout de suite elle m'avait souri et touchée au bras en amitié. Elle m'avait dit son petit nom et avait proposé qu'on boive un café.
Moi, j'étais un peu perdue. Je venais juste d'arriver dans cette boite d'informatique. Je n'avais même pas trouvé le bureau où je devais bosser.
Avec Malou on était toutes les deux devant le distributeur de sandwichs et gâteaux, notre petit godet plastique marron de café chaud dans la main. Les gens passaient derrière nous. Personne ne nous parlait. Elle m'a expliqué où je devrai me rendre et m'a parlé avec chaleur des gars de mon équipe. J'étais toute heureuse de l'avoir rencontrée et qu'elle soit déjà mon amie.
La DRH qui m'avait embauchée n'avait rien dit de cela. Juste je savais que je devrai auditer les programmations de l'équipe pour déceler les bugs, convaincre et obtenir des gars qu'ils rectifient leurs lignes. C'était le job pour lequel j'avais été embauchée.
Malou m'a dit, bon tu dois y aller et ce faisant, elle a posé sa main sur ma hanche. J'avais remarqué qu'elle était toucheuse. J'ai eu une copine au lycée qui était toucheuse. Tout le temps elle posait sa main sur tout le monde. Elle aimait ça, le contact des peaux. C'était comme une ponctuation de ses paroles. Moi j'aimais assez le chaud de sa main sur mon épaule, sur ma taille, comme en cadence de ses discourades. C'est une copine de lycée que j'avais bien aimée.
Malou était de la même race et je me réjouissais d'être amie d'une fille comme ça dans cette entreprise nouvelle où j'allais devoir m'intégrer.
Elle a gardé sa main sur ma hanche et elle m'a prise au cou pour me parler en secret. En murmure pour que personne alentour n'entende ce qu'elle avait à me dire.
Elle a dit, je vois que tu portes culotte sous ta robe. Ça ne va pas. Ici nous sommes entreprise écolo. La DRH ne te l'a donc pas expliqué ?
Vois, et elle m'a saisi le poignet, ici aucune fille ne vient travailler ainsi. Et mes doigts étaient sous son pubis à toucher sa touffe à travers le fin tissu de sa jupe fluide acrylique.
J'étais surprise et émue d'avoir sous ma main son intimité de fille. Mes doigts, leur charnu en préhension, ont grippé ce qui leur était offert, découvrant au creux de la touffe le plissé de ses lèvres et le moite de son être.
Elle me dit, avant de te rendre au bureau où tu dois travailler, il te faut passer aux toilettes ôter cette chose archaïque. Et moi j'étais toute chose de penser que j'allais devoir tout du jour durant vaquer, abricot à l'air, sous mes jupes. Au risque de...
J'étais en réticence.
Elle me dit, nous sommes entreprise écolo et fière de l'être. Si tu veux mériter et être de l'équipe, il te faut te plier aux usages, aux coutumes et tomber la culotte. En sus tu verras, c'est bon de bon d'avoir la fente à l'air pour bosser, ça libère les neurones et on est diablement plus créatif qu'engoncées dans nos goussets serrés.
C'est vrai que, ma culotte pliée dans le compartiment latéral de ma serviette, je me sentais working girl et n'ai eu aucun mal à m'intégrer à l'équipe d'informaticiens que je devais auditer. Mon cul à l'air était même une sorte de stimulus me donnant autorité et confiance en soi.
Juste je pensais, les autres filles sont-elles comme moi, abricot dégagé des turpitudes de sous-vêtements? Et je les matais sans vergogne, les yeux braqués sur les traces d'élastique sur les hanches et autres volutes de pubis velu.
Brusquement l'idée m'est venue que les gars étaient, eux aussi probablement, logés à la même enseigne et qu'à coup sûr les bites étaient libres au creux des pantalons. Mon enthousiasme a éclaté et mes mains, mes deux mains, telles baguettes de coudrier, se sont mises à vibrer.
C'était une entreprise écolo et fière de l'être.
Moi, j'étais un peu perdue. Je venais juste d'arriver dans cette boite d'informatique. Je n'avais même pas trouvé le bureau où je devais bosser.
Avec Malou on était toutes les deux devant le distributeur de sandwichs et gâteaux, notre petit godet plastique marron de café chaud dans la main. Les gens passaient derrière nous. Personne ne nous parlait. Elle m'a expliqué où je devrai me rendre et m'a parlé avec chaleur des gars de mon équipe. J'étais toute heureuse de l'avoir rencontrée et qu'elle soit déjà mon amie.
La DRH qui m'avait embauchée n'avait rien dit de cela. Juste je savais que je devrai auditer les programmations de l'équipe pour déceler les bugs, convaincre et obtenir des gars qu'ils rectifient leurs lignes. C'était le job pour lequel j'avais été embauchée.
Malou m'a dit, bon tu dois y aller et ce faisant, elle a posé sa main sur ma hanche. J'avais remarqué qu'elle était toucheuse. J'ai eu une copine au lycée qui était toucheuse. Tout le temps elle posait sa main sur tout le monde. Elle aimait ça, le contact des peaux. C'était comme une ponctuation de ses paroles. Moi j'aimais assez le chaud de sa main sur mon épaule, sur ma taille, comme en cadence de ses discourades. C'est une copine de lycée que j'avais bien aimée.
Malou était de la même race et je me réjouissais d'être amie d'une fille comme ça dans cette entreprise nouvelle où j'allais devoir m'intégrer.
Elle a gardé sa main sur ma hanche et elle m'a prise au cou pour me parler en secret. En murmure pour que personne alentour n'entende ce qu'elle avait à me dire.
Elle a dit, je vois que tu portes culotte sous ta robe. Ça ne va pas. Ici nous sommes entreprise écolo. La DRH ne te l'a donc pas expliqué ?
Vois, et elle m'a saisi le poignet, ici aucune fille ne vient travailler ainsi. Et mes doigts étaient sous son pubis à toucher sa touffe à travers le fin tissu de sa jupe fluide acrylique.
J'étais surprise et émue d'avoir sous ma main son intimité de fille. Mes doigts, leur charnu en préhension, ont grippé ce qui leur était offert, découvrant au creux de la touffe le plissé de ses lèvres et le moite de son être.
Elle me dit, avant de te rendre au bureau où tu dois travailler, il te faut passer aux toilettes ôter cette chose archaïque. Et moi j'étais toute chose de penser que j'allais devoir tout du jour durant vaquer, abricot à l'air, sous mes jupes. Au risque de...
J'étais en réticence.
Elle me dit, nous sommes entreprise écolo et fière de l'être. Si tu veux mériter et être de l'équipe, il te faut te plier aux usages, aux coutumes et tomber la culotte. En sus tu verras, c'est bon de bon d'avoir la fente à l'air pour bosser, ça libère les neurones et on est diablement plus créatif qu'engoncées dans nos goussets serrés.
C'est vrai que, ma culotte pliée dans le compartiment latéral de ma serviette, je me sentais working girl et n'ai eu aucun mal à m'intégrer à l'équipe d'informaticiens que je devais auditer. Mon cul à l'air était même une sorte de stimulus me donnant autorité et confiance en soi.
Juste je pensais, les autres filles sont-elles comme moi, abricot dégagé des turpitudes de sous-vêtements? Et je les matais sans vergogne, les yeux braqués sur les traces d'élastique sur les hanches et autres volutes de pubis velu.
Brusquement l'idée m'est venue que les gars étaient, eux aussi probablement, logés à la même enseigne et qu'à coup sûr les bites étaient libres au creux des pantalons. Mon enthousiasme a éclaté et mes mains, mes deux mains, telles baguettes de coudrier, se sont mises à vibrer.
C'était une entreprise écolo et fière de l'être.
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