Une famille pas ordinaire, ma tante et ma cousine se relaient sur mon chibre
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Une famille pas ordinaire, ma tante et ma cousine se relaient sur mon chibre
Une famille pas comme les autres.
Adaptation des épisodes 4 et 5 pour respecter la charte du site
Quatrième chapitre :
Mes deux femmes se partagent ma bite.
Résumé des 2 épisodes précédents.
Jeanne a recueilli avec son mari les enfants de ses deux beaux-frères. Aude fille de Bernard et Damien le fils de Paul.
Ces pauvres petits ont connus un drame affreux dans leurs jeunesses. Leurs parents respectifs sont morts dans un accident d’avion.
Mais les années ont passés, Aude est mariée et Damien vient de fêter ses 18 ans.
Jeanne a découvert que son neveu est doté d’une verge démesurée et a tout fait pour pouvoir en profiter. En plus c’est un amant qui se révèle très performant.
Aude, sa cousine les a surpris en pleine copulation, et à son tour a voulu sa livre de chair.
Damien ne sait plus où donner de la tête, ou plutôt de la bite entre ses deux sabines insatiables.
Récit de Damien.
Je passe pour la 1ère fois depuis deux jours une fin de nuit enfin seul dans ma chambre.
Je me demande ce qui va se passer demain après les paroles qu’ont échangées ma tante et ma cousine.
Je n’en reviens pas du changement dans ma vie sexuelle depuis deux jours, j’ai enfin trouvé deux femmes qui acceptent et apprécient ma bite, et tout ça sous mon propre toit.
Ma tante Jeanne est une très belle femme. Elle a 42 ans. 1 mètre 70 pour 66 kilos, une silhouette à damner un saint. Des jambes fines, toute en longueur, un ventre plat, et des seins énormes qui paraissent trop gros pour sa fine taille.
Des fesses rondes, bien fermes et tout aussi rebondis malgré l’âge. Elle a des cheveux longs, auburn qui lui cachent les seins lorsqu’ils sont détachés. Elle a un nez fin et une bouche aux lèvres très pulpeuses. Il y a deux jours je n’aurais jamais décrit ma mère comme ça.
Quand à ma cousine Aude, c’est une bombe de 22 ans, un peu moins grande que ma tante, dans les 1m60, blonde aux yeux verts, hyper bien roulé avec des seins et des fesses à faire bander un curé. Et pour ce qui est du sexe, elle a beaucoup « testé » avant de se marier.
A la suite de la soirée « mouvementée », nous nous retrouvons pour déjeuner tous les trois ensembles.
Jeanne et Aude en peignoir léger et moi en boxer et tee-shirt.
Autant le dire, le climat est lourd, je ne sais pas ce qui va se passer.
Par l’entrebâillement du haut de leurs peignoirs, je vois la naissance de leurs seins qui sont visiblement libres en dessous. Aux souvenirs que ça m’évoque, ma bite commence à se tendre.
Aude le remarque et fait un signe de tête à ma tante puis engage la conversation sur le sujet.
-Y a pas photo, Damien a la plus grosse que je n’ai jamais vu !
Jeanne lui rétorque entrant dans son jeu.
-Qu’est-ce qu’il a de plus gros ?
On dirait presque qu’elle veut faire semblant de ne pas avoir compris.
Elle rajoute.
-On ne va pas se mentir ni faire comme rien ne s’était passé. Damien, aussi bien pour ta cousine que pour moi dès que l’on a vu ton formidable engin nous n’avons pas pu nous empêcher de vouloir en profiter. Mais pourquoi te masturbais-tu ? Avec un tel gourdin, tu dois avoir le choix dans tes conquêtes.
Au point où j’en suis, autant dire ce qu’il y à dire.
-Je suis trop imposant pour les filles de mon âge, tu comprends ? Elles n’ont pas votre expérience et recherchent des petits amis équipés d’un modèle plus standard.
Ma tante insiste.
- Comment ça ?
Je lui rétorque assez violemment.
-Et bien !…J’ai un trop gros sexe pour que les filles apprécient et je risque de les blesser!
Jeanne c’est figé, ma cousine me regarde une lueur que je ne connais pas dans les yeux.
Je me suis emporté et je sens le rouge me monter aux joues.
-Effectivement, souligne Aude, ton défonce-cul est si gros qu’il n’est pas à mettre dans n’importe quelle main, ou plutôt n’importe quel trou !
C’est ma cousine qui ouvre le bal en déclarant directement et crûment à Jeanne quelle regarde dans les yeux.
- Ma Tante, ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la peine d’aller chercher ailleurs ce qu’on a sous la main et d’après ce que je vois Damien ne va pas tarder à avoir des problèmes avec sa queue s’il continue à bander comme un âne.
Je passe par toutes les couleurs de l’arc en ciel et baisse les yeux vers le pieu caché dans mon boxer.
On voit déjà le bout du gland pointer son nez. Sans me laisser le temps de réagir, Aude saisit mon boxer à deux mains et le baisse aux chevilles.
Sans complexe, elle attrape ma bite à pleines mains et se met à jouer sur la hampe des allers retours très lents.
Jeanne hésite un instant et se penche pour constater ce que ma cousine vient de lui dire.
Ma tante ne réagit pas, elle regarde toujours silencieusement Aude, qui les deux mains sur ma hampe a pris ce qu’elle a pu de ma queue dans sa bouche et me suce ouvertement, et elle me laisse totalement libre de lui peloter ses beaux nichons, ce qui me procure un grand plaisir.
Je sens ses tétons durcir, elle ne peut dissimuler son excitation, puis je descends ma main le long de son dos et me mets à lui caresser les fesses aussi, et je sens qu'elle frémit de plus en plus...
Tout à coup, elle n'en peut plus :
- Putain, vous m'excitez trop et après tout ce n’est pas un vrai inceste, donne la moi que je la suce moi aussi!
Elle cède enfin. Ma tante descend à hauteur de ma cousine, et approchant une main, s’empare de mes couilles en un massage électrisant puis saisit ma queue qu’Aude a retirée de sa bouche mais ne veut pas lâcher, et la plonge directement dans la sienne.
Elle se met à me sucer frénétiquement, comme une chienne en chaleur, en y mettant toute sa langue et toute sa salive.
- Alors, elle est bonne sa queue hein?... lance Aude.
- Ah oui j'adore!
Je suis soulagé de voir qu’elles préfèrent me partager plutôt que de s’étriper.
Je me rends compte de ce qu’elles veulent faire ; me branler jusqu'à la jouissance.
Jeanne a glissée une main sous le peignoir d’Aude et lui caresse la chatte mais comme le vêtement cache tout ça, je ne vois pas ce qu’elle fait.
Ma cousine accélère son mouvement et Jeanne commence à me presser les boules plus fortement.
Au bout de cinq minutes de ce traitement à deux bouches pour une pine, je les préviens alors que je vais jouir.
Ma tante ouvre et enlève à toute vitesse son peignoir en disant à Aude d’orienter ma grosse pine rougie vers ses seins. N’en pouvant plus et sentant monter mon jus dans ma queue, j’envois cinq belles giclées sur les seins et le visage de ma génitrice en braillant comme un putois et en lançant.
- Ma tante, oh Jeanne !
Ma cousine se précipite et lèche ma tante pour ne rien perdre de ma semence et la partage d’un baiser fougueux avec Jeanne.
Mon excitation retombe et je me retrouve debout contre la table de la cuisine, la queue toujours raide, le boxer sur les chevilles en teeshirt l’air un peu couillon après ce qui vient de se passer.
Je ne sais plus quoi faire et c’est Aude qui rompt le silence en disant qu’elles ont eu la crème et que maintenant il était temps de prendre le café, ce qui provoque bien sur un éclat de rire général et déstressant pour moi.
Après le petit déjeuner, Jeanne met les choses au point:
Au vu de ce qui vient de sa passer, il est inutile que je continue à l’appeler ma tante et qu’elle préfère que j’utilise son prénom. D’autre part, avec notre accord bien sûr, elle propose qu’au stade où nous en sommes il n’est plus utile de se planquer sous des vêtements et que nous pouvons nous promener nus chez nous et qu’elles prennent toutes les deux la pilule.
Je monte alors prendre ma douche et Aude vient me rejoindre quasiment aussitôt, se met nue et rentre avec moi dans la douche, nous nous lavons mutuellement en restant presque sages.
Je lui demande.
-Ca ne te gène pas de baiser avec ton cousin?
- Un peu, mais quand je vois ton engin en comparaison de celui de mon mari, je ne me maitrise plus!... me dit-elle en rigolant et en se mettant à genoux...
Là, elle commence à me sucer, en un rien de temps ma queue est tellement dure que j'en ai presque mal et le fait de la voir dans la bouche de ma cousine, avec sa langue de velours qui s'active dessus me procure un plaisir fou!
Elle me lèche la verge de tous les côtés, du gland aux couilles, qu'elle met aussi de temps en temps dans sa bouche, tout en me fixant du regard, comme une vraie pute!
Jeanne vient de rentrer dans la salle de bain et nous observe dans la douche.
- Vas-y Damien, baise la bien !
Aude la questionne.
On est ses deux putes, hein Jeanne?
- Oh oui c'est trop bon, c'est vrai qu'on est deux belles salopes, ça sert à rien de le cacher...
Je suis fière de vous les enfants, vous êtes aussi chauds que votre pute de tante!
-Allons dans ma chambre pour continuer. Suggère Jeanne.
Le bas de mon anatomie continue de subir les assauts de la bouche d’Aude mais en plus, cette ravissante salope de sa main droite me branle vigoureusement. Elle tient bien en main son « bâton de berger » et met tout son cœur à me branler.
Fatalement il arrive ce qui devait arriver, je sens ma bite gonfler encore plus et avant qu’Aude n’ait le temps de se reculer et sans que je puisse la prévenir, je libère plusieurs puissants jets de sperme qu’elle se trouve obligée d’avaler puisque je lui tiens fermement la tête.
Voyant cela, Jeanne va au-devant d’Aude pour partager à nouveau ma semence en un joyeux mélange de langues.
Je vais peut-être avoir un instant de calme.
Mais c’est mal connaître mes deux coquines, qui après quelques jeux lesbiens s’allongent chacune d’un côté de moi et leurs mains partent à la rencontre de mon corps en entretenant mon désir par de douces caresses en évitant toutefois mon bas ventre ou mon sexe est toujours raide à sa taille « habituelle », enfin pour moi.
Aude se met alors à quatre pattes sur le lit et m'invite ainsi à venir la prendre en levrette. Je me mets immédiatement à la chevaucher ainsi en limant sa belle chatte brûlante et dégoulinante de mouille.
Jeanne écarte les grandes lèvres de ma cousine pour mieux faire pénétrer ma bite et surtout mieux admirer le spectacle de ma queue dans la chatte de sa salope de nièce. Puis très vite, ma tante se place à côté d’Aude en écartant ses jambes à fond et en se mettant à se caresser la chatte.
Ma cousine, surexcitée, lui dit alors :
- Vas y Jeanne, mets toi devant je vais te lécher la chatte!
Jeanne ne se fait pas prier évidemment et avec plaisir se place ainsi en face de ma cousine, et Aude commence alors à lécher son sexe!
C'est un vrai film de cul en direct, Aude que je suis en train de baiser en levrette, lèche la chatte de ma tante, qui me regarde en gémissant de plaisir sous ses coups de langue.
- Elle est bonne la chatte de Jeanne? Dis-je à Aude
- Grave!
- Vas y bouffe moi la foufoune c'est trop bon! Râle ma tante.
- Et toi, comment tu trouves la chatte de ta cousine? poursuit-elle.
- Trop bonne! J’adore la baiser cette salope!
- Ben viens me baiser moi aussi, tu verras que t'as pas qu'une seule salope ici, t'en as deux!
Avec bonheur, je vois Aude se retirer et se placer sur le côté et Jeanne s'avancer vers moi, spontanément je saisis à pleines mains les deux gros seins de ma tante et je les serre fort autour de ma queue pour une bonne branlette espagnole.
Malgré ses gros seins, ma queue vient frapper régulièrement son menton, elle penche la tête pour accueillir mon nœud à chaque poussée.
Elle me suggère.
- Tu veux goûter ma chatte?!
Sans répondre, je me mets à lécher sa belle chatte toute chaude et toute mouillée, et avec délice je promène ma langue sur ses lèvres, puis je titille longuement avec le bout de ma langue son clito, son sexe est une vraie fontaine, elle mouille comme une folle.
De temps en temps je fourre ma langue dans sa chatte en feu, avant d'y glisser un doigt, puis deux, puis trois, et en relevant ma tête, je la branle avec trois doigts dans sa chatte tout en regardant l'expression du plaisir sur son visage.
Elle me regarde, en se tordant de plaisir et en pétrissant ses gros seins qu'elle tient fermement dans ses mains.
Je pose ma queue à l'entrée de sa grotte trempée, en frottant mon gland sur son clito, ma tante prend ma bite et la dirige à l'entrée de son orifice, après quelques secondes, j'enfonce d'un grand coup toute ma queue au fond de sa gaine de velours. Ses muscles intimes broient ma verge.
Putain! La chatte de Jeanne! Ce n’est pas bien, mais qu'est ce qu'elle est bonne!!!
Je me mets a la chevaucher de plus en plus vite, de plus en plus fort, en tenant fermement ses hanches, elle écarte ses jambes à fond!
- Oh ouiiiiiiiiii défonce moi! Encore! C’est trop bon putain!
Elle a du mal à étouffer ses cris de plaisir, sa chatte est si chaude, si mouillée, c'est irrésistible!
Je mets deux doigts dans la moule toute trempée de ma tante en même temps qu'elle se caresse le clito, et quelques secondes après, elle atteint un énorme orgasme qui la fait crier à mort, c'est plus ma tante mais une grosse chienne que j'ai en face de moi, ou plutôt c'est ma tante et c'est une grosse chienne!!!
Sans hésiter, je renfonce ma queue d'un coup jusqu'au fond de la caverne bien chaude et bien humide de Jeanne.
C'est le pied putain, à ce moment là je réalise que c'est ma tante que je suis en train de baiser!
Pendant que je m'emploie à limer la chatte de Jeanne, ma cousine lui pelote les nichons.
Aude se met alors à parler à l’oreille de Jeanne qui s’écarte de moi pour laisser sa nièce prendre « les choses en main ».
C’était le moins que l’on puisse dire puisqu'elle se saisit de ma bite et enserre la hampe dans sa main tout en me regardant droit dans les yeux.
Je m’allonge sur le dos quelque peu passif et je la vois, sous les yeux de notre tante qui n’en perd pas une miette, se mettre à califourchon au-dessus de moi tout en continuant à me branler doucement.
Elle guide mon sexe tendu vers son berlingot parfaitement rasé et promène le gland sur sa fente déjà bien mouillée.
Je sens sur mon gland la chaleur de son intimité et la seule pensée qui me traverse l’esprit à ce moment est que je nage dans le bonheur
Pendant que je défonce ma cousine comme un malade, Aude tourne sa tête vers Jeanne qui a placé sa fente juste sur ma bouche et après quelques coups de langue, ma tante se met à jouir violemment en tremblant de plaisir m’inondant le visage.
Ca m'excite tellement que je me retire de la chatte de ma cousine en annonçant que je vais jouir!
Jeanne grogne :
- Vas y chéri, mets moi tout sur les seins!
J'ai à peine le temps de m'approcher de sa grosse poitrine que de puissantes giclées de sperme s'écrasent sur elle.
Aude me nettoie alors le gland en avalant les dernières goûtes de sperme, puis se tourne vers ma tante qui est en train de se caresser frénétiquement le clito, les seins et le visage souillés de mon sperme, et lui promet :
- Attends Jeanne, je vais te nettoyer tout ça! Et se met aussitôt à lécher tout le sperme que j'avais déversé.
Jeanne reste comme tétanisée, fascinée par ce spectacle si pervers et si excitant à la fois.
Elle est là, à trente centimètres de moi, encouragé par l'audace de ma cousine et excité par ses coups de langue de plus en plus grands.
Quand elle a fini sa dégustation, Aude se tourne vers moi et s’exclame.
- Regarde son formidable chibre, il est toujours en pleine érection, c’est le seul homme que je connaisse capable de jouir plusieurs fois sans débander !
Et pour la énième fois de la matinée, leurs bouches se sont relayées sur mon nœud.
C'est une pipe très agréable qu'elles me font, longue, très longue, ma tante et ma cousine se partagent ma bite, ralentissant quand elles me sentent sur le point d’éjaculer, se l'échangent plusieurs fois, parfois l'une me suce et l'autre me lèche les couilles en même temps, c'est trop trop bon!!
Déjà que j'avais découvert que ma cousine était une vraie salope, mais à vrai dire, ce n'était pas une surprise absolue, mais voilà que je découvre là que Jeanne est aussi cochonne et qui s'est finalement laissée aller à franchir le pas de baiser avec moi!
- Vas y, faut le sucer à mort, il va bien finir par jouir, dit Jeanne à ma cousine en se penchant sur ma bite et suce le gland, elle veut du sperme dans sa bouche.
Je ne peux plus me retenir, c’est incroyable la quantité que je lui déverse dans la bouche, elle en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, mes grosses couilles ne sont pas encore vides.
La matinée s’est enfin terminée, je suis dans un état second réalisant le pouvoir que j’ai sur ces deux femmes. En un week-end pour ma tante je suis passé de son petit bébé au statut de mâle dominant et pour ma cousine de petit puceau boutonneux à étalon super-bien membré. Quel changement !
Nous nous retrouvons à midi, Jeanne nous dit que l’on va tous au resto.
- Bon, on va y aller. Mais avant il faut qu'on mette les choses au point d'accord ?
Nous nous exclamons.
- Oui ! Mais à quel propos ?
- Allons ne soyez pas faux culs. Avec ce que nous venons de faire notre vie va être différente. Ça ne va pas être si simple que cela à gérer vous savez.
-Il va y avoir un peu, voir beaucoup de sexe entre nous. Je pense que ça ne va pas durer mais ça risque de ne pas être si épisodique que cela notamment au début.
-Alors il faut respecter quelques règles d'accord ?
-D'accord Jeanne,
Aude confirme.
- oui d'accord.
- D'abord, il faut respecter les autres, surtout toi Damien, il faut que tu nous respectes, tu as des besoins peu communs pour ton jeune âge alors si je n'ai pas envie ou si Aude n'a pas envie, inutile d'insister, tu iras te branler tout seul. On ne force personne OK ?
-D'accord Jeanne. Mais si je n'avais pas un peu forcé Damien au début, rien ne se serait passé entre nous deux.
- Je sais, mais maintenant que nous avons franchi un premier pas, les choses sont plus faciles, chacun de nous doit pouvoir dire non. Il ne faut pas que nos jeux détruisent nos ménages, chacun de nous à droit à sa vie personnelle.
Si l'un ou l'une de nous, a des rapports sexuels avec d'autres on se le dit sans tabous. On se le jure ?
- Oui ma tante, on jure !
Jeanne reprend:
- Si on fait des petits jeux entre nous, il faudra toujours penser au plaisir de l'autre, il faut que l'on se serve de nos expériences incestueuses pour développer notre capacité à faire jouir l'autre le plus possible (nous les femmes) et toi Damien tu dois apprendre à devenir un amant exceptionnel d'accord ?
- D'accord Jeanne.
Aude surenchérie.
- Ce programme me plait bien.
- Bon allons sortons !
Etant près de la porte, j'ai eu d'un coup, une interrogation :
- Dites moi les filles, avant de sortir je peux vous demander quelque chose ?
-Avec tes yeux lubriques je m'attends au pire, mais vas-y on t'écoute, de toute façon si on n'est pas d'accord notre pacte fonctionne.
-Vas y je t'écoute aussi, dit Aude.
- Ben voilà, vous êtes toutes les 2 en jupes, qu’avez-vous comme sous-vêtements ?
Jeanne soulève la jupe de ma cousine et découvre la naissance de son petit cul et son string ficelle rouge.
- Tu vois Damien, elle porte comme tu aimes n'est-ce pas ?
-Wouah ! Tu es super Aude !
- Oui Damien, je pense effectivement que ça doit être un beau spectacle. Vient me monter si tu as la trique ?
Je m'approche de ma cousine, elle caresse mon pantalon en toile et flatte ma queue qui est redevenue très raide.
- Mais dis-moi Damien, tu ne porte pas de slip je sens bien ta queue au garde à vous.
- Et oui Aude j'ai pensé que ça serait plus sexy comme cela.
- T'as eu raison, tu as vu Jeanne comment il bande ?
- Non pas encore, montre moi ça Damien. Waouh !
Effectivement (en me tâtant ma verge au travers mon pantalon). Dis moi Aude tu lui fais un sacré effet, c'est vrai que tu es jolie et que tes sous vêtements sont très sexy. Bon allez les enfants on y va maintenant.
-Ah non Jeanne, ça ne serait pas juste. Il faut que Damien voie aussi tes sous-vêtements.
- Ça n'est pas nécessaire, il en a assez vu pour le mettre en appétit je pense.
-Oh oui Jeanne je voudrais te voir aussi.
- Aller ma tante, il n'y a pas de raison, penche toi un peu en avant.
Jeanne se penche et là Aude lui prend le bas de sa jupe et la remonte encore plus doucement que ce que lui avait fait ma tante.
-Waouh je suis impatient.
- Doucement Damien et regarde bien,
Je vois la jupe de Jeanne se relever de plus en plus, elle glisse sur ses collants, elle remonte et là, quel spectacle ! Ma tante porte des bas.
Aude lui découvre toute cette partie hyper existante entre le haut des bas et le dessous des fesses, en mettant en évidence les porte-jarretelles.
-Oh Jeanne, que c'est beau ! Que tu m'excites !
- J'en suis consciente et maintenant je pense que ça suffit.
- Ah non; il faut voir la couleur de ta culotte.
- C'est sûr.
Aude reprend la douce remontée de la jupe de Jeanne, ses fesses se sont découvertes peu à peu et là un spectacle inattendu, ma tante ne porte pas de culotte !
- Waouh tu es géniale Jeanne.
-Mais Jeanne tu es vraie petite salope, je vais faire comme toi et enlever mon string.
- Aller suffit pour l'instant.
- En tout cas je ne suis pas déçu : sortir avec 2 super manas en jupe, l'une en dim-up et l'autre en bas et porte-jarretelles les deux sans culotte, je trouve cela hyper géniale et hyper bandant.
-Vous allez me faire bander toute l'après midi et toute la soirée.
- C'est bien le but, mais je pensais que tu allais mettre beaucoup plus de temps à t'en rendre compte.
- Maintenant que tu sais comment nous sommes habillés, à toi d'en jouer en toute discrétion pour nous maintenir tous les trois en état de grande excitation.
- Sûr qu'avec vous deux autour de moi, je ne n'arriverai jamais à débander.
-On y compte bien, aller partons.
Je ne vous explique pas l’ambiance pendant le repas, les mains étaient souvent occupées sous la table, pendant tout le temps que nous avons passé au resto elles n’ont pas arrêté de me mettre la main sur le nœud, je n’ai pas pu débander un seul instant.
Je me vengeais en glissant mes doigts dans leurs chattes, elles sont si trempées que leurs chaises vont avoir de drôles d’auréoles.
Quand nous avons quitté la salle, j’ai bien vu plusieurs femmes reluquer mon pantalon complètement déformé par une érection monstrueuse, je ne savais plus ou me mettre.
Nous avons flâné en ville avant de rentrer, ça ma permis de décompressé un peu.
Une fois à la maison Aude est allé dans la salle de bain prendre une douche.
Jeanne est à côté de moi dans le divan. Je la sais sans culotte et ça m'excite, mon sexe reprend de la vigueur.
Elle l’a remarqué et sans se démonter, elle se rapproche, sort ma verge d’une main experte.
- Eh bien mon chéri, tu ne débandes plus on dirait, j'ai l'impression que j'ai éveillé ta lubricité insatiable.
Elle se met à genoux, et commence à me branler doucement.
- Ah c'est bon Jeanne, si tu savais.
- Oui mon chéri, j'imagine.
Elle prend alors juste mon gland entre ses lèvres et continue à me branler avec sa main droite.
- Tu m'excites tu sais Jeanne, j'aimerai bien voir ta chatte pendant que tu me branles.
Sans quitter mon gland ni cesser son mouvement de va et vient, elle se redresse légèrement et s’assoit sur ses talons, écarte ses cuisses et de sa main gauche retrousse sa jupe.
-Je te plais mieux comme cela ?
La vue de ses cuisses écartées et de ses lèvres entourant mon gland, m'excite terriblement.
Elle ne quitte pas mon gland au contraire elle me tète et pendant que sa main droite cadence des va et vient plus lents, sa main gauche me malaxe mes bourses.
C’est alors qu’Aude sort nue de la salle de bain observant Jeanne en train de me pomper.
-Eh bien ! Je vois que vous persévérez dans le plaisir mais moi, vous m'excluez ?
Ma tante lâche alors ma queue et se redresse doucement.
- Mais non ma petite chatte, ne t'inquiète pas, ton cousin n'était pas tout à fait prêt, alors je l'ai aidé. Il est bon tu sais, goûte !
Elle embrasse Aude rapidement sur la bouche. Etant à quelques cm d'elles, Jeanne se tourne et m'embrasse aussi sur la bouche en cherchant ma langue avec la sienne. Ensuite, ma tante a arrêté ce petit jeu en nous informant.
-Je vais aller prendre une douche rapide. Damien, vient avec moi, je ne veux pas que tu profites de ta cousine sans moi.
Je ne proteste pas, elle se met nue, Jeanne est vraiment magnifique avec ses fesses rebondies et ses gros seins fermes haut placés et aux tétons très longs.
Nous rentrons dans la douche. Ce fut bref, nous nous lavons rapidement chacun de notre côté. Parfois mon sexe cogne ses fesses.
- Allez, Damien on sort maintenant sinon je pense que tu vas rebander et il faut arrêter pour l'instant.
Je sors sans rien dire, le séchage est bref et nous sortons de la salle de bain.
Aude nous attend remuant un gode dans sa chatte.
-Tu es craquante Aude !
Ma cousine se tourne vers moi pour m’embrasser sur les lèvres en un baiser fougueux et en me murmurant d’une toute petite voix.
- Je veux que tu me prennes par derrière, je veux que tu m’encules, je veux connaître le plaisir de prendre ton gourdin dans mon petit trou mais je suis vierge de ce coté!
Je n’ai jamais autorisé un homme, même mon mari, à me sodomiser.
Elle souhaite que Jeanne soit là pour nous guider dans la perte de son pucelage anal.
- Je veux bien mais tu vas salement déguster !
Elle se retourne et met ses fesses en évidences:
-Vas-y, fais moi découvrir cette sensation dont mes copines me parlent temps!
Adaptation des épisodes 4 et 5 pour respecter la charte du site
Quatrième chapitre :
Mes deux femmes se partagent ma bite.
Résumé des 2 épisodes précédents.
Jeanne a recueilli avec son mari les enfants de ses deux beaux-frères. Aude fille de Bernard et Damien le fils de Paul.
Ces pauvres petits ont connus un drame affreux dans leurs jeunesses. Leurs parents respectifs sont morts dans un accident d’avion.
Mais les années ont passés, Aude est mariée et Damien vient de fêter ses 18 ans.
Jeanne a découvert que son neveu est doté d’une verge démesurée et a tout fait pour pouvoir en profiter. En plus c’est un amant qui se révèle très performant.
Aude, sa cousine les a surpris en pleine copulation, et à son tour a voulu sa livre de chair.
Damien ne sait plus où donner de la tête, ou plutôt de la bite entre ses deux sabines insatiables.
Récit de Damien.
Je passe pour la 1ère fois depuis deux jours une fin de nuit enfin seul dans ma chambre.
Je me demande ce qui va se passer demain après les paroles qu’ont échangées ma tante et ma cousine.
Je n’en reviens pas du changement dans ma vie sexuelle depuis deux jours, j’ai enfin trouvé deux femmes qui acceptent et apprécient ma bite, et tout ça sous mon propre toit.
Ma tante Jeanne est une très belle femme. Elle a 42 ans. 1 mètre 70 pour 66 kilos, une silhouette à damner un saint. Des jambes fines, toute en longueur, un ventre plat, et des seins énormes qui paraissent trop gros pour sa fine taille.
Des fesses rondes, bien fermes et tout aussi rebondis malgré l’âge. Elle a des cheveux longs, auburn qui lui cachent les seins lorsqu’ils sont détachés. Elle a un nez fin et une bouche aux lèvres très pulpeuses. Il y a deux jours je n’aurais jamais décrit ma mère comme ça.
Quand à ma cousine Aude, c’est une bombe de 22 ans, un peu moins grande que ma tante, dans les 1m60, blonde aux yeux verts, hyper bien roulé avec des seins et des fesses à faire bander un curé. Et pour ce qui est du sexe, elle a beaucoup « testé » avant de se marier.
A la suite de la soirée « mouvementée », nous nous retrouvons pour déjeuner tous les trois ensembles.
Jeanne et Aude en peignoir léger et moi en boxer et tee-shirt.
Autant le dire, le climat est lourd, je ne sais pas ce qui va se passer.
Par l’entrebâillement du haut de leurs peignoirs, je vois la naissance de leurs seins qui sont visiblement libres en dessous. Aux souvenirs que ça m’évoque, ma bite commence à se tendre.
Aude le remarque et fait un signe de tête à ma tante puis engage la conversation sur le sujet.
-Y a pas photo, Damien a la plus grosse que je n’ai jamais vu !
Jeanne lui rétorque entrant dans son jeu.
-Qu’est-ce qu’il a de plus gros ?
On dirait presque qu’elle veut faire semblant de ne pas avoir compris.
Elle rajoute.
-On ne va pas se mentir ni faire comme rien ne s’était passé. Damien, aussi bien pour ta cousine que pour moi dès que l’on a vu ton formidable engin nous n’avons pas pu nous empêcher de vouloir en profiter. Mais pourquoi te masturbais-tu ? Avec un tel gourdin, tu dois avoir le choix dans tes conquêtes.
Au point où j’en suis, autant dire ce qu’il y à dire.
-Je suis trop imposant pour les filles de mon âge, tu comprends ? Elles n’ont pas votre expérience et recherchent des petits amis équipés d’un modèle plus standard.
Ma tante insiste.
- Comment ça ?
Je lui rétorque assez violemment.
-Et bien !…J’ai un trop gros sexe pour que les filles apprécient et je risque de les blesser!
Jeanne c’est figé, ma cousine me regarde une lueur que je ne connais pas dans les yeux.
Je me suis emporté et je sens le rouge me monter aux joues.
-Effectivement, souligne Aude, ton défonce-cul est si gros qu’il n’est pas à mettre dans n’importe quelle main, ou plutôt n’importe quel trou !
C’est ma cousine qui ouvre le bal en déclarant directement et crûment à Jeanne quelle regarde dans les yeux.
- Ma Tante, ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la peine d’aller chercher ailleurs ce qu’on a sous la main et d’après ce que je vois Damien ne va pas tarder à avoir des problèmes avec sa queue s’il continue à bander comme un âne.
Je passe par toutes les couleurs de l’arc en ciel et baisse les yeux vers le pieu caché dans mon boxer.
On voit déjà le bout du gland pointer son nez. Sans me laisser le temps de réagir, Aude saisit mon boxer à deux mains et le baisse aux chevilles.
Sans complexe, elle attrape ma bite à pleines mains et se met à jouer sur la hampe des allers retours très lents.
Jeanne hésite un instant et se penche pour constater ce que ma cousine vient de lui dire.
Ma tante ne réagit pas, elle regarde toujours silencieusement Aude, qui les deux mains sur ma hampe a pris ce qu’elle a pu de ma queue dans sa bouche et me suce ouvertement, et elle me laisse totalement libre de lui peloter ses beaux nichons, ce qui me procure un grand plaisir.
Je sens ses tétons durcir, elle ne peut dissimuler son excitation, puis je descends ma main le long de son dos et me mets à lui caresser les fesses aussi, et je sens qu'elle frémit de plus en plus...
Tout à coup, elle n'en peut plus :
- Putain, vous m'excitez trop et après tout ce n’est pas un vrai inceste, donne la moi que je la suce moi aussi!
Elle cède enfin. Ma tante descend à hauteur de ma cousine, et approchant une main, s’empare de mes couilles en un massage électrisant puis saisit ma queue qu’Aude a retirée de sa bouche mais ne veut pas lâcher, et la plonge directement dans la sienne.
Elle se met à me sucer frénétiquement, comme une chienne en chaleur, en y mettant toute sa langue et toute sa salive.
- Alors, elle est bonne sa queue hein?... lance Aude.
- Ah oui j'adore!
Je suis soulagé de voir qu’elles préfèrent me partager plutôt que de s’étriper.
Je me rends compte de ce qu’elles veulent faire ; me branler jusqu'à la jouissance.
Jeanne a glissée une main sous le peignoir d’Aude et lui caresse la chatte mais comme le vêtement cache tout ça, je ne vois pas ce qu’elle fait.
Ma cousine accélère son mouvement et Jeanne commence à me presser les boules plus fortement.
Au bout de cinq minutes de ce traitement à deux bouches pour une pine, je les préviens alors que je vais jouir.
Ma tante ouvre et enlève à toute vitesse son peignoir en disant à Aude d’orienter ma grosse pine rougie vers ses seins. N’en pouvant plus et sentant monter mon jus dans ma queue, j’envois cinq belles giclées sur les seins et le visage de ma génitrice en braillant comme un putois et en lançant.
- Ma tante, oh Jeanne !
Ma cousine se précipite et lèche ma tante pour ne rien perdre de ma semence et la partage d’un baiser fougueux avec Jeanne.
Mon excitation retombe et je me retrouve debout contre la table de la cuisine, la queue toujours raide, le boxer sur les chevilles en teeshirt l’air un peu couillon après ce qui vient de se passer.
Je ne sais plus quoi faire et c’est Aude qui rompt le silence en disant qu’elles ont eu la crème et que maintenant il était temps de prendre le café, ce qui provoque bien sur un éclat de rire général et déstressant pour moi.
Après le petit déjeuner, Jeanne met les choses au point:
Au vu de ce qui vient de sa passer, il est inutile que je continue à l’appeler ma tante et qu’elle préfère que j’utilise son prénom. D’autre part, avec notre accord bien sûr, elle propose qu’au stade où nous en sommes il n’est plus utile de se planquer sous des vêtements et que nous pouvons nous promener nus chez nous et qu’elles prennent toutes les deux la pilule.
Je monte alors prendre ma douche et Aude vient me rejoindre quasiment aussitôt, se met nue et rentre avec moi dans la douche, nous nous lavons mutuellement en restant presque sages.
Je lui demande.
-Ca ne te gène pas de baiser avec ton cousin?
- Un peu, mais quand je vois ton engin en comparaison de celui de mon mari, je ne me maitrise plus!... me dit-elle en rigolant et en se mettant à genoux...
Là, elle commence à me sucer, en un rien de temps ma queue est tellement dure que j'en ai presque mal et le fait de la voir dans la bouche de ma cousine, avec sa langue de velours qui s'active dessus me procure un plaisir fou!
Elle me lèche la verge de tous les côtés, du gland aux couilles, qu'elle met aussi de temps en temps dans sa bouche, tout en me fixant du regard, comme une vraie pute!
Jeanne vient de rentrer dans la salle de bain et nous observe dans la douche.
- Vas-y Damien, baise la bien !
Aude la questionne.
On est ses deux putes, hein Jeanne?
- Oh oui c'est trop bon, c'est vrai qu'on est deux belles salopes, ça sert à rien de le cacher...
Je suis fière de vous les enfants, vous êtes aussi chauds que votre pute de tante!
-Allons dans ma chambre pour continuer. Suggère Jeanne.
Le bas de mon anatomie continue de subir les assauts de la bouche d’Aude mais en plus, cette ravissante salope de sa main droite me branle vigoureusement. Elle tient bien en main son « bâton de berger » et met tout son cœur à me branler.
Fatalement il arrive ce qui devait arriver, je sens ma bite gonfler encore plus et avant qu’Aude n’ait le temps de se reculer et sans que je puisse la prévenir, je libère plusieurs puissants jets de sperme qu’elle se trouve obligée d’avaler puisque je lui tiens fermement la tête.
Voyant cela, Jeanne va au-devant d’Aude pour partager à nouveau ma semence en un joyeux mélange de langues.
Je vais peut-être avoir un instant de calme.
Mais c’est mal connaître mes deux coquines, qui après quelques jeux lesbiens s’allongent chacune d’un côté de moi et leurs mains partent à la rencontre de mon corps en entretenant mon désir par de douces caresses en évitant toutefois mon bas ventre ou mon sexe est toujours raide à sa taille « habituelle », enfin pour moi.
Aude se met alors à quatre pattes sur le lit et m'invite ainsi à venir la prendre en levrette. Je me mets immédiatement à la chevaucher ainsi en limant sa belle chatte brûlante et dégoulinante de mouille.
Jeanne écarte les grandes lèvres de ma cousine pour mieux faire pénétrer ma bite et surtout mieux admirer le spectacle de ma queue dans la chatte de sa salope de nièce. Puis très vite, ma tante se place à côté d’Aude en écartant ses jambes à fond et en se mettant à se caresser la chatte.
Ma cousine, surexcitée, lui dit alors :
- Vas y Jeanne, mets toi devant je vais te lécher la chatte!
Jeanne ne se fait pas prier évidemment et avec plaisir se place ainsi en face de ma cousine, et Aude commence alors à lécher son sexe!
C'est un vrai film de cul en direct, Aude que je suis en train de baiser en levrette, lèche la chatte de ma tante, qui me regarde en gémissant de plaisir sous ses coups de langue.
- Elle est bonne la chatte de Jeanne? Dis-je à Aude
- Grave!
- Vas y bouffe moi la foufoune c'est trop bon! Râle ma tante.
- Et toi, comment tu trouves la chatte de ta cousine? poursuit-elle.
- Trop bonne! J’adore la baiser cette salope!
- Ben viens me baiser moi aussi, tu verras que t'as pas qu'une seule salope ici, t'en as deux!
Avec bonheur, je vois Aude se retirer et se placer sur le côté et Jeanne s'avancer vers moi, spontanément je saisis à pleines mains les deux gros seins de ma tante et je les serre fort autour de ma queue pour une bonne branlette espagnole.
Malgré ses gros seins, ma queue vient frapper régulièrement son menton, elle penche la tête pour accueillir mon nœud à chaque poussée.
Elle me suggère.
- Tu veux goûter ma chatte?!
Sans répondre, je me mets à lécher sa belle chatte toute chaude et toute mouillée, et avec délice je promène ma langue sur ses lèvres, puis je titille longuement avec le bout de ma langue son clito, son sexe est une vraie fontaine, elle mouille comme une folle.
De temps en temps je fourre ma langue dans sa chatte en feu, avant d'y glisser un doigt, puis deux, puis trois, et en relevant ma tête, je la branle avec trois doigts dans sa chatte tout en regardant l'expression du plaisir sur son visage.
Elle me regarde, en se tordant de plaisir et en pétrissant ses gros seins qu'elle tient fermement dans ses mains.
Je pose ma queue à l'entrée de sa grotte trempée, en frottant mon gland sur son clito, ma tante prend ma bite et la dirige à l'entrée de son orifice, après quelques secondes, j'enfonce d'un grand coup toute ma queue au fond de sa gaine de velours. Ses muscles intimes broient ma verge.
Putain! La chatte de Jeanne! Ce n’est pas bien, mais qu'est ce qu'elle est bonne!!!
Je me mets a la chevaucher de plus en plus vite, de plus en plus fort, en tenant fermement ses hanches, elle écarte ses jambes à fond!
- Oh ouiiiiiiiiii défonce moi! Encore! C’est trop bon putain!
Elle a du mal à étouffer ses cris de plaisir, sa chatte est si chaude, si mouillée, c'est irrésistible!
Je mets deux doigts dans la moule toute trempée de ma tante en même temps qu'elle se caresse le clito, et quelques secondes après, elle atteint un énorme orgasme qui la fait crier à mort, c'est plus ma tante mais une grosse chienne que j'ai en face de moi, ou plutôt c'est ma tante et c'est une grosse chienne!!!
Sans hésiter, je renfonce ma queue d'un coup jusqu'au fond de la caverne bien chaude et bien humide de Jeanne.
C'est le pied putain, à ce moment là je réalise que c'est ma tante que je suis en train de baiser!
Pendant que je m'emploie à limer la chatte de Jeanne, ma cousine lui pelote les nichons.
Aude se met alors à parler à l’oreille de Jeanne qui s’écarte de moi pour laisser sa nièce prendre « les choses en main ».
C’était le moins que l’on puisse dire puisqu'elle se saisit de ma bite et enserre la hampe dans sa main tout en me regardant droit dans les yeux.
Je m’allonge sur le dos quelque peu passif et je la vois, sous les yeux de notre tante qui n’en perd pas une miette, se mettre à califourchon au-dessus de moi tout en continuant à me branler doucement.
Elle guide mon sexe tendu vers son berlingot parfaitement rasé et promène le gland sur sa fente déjà bien mouillée.
Je sens sur mon gland la chaleur de son intimité et la seule pensée qui me traverse l’esprit à ce moment est que je nage dans le bonheur
Pendant que je défonce ma cousine comme un malade, Aude tourne sa tête vers Jeanne qui a placé sa fente juste sur ma bouche et après quelques coups de langue, ma tante se met à jouir violemment en tremblant de plaisir m’inondant le visage.
Ca m'excite tellement que je me retire de la chatte de ma cousine en annonçant que je vais jouir!
Jeanne grogne :
- Vas y chéri, mets moi tout sur les seins!
J'ai à peine le temps de m'approcher de sa grosse poitrine que de puissantes giclées de sperme s'écrasent sur elle.
Aude me nettoie alors le gland en avalant les dernières goûtes de sperme, puis se tourne vers ma tante qui est en train de se caresser frénétiquement le clito, les seins et le visage souillés de mon sperme, et lui promet :
- Attends Jeanne, je vais te nettoyer tout ça! Et se met aussitôt à lécher tout le sperme que j'avais déversé.
Jeanne reste comme tétanisée, fascinée par ce spectacle si pervers et si excitant à la fois.
Elle est là, à trente centimètres de moi, encouragé par l'audace de ma cousine et excité par ses coups de langue de plus en plus grands.
Quand elle a fini sa dégustation, Aude se tourne vers moi et s’exclame.
- Regarde son formidable chibre, il est toujours en pleine érection, c’est le seul homme que je connaisse capable de jouir plusieurs fois sans débander !
Et pour la énième fois de la matinée, leurs bouches se sont relayées sur mon nœud.
C'est une pipe très agréable qu'elles me font, longue, très longue, ma tante et ma cousine se partagent ma bite, ralentissant quand elles me sentent sur le point d’éjaculer, se l'échangent plusieurs fois, parfois l'une me suce et l'autre me lèche les couilles en même temps, c'est trop trop bon!!
Déjà que j'avais découvert que ma cousine était une vraie salope, mais à vrai dire, ce n'était pas une surprise absolue, mais voilà que je découvre là que Jeanne est aussi cochonne et qui s'est finalement laissée aller à franchir le pas de baiser avec moi!
- Vas y, faut le sucer à mort, il va bien finir par jouir, dit Jeanne à ma cousine en se penchant sur ma bite et suce le gland, elle veut du sperme dans sa bouche.
Je ne peux plus me retenir, c’est incroyable la quantité que je lui déverse dans la bouche, elle en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, mes grosses couilles ne sont pas encore vides.
La matinée s’est enfin terminée, je suis dans un état second réalisant le pouvoir que j’ai sur ces deux femmes. En un week-end pour ma tante je suis passé de son petit bébé au statut de mâle dominant et pour ma cousine de petit puceau boutonneux à étalon super-bien membré. Quel changement !
Nous nous retrouvons à midi, Jeanne nous dit que l’on va tous au resto.
- Bon, on va y aller. Mais avant il faut qu'on mette les choses au point d'accord ?
Nous nous exclamons.
- Oui ! Mais à quel propos ?
- Allons ne soyez pas faux culs. Avec ce que nous venons de faire notre vie va être différente. Ça ne va pas être si simple que cela à gérer vous savez.
-Il va y avoir un peu, voir beaucoup de sexe entre nous. Je pense que ça ne va pas durer mais ça risque de ne pas être si épisodique que cela notamment au début.
-Alors il faut respecter quelques règles d'accord ?
-D'accord Jeanne,
Aude confirme.
- oui d'accord.
- D'abord, il faut respecter les autres, surtout toi Damien, il faut que tu nous respectes, tu as des besoins peu communs pour ton jeune âge alors si je n'ai pas envie ou si Aude n'a pas envie, inutile d'insister, tu iras te branler tout seul. On ne force personne OK ?
-D'accord Jeanne. Mais si je n'avais pas un peu forcé Damien au début, rien ne se serait passé entre nous deux.
- Je sais, mais maintenant que nous avons franchi un premier pas, les choses sont plus faciles, chacun de nous doit pouvoir dire non. Il ne faut pas que nos jeux détruisent nos ménages, chacun de nous à droit à sa vie personnelle.
Si l'un ou l'une de nous, a des rapports sexuels avec d'autres on se le dit sans tabous. On se le jure ?
- Oui ma tante, on jure !
Jeanne reprend:
- Si on fait des petits jeux entre nous, il faudra toujours penser au plaisir de l'autre, il faut que l'on se serve de nos expériences incestueuses pour développer notre capacité à faire jouir l'autre le plus possible (nous les femmes) et toi Damien tu dois apprendre à devenir un amant exceptionnel d'accord ?
- D'accord Jeanne.
Aude surenchérie.
- Ce programme me plait bien.
- Bon allons sortons !
Etant près de la porte, j'ai eu d'un coup, une interrogation :
- Dites moi les filles, avant de sortir je peux vous demander quelque chose ?
-Avec tes yeux lubriques je m'attends au pire, mais vas-y on t'écoute, de toute façon si on n'est pas d'accord notre pacte fonctionne.
-Vas y je t'écoute aussi, dit Aude.
- Ben voilà, vous êtes toutes les 2 en jupes, qu’avez-vous comme sous-vêtements ?
Jeanne soulève la jupe de ma cousine et découvre la naissance de son petit cul et son string ficelle rouge.
- Tu vois Damien, elle porte comme tu aimes n'est-ce pas ?
-Wouah ! Tu es super Aude !
- Oui Damien, je pense effectivement que ça doit être un beau spectacle. Vient me monter si tu as la trique ?
Je m'approche de ma cousine, elle caresse mon pantalon en toile et flatte ma queue qui est redevenue très raide.
- Mais dis-moi Damien, tu ne porte pas de slip je sens bien ta queue au garde à vous.
- Et oui Aude j'ai pensé que ça serait plus sexy comme cela.
- T'as eu raison, tu as vu Jeanne comment il bande ?
- Non pas encore, montre moi ça Damien. Waouh !
Effectivement (en me tâtant ma verge au travers mon pantalon). Dis moi Aude tu lui fais un sacré effet, c'est vrai que tu es jolie et que tes sous vêtements sont très sexy. Bon allez les enfants on y va maintenant.
-Ah non Jeanne, ça ne serait pas juste. Il faut que Damien voie aussi tes sous-vêtements.
- Ça n'est pas nécessaire, il en a assez vu pour le mettre en appétit je pense.
-Oh oui Jeanne je voudrais te voir aussi.
- Aller ma tante, il n'y a pas de raison, penche toi un peu en avant.
Jeanne se penche et là Aude lui prend le bas de sa jupe et la remonte encore plus doucement que ce que lui avait fait ma tante.
-Waouh je suis impatient.
- Doucement Damien et regarde bien,
Je vois la jupe de Jeanne se relever de plus en plus, elle glisse sur ses collants, elle remonte et là, quel spectacle ! Ma tante porte des bas.
Aude lui découvre toute cette partie hyper existante entre le haut des bas et le dessous des fesses, en mettant en évidence les porte-jarretelles.
-Oh Jeanne, que c'est beau ! Que tu m'excites !
- J'en suis consciente et maintenant je pense que ça suffit.
- Ah non; il faut voir la couleur de ta culotte.
- C'est sûr.
Aude reprend la douce remontée de la jupe de Jeanne, ses fesses se sont découvertes peu à peu et là un spectacle inattendu, ma tante ne porte pas de culotte !
- Waouh tu es géniale Jeanne.
-Mais Jeanne tu es vraie petite salope, je vais faire comme toi et enlever mon string.
- Aller suffit pour l'instant.
- En tout cas je ne suis pas déçu : sortir avec 2 super manas en jupe, l'une en dim-up et l'autre en bas et porte-jarretelles les deux sans culotte, je trouve cela hyper géniale et hyper bandant.
-Vous allez me faire bander toute l'après midi et toute la soirée.
- C'est bien le but, mais je pensais que tu allais mettre beaucoup plus de temps à t'en rendre compte.
- Maintenant que tu sais comment nous sommes habillés, à toi d'en jouer en toute discrétion pour nous maintenir tous les trois en état de grande excitation.
- Sûr qu'avec vous deux autour de moi, je ne n'arriverai jamais à débander.
-On y compte bien, aller partons.
Je ne vous explique pas l’ambiance pendant le repas, les mains étaient souvent occupées sous la table, pendant tout le temps que nous avons passé au resto elles n’ont pas arrêté de me mettre la main sur le nœud, je n’ai pas pu débander un seul instant.
Je me vengeais en glissant mes doigts dans leurs chattes, elles sont si trempées que leurs chaises vont avoir de drôles d’auréoles.
Quand nous avons quitté la salle, j’ai bien vu plusieurs femmes reluquer mon pantalon complètement déformé par une érection monstrueuse, je ne savais plus ou me mettre.
Nous avons flâné en ville avant de rentrer, ça ma permis de décompressé un peu.
Une fois à la maison Aude est allé dans la salle de bain prendre une douche.
Jeanne est à côté de moi dans le divan. Je la sais sans culotte et ça m'excite, mon sexe reprend de la vigueur.
Elle l’a remarqué et sans se démonter, elle se rapproche, sort ma verge d’une main experte.
- Eh bien mon chéri, tu ne débandes plus on dirait, j'ai l'impression que j'ai éveillé ta lubricité insatiable.
Elle se met à genoux, et commence à me branler doucement.
- Ah c'est bon Jeanne, si tu savais.
- Oui mon chéri, j'imagine.
Elle prend alors juste mon gland entre ses lèvres et continue à me branler avec sa main droite.
- Tu m'excites tu sais Jeanne, j'aimerai bien voir ta chatte pendant que tu me branles.
Sans quitter mon gland ni cesser son mouvement de va et vient, elle se redresse légèrement et s’assoit sur ses talons, écarte ses cuisses et de sa main gauche retrousse sa jupe.
-Je te plais mieux comme cela ?
La vue de ses cuisses écartées et de ses lèvres entourant mon gland, m'excite terriblement.
Elle ne quitte pas mon gland au contraire elle me tète et pendant que sa main droite cadence des va et vient plus lents, sa main gauche me malaxe mes bourses.
C’est alors qu’Aude sort nue de la salle de bain observant Jeanne en train de me pomper.
-Eh bien ! Je vois que vous persévérez dans le plaisir mais moi, vous m'excluez ?
Ma tante lâche alors ma queue et se redresse doucement.
- Mais non ma petite chatte, ne t'inquiète pas, ton cousin n'était pas tout à fait prêt, alors je l'ai aidé. Il est bon tu sais, goûte !
Elle embrasse Aude rapidement sur la bouche. Etant à quelques cm d'elles, Jeanne se tourne et m'embrasse aussi sur la bouche en cherchant ma langue avec la sienne. Ensuite, ma tante a arrêté ce petit jeu en nous informant.
-Je vais aller prendre une douche rapide. Damien, vient avec moi, je ne veux pas que tu profites de ta cousine sans moi.
Je ne proteste pas, elle se met nue, Jeanne est vraiment magnifique avec ses fesses rebondies et ses gros seins fermes haut placés et aux tétons très longs.
Nous rentrons dans la douche. Ce fut bref, nous nous lavons rapidement chacun de notre côté. Parfois mon sexe cogne ses fesses.
- Allez, Damien on sort maintenant sinon je pense que tu vas rebander et il faut arrêter pour l'instant.
Je sors sans rien dire, le séchage est bref et nous sortons de la salle de bain.
Aude nous attend remuant un gode dans sa chatte.
-Tu es craquante Aude !
Ma cousine se tourne vers moi pour m’embrasser sur les lèvres en un baiser fougueux et en me murmurant d’une toute petite voix.
- Je veux que tu me prennes par derrière, je veux que tu m’encules, je veux connaître le plaisir de prendre ton gourdin dans mon petit trou mais je suis vierge de ce coté!
Je n’ai jamais autorisé un homme, même mon mari, à me sodomiser.
Elle souhaite que Jeanne soit là pour nous guider dans la perte de son pucelage anal.
- Je veux bien mais tu vas salement déguster !
Elle se retourne et met ses fesses en évidences:
-Vas-y, fais moi découvrir cette sensation dont mes copines me parlent temps!
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Les avis des lecteurs
un relais, ça se pratique à 4
allez voir ses vidéos, bordel!!!
je prendrais bien le témoin de ce relai, moi...
comme celui de l'avatar?
N°33: Chuuuttt! On ne dira rien pour que ça ne sorte pas du cercle de la famille.
Aaaah qu'est ce que j'aimerai être à sa place, cette histoire me fait bander comme c'est pas possible
si elles ne lui suffisent pas, je renouvelle ma proposition, je suis volontaire!!!
Elles ont de la chance, trouver sous leur propre toit une bite de cheval prête à tous leurs caprices. Mais chaque pièce a un coté pile. Il faut souffrir pour pouvoir s'enfiler un tel phallus.
Mais ça n'a pas l'air de les rebuter.
Mais ça n'a pas l'air de les rebuter.
C tellement excitant j'aimerais tellement être a la place des filles
Mmmhh le plaisir totale
Mmmhh le plaisir totale
Qu'est ce que c'est bandant ce récit.
Rudy
Rudy