Vacances à poil 06

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances à poil 06 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Vacances à poil 06
Vacances à poil 06


Venait le temps du bilan.

Dès le lendemain on se retrouvait tous les quatre sur la terrasse du bar.

–Je me suis renseigné, commençait Greg, il faut plusieurs semaines pour récupérer les clés.
– Ils ne les ont pas ici ? Demandait Robert !
– Et si on est déjà repartis ? Et si les vacances sont finies ? Et si on veut retirer le truc ? Et si … Et si … paniquait déjà François.
– C'est pas la peine de paniquer, continuait Greg, on ne peut rien faire.
– Oui mais, oui mais, oui mais … continuait François.
– Il ne nous reste plus qu'à nous détendre et à passer un bon séjour. Il faudra faire une demande pour avoir les clés, sur chaque cadenas il y a un petit numéro de série. Il suffit de le donner, avec notre adresse, le reste se fera tout seul.

Vous imaginez bien qu'on a pas traîné, sitôt dit sitôt fait. Je notais tous les numéros de série, le nom du porteur et son adresse. Je demandais les documents à remplir et je m'occupais de toutes les formalité.

Mes camarades étaient déjà repartis pour la plage. Finalement on s'habituait. On s'occupait normalement, au moins là on passait inaperçus. Le bar était calme dans l'après midi, Je restais à discuter avec Josh, il connaissait mon problème, lui aussi était verrouillé.

– Tu n'as pas de problème pour supporter ton dispositif , Lui demandais-je.
– En fait non ! Le dispositif n'est pas douloureux, et ne gêne pas trop non plus.
– Oui mais pour …
– Et bien si tu ne peux pas te branler et jouir, tu ne peux pas te branler ni jouir. C'est tout !
– Je reste dubitatif. Lui répondais-je.
– Tu verras avec un peu de temps, tu t'y feras. On m'a dit que certains au bout d'un certain temps ne veulent même plus le retirer.

Il me montrait un couple qui arrivait vers nous. Ils devaient avoir la trentaine, pas plus. Le monsieur avait un corps parfait, mince et musclé, il avait une très bonne tête et un large sourire, un chapeau pour le soleil et des lunettes pour le soleil aussi. Il portait un dispositif de chasteté d'un modèle un peu plus élaboré que le notre.

Sa femme une très belle femme, elle aussi portait un chapeau et des lunette de soleil le suivait, elle regardait distraitement l'affiche des boissons proposées.

– Salut Josh, ça se passe bien.
– Salut Damian. Lui répondait Josh en lui faisant la bise.

Josh nous présentait. Il faisait aussi la bise à Sophia, c'était un rayon de soleil cette fille, je remarquais ses cheveux blonds quand elle réajustait son chapeau.

– Alors tu portes toujours ton dispositif.
– Tu as vu ça, j'en ai changé. C'est un modèle céramique que mon bébé m'a offert pour fêter l'anniversaire de notre rencontre.

Il s'était assis sur ces sièges très hauts qu'il y avait au bar, elle se collait à lui, il passait une mains sur sa taille, la caressait, remontait sa main jusqu'à son sein. Elle glissait doucement la sienne sur sa cage et lui tripotait doucement les couilles.

– Pas de risque d'une réaction déplacée ! Me disait-elle en me regardant droit dans les yeux avec un rayon de coquinerie qui éclairait son sourire.
– C'est elle qui a la clé ! Rajoutait-il.
– Vous vous êtes bien rencontrés ici !
– Oui ça fera cinq ans le mois prochain. Répondait Damian.
– Il portait déjà son dispositif. C'est ce qui m'a séduit chez lui. Un homme qui accepte de mettre ainsi entre parenthèse sa virilité est forcément quelqu'un de précieux.
– A la fin de la saison je lui avais déjà donné mes clés.
– Nous nous sommes revus, puis nous ne voulions plus nous séparer. On a fini par se marier presque deux ans plus tard.
– Et c'est là, le soir de nos noces que je l'ai libéré.

Je les regardais avec de grands yeux, c'est vrai qu'ils étaient agréables à regarder l'un comme l'autre. Mais ce qui me faisait réagir c'était …

– Presque cinq ans ! M'exclamais-je.

Ils éclataient de rire, elle se retournait vers lui et ils s'embrassaient avec passion. Je sentais ma queue protester. Ça ne faisait pourtant pas bien longtemps qu'elle était enfermée et normalement ça n'aurait pas du me gêner et lui cinq ans …

Mais vous savez quand on vous dit qu'avec le temps ça devrait devenir plus difficile à supporter, on m'a aussi dit le contraire. Le manque peut se manifester après plusieurs jours mais il peut aussi se manifester après seulement quelques secondes. C'était mon cas.

La dame s'appuyait sur la cuisse de son mari, sa main glissait entre sa cuisse et son sexe. Je bandais comme un malade, là il n'y avait pas de doute sans ma cage, je n'aurais pas été présentable. Mais là, j'étais le seul à me rendre compte de quelque chose. Je baissais les yeux et tout était normal, ma queue était bien sûr un peu gonflée dans sa cage, elle tentait de déborder, mais c'était pas vraiment nouveau tout ça. Et c'était pas pire que d'habitude.

– Et elle te le retire souvent ?
– Ça dépend ! Me répondait-il.
– Très souvent ! Me répondait-elle.

Il y avait comme une différence de point de vue.

– On a prévu de ne pas l'ouvrir de toute la saison. Rajoutait-elle.

Le gars gardait son sourire, il ne répondait pas, il continuait à caresser la hanche de sa femme et je pouvais voir sa cage se redresser. Sa queue aussi protestait, mais toujours, comme il convient, avec discrétion.

– Et tu arrives à te priver de sa queue ? Demandais-je à la dame.
– Mais bien sûr, il a une langue. Et le jour ou je vais lui offrir à nouveau mes charmes, je peut te garantir qu'il fera tout pour me faire plaisir.

Il regardait sa femme avec une tendresse extraordinaire, il passait sa langue sur ses lèvres mais là je ne savais pas si ce signe m'était destiné ou uniquement destiné à sa femme.

Un peu plus tard ils se sont relevé pour repartir vers la piscine. Je les regardais, les deux corps étaient incroyablement beaux mais c'était celui du monsieur que je regardait et ma queue continuait à se faire remarquer.

Josh devinait ce que je ressentais et il se marrait le con.

– C'est malin ! Lui faisais-je remarquer.
– Bein quoi ? Ta cage se relève toute seule, tu transpires, tu trembles, je t'imaginais seulement à baver devant la fille … ou le mec.
– Non mais tu as vu ça, il est beau comme un dieu.
– Oui mais nous ne pouvons rien en espérer, ni toi, ni moi ! Me répondait-il en montrant sa cage avec la main !

Plus tard je retrouvais mes amis à la plage. N'allez pas vous imaginer que ça me détendait. Je les voyais courir s'amuser avec une balle. Les corps élancés bougeaient avec souplesse. Les paquets constitués par la cage se balançaient. Leurs couilles glissaient sur la peau des cuisses et on devinait les caresses.

L’absence de leurs queue semblaient étranges, oh elle n'étaient pas bien loin les queue mais on ne les voyaient pas ou presque pas. Les petites cages qui les confinaient laissaient apparaître de grosse couilles, plus grosses que la normale, qui enveloppaient et faisaient disparaître les petites bites.

Je bandais, je bandais encore plus. Rien ne me calmait, la chaleur du soleil me caressait le corps, une fille que nous avions rencontrée, se glissait tout contre moi. Je frissonnais à ce contact. Sa peau était douce et brûlante. Elle passait sa main sur mon torse, sans pudeur sa main descendait jusqu'à ma cage et continuait sur mes couilles.

Tout mon corps s'est contracté alors. Ma queue n'en pouvait plus de tenter de se redresser, elle ne manifestait plus, enfin si peu de chose se voyaient jusque là, maintenant plus rien ne se voyait. Elle savait ce que je ressentais. Elle savait que le manque me torturait, elle s'en amusait.

Allongé sur le sable, une main sur le sexe, même si ce n'est pas son propre sexe … Ce n'est pas scandaleux si on ne remarque rien, s'il n'y a pas d'érection c'est tout à fait normal. Dans ce genre d'environnement la femme a toujours le beau rôle.

L'homme seul peut très facilement tomber dans la vulgarité et la provocation.

Je vous jure qu'au bout de quelques jours, ça me manquait de ne plus pouvoir tomber dans la vulgarité et la provocation.

Je laissais faire la petite, elle voulait m'utiliser comme un oreiller, je la laissais faire et j'en profitais pour poser une main sur sa poitrine. Je lui caressait son sein tout doucement, elle semblait apprécier et par moment me tâtait les couilles. En fait j'appréciais et je la laissais faire.

Quand on est remonté de la plage j'étais dans un état, je ne vous dis pas. Je vous jure que si la cage n'était pas aussi solide, elle aurait explosée. Je tremblais de désir, ce n'était plus seulement un désir, c'était devenu un besoin. Un besoin impérieux !

Je cherchais même mes vêtements … C'est dire, je ne savais plus ou j'étais.

On se retrouvais au restaurant, trois des filles nous avaient rejoint. Elle s'amusaient les petites, elles aimaient bien le contact physique. Quand elles se retournaient, elles n'évitaient pas de nous caresser avec leurs seins qui passaient par là, par hasard, juste à porté de peau. Ou alors c'était une main qui glissait sur notre cuisse, entre les cuisses, sur une grosse paire de couille qui n'avait rien demandé à personne.

A la fin du repas on se retrouvait tous dans un état de tension sexuelle intense mais le soirée ne faisait que commencer. Le soleil se couche très tard en été, on traînait sur la plage, on regardait le soleil disparaître derrière l'horizon, peut être espérait-on voir le rayon vert.

On flirtait, on se trouvait un coin tranquille, ou seulement isolé, on se prenait dans les bras, on s'embrassait, on se caressait, on se pelotait. Une fille, toujours la même, aimait particulièrement me tripoter les couilles. Je la laissais faire, elle me laissait lui caresser les seins. Mais moi, je n'avais pas le droit de glisser mes mains entre ses cuisses.

Je voyais du coin de l’œil mes camarades faire comme moi, flirter, se glisser contre le corps d'une jolie fille. Il y en avait plein. Quelquefois entre des rochers, on voyait l'ombre d'une silhouette féminine, parfois on voyait une silhouette masculine.

De profil c'est quelquefois facile à différencier.

Il était beau, son ventre était plat, ses fesses étaient rondes. Ce n'était pas seulement une silhouette, il me faisait bander. Je savais que ce n'étaient pas seulement les caresse de la fille qui me tenait dans ses bras car brusquement je bandais plus fort, enfin j'essayais. Il me regardait, me souriait son sexe se relevait avec vigueur, mais quand le corps de cette fille qui l'accompagnait se collait contre lui, ce n'était plus qu'une étreinte. Il n'y avait plus aucun moyen de savoir s'il portait, comme moi, une cage à bite ou pas.


A suivre


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