UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT EP 09 : LE RESTE DU MONDE

Là il n'y avait aucun risque que je résiste. J'avais attendu, espéré ça depuis des mois … D'accord je ne connais Étienne que depuis cinq ou six jours mais je l'avait attendu toute ma vie … Ouai bon ça fait cinq jours que j'en rêve mais c'est déjà beaucoup. J'ai pas l'habitude qu'on me fasse attendre si longtemps moi … Et puis il faut dire qu'il était bien Étienne, vraiment bien, canon, un vrai dieux Grec de l’Égypte antique … Rien que ça !

Je le laissais m'attirer à lui et je lui simplifiais le travail, il n'avait pas besoin de tirer bien fort, je me rapprochais rapidement de lui et il ne nous fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve chacun enlacé dans les bras de l'autre.

Je sentais enfin son corps, ses muscles, sa force et sa douceur également. On s'embrassait, je savais que ma sœur allait me transformer en viande hachée avant de m'engueuler grave mais je peux vous garantir qu'à cet instant je m'en moquais complètement. Je goûtais enfin à la saveur de ses lèvres, de sa peau et à la chaleur de sa peau. La petite toison qui le recouvrait faisait un peu velcro avec la petite toison que je porte, et dans le noir je voyais les étincelles qui s'en dégageaient. Je les voyais même les yeux fermés.

On roulait l'un sur l'autre, il se retrouvait sur moi et je sentais son poids qui m'écrasait avec tendresse et douceur, il m'embrassait dans le cou, sur le torse, je lui caressais les cheveux. Je sentais ses lèvres qui se promenaient sur ma peau, je sentais sa langue qui me chatouillait et j'en redemandais. Il me caressait la queue, je bandais comme un fou.

On faisait encore un tour et je me retrouvais sur lui, je l'écrasais de tout mon poids mais sans inquiétude, je ne suis pas bien lourd et il est très costaud. Je l'embrassais à mon tour sur les épaules, je lui mordillais les tétons et lui caressais le torse ainsi que la bite. Il me massait les fesses. Il bandait encore plus que moi mais surtout c'était un peu plus gros.

De nouveau il était sur moi et me mordillait le corps en descendant la tête vers le bas de mon ventre. Je sentais ses dents qui parcouraient mon corps avec douceur et je réagissais à chaque contact. Puis il rentrait les dents au moment ou il promenait sa langue sur mon gland. Il me masturbait avec lenteur d'une main et de la bouche me suçait la queue. Je pouvais constater qu'il avait commencé jeune et qu'il avait de l’entraînement, rapidement il la suçait jusqu'à sa base. Je lui caressais les cheveux et les épaules, mes mains ne pouvaient pas descendre plus bas, j'avais envie de lui caresser le dos, les fesses mais mes bras étaient trop courts. Je relevais le torse et mes mains descendaient plus bas, jusqu'au milieu de son dos, je parvenais à lui caresser les reins et j'admirais ses fesses magnifiques que je pouvais enfin admirer de prêt. Je n'appuyais pas sur sa tête, je le laissais faire.

Il relevait le visage et me regardait, il me faisait un sourire, je l'embrassais avec passion. Je repoussais alors sur le dos et c'est moi qui lui montrais comment je m'y prenais. Elle était grosse mais j'ai l'habitude et j'ai de l’entraînement … Je l'entendais gémir de satisfaction, il me caressait les cheveux avec douceur, il me laissait faire également et n'appuyait pas sur ma tête, c'était un peu plus laborieux que pour lui mais je m'en sortais bien. Je finissais par la prendre en entier dans bouche et je la sentais s'enfoncer dans ma gorge. Je relevais la tête puis j'avalais sa queue à nouveau … Je continuais comme ça pendant un bon moment et c'est totalement essoufflé que je relevais la tête.

En m'embrassant il me retournais sur le dos, ses mains parcouraient mes cuisses et de nouveau il prenait ma queue dans sa bouche. Ça ressemblait presque à un concours ou chacun montrait à l'autre ce qu'il savait faire, ou ce serait à celui qui donnerait le plus de plaisir à l'autre … Il faisait ça bien, quand je l'avais vu avec Hélène je n'aurais jamais cru que ça se terminerait comme ça avec lui … Mais pourquoi je pense à Hélène moi ? Surtout à un moment pareil !

Je prenait sa tête entre mes mains, mais pas pour le guider, juste pour suivre son mouvement. Il relevait la tête, et remontait vers mon visage en me couvrant de baisers et de douceur. Je gardais mes mains sur ses joues, puis sur ses épaules et nous partagions de nouveau un baiser plein de passion.

Étienne : Tourne toi !

Pour seule réponse je le regardais dans les yeux, puis je me retournais sur le ventre, je commençais déjà à respirer fort, j'écartais les jambes. J'avais tellement envie … J'avais un peu peur aussi … S'il était violent il était suffisamment bien armé pour pouvoir blesser quelqu'un mais … J'en avais tellement envie … Et je lui faisais confiance, je faisais confiance à la douceur qu'on partageait depuis un moment déjà … Et puis j'en avais tellement envie !

Il m'embrassait sur le dos, me couvrait de baisers et d'une main je le sentais qui me lubrifiait le cul. Il valait mieux si on voulait que ça rentre … Et on le voulait ! J'écartais les cuisses un peu plus, il me glissait un doigt dans le cul, je poussais un léger gémissement. Face à ce succès, il me le rentrait en entier et progressivement l'agitait doucement puis plus vite. Il y glissait un deuxième doigt. Je gloussais de plaisir et l'invitait à continuer … '' Vas y c'est bon ! ''. Il faisait le même chose et régulièrement rajoutais du lubrifiant …
Il plaçait ses genoux entre les miens, et je devinais qu'il se lubrifiait aussi la queue. Je fermais les yeux et déjà je respirais fort. Il s'allongeait sur moi, sa queue appuyait sur mon cul, juste sur mon anus et déjà il commençait à pousser. Je me détendait, je détendais mon anus de toutes mes forces, il poussait plus fort, je ne résistait pas, il poussait encore, je me dilatait doucement, il entrait lentement, je poussais un cri étouffé dans un grand soupir. Je sentais un baiser dans mon cou !

Je tournais ma tête et nous deux bouches se retrouvaient, il continuait à s'introduire, je gémissait fort maintenant et mon souffle était bruyant, chacune de mes respirations se terminaient par un râle. Douleur, plaisir … Un peu les deux mais surtout du plaisir, un plaisir qui me remplissait rapidement, intensément, je gueulais mais je ne lui demandais pas d'arrêter. Quand il arrivait bien à fond, il donnait un léger coup de rein puis il appuyait de toutes ses forces. Je gueulais, je hurlais, je gémissais et mes cris se terminaient par des sanglots dans la voix.

Étienne : Ça va ?
Moi : ( En sanglots, en larmes, je lui gueulais ) Oui vas y défonce moi le cul !

Il se retirait doucement, puis revenait un peu plus vite que la première fois. Il se retirait de nouveau un peu plus vite et revenait. A chaque mouvement il accélérait le mouvement, il faisait une pause pour lubrifier de nouveau. Je redoutait la suite. Il reprenait alors le mouvement un peu plus vite et encore avant de se lâcher. Il appuyait alors de tout son poids sur mon cul, le matelas amortissait le mouvement, puis se relevait et ressortait alors presque complètement sa queue de mon cul, je rebondissait sur le matelas.

Rapidement je ne contrôlais plus rien, je jutais mais le plaisir venait de la prostate, c'était un plaisir à la limite de la douleur, c'était l'extase. Je tremblais, je ne commandais plus les mouvements de mes bras et je criais, et je hurlais … '' Non j'en peux plus !'' … Et continuais par … '' Oui c'est bon ! '' … '' Arrête tu vas me tuer !'' … '' Encore c'est bon ! '' …
Il ne m'écoutait plus il y allait, il se lâchait, je sentais encore une certaine douceur, il était attentif à mes réactions … Il se laissait tomber sur moi de tout son poids, et ne bougeait plus que son bassin, sa queue entrait, sortait. Je n'avais plus de souffle mais je ne demandais pas grâce, j'encaissais ! Moi quand je défonce un cul je me lâche, j'aime bien entendre gueuler les mecs que j'encule mais là je ne faisais pas semblant. Je gueulais, je gueulais mais je ne simulais pas … C'est la folie !

C'était à son tour de gémir de plus en plus fort, il ne ralentissait pas ses mouvements. Je le sentais qui commençait à trembler et finalement il poussait un cri de jouissance dans mon oreille, mais à cet instant ça ne me m'inquiétait pas de devenir sourd … Il jouissait dans mon cul et me balançait quelques mouvements du bassin , c'était les derniers. Je gueulais car là il me faisait mal. Finalement il ne bougeait plus et se laissait tomber sur moi ! Il respirait fort, moi aussi. Il semblait détendu, moi aussi. Il était amorphe, moi aussi. Il avait joui, moi aussi. Il n'avait pas mal au cul, moi si !

On restait un moment comme ça, sans bouger. J'avais mal au cul ! Il me donnait des baisers dans le cou, sur les épaules. J'avais mal au cul moi ! Enfin il se relevais et se retirait, ça faisait tout drôle quand il se retirait totalement mais j'avais toujours mal au cul ! Il se laissait tomber sur le dos à côté de moi. Je ne bougeais pas. Il approchait sa main et je posais ma joue dessus en tournant la tête vers lui. Je lui donnais un baiser dans la main et le regardais en souriant … J'avais mal au cul mais je m'en moquais !

La fatigue se faisait sentir, je me blottissais dans ses bras et on s'endormait.

Le lendemain matin nous étions réveillé par le chant des oiseaux … Le vent faisait un bruit léger et reposant dans les feuilles, c'était calme. J'adore la campagne moi ! Je me sentais chez moi. Étienne dormais encore, j'étais toujours dans ses bras, je lui caressais doucement la fourrure, la douce et fine fourrure qu'il avait sur le corps, j'arrivais rapidement à sa queue qui grossissait au moment ou je la touchais. En tout cas on ne remet pas ça ce matin nous … J'avais mal au cul !

Il finissait par ouvrir les yeux, me souriait …
Moi : Bien dormi ?
Étienne : Super ! Et toi ?


On se levait, j’attrapais mon short qui était à côté de moi et il me disait … '' Laisse tomber ! ''. Je ne comprenais pas tout de suite de quoi il parlait mais je le voyais sortir de la tente à poil, j'admirais toujours cette grosse bite, bien lourde, bien grasse et terriblement impressionnante. J'avais mal au cul et ça me rappelait que la veille au soir je me l'étais prise bien à fond … Je le suivais, à poil aussi, il courait vers le lac et me faisait signe de le suivre, c'est ce que je faisais. On se retrouvait dans l'eau, on plongeait, on nageait, on s'arrosait, j'étais bien, j'étais avec mon mec !

C'est un bon moment plus tard quand on est revenu au campement, j'allais chercher du bois, l'idée de couper un arbre était loin et je ne portais que mes chaussures. Je revenais avec du bois plein les bras, il allumait un feu pour faire chauffer l'eau.

Moi : Au fait on va manger quoi ce midi ?
Étienne : Regarde ça. ( il me montrait une bobine de fil )Moi : Oui et bien ? C'est une bobine de fil de nylon !
Étienne : Et ça ?
Moi : Ça c'est un crochet, fait voir !
Étienne : Non n'y touche pas tu vas te faire mal ! C'est un hameçon !
Moi : Et on va manger ce truc ? Moi j'y goûte pas on dirait que ça pique !
Étienne : Bon ! … C'est pas grave, je vais te montrer, tu es un garçon futé, tu vas comprendre …Moi : Bon ça ne me dit pas ce qu'on va manger … Si on commandait une pizza !

Étienne pouffait de rire ce qui me laissait supposer que je venait de dire une connerie … Je regardais autour de moi et je dois dire que en effet je concluais que je venais de dire une connerie … Mais moi je sens que je vais avoir faim et quand j'ai faim je suis ronchon …
On prenait un café et Étienne préparait une sorte de sac fait avec un filet de pêche et là … Filet de pêche, hameçon …
Moi : Oué j'ai compris ! On va pécher du poisson !
Étienne : Je savais bien que tu étais un petit malin toi !
Moi : C'est gentil ça tu es trop mignon !

Et c'était parti, il me donnait une sacoche avec quelques trucs dedans …
Moi : Mais dis moi, pourquoi on n'a pas emmené d'eau ?

Il me regardait sans rien répondre.

Moi : De l'eau … Pour boire …Étienne : Tu as vu ou on est ?
Moi : A côté d'un lac ou on va pêcher des poissons … Étienne : Oui et dans un lac il y a …Moi : Des poissons ?

Il rigolait …
Moi : Je sais pas moi, des canards ?
Étienne : Tu es grave toi ! Il y a de l'eau !
Moi : Mais on va pas boire l'eau ou nagent des poissons ! … Si ?

Il rigolait tellement qu'il n'arrivait même plus à me répondre.

On trouvait un coin tranquille ou on pourrait se mettre à l'ombre plus tard, il préparait la ligne, je m'installais au soleil, il était tôt et il faisait encore un peu frais aussi je préférais le soleil. Je regardais le flotteur au milieu du lac. A un moment le flotteur disparaissait sous l'eau, je sursautais et faisais signe à Étienne, tranquillement il attrapait la ligne, et tirait dessus … Je venais de voir pécher un poisson en directe. C'est que je ne savais pas comment on faisait ça moi !

Le poisson j'aime bien mais d'habitude il arrive tout cuit dans mon assiette ! J'étais épaté, je surveillais la ligne moi même après, il m'expliquait, ne pas tirer trop fort mais suffisamment tout de même. Avant la fin de matinée on avait cinq beaux poissons dans le filet, j'avais bien un peu de peine pour eux mais je pensais à mon estomac.

Plus tard de retour au camps, c'était la cuisson … Je découvrait qu'on pouvait faire cuire des poissons dans du feu, enfin sous les braises … Ça me paraissait bizarre au début mais c'était bon … Miam … Il avait prévu des légumes déshydratés et je mangeais de bon cœur. Le grand air ça creuse … Le reste de la journée je me disais que finalement je m'installerais bien là …
Le reste de la journée, on s'amusait dans l'eau, on nageait. Je plongeais au fond du lac, l'eau était pure et il y avait une grande visibilité, je voyais des poissons et … Des crabes … !

Moi : Eh il y a des crabes, c'est pas normal on n'est pas à la mer …Étienne : Ce sont des écrevisses, attrape en si tu peux, ça se mange et c'est super bon !

Il est marrant … Attrape en qu'il dit mais il aurait aussi pu me dire que ça mort c'est bêtes … Enfin ça pince mais c'est pareil … Ça fait mal ! Mais bon je suis courageux et j'en attrapais un bon paquet … Je confirme c'était rudement bon ! Le soir on s'est régalé.

On s'est aussi détendu en ne faisant rien … Un petit câlin quand même … J'étais au paradis.

Moi : Je veux m'installer ici ! Je ne rentre pas à la maison !
Étienne : Toute l'année ?
Moi : Ouaip ! Toute l'année. On est trop bien ici !
Étienne : Oui mais on est en été.
Moi : Et alors …Étienne : Ensuite il y a l'automne, c'est vrai que c'est joli, les feuilles tombent, les couleurs de l'automne sont belles aussi mais il fait plus frais …Moi : Oui mais c'est beau l'automne, j'ai vu des photos …Étienne : Dans des livres ?
Moi : Dans des livres ! Mort de rire ! J'ai pas ça chez moi ! Non j'ai vu des photos sur Internet … Étienne : Ensuite il y a l'hiver … Tu as vu des photos aussi.
Moi : Oui ça aussi c'est super beau !
Étienne : Mais c'est froid ! Tu t'imagine le pieds dans la glace, le lac gelé, la prairie couverte de neige, la tente sous la neige et là tu n'as pas le chauffage central !

Je me contractait et j'en profitais pour me blottir dans ses bras …
Moi : Tu as raison, mais je reviendrai !


Moi : Au fait on est ou ? La voiture elle est de quel côté du lac ?
Étienne : La voiture elle n'est pas par là. C'est un autre lac, c'est pas celui ou il y avait l'île quand on est arrivé.

Je me redressais et le regardais. Il m'expliquait qu'on était monté en altitude à quelques centaines de mètre plus haut, d'un côté le lac était alimenté par une rivière et de l'autre il y avait une chute d'eau qui se déversait dans le premier lac … Là ou nous étions arrivé …
Dans les jours qui suivaient, on se faisait beaucoup de câlins, les nuits étaient chaudes dans ses bras et les jours étaient doux, la chaleur était facile à supporter sur les rives fraîches de ce lac … Il y avait de la nourriture à volonté, je devenais un expert dans la chasses aux écrevisses, au fait on les chasse ou on les pêche ? Enfin moi je les attrapais avec mes mains …
Ça faisait une bonne dizaine de jours que nous étions installés dans ce campement et nous n'avions vu personne. Je commençais à oublier le reste du monde.

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