Une fille toute nue, sur la toiture

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une fille toute nue, sur la toiture Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une fille toute nue, sur la toiture
On était confinés. Chacun dans son appart. C’était affaire de corona virus. Comme disait Chichi, en son temps, qui aimait bien les Mexicaines. Cinq minutes, douche comprise.
Et on était pas fiers tout seuls solitaires chacun chez soi.

Son Vélux était minuscule. Probablement le modèle d’entrée de gamme des Velux de toiture. Elle a passé la tête pour mater alentour et moi depuis ma chaise longue, j’ai regardé sa frimousse à chevelure noire de fille du sud, de fille d’ici, souriante, rigolote.

J’ai dis viens-t-en donc me rejoindre sur ma terrasse tu seras bien mieux que dans ton studio sordide et chaud. Je t’arroserai comme fleur d’été de mon jet Gardena écolo.
Cette affaire Gardena lui a bien plu et elle a passé son thorax par l’ouvrant minuscule du Vélux bas de gamme, saillante de toiture comme sirène en Méditerranée, seins comme proue en soleil couchant.

Elle a dit je suis toute nue tant il fait chaud ici, ce n’est pas bien convenable de venir ainsi chez je ne sais qui.
Moi je pensais, je suis tout nu moi aussi dans mon fauteuil de toile pop up de Lafuma imitation Airborn et ce n’est pas bien grave que d’être tous nus dans le chaud de l’été. Surtout si l’on est tout nus de concert ensemble.

J’ai dit, come on baby.

Elle était bien jolie et le fait qu’elle ait été toute nue n’avait aucune importance. Sa frimousse rieuse emportait toute autre considération.

Elle a peiné, malgré tout, à passer ses hanches en tortillant par l’ouvrant minuscule du Vélux. Moi je pensais, l’aura du mal à rentrer home après. Dans l’autre sens, tête en avant, cuisses nues sur les tuiles chaudes de la nuit. Ce sera torride, absolument torride et méritera le selfie sur Instagram.

Je pensais, le mieux sera quand même de la garder contre moi, toute la nuit durant.

Elle est néanmoins venue, habile sur les tuiles comme chatte acrobate, jusqu’auprès de moi et je l’ai arrosée de chaud Gardena et l’on s’est serrés mouillés l’une contre l’autre.
La nuit était chaude, très chaude.

Le voisin d’en dessous chagrin râlait, un peu jaloux qu’il m’ait suffi de siffler pour attirer la fille et que celle-ci soit venue. C’est pas juste, hein, que les filles viennent quand on les siffle…
Elle ne parlait pas. Moi non plus. On était ensemble à se frotter. Ma bite saillait et elle l’avait en main et la branlait tendrement. Le gland glabre humait avec ferveur les odeurs du soir.
J’avais son coquillard dans la paume, suintant de chaudes évanescences et les mille plis et replis de sa chaleur intime noyaient la pulpe de mes doigts qui n’en savaient plus qui n’en pouvaient plus. Plus du tout de rien du tout.

Le soleil se cachait maintenant derrière les toits du voisinage.

J’ai dit on ne peut aller au resto vu le confinage, alors je te propose de partager ma maigre pitance picarde. Un peu surgelée. Avec néanmoins une bonne bouteille de rosé de sables de Camargue.

Elle a voulu sucer mes doigts qui avaient fouillé ses délicatesses et s’en régalant, riait du bonheur du confinement imposé qui rapprochait tant les gens. Nous en particulier, voisins de toiture.

Elle était toute nue et me dit, n’as-tu pas dans tes armoires dans tes penderies de célibataire endurci une robe à me prêter, robe oubliée de vagabonde de passage ? Pour cacher à tes yeux ma touffe sauvage et calmer tes ardeurs.
Voisin ? Pour un souper apaisé. Aux bougies sur terrasse.

Tout en triturant intensément mon bitos tendu et décalotté, avec son air de pas y toucher.

La robe, oubliée par une amourette qui un jour passa par là et m’avait fait perdre la tête, lui seyait particulièrement.
La fille était grande et la robe montrait ses hauts de cuisse de façon impudique. Mais, moi qui savait qu’elle était toute nue, cela ne m’émouvait pas inconsidérément. Enfin pas trop, mais un peu quand même.
Surtout que sa bouille de grande gamine effrontée et riante était à croquer.
Et puis je bandais ... dans sa main chaleureuse. Quand un garçon bande, le bonheur n’est pas loin.

Elle a dit, vu qu’on est confinés, te faudra me baiser par derrière.
Tu sais faire ?
Faut voir, ai-je répondu. Probablement auras-tu à coeur de m’initier puis de me guider pour éviter toute inconvenue.

Elle rigolait, pas de bisoux sur les joues, pas de gros palots mouillés french kiss, éviter les embrassades qu’ils disent. Assurément pas de pipe non plus, surtout vu qu’avec le masque c’est nettement moins goûtu.
Alors te faudra compléter la levrette standard d’une bonne enculade. Sûr qu’on n’y perdra pas au change, ni l’un ni l’autre.
A défaut d’Anal Q, lubrifiant Durex, une longue giclée de gel hydroalcoolique sur la rondelle fera l’affaire. Si c’est bio en sus, ce sera encore mieux.

Moi je pensais, suis équipé de tout le nécessaire, on ne risque pas de manquer. Heureusement car la fille s’est pointée chez moi en promenade de toiture nue de nue sans aucun de ces impedimenta que les filles modernes se doivent de charrier avec prévoyance dans leur musette quand elles vont aux garçons. Capotes latex S, L, XL et surtout XXL, lubrifiants aqueux ou siliconés, comprimés bleus pour relancer la machine à matines, le copain en plastique noir généreux en longueur et en épaisseur pour pallier les défaillances de troisième round, l’aspirateur à bitmini pour remonter le moral après un fiasco d’amoureux, un peu Suisse un peu Belge, trop fougueusement précoce.

Et j’en passe vu qu’à trente ans, une fille ça a vu du monde et pas mal de choses itou…
Mais celle-ci s’était pointée à poil de chez poil, la bouche en coeur et le frisottis allègre sans accessoire aucun.
Et en sus prétendait à une enculade de terrasse en robe d’été d’emprunt.

On a bouffé les gambas dégelées au gril avec des gougères picardes en accompagnement. Et les photophores sur la table pour abriter les flammes des grosses bougies du léger vent chaud vespéral.

Elle avait gardé la robe saumon qui moulait son buste de tissu léger et je ne pouvais détacher mes yeux des excroissances pointues qui déchiraient le devant en pensant que la vie était bien mal faite qui interdisait actuellement de mater les tétés aux tétons pointus sur le poitrail des voisines de toiture.
Je pensais néanmoins à sa suggestion de baise par derrière et au bonheur bientôt de mes paumes sur son thorax chavirant les tourterelles chaudes que je voyais présentement danser au dessus de son assiette de gougères blondes i gambas rosées un peu cramées.

J’étais resté pour ma part en vêture d’Adam mais mon bitos avait perdu toute rigidité, un peu encore mouillé des douchages de terrasse. Mes couilles, elles aussi, étaient molles et moites.
Je pensais, par-devers moi, en toute modestie, pour souper de gambas grillées et de gougères dorées au four, a-t-on vraiment besoin de bander ?
La fille, de toutes façons, ne s’intéressait pas au problème. Mais était-ce seulement un problème ?

J’avais en tête, de la mener ensuite à ma couche et de la sauter à couilles rabattues toute la nuit durant.
Il est vrai que les nuits d’été sont courtes…
Elle, décortiquait de dents canines devant mon nez les grosses gambas roses aux couleurs sombres de grillade et ses doigts luisaient du gras des gougères dans l’ambiance photophore-bougie de terrasse petit paradis.

Finie sa dernière bouchée, elle s’est levée de table, a levé dessus sa tête ses deux mains qui tenaient les épaulettes de la robe empruntée.
Sa figure a disparu dans le tissu. On ne la voyait plus.
Mon regard a plongé sur son ventre ainsi dévoilé.
Sa touffe était plantée haut, dés le nombril, et les volutes de poils frisés descendaient en cascade noire jusqu’entre ses cuisses, camouflant comme buisson de forêt vierge les secrets de son intimité.
Elle a lâché la robe et celle-ci a glissé doucement sur ses épaules puis sur son buste et s’est lentement agglutinée sur ses pieds.
Enjambant le petit amas de tissu, elle est venue vers moi et a dit, le moment est venu, voisin, de me baiser.

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