Vacances entre amis - histoire érotique

Je m’appelle Julie, mariée depuis 3 ans avec Samuel. On s’est connu en 1ère année de fac et on ne s’est plus quittés.

On attend un peu avant de faire un enfant et on profite de la vie. On sort dès qu’on le peut et on a un cercle d’amis avec qui on s’entend particulièrement bien. Je pense qu’on peut nous qualifier de jeune couple BCBG.

Sans vouloir me jeter de fleurs, je suis une jolie fille, cheveux châtains clairs, ondulés. Je mesure 1.68m pour 54 Kg. D’après mon mari, mes formes sont parfaites et que j’ai, un charme naturel qui fait craquer les hommes. Je me fais d’ailleurs souvent draguer quand on sort mais Sam a une totale confiance en moi et il a raison.

Pour sa part, il fait 1.75m, 68Kg. On nous dit bien assortis et je sais que lui aussi plait aux filles.

Sexuellement, on s’est toujours bien entendus. Pas d’excentricité entre nous mais nous sommes comme ça. Nos jouissances sont fortes. On s’aime passionnément.

Il nous est arrivé, il y a un an maintenant une aventure à laquelle ni l’un ni l’autre n’étions préparés.

C’était le début de l’été. On est partis  avec nos  6 amis les plus proches pour  1 semaine et ½ en vacances près de Toulouse, dans une jolie maison avec piscine. Nous étions 3 couples et 2 copains célibataires.

La première semaine a été faite de sorties, de barbecues et de balades plus intimes pour chacun des couples.

Le dimanche, 2 couples d’amis sont partis avec l’un des 2 célibataires car ils reprenaient le travail. Nous avions décidés de rester 7 jours de plus et Marc, entre 2 boulots, n’avait rien de prévu alors il est resté.

 
Je vais vous présenter Marc. Marc est l’ami de mon mari depuis toujours. C’est un gars qui a la bougeotte, que ce soit pour le travail ou pour les filles. Il se lasse vite. Depuis que je le connais, notre amitié est la seule chose stable dans sa vie.

Marc est un athlète, 1,90m, musclé sans être bodybuildé. Il plaît énormément aux filles, sort beaucoup et multiplie les conquêtes. C’est un beau mec, sûr de lui et de son charme. Sam ne l’a jamais vu comme une menace pour notre couple bien que je n’ai pas caché que Marc était, à mes yeux également, un très beau mec.

Le lundi après-midi, Sam et Marc sont allés faire un tennis pendant que j’en profitais pour faire du shopping.

Je ne suis rentrée que vers 18h30 et ils avaient bu pas mal de bière en m’attendant. On s’est ensuite mis à l’apéro. Un verre en entraînant un autre, Marc était passablement bourré et Sam, était plutôt gai. Ils ont de toute façon l’alcool joyeux l’un comme l’autre donc ça ne me dérangeait pas.

Je m’amusais de leurs blagues et discussions plus qu’osées puis on a mis de la musique et on a dansé un peu.

Je ne sais pas comment c’est venu mais on a parlé d’un bain de minuit. Avant que j’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, Marc et Sam étaient nus. Marc a plongé dans l’eau rapidement mais j’ai quand même eu le temps de voir notre ami dans son plus simple appareil et j’ai senti mes joues rosir immédiatement.

Ils ont nagé un peu puis sont sortis, faisant comme s’ils allaient se sécher mais ils ont couru vers moi et m’ont jetée à l’eau avec eux.

Je ne portais ce soir-là qu’un short en jean court et un petit haut, moulant bien ma poitrine et ma taille fine. L’eau a rendu ma tenue aussi indécente que si j’avais été nue.

On s’est chamaillé dans l’eau un moment puis on est sortis. Tout en se chamaillant, quelques effleurements naturels et sans arrière-pensée avaient eu lieu entre moi et Sam et entre moi et Marc. Marc était totalement bourré mais visiblement pas assez pour ne pas avoir réagi à la vue de mon corps moulé par mes habits trempés.

Il avait du mal à marcher vraiment droit. En tout cas, bien moins droit que son sexe. Je suis devenue toute rouge et je n’ai pas quitté Marc des yeux jusqu’à ce qu’il rentre dans la maison.

Sam et moi, on s’est regardé en éclatant de rire.

Mon mari m’a charrié un peu sur le fait d’avoir autant détaillé Marc du regard  mais il ne pouvait pas m’en vouloir. En plus d’être beau et bien bâti, Marc a été particulièrement gâté par la nature (détail qu’apparemment Sam connaissait depuis déjà longtemps)
Sam m’a enlacé au bord de la piscine. J’étais pleine de désir et la vision de Marc nu n’y était pas pour rien. C’était passionné. Sam m’a déshabillée et pénétrée. Mon sexe était bouillant.

-          Tu as aimé le voir bander hein ?

-          ….

-          Tu as vu son désir pour toi ?

-          Oui.

-          Il avait envie de toi ! De te faire l’amour, de te baiser même certainement.

-          HAAAN ! C’est toi que j’aime !

-          Mais tu as aimé voir son sexe dressé pour toi ?

-          Oui
-          Son gros sexe !

-          Oui, si gros ! OOHHHH ! OUI !

Sam m’a alors chuchoté à l’oreille :
-          Ça pourrait être lui en ce moment
Cette petite phrase a déclenché mon orgasme et le sien par la même occasion. En ramassant nos affaires, j’ai vu du coin de l’œil un rideau bouger faiblement dans la maison.  Marc avait dû nous regarder faire l’amour.

On est rentrés et on s’est allongés.

-          Alors Julie. C’était bon hein ?

-          Oui, très bon !

-          Je t’ai trouvée particulièrement excitée. Tu avais vraiment très envie. Je soupçonne même ne pas être le seul responsable de ton désir.

-          Tu dis n’importe quoi. Je t’aime. J’avais très envie de toi.

D’ailleurs le désir était toujours présent et j’avais repris son sexe dans ma main et le branlais doucement.

-          Je n’en doute pas mais sois franche. Marc est un beau mec et j’ai bien vu ton regard sur lui. Il ne te laissait pas indifférente non plus.

-          D’accord, c’est vrai. Il bien foutu comme mec. Ça te va ?

-          Oh, je ne t’en veux pas. C’est normal….. Comme ton regard sur son sexe !

-          …. Ben oui, j’avoue. C’est un sacré morceau. Certaines copines à lui m’en avaient déjà parlé. J’ai pu constater qu’elles disaient vrai. C’est tout.

Sam n’a pas à rougir de son sexe. En tous cas, je n’ai jamais eu à m’en plaindre. Son sexe fait 14-15 cm, pas fin ni gros et il est toujours prêt m’honorer et à me donner du plaisir. Mais en effet, le sexe de Marc était vraiment plus long et pour un diamètre qui m’a paru impressionnant en érection, très légèrement courbé vers le haut et avec un gros gland très « appétissant ».

On s’embrassait, on se caressait. Mon sexe était à nouveau bien trempé.

-          C’est tout ? Même pas un début de fantasme ou une pulsion ? Rien que je devrais savoir ?

-          …..

-          Alors ?

-          Eh bien en fait, quand on était dans la piscine et qu’on se bagarrait dans l’eau, son corps s’est collé plusieurs fois à moi. Tu l’as bien vu.

-          Oui
-          Il bandait déjà fort à ce moment-là. Et il a même volontairement pressé son sexe contre mes fesses à un moment. Marc était bourré alors je n’ai pas réagi pour ne pas créer de problème.

-          Je ne m’en suis même pas aperçu !

-          Tu étais devant moi et tu tenais mes mains.

-          Et ça t’as excité ?

-          Ben, il me tenait par les hanches pour me maintenir fermement et te laisser le champ libre pour m’embêter. Du coup, il était vraiment collé à moi… Et toi tu laissais faire. J’étais quand même entre 2 beaux mecs. Je ne suis pas de glace ! D’ailleurs, à force de parler de ça, tu ne voudrais pas t’occuper de moi ?

-          Et Comment ma puce !!

On a fait l’amour très tendrement. C’était parfait, très bon.

Le lendemain matin, la tension était palpable au petit déjeuner mais elle est vite tombée. Sam est parti avec Marc faire quelques courses et quand ils sont rentrés, ils ont dû penser que j’étais partie en balade car ils ne m’ont pas cherché et se sont installés sur la terrasse pour parler. J’étais en train de me changer et je les entendais discuter par la fenêtre de l’étage. Marc s’est excusé de sa conduite de la veille. Sam lui a dit ensuite qu’il ne lui en voulait pas, que l’alcool n’avait pas arrangé les choses.

-          Marc : Tu sais, il y avait l’alcool, c’est sûr, mais Julie est vraiment très jolie et je l’ai toujours trouvée désirable. Tu es depuis tellement longtemps mon meilleur ami que je te dis ça sans aucune arrière-pensée.

-          Je sais bien que ma femme est splendide tu sais.

-          Puisqu’on en est aux confessions, ne m’en veux pas mais il m’arrive de temps en temps d’avoir des érections quand je pense à ta petite femme.

-          Tu crois que je ne vois pas tes regards ? Bien sûr que je sais ce que tu penses d’elle. Tu m’as souvent dit que si je n’avais pas mis le grappin dessus, tu aurais tout fait pour être avec elle.

-          Pas en tant que couple, tu le sais bien…. Mais physiquement….

-          A ce point-là ! …. Le petit cochon ! D’ailleurs…. J’ai eu l’impression que tu t’es bien rincé l’œil. Tu as tout vu ?…. Le spectacle t’a plu hier soir ?

-          Oui, c’était bien mais j’étais un peu loin et je n’ai pas osé ouvrir la fenêtre. Je n’avais que les images mais je dois avouer que je t’enviais beaucoup. Tu ne m’en veux pas d’avoir joué les voyeurs ?

-          Non, j’aurais fait pareil. On était super excité hier soir. Et je vais te dire une chose. Julie ne pensait pas qu’à moi hier soir !

-          Qu’est-ce que tu veux dire ?

-          Ne fais pas l’innocent. Tu te balade à poil devant ma femme, tu lui montre ton gros machin et tu vas me faire croire que tu n’avais pas envie qu’elle le voie ?

-          Bon, ça m’a amusé, c’est sûr. Mais c’était pas du tout intentionnel. J’étais juste bourré c’est tout. Sinon, ça n’aurais pas été aussi loin.

-          Je ne suis pas du genre à faire des complexes mais elle n’a pas l’habitude d’en voir des comme ça. Elle a dû apprécier la vue.

-          Oh mais si elle veut en voir plus, je suis à sa disposition ! A moins que tu y voies un inconvénient.

-          …. En fait, ça m’a vachement excité hier de voir son regard sur toi! Elle voyait que tu avais envie d’elle. Ça a forcément flatté son égo. Et je ne vois  aucun inconvénient à ce qu’un autre ait envie d’elle.

Leur discussion me fascinait. Je n’allais certainement pas sortir maintenant.

-          Merde, t’es sérieux en plus.

-          J’ai toujours aimé qu’elle plaise aux hommes. Elle se fait souvent draguer d’ailleurs. A chaque fois, je suis très fier d’être son mari et très excité que d’autres aient envie d’elle. Ça me plaît beaucoup.

-          Julie a beaucoup de chance de t’avoir.

-          Oui, mais je me demande toujours comment elle serait avec un autre homme. J’aimerais voir ça je dois avouer. Je te parle de quelque chose de purement sexuel bien sûr.

-          Tu voudrais la voir avec un autre que toi ?

-          En fait, ça me fait fantasmer depuis très longtemps mais c’est tellement dingue. En tous cas, si un truc comme ça devait se faire, je t’imagine très bien dans ce rôle.

-          Ouah ! En fait tu te fous de ma gueule ! Tu veux me rendre fou !

-          Non, je suis sérieux.

-          Eh bien j’attendrai ça avec impatience mais sans me faire d’illusion non plus. J’ai comme l’impression que Julie n’est pas vraiment au courant de notre discussion.

-          Pas vraiment non ! Mais comme je l’ai dit. Je crois que si ça devait se faire avec quelqu’un, ce serait toi ! Et puis tu as une sacrée longueur d’avance. Elle t’apprécie, te trouve beau, et je suis persuadé qu’elle a été impressionnée par ton sexe. Je ne me suis jamais senti ridicule sur ce plan-là mais le tien est quand même bien plus gros.

-          Et ça ne te dérangerait pas justement…. Cet aspect-là ! Tu n’as pas peur qu’elle soit plus…. Comment dire ?

-          Tu peux le dire franchement : Qu’elle jouisse plus avec toi qu’avec moi ?

-          Oui.

-          Si jamais ça devait se faire, et je dis bien si…. Je ne voudrais pas qu’elle soit avec un mec qui ne soit pas bien au lit. Si elle ne jouit pas fort, aucun intérêt…. Et puis on s’aime et je ne pense pas que ça changerait quoi que ce soit entre nous.

-          Si ce que tu dis est vrai, et si tu es prêt à aller plus loin, je suis persuadé qu’il n’y aura jamais de meilleure occasion. On est tous les trois ici pour quelques jours encore. Qui sait ?

-          Oui… Qui sait ?

J’étais chamboulée par leur conversation. Sam disait clairement qu’il accepterait que Marc couche avec moi. D’un côté, je n’arrivais pas à comprendre Sam. Mais bien que je trouve ça totalement immoral, j’avais quand même la certitude de son amour par ses paroles. D’un autre côté, je suis amoureuse et fidèle mais je ne suis pas une nonne. Marc m’avait toujours attiré physiquement et Sam n’avait pas tort de dire que la vue de son anatomie hier m’avait émoustillée. Comme il l’avait dit… Il nous restait quelques jours à passer tous les trois ici…. Qui sait ?

On a passé les 2 jours suivants à se balader, en couple ou à 3. Les soirées étaient animées et je crois que je suis inconsciemment rentrée dans un jeu de séduction avec Marc qui faisait pareil avec moi.

Je pense même qu’un soir, il s’est arrangé pour que je sois obligée de le voir entrer sous la douche (ses fesses fermes et musclées étaient très belles). Un matin, au réveil, Sam a même ouvert la porte de la chambre de Marc qui dormait sur le dos. Son sexe reposait sur son ventre. Je suis passée et Sam m’a montré Marc. J’ai rougi, lui ai donné une tape sur l’épaule mais je suis bien restée quelques seconde à le mater avant de partir.

Un soir, nous avons fait l’amour et Sam m’a parlé du « beau Marc ». Mon imagination a travaillé immédiatement. Sam a dû me trouver particulièrement réceptive bien que je ne sois pas totalement entrée dans son jeu. Sam faisait en sorte que je sois habillée court et sexy. J’ai fait semblant de lui résister un peu mais c’était pour la forme car Il n’avait pas à beaucoup me forcer.

3 jours avant de partir, il a fait une chaleur écrasante alors on est resté dans la maison, alternant entre des bains dans la piscine et nos chambres pour de petites siestes.

On se baladait uniquement en boxer ou maillot de bain. Nous étions maintenant bien bronzés. Les muscles de mon mari et ceux de Marc attiraient sans cesse mes yeux et moi, je lisais dans leurs yeux que j’étais splendide.

Cet après-midi là, on s’est allongés Sam et moi pour une petite sieste et quelques caresses. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui parler de la conversation qu’il avait eu avec Marc.

-          Sam, l’autre jour, j’ai surpris une conversation assez particulière entre toi et Marc…..

-          Quelle conver….. Oh….  Je pense savoir de quelle conversation tu parles ! Tu étais là ?...... Tu as tout entendu ?

-          Oui, tout.

-          Tu m’en veux ?

-          Non, je ne t’en veux pas…. Mais soit totalement franc avec moi. C’était vrai ce que tu disais ou c’était juste une discussion sans conséquences entre 2 mecs éméchés ?

-          Julie, au risque de te décevoir, c’était la vérité. C’est un fantasme que j’ai depuis très longtemps.

-          Tu arriverais vraiment à supporter de me voir avec un autre ?

-          Longtemps, j’ai pensé que ce n’était qu’un fantasme mais au fur et à mesure, je me suis rendu compte qu’on s’aime énormément, et suffisamment pour qu’un acte purement physique ne fasse pas de mal à notre couple….. Au contraire je pense.

-          Sam, moi je ne supporterai pas que tu sois avec une autre. Je lui arracherai les yeux. Tu arrives vraiment à imaginer un autre homme toucher et caresser mon corps que tu aimes tant, mes gros seins que tu trouves si beaux.

-          J’imagine très bien oui. Et je suis totalement convaincu que ça me plairait énormément.

-          Marc t’a posé une question très pertinente. J’aimerai que tu y répondes une nouvelle fois mais en me regardant dans les yeux. Et si il parvenait à me faire jouir plus fort que toi, comment tu vivrais ça ?

-          Je n’ai pas été vraiment franc avec Marc sur ce point, tu as raison.

Il m’a regardé droit dans les yeux avant de continuer.

-          Je veux, j’exige que l’homme qui coucherai avec toi soit capable de te faire jouir comme tu n’as jamais joui. Je voudrais t’entendre crier de plaisir avec un homme viril, quelqu’un de physiquement beau, et bien monté, quitte à ce que tu cries son nom…
J’avais du mal à respirer tellement son regard et ses paroles étaient intenses. Je connaissais tellement bien Sam que j’ai su qu’il était sincère.

-          Sam, c’est insensé. Je t’aime, tu me combles.

-          Ma chérie, tu es d’une beauté à couper le souffle. Et quand tu jouis, tu es encore plus belle. Je veux juste pouvoir assister à cette jouissance…. Avec un mec sain, gentil et discret… Un mec qui sauras réveiller en toi un désir très fort, un mec qui sache ce qu’il fait de préférence.

-          …. Et si j’en crois ce que tu me fais comprendre à demi-mots depuis le début de la semaine, Marc est ce mec ?

-          Si tu acceptai, je crois qu’il serait parfait en effet. Je sais qu’il remplit mes critères… Et je suis sûr qu’il remplirai tous les tiens.

Sam bandait dur.

-          C’est sérieux Sam. Je pourrais te prendre au mot tu sais ?

-          Je t’aime. Et je n’ai jamais été plus sérieux.

-          Je suis désolée Sam. Je ne pense pas que ça se fasse.

-          Ne t’inquiètes pas. Certains fantasmes ne sont pas forcément faits pour être réalisés. Maintenant, la seule différence avec avant, c’est que tu sais ce que je pense. Qui sait ? Un jour, on se trouvera peut-être dans une situation où tu seras en confiance, libérée… Mais ce ne sera possible que si cela devient un fantasme pour toi aussi.

Vers 20h00, la température a baissé de quelques degrés. On a mangé une salade et ensuite, on a fait une courte balade avant de plonger dans la piscine.

La discussion de l’après-midi me revenait sans cesse en mémoire. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Marc et à son corps splendide, à la promesse de plaisir qui émanait de la vision de son sexe de Marc en érection.

On nageait tranquillement, l’eau nous faisait un bien fou. Sam et moi on s’embrassait de temps en temps. Puis, comme l’autre soir, on s’est chamaillé. Je passais de Sam à Marc tout en essayant de m’échapper.

Je ne sais pas expliquer les choses autrement, j’étais en tension sexuelle. J’ai eu envie de me faire aguicheuse, de plus en plus coquine. Mettant ma poitrine en valeur notamment car tous les hommes sont fous de ma poitrine.

J’ai senti la main de Marc s’attarder parfois plus que de raison sur ma taille et je sentais par moment une bosse dure contre mes fesses. Ça n’échappait pas à Sam qui ne disait rien. Une phrase de Sam dans notre dernière discussion m’est revenue à l’esprit « Je veux t’entendre crier de plaisir ... et assister à cette jouissance ».

Certains regards entre moi et Sam étaient pleins de sous-entendus.

Cette fois c’est un évènement improbable qui a tout déclenché. Alors qu’on se chamaillait avec Sam,  le nœud de mon haut de maillot bain s’est défait. J’ai aussitôt croisé les bras sur ma poitrine en rouspétant et en rigolant à la fois, mais j’avais du coup beaucoup plus de mal à me déplacer dans l’eau.

A force de me taquiner pour m’enlever mon maillot, Marc s’est trouvé dos au bord de la piscine avec moi dans ses bras, tournée face à mon mari. Nos regards se sont croisés alors que je sentais très nettement une bosse dure dans mon dos. La situation est devenue électrique en quelques secondes. Marc m’a pris par les poignets et a écarté doucement mes mains.

Sam m’a regardé longuement dans les yeux. J’étais stressée et je ne voulais rien laisser paraître mais il a vu tout de suite que je désirais à 100% que son fantasme se réalise….. Peut-être même 200%….. Et je voulais maintenant avoir la chance de « jouir comme je n’avais jamais joui »
Il a fini d’enlever mon haut de maillot sans que je bouge ou proteste. Alors que j’imaginais le regard de Marc par-dessus mon épaule, Sam a passé ses mains sur mon corps et a empaumé mes seins avant de prendre mes tétons si sensibles dans sa bouche puis de m’embrasser. Nos respirations s’étaient accélérées. Il m’a à nouveau regardée dans les yeux. J’ai approché ma bouche de son oreille et j’ai murmuré pour que Marc n’entende pas « je t’aime…. Mais je vais jouir avec un autre ce soir….. Pour toi… et pour moi »
Marc m’a lâché et Sam m’a tournée face à lui. Il m’a dévorée des yeux. Il a commencé à caresser mes seins doucement, appréciant sans doute la fermeté et la douceur. J’étais déjà dans un autre monde.

-          Marc : Tu es magnifique Julie…. Tellement désirable.

Il s’est penché et m’a léché les seins. Je me suis abandonnées aux caresses, tête en arrière contre Sam.

-          Moi : Mon dieu, qu’est-ce qu’on fait ?

-          Sam : On profite de nos vacances. Vivons quelque chose de fou.

-          Marc : Laisse-toi aller ma belle. Ne penses qu’aux caresses, qu’au plaisir… Qu’au sexe.

-          Sam : Rentrons dans la maison….. Pas ici….. On sera mieux.

On est sorti de l’eau et on s’est séchés sommairement et tout en se gênant presque tellement on était proches. Sam m’a entraîné par la main jusqu’à notre chambre et Marc tenait mon autre main.

Mon cœur battait la chamade. J’avais peur et en même temps je désirais ça plus que tout à ce moment-là.

Arrivés dans la chambre, je suis allée vers mon mari. J’ai fait tomber la serviette qui m’entourait et je l’ai embrassé puis je me suis tournée vers Marc et pour la première fois depuis que l’on est ensemble, j’ai embrassé un autre homme. Je me suis faite aussi sensuelle pour eux qu’ils l’étaient pour moi. Ils m’embrassaient, me tétaient les seins et me caressaient partout. Marc s’est agenouillé et il a enlevé mon bas de maillot. Il m’a caressé les jambes, remontant doucement vers mon entrejambe tout en me dévorant les fesses. Un énorme frisson a parcouru mon corps.

-          Moi : C’est trop bon tout ça. J’ai tellement envie.

Sam a glissé une main entre mes jambes pour y trouver un doigt de Marc pénétrant doucement ma chatte. J’étais totalement trempée et c’est quand Sam a caressé mon clitoris, que j’ai eu une première petite jouissance.

Marc s’est relevé et j’ai saisi les bosses qui déformaient leurs caleçons. J’ai commencé par Sam pour ne pas le vexer, j’avoue, car j’étais très curieuse de voir le sexe de Marc de près. Je l’ai caressé et sucé un moment puis, tout en le regardant dans les yeux, je me suis tournée vers Marc. Lentement, je me suis mise à genou devant lui et j’ai dégagé son sexe. Il pointait fièrement devant lui, au meilleur de sa forme, bien plus impressionnant encore vu de près.

Je lui ai lancé un regard ébahi tout en prenant en main ce molosse. Mes doigts ne faisaient pas le tour complet de sa hampe.

-          Marc : Oh bon sang Julie ! Vous ne pouvez pas savoir combien de fois j’ai pu rêver de ce moment ! La magnifique et adorable femme de mon meilleur ami sur le point de me sucer !

-          Sam : tu le fais languir ma puce ? Pourtant tu en as autant envie que lui !

Sam me donnait son accord et je n’allais pas laisser passer l’occasion.  J’ai toujours aimé sucer Sam. J’ai regardé Marc et j’ai passé la langue sur son gland. Je l’ai léché comme une glace. J’appréciais non seulement la taille mais aussi la dureté de son membre, la grosseur et la douceur du gland. J’ai sucé Marc pendant un moment, ne m’arrêtant que pour prendre le sexe de mon mari en bouche par moments. Lui aussi était très dur, preuve de son excitation.

Sam m’a aidée à me relever et m’a allongée sur le lit. D’un regard de Sam, Marc a compris. Il est venu sur moi et m’a couverte de baiser. Mes tétons pointaient fièrement. J’ai regardé Sam avec tout l’amour que j’avais en moi mais je n’attendais qu’une chose : qu’un autre que lui me prenne.

Je ressentais une boule au ventre, une excitation incroyable. Marc allait me pénétrer devant Sam. Je lisais l’envie sur le visage de Marc. Il bouillait d’envie de me pénétrer mais prenait son temps. Il frottait son sexe sur mes lèvres intimes, m’arrachant des soupirs de désirs. J’ai vu à cet instant une furtive lueur de jalousie mêlée à une excitation extrême dans les yeux de Sam mais on était allés trop loin. Je le voulais de plus en plus et je bougeais mon bassin dans une invitation très claire à me faire pénétrer.

-          Marc : J’ai trop envie ….. Sam ?

-          Sam : Elle n’attend que ça ! Prends là !

Marc a poussé et j’ai senti mon sexe s’ouvrir pour un autre que celui de Sam. J’avais tellement envie que c’est entré assez facilement malgré la taille.

-          Moi : OOUUFF ! Doucement Marc ! Tu es gros !

-          Marc : Tu vas voir, tu vas aimer. Je te le promets !

Marc bougeait à peine en moi. Il avait dû s’enfoncer à moitié à peu près au bout de quelques allers retours et je me sentais déjà pénétrée comme jamais compte tenu de l’épaisseur de son membre. J’ai tout fait pour cacher le plaisir de cette pénétration massive mais je me suis rapidement mise à gémir. Il a continué comme ça un moment et mon plaisir grandissait, mes gémissements s’amplifiaient. A un moment, j’ai ouvert les yeux en grand, le plaisir montait encore en moi. Je voyais Le visage de Marc se crisper également. J’ai tendu la main vers Sam et je l’ai branlé énergiquement mais maladroitement alors que je jouissais très fort. Marc est sorti précipitamment et s’est branlé au-dessus de mon ventre. Son sperme a jailli très fort, suivi de celui de mon mari. Le sperme de Marc a couvert mon corps du pubis jusqu’à la base du cou alors que celui de Sam a giclé sur ma main et mon bras.

En général, après l’orgasme, mon excitation retombe mais là, j’avais encore très envie. Nous étions tellement excités tous les trois que nous avions joui en moins de 5 minutes.

Je me suis redressée pour regarder mon corps couvert de sperme. J’étais gênée, honteuse et pourtant toujours aussi excitée. Je me suis levée en entrainant Sam dans la douche. Nous n’avons pas échangé un mot mais j’ai tout de suite compris que Sam allait très bien. Nos baisers étaient enflammés.

Quand on est revenu dans la chambre, on entendait la douche de l’autre salle de bain couler.

On s’est allongé et on a commencé à s’embrasser. Je me suis faite sensuelle, douce et câline. Sam bande toujours très vite, même après une éjaculation. Son érection était bien sûr revenue au galop. J’étais au-dessus de lui et je suis descendue pour prendre son sexe en bouche. J’étais à genoux sur le lit, les fesses presque en l’air.

A ce moment, j’ai vu dans le regard de Sam que Marc était là. J’ai suivi son regard. Marc était dans l’encadrement de la porte. Il nous regardait en souriant.

-          Marc : Vous êtes magnifiques tous les deux. J’ai pris beaucoup de plaisir et je ne sais pas comment vous remercier pour tout à l’heure mais je trouverais…. A demain.

Marc se retournait pour partir.

-          Sam : Marc, attends. Ne me dit pas que la position de Julie ne te plait pas. Soyons fous et vivons cette nuit comme une parenthèse. Quelque chose me dit que Julie en a très envie.

-          Moi : Oui… J’en ai envie, c’est vrai…… Soyons fous.

Marc s’est approché derrière Moi.

-          Marc : Désolé de parler comme ça Julie mais… Quel cul ! T’as vraiment de la chance Sam.

-          Moi : Il a de la chance mais ce soir, toi aussi non ?

-          Marc : Oh que oui !

Il a commencé à caresser mes fesses, mon dos et mes cuisses. Je me suis offerte aux caresses, me cambrant encore plus. Marc s’est alors penché et il a embrassé mes fesses, les mordant presque, ce qui m’excitait follement. Il s’est installé plus confortablement et il a commencé à me lécher la chatte. Très habilement je dois dire. Je poussais de petits gémissements étouffés par le sexe que j’avais dans la bouche. Vu la position, la langue de Marc s’aventurait parfois jusqu’à mon anus. Cette caresse me couvrait de frissons des pieds à la tête et m’excitait comme une folle.

-          Sam : C’est bon Julie hein ?

-          Moi : Oh oui ! Je t’aime mon cœur ! Il me lèche bien tu sais ! Oui comme ça ! OOHHHH !

Sam était dur comme du bois et je me suis redressée d’un coup. Je me suis positionnée et me suis empalée sur lui dans un grand soupir de satisfaction. J’ai commencé à bouger en rythme et à gémir. Marc me caressait partout où il pouvait, glissant sa main dans la raie mes fesses.

Totalement  à califourchon sur Sam, J’ai embrassé Marc tout en saisissant son braquemart. Je m’activais de plus en plus sur Sam et je voyais dans ses yeux qu’il me trouvait belle. Je le regardais avec amour et je voulais à tout prix qu’il lise mon plaisir dans mes yeux mais je ne pouvais m’empêcher de regarder également avec un désir non dissimulé le corps parfait de notre ami ainsi que son sexe majestueux dressé pour moi.

-          Marc : Vas-y Sam ! Fais la jouir et prends ton pied ! Après ce sera mon tour !

-          Sam : Elle n’attend que ça en plus ! Hein Julie ? Tu veux que Marc te prenne encore Hein ?

-          Julie : Oui ! OOOH Sam c’est trop bon !

-          Sam : Tu veux son gros sexe en toi ? Qu’il te baise bien et fort ?

-          Moi : Oh Oui ! J’ai trop envie ! Tout est trop bon ! Je veux jouir ! OUIII !

-          Marc : Je vais la faire crier de plaisir ta petite femme ! Crois-moi mon pote !

J’étais trop excitée et Sam aussi. J’ai eu un orgasme très fort et aussitôt après, j’ai senti que Sam allait jouir, Je me suis retirée de lui et pour la première fois de notre relation, Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche tout en le regardant dans les yeux. Ce soir-là, j’avais décidé de faire tomber des tabous. Je n’ai arrêté que lorsque ses râles de plaisir se sont calmés. J’avais tout avalé.

Pendant ce temps, Marc s’était positionné derrière moi. Il passait son sexe dans la raie de mes fesses. Au rythme de ses mouvements, je voyais sont sexe dépasser de mes reins cambrés. Son sexe m’a à nouveau paru très impressionnant.

J’ai compris que ce moment allait être très fort. Sam attendait et craignait ce moment. Comme tout à l’heure, j’ai vu sur son visage la lutte entre la jalousie et l’excitation. J’ai regardé Sam avec des yeux de chatte. Je me mordais la lèvre, je le regardais…. Puis, je regardais Marc pour qu’il voie à quel point j’avais envie. Mon bassin bougeait de plus en plus. J’ai senti à un moment le gland de Marc glisser sur ma fente et j’ai poussé un gémissement d’impatience alors que le sexe glissait à nouveau contre mon cul maintenant totalement cambré et offert.

Marc a regardé Sam comme pour lui demander son approbation mais avec une lueur presque animale au fond des yeux. Je devinais son envie terrible de me baiser devant mon mari, de me faire jouir devant lui.

-          Sam : Alors Julie ! Il me demande l’autorisation de te pénétrer là ! Qu’est-ce que je dois faire ?

-          Moi : J’ai trop envie. Laisse le faire.

-          Sam : Vas-y Marc ! Baise-la ! Fais jouir ma femme et ne t’occupes pas de moi !

Marc a saisi son sexe pour le placer comme il faut et il a poussé. J’ai senti comme jamais la progression du sexe de notre ami. J’ai cru mourir de désir, de plaisir et d’excitation quand il s’est stoppé. Son pubis ne touchait pas mes fesses et pourtant, j’étais déjà plus que comblée par la longueur et l’épaisseur du sexe qui me pénétrait.

-          Marc : HMMM ! Qu’est-ce que c’est bon !

Marc était très doux, faisant de lents allers-retours, s’enfonçant un peu plus à chaque fois et m’arrachant maintenant de petits cris. Je sentais avec un plaisir incroyable et avec étonnement mon vagin s’étirer pour accueillir l’énorme sexe de notre ami. Aucune douleur. Je savourais tous les instants de cette pénétration de taille.

Marc s’appliquait à me faire ressentir un maximum de chose et était très doué.

-          Moi : OH OUII ! Oh mon dieu OUIIII ! Là ! OOOHHHH !

-          Marc : Tu la sens bien là ?

-          Moi : JE…… OHHHH…. Si gros Mon dieu OUIII ! ENCOOOORE !

Marc a continué comme ça un bon moment et je suis partie dans un orgasme incroyable. Sam m’a dit plus tard qu’à un moment, je me suis agrippé à son mollet et que j’y ai planté mes ongles au point de le griffer. J’étais dans un autre univers. Marc regardait Sam par moment, visiblement en même temps fier et inquiet du fait que sa femme jouissait comme ça.

Je savais Marc jouissant d’une bonne réputation auprès de la gente féminine mais là, j’en avais la preuve…. J’ai vu Sam faire signe à Marc qu’il n’y avait pas de souci et qu’il pouvait continuer.

Marc s’est arrêté quand je me suis calmée un peu. Il m’a redressée et on s’est roulés un patin. J’ai ensuite regardé Sam avec un sourire de satisfaction, de béatitude mais j’y ai également mis de la tendresse et de l’amour. Marc était encore planté en moi et pétrissait mes seins à pleine mains.

Il m’a repoussée en avant jusqu’à ce que mes seins et mes épaules soient plaqués au lit. Je l’ai senti affermir sa prise sur mes hanches et il s’est enfoncé profondément. J’ai poussé un cri rauque à la limite de la douleur. J’ai tenté de me soustraire à cette pénétration mais il m’a maintenu contre lui.

Chaque mouvement de mon bassin m’arrachait un cri mais au bout de quelques secondes, ce n’était plus des plaintes. Je m’habituais à sa présence dans des endroits jamais atteints auparavant.

Marc a fait un ample mouvement, ressortant presque pour replonger entièrement en moi. J’ai poussé un cri comme jamais je n’en avais poussé. Il a alors commencé à me baiser, à me besogner, à m’élargir le sexe avec de grands coups de queue. Je jouissais, criais, mordais les draps. Ce qui se produisait là était impensable encore 3 jours auparavant.

Sam voyait sa petite femme se faire baiser par son meilleur ami sous ses yeux. J’étais offerte et consentante. Marc profitait à pleine main de mes seins, de mes cuisses et de mes fesses. C’était un dieu…. Et c’était un peu vrai à cet instant. Sam est très mignon, beau même. Mais là, Marc avait tout d’un dieu du sexe. Son corps musclé était couvert de sueur. Tous ses muscles étaient bandés dans l’effort et son sexe puissant me ramonait sans faiblir depuis un bon moment alors que je criais d’extase. Je me suis aperçu avec effarement que je criais le nom de notre ami.

-          Marc : Je vais jouir Julie, je vais jouir ! T’es trop bonne !

Je n’ai même pas réagi. J’ai poussé un grand cri alors qu’il jouissait, planté tout au fond de ma chatte. J’ai senti ses jets de sperme s’écraser contre mon vagin….. Et puis ça a été le trou noir pour moi.

Quand je me suis réveillée le lendemain, J’étais seule dans le lit. Je suis allée aux toilettes et comme quelques jours auparavant, j’ai entendu Marc et Sam parler.

-          Marc : …. Bon je dois te parler d’hier soir. Je me suis réveillé ce matin en pensant à hier soir et ça me travaille. On est ami depuis toujours et je veux que tout soit clair entre nous.

-          Sam : On doit en parler oui. Mais tu ne dois pas stresser pour ça.

-          Marc : Ben un peu quand même. Tu n’es pas jaloux pour hier ?

-          Sam : Je dois avouer que par moment, c’était un peu dur pour moi mais je peux t’assurer que je n’ai aucun regret. Julie et moi, sexuellement, ça a toujours été très bon…. Mais hier soir, vous avez joué dans une autre catégorie. Je suis plus que content qu’elle ait eu un amant comme toi. Tu n’as pas failli à ta réputation.

-          Marc : Tu dois savoir que je n’ai que de l’amitié pour Julie. C’est ta femme et je vous adore tous les deux. Mais c’est vrai que j’ai toujours trouvé Julie craquante, pleine de charme et excuse-moi mais elle est gaulée comme une déesse. J’avais envie d’elle depuis très longtemps tu sais.

-          Sam : Merci, je prends ça comme un compliment. Et si je me place du côté de Julie, je peux comprendre qu’elle ait été attirée par toi. Et puis qu’est-ce que tu l’as faite jouir !!

-          Marc : Ne m’en veux pas mais en plus, faire ça devant toi…. C’était la première fois que je le faisais devant quelqu’un… Alors le faire devant le mari consentant. C’était très excitant. Un peu pervers mais un vrai pied quand même.

-          Sam : Je te reconnais bien là. Espèce de salaud va ! Soucieux de savoir si je t’en veux mais bien content d’avoir fait jouir ma femme devant moi.

-          Marc : Et elle, elle a réagi comment ?

-          Sam : Pour tout te dire, je n’en sais rien. Elle dort. Tu l’as épuisée. On va voir quand elle va descendre mais je la connais bien et je ne me fais pas de souci.

Quelques instants plus tard, j’ai pris une douche je suis arrivée toute fraiche dans la cuisine. Je suis allée dans les bras de mon mari pour un gros câlin comme d’habitude et un bisou plein d’amour.

Puis, je me suis tournée vers Marc et je suis allée lui faire la bise. On a parlé de ce qu’on allait visiter dans la journée et alors qu’on rangeait le petit déj, j’ai abordé notre débauche de la veille.

-          Au fait. Merci pour hier soir. A tous les deux. Vous avez été parfait. Je pense que ça n’aurait pas pu être mieux. Je vais en garder un souvenir très fort.

-          Moi aussi.

Ils avaient répondu tous les deux en même temps et on a tous rigolé.

Il nous restait 2 jours entiers avant de partir. Sam et moi, on s’est évadés tous les deux. C’était vraiment génial. Seules quelques allusions légères nous rappelaient ce qu’il s’était passé et j’étais toujours aussi follement amoureuse de mon mari. On a même fait l’amour au creux d’un petit chemin, nous enfuyant en vitesse comme des collégiens une fois notre affaire faite.

2 ans se sont écoulés depuis. Nous sommes toujours amis avec Marc mais depuis 1 an, on ne se voit que par Internet car il est partis faire carrière au Canada.

Sam et moi nous remémorons de temps en temps la folle soirée vécue et nos jouissances sont à chaque fois décuplées par notre excitation.

Sam nous a invité à le rejoindre dans quelques mois pour des vacances. Notre réponse a été oui tout de suite et il nous tarde de le revoir….

Surtout que, même si je n’en ressens pas le besoin, quelques regards et paroles de Sam me laissent penser qu’il a une idée derrière la tête qui n’est pas pour me déplaire !