Une chambre pour deux
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Une chambre pour deux
Une chambre pour deux
J'étais épuisé, j'entrais dans la chambre. Elle n'était pas très grande, il y avait deux lits d'une place chacun. Sinon elle semblait confortable. On entrait par un petit couloir ou il y avait la porte qui ouvrait sur la salle de bain. Je jetais ma valise sur le premier lit avant de me jeter moi-même dessus.
J'étais épuisé, le voyage avait été long et fatigant. Je me souviens m'être un peu assoupis. Je me réveillais un peu plus tard, et je décidais de prendre une douche avant de descendre au restaurant.
Je jetais mes vêtements, tous mes vêtements, dans ma valise que je rangeais juste à côté du lit puis me dirigeais vers la salle de bain. Là je me faisais couler un bain et m'y abandonnais. Je n'avais gardé que ma cage, ma petite cage à bite. De toutes façons, je n'avais pas la clé, je ne risquais donc pas de la retirer. Je ne l'emmenais plus avec moi quand je faisais des déplacements professionnels.
Au début bien sûr, je l'avais toujours à porté de main mais, ça faisait maintenant plus d'un an que je la portais et je me sentais suffisamment à mon aise pour ne plus en ressentir le besoin.
J'avais mis un peu de musique, et rien ne me dérangeait.
Plus tard, avant que l'eau ne devienne trop froide je sortais de la baignoire et me séchait longuement. Je ressortais de la salle de bain et me rendais dans la salle principale. Là j'ai poussé un cri.
Il y avait un homme entièrement nu sur un des lits, il avait l'air totalement détendu, allongé sur le dos, les jambes écartées. Recouvert d'une jolie fourrure brune épaisse il ouvrait les yeux, me regardais.
J'étais nu moi aussi et je le regardais avec surprise.
En une fraction de seconde il se relevait et me faisait face.
– Mais t'es qui toi ? Me demandait-il.
– Mais d'ou tu viens toi ?
– Tu es dans ma chambre !
– Ah, non c'est ma chambre.
– J'étais là en premier.
– J'étais dans la douche. Ça fait plus d'une heure que je suis là.
– Tu t'étais planqué dans ma chambre avant que j'arrive !
– Tu es rentré sans faire de bruit dans ma chambre. Mais on est ou là ?
– Et c'est quoi ce truc que tu as sur ta queue ?
Là il regardait ma bite avec surprise, il dodelinait de la tête, cherchant à comprendre ce qu'il voyait.
Je prenais le téléphone et appelait l'accueil.
– Il y a un homme dans ma chambre.
– Non ce n'est pas moi.
– Si bien sûr j'y suis mais ce n'est pas de moi que je parle.
– Oui bon, si vous préférez il y a donc deux hommes dans ma chambre !
– En me comptant dedans bien sûr.
Je m'énervais, surtout qu'à l'accueil. Je vous laisse deviner comment la réception de l’hôtel prenait ma réclamation et je terminais donc par j'arrive.
Pendant ce temps l'envahisseur qui empiétait mon territoire continuait à me regarder, il regardait ma cage à bite principalement. Ça l'intriguait cette affaire.
– Je vais aller régler ce problème à l'accueil, et tu vas voir, tu vas te faire virer.
– Ah on se tutoie maintenant! Tu t'imagines peut être que je vais en rester là, c'est toi qui va dégager.
Je sortais dans le couloir, il me suivait, puis on réagissait qu'on était entièrement nu et on revenait dans la chambre. Sous l'effet de la colère on faisait encore un peu n'importe quoi, j'attrapais une serviette me la passais autour de la ceinture et repartais. Il en faisait de même.
Et c'est donc dans une tenue un peu légère, peu singulière j'en conviens mais nous étions l'un comme l'autre bien décidé.
Oh ils nous ont vu venir à l'accueil, je ne vous dis pas !
On râlait, on réclamait, mais voilà.
– Nous n'avons pas d'autre chambre, l'hôtel est plein. Il n'y a plus la moindre place de libre. Vous savez avec la conférence et la grande fête annuelle de la ville. Vous ne trouverez plus une seule chambre nul part.
On nous concédait une petite réduction sur le prix ou un remboursement pour celui qui choisirait de partir. Il a fallu céder, aucun d'entre nous ne voulait dormir dans la rue. En plus on se faisait remarquer avec juste une serviette autour du ventre …
On est remonté à notre chambre.
– Une tenue décontractée suffit pour le restaurant ! Nous faisait remarque un garçon d'étage. Mais là c'est peut être un peu trop !
En réponse on l'a foudroyé du regard !
Eddy se présentait, j'en faisais de même. Puis il partait prendre une douche à son tour.
– Il faudra que tu m'expliques ce que c'est que ce truc autour de ta bite, et en plus il est tout petit !
C'est vrai que lui avait une grosse queue, elle pendait lourdement et se distinguait nettement derrière sa serviette.
Je restais comme j'étais, je passais sur la terrasse, il n'y avait aucun vis à vis avec les autres chambres. J'étais tranquille et là je laissais mes pensées vagabonder.
C'est à sa queue que je pensais. Eddy était rudement bien foutu, et bien monté en plus. C'était un rêve.
Et c'est un rêve qui m'apparaissait devant les yeux quand il ressortait de la douche. Il était là entièrement nu.
– Je te préviens tout de suite, je suis naturiste et il est hors de question que je m'habille dans MA chambre.
– Fais comme tu veux.
Il était tellement beau que je n'avais pas envie de me formaliser. J'en ferais de même, c'est tout. Mais là c'était l'heure de manger et il fallait donc s'habiller.
On s'habillait, chacun surveillait l'autre, histoire sans doute d'être plus présentable que l'autre. C'est donc dans une tenue impeccable qu'on se retrouvait au restaurant. Là non plus, on n'a pas tout compris et on s'est retrouvé à la même table.
– Plus de table libre, plus de chambre non plus. J'aurais mieux fait de ne pas venir.
– Moi j'ai pas le choix, c'est ma boite qui m’envoie ! Répondais-je.
– Remarque moi c'est pareil rajoutait-il.
On était calmé à ce moment et sous l'effet de l'appétit, on parvenait même à sympathiser. Après le repas on s'installait au bar dans un coin isolé ou nous avons fait plus ample connaissance.
– Alors c'est quoi ce truc que tu portes sur la queue ?
Décidément ça devenait une obsession.
– C'est pour rester sage !
– Et ça marche ?
– Ça dépend !
– Et ça dépend de quoi ?
– De la taille de la bite de l'autre mec !
Oui je sais, j'ai dit ça sans même rougir, mais on avait bien arrosé le repas et là on était au digestif.
– Si elle est trop grosse, tu restes sage parce que tu as peur ?
– J'ai jamais trouvé de mecs qui en avaient une trop grosse !
– Là ça me rassure, en forme je dépasse les vingt centimètre et je suis bien large en plus.
Je réalisais la tournure que prenait la discussion.
– Je crois qu'on est un peu trop fatigué et qu'on devrait remonter dans la chambre.
– J'ai pas envie de dormir. Répondait-il.
– Qui te parle de dormir ?
On terminait nos verres cul-sec, il payait et je le suivais dans l'ascenseur.
– Même pas peur ! Lui déclarais-je.
– Tu devrais ! Me répondait-il.
Arrivé dans la chambre, il ne me laissait pas le temps de réagir. Il m'empoignait, m'embrassait et me repoussait sur le lit avant de se laisser tomber sur moi.
Quand je dis sans réagir, en fait, je refermais les bras sur lui, le saisissais à mon tour. C'était subite, non prévu, inattendu mais c'était chaud, nos baisers étaient intenses et passionnés.
On roulait l'un sur l'autre j'étais au dessus, je me retrouvais au dessous puis on tournait encore. Un instant, profitant de ma position je lui ouvrais la chemise et lui caressais le torse. Lui, allongé sur le dos me regardais faire et ma chemise disparaissait rapidement.
Nous étions torse nues. La peau de nos deux torses caressait le peau de l'autre, elle était brûlante. Je glissais ma main dans son pantalon avant de le lui ouvrir. Il bandait déjà, remarquez ce n'était pas une surprise. Depuis un moment on faisait tout ce qu'il fallait pour obtenir une réaction de ce genre.
C'est seulement à ce moment que je sentais ma queue étranglée dans sa cage. Elle aussi tentait de se redresser, ses efforts pathétiques étaient autant inutiles que désagréables pour moi. Je la sentait écrasée, confinée sans aucune chance de se relever. Ce n'était pas douloureux mais là c'était intensément désagréable. C'était terriblement frustrant au moment ou la queue de Eddy ressortait de son pantalon.
Là je me penchais sur lui et la prenait dans ma bouche. Il relevais la tête, me souriait et se laissait faire. Pour m'aider il soulevait son bassin au moment ou je tentais de faire glisser son pantalon.
Sa bite apparaissait sous mes yeux, elle était magnifique, elle m'avait paru de belle taille au tout début, elle ne m'avait pas trompée. Elle était bien de belle taille, et bien large en plus.
Je continuais à m'amuser avec cette merveille. Je la prenais dans la bouche, je la caressais avec une grande douceur. Puis avec un peu plus de vigueur, je suivais ses gémissements de plaisir ou alors c'étaient le contraire. Il avait croisé ses mains derrière la tête.
Quand je me relevais il était entièrement nus sur le lit, son pantalon avait glissé sur le sol, il était nu et superbe. J'allais me pencher sur lui de nouveau mais il me retenait d'une main. Avec l'autre il ouvrait mon pantalon. Glissait sa main et me tripotait les couilles. Je voyais son sourire se dessiner sur ses lèvres.
– Ça ne te fait pas mal ? Me demandait-il.
Je faisais non de la tête. Il appréciait mes couilles comme elles étaient et me répondait avec un large sourire. Il continuait à s'amuser avec mes couilles. Ce n'est pas vraiment agréable mais ça fait partie du jeu quand on accepte ou qu'on choisit de porter un tel dispositif.
Il tirait doucement mon pantalon vers le bas. C'était pour me faire comprendre qu'il voulait que je le retire, enfin c'est ce que j'en ai conclu. Je me relevais, je l'enjambais, un pied de chaque côté de son bassin et je baissais mon pantalon. Je sautais sur le sol pour terminer la manœuvre plus facilement, les jambes écartées j'avais du mal à faire tomber mon pantalon, et lui faisait face entièrement nu.
De nouveau il m'attrapait les couilles et s'amusait vigoureusement avec.
– Suce ! Me disait-il.
Je m'exécutais, il continuait à me tripoter les couilles, ma bite poussait de toutes ses forces contre la cage, c'était inutile et pathétique. Elle était en titane et ne risquait pas de lâcher.
– Tu bandes là ?
Je faisais oui de la tête.
– Enfin j'essaye, finissais-je par confirmer.
– Et ça ne marche pas ?
– Tu es un marrant toi !
Je continuais à lui sucer la queue, il caressait mes cheveux et m'encourageait.
– Tu fais ça bien, vas y continue.
Ce moment devait durer longtemps. Il aimait tellement, j'avais peur qu'il ne jouisse. C'est dans mon cul que je voulais me prendre cette queue magnifique. Mais en attendant je m'amusais avec et je m'amusais bien.
– Relève toi, à quatre patte sur le lit ! M'ordonnait-il.
Je ne l'ai pas fait répéter, il avait du gel, il m'enduisait le cul, il s'en couvrait la queue, je le regardais faire, j'avais comme un pincement dans mon estomac. Il avait tout de même une grosse queue et le '' Même pas peur '' n'était peut être que de la frime, en fait je tremblais mais je le voulais.
Il prenait position, je sentais le bout de sa queue qui appuyait sur mon cul, c'était froid, il poussait. Je ne résistais pas et rapidement je le sentais se dilater, il poussait doucement, encore un peu et mon cul se dilatait un peu plus.puis j'ai poussé un cri, un petit cri.
Mon anus venait de se dilater beaucoup plus d'un coup. Il continuait à pousser et je sentais anus s'ouvrir, je sentais sa queue qui s'enfonçait. C'était intense. Je devais faire un grimace monstrueuse mais je ne résistais pas et sa queue continuait à s'enfoncer.
Les plus de vingt centimètre y sont passé, son ventre s'est écrasé sur mes fesse, presque en douceur, mais sa bite dans mon cul, là, ce n'était pas de la douceur. Là c'était violent, je manquais d'air.
Il se penchait sur moi, me demandait … '' Ça va ? ''. Mais sans attendre la réponse se retirait doucement, là je manquais encore plus d'air. Je criais presque silencieusement, seuls des petits râles sortaient de ma bouche. Il se retirait lentement mais totalement avant de revenir, sans prévenir. Toujours avec une certaine lenteur.
Il avait largement lubrifié et ça glissait bien. Je ne m'étais jamais senti aussi étroit et c'était intensément bon. Déjà j'avais l'impression de jouir, je sentais un plaisir naître au milieu de ma queue. Pourtant elle n'avait pas bougé, et ne semblait pas concernée.
Il revenait un peu plus vite, puis il ressortait, là encore un peu plus vite.
Les mouvements devenaient plus amples et plus rapides, il me limait le cul, je ne savais plus vraiment si c'était un plaisir pur ou autre chose mais ce n'était pas de la douleur. C'était spécial, c'était bon, c'était de plus en plus bon. Je râlais de plus en plus fort.
Les coups qu'il finissait par donner devenaient progressivement bien plus rapide et bien plus fermes. Son ventre finissait par claquer sur mes fesses et moi je criais. Puis il recommençais.
Tout mon corps tremblait, je pouvais à peine tenir la position, et je n'étais pas debout heureusement.
Ses coups devenaient brusquement très rapide, ça glissait toujours très bien, il râlait, il finissait par jouir et le dernier coup de bassin qu'il me balançait était très violent.
Il se retirait.
– Tu m'excuse ?
– Pourquoi ?
– Si j'ai été trop violent …
– Non ça va, on pourra recommencer si tu veux.
– Maintenant ?
– Non pas maintenant, non pas maintenant, non pas maintenant !
On passait sous la douche, là il n'était plus que douceur, tendresse, câlin. J'avais les jambes comme des ressorts et je tenais à peine debout.
Je me suis couché, il s'est couché contre moi, il m'a donner un dernier baiser, très tendre …
– Au fait ton séminaire, il dure combien de temps ? Me demandait-il.
– Cinq jours .
– Pareil.
Là on s'est endormi, finalement on n'a défait qu'un seul lit. Et je ne regrette pas mon séminaire de cette année là. J'y repense encore avec une certaine nostalgie, un très bon souvenir quoi !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'étais épuisé, j'entrais dans la chambre. Elle n'était pas très grande, il y avait deux lits d'une place chacun. Sinon elle semblait confortable. On entrait par un petit couloir ou il y avait la porte qui ouvrait sur la salle de bain. Je jetais ma valise sur le premier lit avant de me jeter moi-même dessus.
J'étais épuisé, le voyage avait été long et fatigant. Je me souviens m'être un peu assoupis. Je me réveillais un peu plus tard, et je décidais de prendre une douche avant de descendre au restaurant.
Je jetais mes vêtements, tous mes vêtements, dans ma valise que je rangeais juste à côté du lit puis me dirigeais vers la salle de bain. Là je me faisais couler un bain et m'y abandonnais. Je n'avais gardé que ma cage, ma petite cage à bite. De toutes façons, je n'avais pas la clé, je ne risquais donc pas de la retirer. Je ne l'emmenais plus avec moi quand je faisais des déplacements professionnels.
Au début bien sûr, je l'avais toujours à porté de main mais, ça faisait maintenant plus d'un an que je la portais et je me sentais suffisamment à mon aise pour ne plus en ressentir le besoin.
J'avais mis un peu de musique, et rien ne me dérangeait.
Plus tard, avant que l'eau ne devienne trop froide je sortais de la baignoire et me séchait longuement. Je ressortais de la salle de bain et me rendais dans la salle principale. Là j'ai poussé un cri.
Il y avait un homme entièrement nu sur un des lits, il avait l'air totalement détendu, allongé sur le dos, les jambes écartées. Recouvert d'une jolie fourrure brune épaisse il ouvrait les yeux, me regardais.
J'étais nu moi aussi et je le regardais avec surprise.
En une fraction de seconde il se relevait et me faisait face.
– Mais t'es qui toi ? Me demandait-il.
– Mais d'ou tu viens toi ?
– Tu es dans ma chambre !
– Ah, non c'est ma chambre.
– J'étais là en premier.
– J'étais dans la douche. Ça fait plus d'une heure que je suis là.
– Tu t'étais planqué dans ma chambre avant que j'arrive !
– Tu es rentré sans faire de bruit dans ma chambre. Mais on est ou là ?
– Et c'est quoi ce truc que tu as sur ta queue ?
Là il regardait ma bite avec surprise, il dodelinait de la tête, cherchant à comprendre ce qu'il voyait.
Je prenais le téléphone et appelait l'accueil.
– Il y a un homme dans ma chambre.
– Non ce n'est pas moi.
– Si bien sûr j'y suis mais ce n'est pas de moi que je parle.
– Oui bon, si vous préférez il y a donc deux hommes dans ma chambre !
– En me comptant dedans bien sûr.
Je m'énervais, surtout qu'à l'accueil. Je vous laisse deviner comment la réception de l’hôtel prenait ma réclamation et je terminais donc par j'arrive.
Pendant ce temps l'envahisseur qui empiétait mon territoire continuait à me regarder, il regardait ma cage à bite principalement. Ça l'intriguait cette affaire.
– Je vais aller régler ce problème à l'accueil, et tu vas voir, tu vas te faire virer.
– Ah on se tutoie maintenant! Tu t'imagines peut être que je vais en rester là, c'est toi qui va dégager.
Je sortais dans le couloir, il me suivait, puis on réagissait qu'on était entièrement nu et on revenait dans la chambre. Sous l'effet de la colère on faisait encore un peu n'importe quoi, j'attrapais une serviette me la passais autour de la ceinture et repartais. Il en faisait de même.
Et c'est donc dans une tenue un peu légère, peu singulière j'en conviens mais nous étions l'un comme l'autre bien décidé.
Oh ils nous ont vu venir à l'accueil, je ne vous dis pas !
On râlait, on réclamait, mais voilà.
– Nous n'avons pas d'autre chambre, l'hôtel est plein. Il n'y a plus la moindre place de libre. Vous savez avec la conférence et la grande fête annuelle de la ville. Vous ne trouverez plus une seule chambre nul part.
On nous concédait une petite réduction sur le prix ou un remboursement pour celui qui choisirait de partir. Il a fallu céder, aucun d'entre nous ne voulait dormir dans la rue. En plus on se faisait remarquer avec juste une serviette autour du ventre …
On est remonté à notre chambre.
– Une tenue décontractée suffit pour le restaurant ! Nous faisait remarque un garçon d'étage. Mais là c'est peut être un peu trop !
En réponse on l'a foudroyé du regard !
Eddy se présentait, j'en faisais de même. Puis il partait prendre une douche à son tour.
– Il faudra que tu m'expliques ce que c'est que ce truc autour de ta bite, et en plus il est tout petit !
C'est vrai que lui avait une grosse queue, elle pendait lourdement et se distinguait nettement derrière sa serviette.
Je restais comme j'étais, je passais sur la terrasse, il n'y avait aucun vis à vis avec les autres chambres. J'étais tranquille et là je laissais mes pensées vagabonder.
C'est à sa queue que je pensais. Eddy était rudement bien foutu, et bien monté en plus. C'était un rêve.
Et c'est un rêve qui m'apparaissait devant les yeux quand il ressortait de la douche. Il était là entièrement nu.
– Je te préviens tout de suite, je suis naturiste et il est hors de question que je m'habille dans MA chambre.
– Fais comme tu veux.
Il était tellement beau que je n'avais pas envie de me formaliser. J'en ferais de même, c'est tout. Mais là c'était l'heure de manger et il fallait donc s'habiller.
On s'habillait, chacun surveillait l'autre, histoire sans doute d'être plus présentable que l'autre. C'est donc dans une tenue impeccable qu'on se retrouvait au restaurant. Là non plus, on n'a pas tout compris et on s'est retrouvé à la même table.
– Plus de table libre, plus de chambre non plus. J'aurais mieux fait de ne pas venir.
– Moi j'ai pas le choix, c'est ma boite qui m’envoie ! Répondais-je.
– Remarque moi c'est pareil rajoutait-il.
On était calmé à ce moment et sous l'effet de l'appétit, on parvenait même à sympathiser. Après le repas on s'installait au bar dans un coin isolé ou nous avons fait plus ample connaissance.
– Alors c'est quoi ce truc que tu portes sur la queue ?
Décidément ça devenait une obsession.
– C'est pour rester sage !
– Et ça marche ?
– Ça dépend !
– Et ça dépend de quoi ?
– De la taille de la bite de l'autre mec !
Oui je sais, j'ai dit ça sans même rougir, mais on avait bien arrosé le repas et là on était au digestif.
– Si elle est trop grosse, tu restes sage parce que tu as peur ?
– J'ai jamais trouvé de mecs qui en avaient une trop grosse !
– Là ça me rassure, en forme je dépasse les vingt centimètre et je suis bien large en plus.
Je réalisais la tournure que prenait la discussion.
– Je crois qu'on est un peu trop fatigué et qu'on devrait remonter dans la chambre.
– J'ai pas envie de dormir. Répondait-il.
– Qui te parle de dormir ?
On terminait nos verres cul-sec, il payait et je le suivais dans l'ascenseur.
– Même pas peur ! Lui déclarais-je.
– Tu devrais ! Me répondait-il.
Arrivé dans la chambre, il ne me laissait pas le temps de réagir. Il m'empoignait, m'embrassait et me repoussait sur le lit avant de se laisser tomber sur moi.
Quand je dis sans réagir, en fait, je refermais les bras sur lui, le saisissais à mon tour. C'était subite, non prévu, inattendu mais c'était chaud, nos baisers étaient intenses et passionnés.
On roulait l'un sur l'autre j'étais au dessus, je me retrouvais au dessous puis on tournait encore. Un instant, profitant de ma position je lui ouvrais la chemise et lui caressais le torse. Lui, allongé sur le dos me regardais faire et ma chemise disparaissait rapidement.
Nous étions torse nues. La peau de nos deux torses caressait le peau de l'autre, elle était brûlante. Je glissais ma main dans son pantalon avant de le lui ouvrir. Il bandait déjà, remarquez ce n'était pas une surprise. Depuis un moment on faisait tout ce qu'il fallait pour obtenir une réaction de ce genre.
C'est seulement à ce moment que je sentais ma queue étranglée dans sa cage. Elle aussi tentait de se redresser, ses efforts pathétiques étaient autant inutiles que désagréables pour moi. Je la sentait écrasée, confinée sans aucune chance de se relever. Ce n'était pas douloureux mais là c'était intensément désagréable. C'était terriblement frustrant au moment ou la queue de Eddy ressortait de son pantalon.
Là je me penchais sur lui et la prenait dans ma bouche. Il relevais la tête, me souriait et se laissait faire. Pour m'aider il soulevait son bassin au moment ou je tentais de faire glisser son pantalon.
Sa bite apparaissait sous mes yeux, elle était magnifique, elle m'avait paru de belle taille au tout début, elle ne m'avait pas trompée. Elle était bien de belle taille, et bien large en plus.
Je continuais à m'amuser avec cette merveille. Je la prenais dans la bouche, je la caressais avec une grande douceur. Puis avec un peu plus de vigueur, je suivais ses gémissements de plaisir ou alors c'étaient le contraire. Il avait croisé ses mains derrière la tête.
Quand je me relevais il était entièrement nus sur le lit, son pantalon avait glissé sur le sol, il était nu et superbe. J'allais me pencher sur lui de nouveau mais il me retenait d'une main. Avec l'autre il ouvrait mon pantalon. Glissait sa main et me tripotait les couilles. Je voyais son sourire se dessiner sur ses lèvres.
– Ça ne te fait pas mal ? Me demandait-il.
Je faisais non de la tête. Il appréciait mes couilles comme elles étaient et me répondait avec un large sourire. Il continuait à s'amuser avec mes couilles. Ce n'est pas vraiment agréable mais ça fait partie du jeu quand on accepte ou qu'on choisit de porter un tel dispositif.
Il tirait doucement mon pantalon vers le bas. C'était pour me faire comprendre qu'il voulait que je le retire, enfin c'est ce que j'en ai conclu. Je me relevais, je l'enjambais, un pied de chaque côté de son bassin et je baissais mon pantalon. Je sautais sur le sol pour terminer la manœuvre plus facilement, les jambes écartées j'avais du mal à faire tomber mon pantalon, et lui faisait face entièrement nu.
De nouveau il m'attrapait les couilles et s'amusait vigoureusement avec.
– Suce ! Me disait-il.
Je m'exécutais, il continuait à me tripoter les couilles, ma bite poussait de toutes ses forces contre la cage, c'était inutile et pathétique. Elle était en titane et ne risquait pas de lâcher.
– Tu bandes là ?
Je faisais oui de la tête.
– Enfin j'essaye, finissais-je par confirmer.
– Et ça ne marche pas ?
– Tu es un marrant toi !
Je continuais à lui sucer la queue, il caressait mes cheveux et m'encourageait.
– Tu fais ça bien, vas y continue.
Ce moment devait durer longtemps. Il aimait tellement, j'avais peur qu'il ne jouisse. C'est dans mon cul que je voulais me prendre cette queue magnifique. Mais en attendant je m'amusais avec et je m'amusais bien.
– Relève toi, à quatre patte sur le lit ! M'ordonnait-il.
Je ne l'ai pas fait répéter, il avait du gel, il m'enduisait le cul, il s'en couvrait la queue, je le regardais faire, j'avais comme un pincement dans mon estomac. Il avait tout de même une grosse queue et le '' Même pas peur '' n'était peut être que de la frime, en fait je tremblais mais je le voulais.
Il prenait position, je sentais le bout de sa queue qui appuyait sur mon cul, c'était froid, il poussait. Je ne résistais pas et rapidement je le sentais se dilater, il poussait doucement, encore un peu et mon cul se dilatait un peu plus.puis j'ai poussé un cri, un petit cri.
Mon anus venait de se dilater beaucoup plus d'un coup. Il continuait à pousser et je sentais anus s'ouvrir, je sentais sa queue qui s'enfonçait. C'était intense. Je devais faire un grimace monstrueuse mais je ne résistais pas et sa queue continuait à s'enfoncer.
Les plus de vingt centimètre y sont passé, son ventre s'est écrasé sur mes fesse, presque en douceur, mais sa bite dans mon cul, là, ce n'était pas de la douceur. Là c'était violent, je manquais d'air.
Il se penchait sur moi, me demandait … '' Ça va ? ''. Mais sans attendre la réponse se retirait doucement, là je manquais encore plus d'air. Je criais presque silencieusement, seuls des petits râles sortaient de ma bouche. Il se retirait lentement mais totalement avant de revenir, sans prévenir. Toujours avec une certaine lenteur.
Il avait largement lubrifié et ça glissait bien. Je ne m'étais jamais senti aussi étroit et c'était intensément bon. Déjà j'avais l'impression de jouir, je sentais un plaisir naître au milieu de ma queue. Pourtant elle n'avait pas bougé, et ne semblait pas concernée.
Il revenait un peu plus vite, puis il ressortait, là encore un peu plus vite.
Les mouvements devenaient plus amples et plus rapides, il me limait le cul, je ne savais plus vraiment si c'était un plaisir pur ou autre chose mais ce n'était pas de la douleur. C'était spécial, c'était bon, c'était de plus en plus bon. Je râlais de plus en plus fort.
Les coups qu'il finissait par donner devenaient progressivement bien plus rapide et bien plus fermes. Son ventre finissait par claquer sur mes fesses et moi je criais. Puis il recommençais.
Tout mon corps tremblait, je pouvais à peine tenir la position, et je n'étais pas debout heureusement.
Ses coups devenaient brusquement très rapide, ça glissait toujours très bien, il râlait, il finissait par jouir et le dernier coup de bassin qu'il me balançait était très violent.
Il se retirait.
– Tu m'excuse ?
– Pourquoi ?
– Si j'ai été trop violent …
– Non ça va, on pourra recommencer si tu veux.
– Maintenant ?
– Non pas maintenant, non pas maintenant, non pas maintenant !
On passait sous la douche, là il n'était plus que douceur, tendresse, câlin. J'avais les jambes comme des ressorts et je tenais à peine debout.
Je me suis couché, il s'est couché contre moi, il m'a donner un dernier baiser, très tendre …
– Au fait ton séminaire, il dure combien de temps ? Me demandait-il.
– Cinq jours .
– Pareil.
Là on s'est endormi, finalement on n'a défait qu'un seul lit. Et je ne regrette pas mon séminaire de cette année là. J'y repense encore avec une certaine nostalgie, un très bon souvenir quoi !
Fin
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