Virilité féminine ? – Nouvelle version
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Virilité féminine ? – Nouvelle version
Virilité féminine ? – Nouvelle versionDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Je ne sais pas si c’est un tic de langage ou si c’est volontaire… il y a une phrase que tu adores sortir aux autres, quand on est entre copines, à quatre ou cinq.
— Laquelle, je ne vois pas.
— « J’adore me faire sucer ».
— Ah, cette phrase-là… C’est vrai, j’aime bien la prononcer. J’y mets une intonation presque militante. Ce qui me plaît, c’est que les mots prêtent à confusion. Si tu les vois écrits, tu penses tout de suite qu’ils ont été rédigés par un garçon. J’adore les grands yeux ronds que me font les copines, quand on parle cul et que j’introduis le sujet.
— Chez certaines, c’est à la limite du compréhensible.
— Les pauvres !
— Prononcer des phrases « viriles », en tant que fille c’est ton truc ?
— Ça ne devrait pas être une phrase connotée. Quelle injustice ! C’est dire si on vit dans une société inégalitaire.
— Tu voudrais que les filles et les garçons soient tous pareils ? Qu’on ne se distingue en rien d’eux ?
— Je suis pas en train de sortir une théorie philosophique ou féministe. Je viens juste te rappeler une réalité que ces messieurs ont trop tendance à oublier : une nana peut parfaitement se faire sucer. Ça devrait même être un devoir, je dirais. Presque une obligation sociale.
— Tu me fais rire !
— À notre époque, on comprend la sexualité de travers. Pour les lèvres du bas ce serait au type de tout faire avec son engin, et à la fille de se laisser aller comme une cruche, en poussant quelques vagues petits gémissements d’encouragement. Et pour les lèvres du haut, ce serait à la fille de tout faire et au gars de se laisser pomper. N’importe quoi. Du coup les mâles ne sucent pas. Ou peu, ou mal. Et on se retrouve les seules à sucer. Les dindons de la farce.
— Un mâle qui suce, en général on appelle ça un gay.
— Tu mets le doigt sur le problème ! Dans l’inconscient collectif, sucer est soit pour les femmes, soit pour les pédés. Nos petits copains hétéros ne veulent pas se sentir femmes, ni se sentir gays. Alors qu’il n’y a rien de plus viril pour un mec que de sucer une fille, pour peu qu’il le fasse correctement.
— T’exagères. Ça n’a rien de si extraordinaire.
— C’est parce qu’on te suce mal.
— Bien ou mal, le tout est surtout d’en trouver un qui soit partant !
— À qui le dis-tu. Maintenant, faut savoir l’y amener avec subtilité.
— Je me demande bien pourquoi c’est si compliqué…— Il faut nous en prendre à nous-mêmes ! Nous les incitons bien trop peu. La jeunette lambda garde cuisses fermées jusqu’au début de la baise : elle n’ouvre que lorsque le garçon se place entre ses jambes pour lui tremper sa nouille. Avec des jambes aussi jointes en préliminaires, le plus gentleman ne pourra jamais qu’explorer le clitoris et le haut de la vulve, et pas dans les meilleures conditions.
— Tu as dis « préliminaires »! Alors que tu prétends que ce plaisir est un rapport sexuel complet.
— J’emploie les mots du langage courant, pour être comprise. Si je commandais les peuples, je bannirais le terme du dictionnaire.
— C’est quand même normal de ne pas vouloir montrer sa chatte en gros plan.
— Au contraire ! Nous sommes des créatures super bien faites. De véritables merveilles de la création. Pourquoi ne pas en être fières ? Nos sexes sont faits pour être montrés, ouverts, écartés.
— Pourquoi pas écartelés tant que t’y es. Avec ça on est plus dans le magazine porno que dans la belle au bois dormant.
— On n’est dans aucun des deux. Un conte est une fiction, un magazine X en est une autre. Et puis tu sais, les livres pour enfants ne disent rien des scènes de sexe, et heureusement me diras-tu. Pas parce qu’elles n’existent pas, parce que c’est coupé. Pourquoi ne décrit-on jamais la belle au bois dormant au plumard avec le prince ? Je le sais, moi. Parce qu’après les jolies paroles prononcées et les petits bisous écumés, la belle en question écarte, fait sa cochonne et est tringlée jusqu’à pas d’heure. Normal que ces chapitres soient manquants.
— Et d’où tu sors ça exactement ?
— Élémentaire ! Si les rapports de belle et de son prince étaient sages, leur légende n’en ferait pas l’impasse. Ça se lirait comme dans les films : des câlins dans le lit, puis ellipse, et le lendemain matin réveil l’un contre l’autre, les deux corps nus. Seulement comme il l’attrape dans la baignoire ou contre un arbre, la scène ne peut pas se raconter.
— C’est ce que tu imaginais quand tu étais petite et que ta maman te lisait des contes ?
— Bien sûr, pas toi ? Les contes m’ont toujours fait penser au cul. Je me demande si ce n’est pas leur but : une histoire pour enfant suggère toujours bien plus que ce qui est écrit.
— Un garçon qui suce pas ce n’est pas un drame.
— Oui il y a pire ! Il y a ceux qui sucent mal. Sans rire, je demande pas la lune. Je demande le minimum, et je sais le faire comprendre.
— Par des mots ou par des gestes ?
— Les mots sont très délicats, va savoir pourquoi. Question d’époque, de culture ? Si tu dis « plaisir buccal », « amour oral » ou « sucer » à un ami en lui faisant comprendre qu’il ne s’agit pas d’un acte que tu veux lui faire toi, effectivement ça lui fait venir des images homosexuelles. Il se voit lui en train de sucer un congénère, et là il te regarde d’un air dégoûté. Comme si jamais aucun quidam n’avait donné ce plaisir-là à aucune demoiselle. Comme si cela ne pouvait pas se donner, que ça ne se faisait pas.
— Oui, beaucoup trouvent ça écœurant…— Par contre, nous enfourner leur queue le plus loin qu’ils peuvent entre les lèvres du haut avec le gland déjà tout humide, négocier une éjaculation dans la bouche, nous demander d’avaler, se faire sucer un pénis tout en sueur, ça non ça ne leur paraît pas du tout écœurant.
— Tu dois avoir plus d’expérience que moi, je reconnais. Ton truc à toi, c’est que tu n’aimes pas les coups d’un soir. Tu préfères les coups de midi, du matin, ou de l’après-midi. T’es pas une romantique… le sexe au clair de lune, quel pied.
— L’horaire importe peu ! S’il y avait moyen de le faire le soir ou la nuit, je n’aurais rien contre. Simple question pratique. Maintenant, c’est loin d’être un désavantage. Au contraire : tu invites le garçon, tu fais avec lui ce que tu as à faire, et puis hop ! Chacun s’en retourne à ses pénates. Pas de gars collé contre toi, sous tes draps, qui ronfle jusqu’au petit matin et après va prendre sa douche et son petit-dèj comme s’il était chez lui.
— Ils estiment que c’est le moins qu’on leur doit. Alors que bien souvent ils ne nous ont même pas fait jouir, et tout juste gémir.
— Tu n’as plus tous ces problèmes. Cette année t’as un petit copain bien à toi, officiel et tout, et tes parents acceptent sa présence, même la nuit. Non ?
— Je le vis très simplement. En fait, je suis beaucoup plus simple que toi. Je ne suis pas difficile à satisfaire, et lui n’est pas difficile non plus.
— Vous vous êtes bien trouvés, quoi.
— Avec Miguel on cherche pas midi à quatorze heures, et je dis pas ça pour prétendre que lui ou moi serait un mauvais coup.
— Et quand il a envie et que toi non ?
— Je te dis : tu te compliques trop la vie ! Quand il vient me rejoindre au lit et que je suis déjà à moitié endormie, il peut bien me faire ce qu’il veut. Qu’est-ce que ça peut faire ?
— Il arrive à te baiser même dans cet état ?
— Je suis super facile à baiser. Quelques bisous dans le cou et le tour est joué. Sans même que je m’en rende compte, le peu de mouille que ça me fait venir suffit pour être pénétrée. Tu vois, on est chacune programmée pour une sexualité différente, on dirait.
— Et s’il veut davantage ? Enfin, vous faites peut-être rien d’autre.
— Oh si, on a plus ou moins tout testé. S’il veut par derrière, un peu de lubrifiant fait l’affaire. S’il veut une fellation, il s’approche, j’ouvre et il fait son affaire. S’il me jouit dans la bouche, je déglutis un bon coup et je me rendors aussi sec.
— Fiouuu… Au moins t’as pas à t’inquiéter, s’il te fait cocue un jour ce sera pas dans mon plumard.
— C’est l’homme que j’aime ! Il n’a pas tous les droits sur ma personne, maintenant il en a tout de même quelques-uns.
— Il peut tout te faire alors, ton Miguel ? Tu ne lui refuses rien ?
— Quand bien même il voudrait se faire un petit délire en se frottant contre mon visage pour m’éjaculer dessus, du moment qu’il m’essuie après avec des mouchoirs ça ne me pose aucun problème.
— Passe une annonce dans le journal ! Tu vas avoir des millions de courtisans.
— Arrête, tu sais très bien que je ne le ferais pas avec n’importe qui. Avec lui uniquement, et personne d’autre. Tu me comprends ?
— Pas des masses. Pour moi le sexe doit être inattendu. Osé, subversif, un peu interdit. Sinon quel intérêt ?
— Tu raisonnes comme une gamine ! Je suis bien plus mature que toi.
— Alors, j’espère bien rester immature encore quelques années avant de rencontrer ma moitié.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Je ne sais pas si c’est un tic de langage ou si c’est volontaire… il y a une phrase que tu adores sortir aux autres, quand on est entre copines, à quatre ou cinq.
— Laquelle, je ne vois pas.
— « J’adore me faire sucer ».
— Ah, cette phrase-là… C’est vrai, j’aime bien la prononcer. J’y mets une intonation presque militante. Ce qui me plaît, c’est que les mots prêtent à confusion. Si tu les vois écrits, tu penses tout de suite qu’ils ont été rédigés par un garçon. J’adore les grands yeux ronds que me font les copines, quand on parle cul et que j’introduis le sujet.
— Chez certaines, c’est à la limite du compréhensible.
— Les pauvres !
— Prononcer des phrases « viriles », en tant que fille c’est ton truc ?
— Ça ne devrait pas être une phrase connotée. Quelle injustice ! C’est dire si on vit dans une société inégalitaire.
— Tu voudrais que les filles et les garçons soient tous pareils ? Qu’on ne se distingue en rien d’eux ?
— Je suis pas en train de sortir une théorie philosophique ou féministe. Je viens juste te rappeler une réalité que ces messieurs ont trop tendance à oublier : une nana peut parfaitement se faire sucer. Ça devrait même être un devoir, je dirais. Presque une obligation sociale.
— Tu me fais rire !
— À notre époque, on comprend la sexualité de travers. Pour les lèvres du bas ce serait au type de tout faire avec son engin, et à la fille de se laisser aller comme une cruche, en poussant quelques vagues petits gémissements d’encouragement. Et pour les lèvres du haut, ce serait à la fille de tout faire et au gars de se laisser pomper. N’importe quoi. Du coup les mâles ne sucent pas. Ou peu, ou mal. Et on se retrouve les seules à sucer. Les dindons de la farce.
— Un mâle qui suce, en général on appelle ça un gay.
— Tu mets le doigt sur le problème ! Dans l’inconscient collectif, sucer est soit pour les femmes, soit pour les pédés. Nos petits copains hétéros ne veulent pas se sentir femmes, ni se sentir gays. Alors qu’il n’y a rien de plus viril pour un mec que de sucer une fille, pour peu qu’il le fasse correctement.
— T’exagères. Ça n’a rien de si extraordinaire.
— C’est parce qu’on te suce mal.
— Bien ou mal, le tout est surtout d’en trouver un qui soit partant !
— À qui le dis-tu. Maintenant, faut savoir l’y amener avec subtilité.
— Je me demande bien pourquoi c’est si compliqué…— Il faut nous en prendre à nous-mêmes ! Nous les incitons bien trop peu. La jeunette lambda garde cuisses fermées jusqu’au début de la baise : elle n’ouvre que lorsque le garçon se place entre ses jambes pour lui tremper sa nouille. Avec des jambes aussi jointes en préliminaires, le plus gentleman ne pourra jamais qu’explorer le clitoris et le haut de la vulve, et pas dans les meilleures conditions.
— Tu as dis « préliminaires »! Alors que tu prétends que ce plaisir est un rapport sexuel complet.
— J’emploie les mots du langage courant, pour être comprise. Si je commandais les peuples, je bannirais le terme du dictionnaire.
— C’est quand même normal de ne pas vouloir montrer sa chatte en gros plan.
— Au contraire ! Nous sommes des créatures super bien faites. De véritables merveilles de la création. Pourquoi ne pas en être fières ? Nos sexes sont faits pour être montrés, ouverts, écartés.
— Pourquoi pas écartelés tant que t’y es. Avec ça on est plus dans le magazine porno que dans la belle au bois dormant.
— On n’est dans aucun des deux. Un conte est une fiction, un magazine X en est une autre. Et puis tu sais, les livres pour enfants ne disent rien des scènes de sexe, et heureusement me diras-tu. Pas parce qu’elles n’existent pas, parce que c’est coupé. Pourquoi ne décrit-on jamais la belle au bois dormant au plumard avec le prince ? Je le sais, moi. Parce qu’après les jolies paroles prononcées et les petits bisous écumés, la belle en question écarte, fait sa cochonne et est tringlée jusqu’à pas d’heure. Normal que ces chapitres soient manquants.
— Et d’où tu sors ça exactement ?
— Élémentaire ! Si les rapports de belle et de son prince étaient sages, leur légende n’en ferait pas l’impasse. Ça se lirait comme dans les films : des câlins dans le lit, puis ellipse, et le lendemain matin réveil l’un contre l’autre, les deux corps nus. Seulement comme il l’attrape dans la baignoire ou contre un arbre, la scène ne peut pas se raconter.
— C’est ce que tu imaginais quand tu étais petite et que ta maman te lisait des contes ?
— Bien sûr, pas toi ? Les contes m’ont toujours fait penser au cul. Je me demande si ce n’est pas leur but : une histoire pour enfant suggère toujours bien plus que ce qui est écrit.
— Un garçon qui suce pas ce n’est pas un drame.
— Oui il y a pire ! Il y a ceux qui sucent mal. Sans rire, je demande pas la lune. Je demande le minimum, et je sais le faire comprendre.
— Par des mots ou par des gestes ?
— Les mots sont très délicats, va savoir pourquoi. Question d’époque, de culture ? Si tu dis « plaisir buccal », « amour oral » ou « sucer » à un ami en lui faisant comprendre qu’il ne s’agit pas d’un acte que tu veux lui faire toi, effectivement ça lui fait venir des images homosexuelles. Il se voit lui en train de sucer un congénère, et là il te regarde d’un air dégoûté. Comme si jamais aucun quidam n’avait donné ce plaisir-là à aucune demoiselle. Comme si cela ne pouvait pas se donner, que ça ne se faisait pas.
— Oui, beaucoup trouvent ça écœurant…— Par contre, nous enfourner leur queue le plus loin qu’ils peuvent entre les lèvres du haut avec le gland déjà tout humide, négocier une éjaculation dans la bouche, nous demander d’avaler, se faire sucer un pénis tout en sueur, ça non ça ne leur paraît pas du tout écœurant.
— Tu dois avoir plus d’expérience que moi, je reconnais. Ton truc à toi, c’est que tu n’aimes pas les coups d’un soir. Tu préfères les coups de midi, du matin, ou de l’après-midi. T’es pas une romantique… le sexe au clair de lune, quel pied.
— L’horaire importe peu ! S’il y avait moyen de le faire le soir ou la nuit, je n’aurais rien contre. Simple question pratique. Maintenant, c’est loin d’être un désavantage. Au contraire : tu invites le garçon, tu fais avec lui ce que tu as à faire, et puis hop ! Chacun s’en retourne à ses pénates. Pas de gars collé contre toi, sous tes draps, qui ronfle jusqu’au petit matin et après va prendre sa douche et son petit-dèj comme s’il était chez lui.
— Ils estiment que c’est le moins qu’on leur doit. Alors que bien souvent ils ne nous ont même pas fait jouir, et tout juste gémir.
— Tu n’as plus tous ces problèmes. Cette année t’as un petit copain bien à toi, officiel et tout, et tes parents acceptent sa présence, même la nuit. Non ?
— Je le vis très simplement. En fait, je suis beaucoup plus simple que toi. Je ne suis pas difficile à satisfaire, et lui n’est pas difficile non plus.
— Vous vous êtes bien trouvés, quoi.
— Avec Miguel on cherche pas midi à quatorze heures, et je dis pas ça pour prétendre que lui ou moi serait un mauvais coup.
— Et quand il a envie et que toi non ?
— Je te dis : tu te compliques trop la vie ! Quand il vient me rejoindre au lit et que je suis déjà à moitié endormie, il peut bien me faire ce qu’il veut. Qu’est-ce que ça peut faire ?
— Il arrive à te baiser même dans cet état ?
— Je suis super facile à baiser. Quelques bisous dans le cou et le tour est joué. Sans même que je m’en rende compte, le peu de mouille que ça me fait venir suffit pour être pénétrée. Tu vois, on est chacune programmée pour une sexualité différente, on dirait.
— Et s’il veut davantage ? Enfin, vous faites peut-être rien d’autre.
— Oh si, on a plus ou moins tout testé. S’il veut par derrière, un peu de lubrifiant fait l’affaire. S’il veut une fellation, il s’approche, j’ouvre et il fait son affaire. S’il me jouit dans la bouche, je déglutis un bon coup et je me rendors aussi sec.
— Fiouuu… Au moins t’as pas à t’inquiéter, s’il te fait cocue un jour ce sera pas dans mon plumard.
— C’est l’homme que j’aime ! Il n’a pas tous les droits sur ma personne, maintenant il en a tout de même quelques-uns.
— Il peut tout te faire alors, ton Miguel ? Tu ne lui refuses rien ?
— Quand bien même il voudrait se faire un petit délire en se frottant contre mon visage pour m’éjaculer dessus, du moment qu’il m’essuie après avec des mouchoirs ça ne me pose aucun problème.
— Passe une annonce dans le journal ! Tu vas avoir des millions de courtisans.
— Arrête, tu sais très bien que je ne le ferais pas avec n’importe qui. Avec lui uniquement, et personne d’autre. Tu me comprends ?
— Pas des masses. Pour moi le sexe doit être inattendu. Osé, subversif, un peu interdit. Sinon quel intérêt ?
— Tu raisonnes comme une gamine ! Je suis bien plus mature que toi.
— Alors, j’espère bien rester immature encore quelques années avant de rencontrer ma moitié.
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