VITE FAIT 03
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 682 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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VITE FAIT 03
VITE FAIT 03
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Je râlais, bein oui c'était pour la forme. Je me retrouvais avec mon t-shirt sur moi et rien d'autre, non rien d'autre. Joss avait retiré ses vêtements il était assis à ma gauche, Pétard s'était assis à ma droite. Il proposait une autre bière et allait en chercher trois et c'est à poil qu'il revenait. On continuait à picoler.
Fais voir comment c'est foutu ton truc ? Me demandait Joss.
Et sans attendre ma eéponse il glissait sa main entre mes cuisses, il me tripotait les couilles, décidément c'est une obsession chez lui. Il secouait le tout, tâtait la cage, la manière dont c'était foutu. J'avais le réflexe de refermer les cuisses mais avec l'autre main il tirait mon genoux vers lui. Pétard faisait pareil de son côté et me retrouvais donc avec les cuisses bien écartées.
Pétard bandait ferme maintenant, il me regardait.
Et si entre deux gorgées tu me faisait un petit plaisir … Me demandait-il.
Je me penchais vers lui et sans hésiter lui gobais la queue en entier. Elle était plus petite que celle de Joss et, ce devait être une impression, mais je la trouvais toute petite après ce qu'on venait de faire avaler. Mais c'est vrai que je l'avais pratiqué un peu plus que Joss.
J'étais penché sur le côté, Joss en profitait pour me soulever une jambe et continuait à s'amuser avec mes couilles et mon dispositif de chasteté. Il me branlait en secouant tout le dispositif. Il m'écrasait les couilles pour voir comment je réagissait, si je râlais.
Je ne pouvait pas râler, Pétard me retenait la tête avec force, sa queue entrait bien à fond dans ma gorge, j'étais comme bâillonné. Il ne me relâchait la tête que pour me laisser respirer, de temps en temps …
Joss semblait bien s'amuser également. Il m'attrapait les couilles, les serraient dans sa mains, puis par moment tirait dessus avec plus ou moins de force puis secouait à nouveau tout mon dispositif pour voir si j'allais juter sans doute. Il m’agrippait bien les couilles, me refermait les cuisses et en tirant sur mes couilles il me mettais à genoux devant Pétard qui continuait à bien appuyer sur ma tête.
Joss, me glissait un doigt dans le cul. Avec l'autre main il me malaxait toujours les couilles. Si je voulait glisser une main pour le retenir, je n'avais plus d'appui et Pétard en profitait pour appuyer encore plus fort sur ma tête.
Ils s'amusait bien les deux lascars. Remarquez, je jouais aussi avec eux mais moi j'étais le jouet …
Joss crachait pour lubrifier et glissait un deuxième doigt. Il bandait de nouveau le bestiau et la je commençais à comprendre comment ça allait se terminer cette histoire. Je ne cacherai pas que j'avais un peu peur, il en a une vraiment grosse le Joss !
Pétard m'appuyait sur la tête en ne me laissait respirer que quand c'était vraiment nécessaire. Joss me tirait les couilles en me faisait un peu mal et en même temps m'enfonçait deux doigt dans le cul, il les agitait avec vigueur et me tambourinait la prostate sans tendresse, c'est pas un tendre Joss.
Ma queue protestait dans sa cage, Joss s'amusait à appuyer à sa base. Dans ma tête, c'était peut être le manque d’oxygéné, c'était la folie. J'avais le vertige, la tête me tournait, je ne savais même plus si je me sentais bien ou pas. Mon cœur allait exploser, il battait vraiment fort, très fort.
Joss continuait sans se lasser à me glisser quelque chose dans le cul, là il avait lâché mes couilles et j'écartais les cuisses pour qu'elle puissent reprendre leur place normale. Elles se retrouvaient coincées entre mes cuisses, c'était loupé.
Je finissais par comprendre qu'il était rendu à quatre doigts. Ça devait être l'index et le majeur de chaque main. Il les enfonçait le plus profond possible et les agitait. Le plaisir que me procurait ma prostate envahissait rapidement tout mon bas ventre et continuait à grandir.
Pétard me relevait la tête, il me regardait avec un sourire satisfait. Je pouvais enfin gémir, c'est ce que je faisais et c'était de plaisir. Je tremblais également, dans mon ventre c'était un grand plaisir, un immense plaisir, un de ces orgasmes qui dure dans le temps, pas comme celui qu'on éprouve quand on éjacule. Mon visage replongeait vers la queue de Pétard, qui me laissait faire à ce moment. Joss retirait ses doigts de mon cul et me donnait une claque sur la fesse.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Je râlais, bein oui c'était pour la forme. Je me retrouvais avec mon t-shirt sur moi et rien d'autre, non rien d'autre. Joss avait retiré ses vêtements il était assis à ma gauche, Pétard s'était assis à ma droite. Il proposait une autre bière et allait en chercher trois et c'est à poil qu'il revenait. On continuait à picoler.
Fais voir comment c'est foutu ton truc ? Me demandait Joss.
Et sans attendre ma eéponse il glissait sa main entre mes cuisses, il me tripotait les couilles, décidément c'est une obsession chez lui. Il secouait le tout, tâtait la cage, la manière dont c'était foutu. J'avais le réflexe de refermer les cuisses mais avec l'autre main il tirait mon genoux vers lui. Pétard faisait pareil de son côté et me retrouvais donc avec les cuisses bien écartées.
Pétard bandait ferme maintenant, il me regardait.
Et si entre deux gorgées tu me faisait un petit plaisir … Me demandait-il.
Je me penchais vers lui et sans hésiter lui gobais la queue en entier. Elle était plus petite que celle de Joss et, ce devait être une impression, mais je la trouvais toute petite après ce qu'on venait de faire avaler. Mais c'est vrai que je l'avais pratiqué un peu plus que Joss.
J'étais penché sur le côté, Joss en profitait pour me soulever une jambe et continuait à s'amuser avec mes couilles et mon dispositif de chasteté. Il me branlait en secouant tout le dispositif. Il m'écrasait les couilles pour voir comment je réagissait, si je râlais.
Je ne pouvait pas râler, Pétard me retenait la tête avec force, sa queue entrait bien à fond dans ma gorge, j'étais comme bâillonné. Il ne me relâchait la tête que pour me laisser respirer, de temps en temps …
Joss semblait bien s'amuser également. Il m'attrapait les couilles, les serraient dans sa mains, puis par moment tirait dessus avec plus ou moins de force puis secouait à nouveau tout mon dispositif pour voir si j'allais juter sans doute. Il m’agrippait bien les couilles, me refermait les cuisses et en tirant sur mes couilles il me mettais à genoux devant Pétard qui continuait à bien appuyer sur ma tête.
Joss, me glissait un doigt dans le cul. Avec l'autre main il me malaxait toujours les couilles. Si je voulait glisser une main pour le retenir, je n'avais plus d'appui et Pétard en profitait pour appuyer encore plus fort sur ma tête.
Ils s'amusait bien les deux lascars. Remarquez, je jouais aussi avec eux mais moi j'étais le jouet …
Joss crachait pour lubrifier et glissait un deuxième doigt. Il bandait de nouveau le bestiau et la je commençais à comprendre comment ça allait se terminer cette histoire. Je ne cacherai pas que j'avais un peu peur, il en a une vraiment grosse le Joss !
Pétard m'appuyait sur la tête en ne me laissait respirer que quand c'était vraiment nécessaire. Joss me tirait les couilles en me faisait un peu mal et en même temps m'enfonçait deux doigt dans le cul, il les agitait avec vigueur et me tambourinait la prostate sans tendresse, c'est pas un tendre Joss.
Ma queue protestait dans sa cage, Joss s'amusait à appuyer à sa base. Dans ma tête, c'était peut être le manque d’oxygéné, c'était la folie. J'avais le vertige, la tête me tournait, je ne savais même plus si je me sentais bien ou pas. Mon cœur allait exploser, il battait vraiment fort, très fort.
Joss continuait sans se lasser à me glisser quelque chose dans le cul, là il avait lâché mes couilles et j'écartais les cuisses pour qu'elle puissent reprendre leur place normale. Elles se retrouvaient coincées entre mes cuisses, c'était loupé.
Je finissais par comprendre qu'il était rendu à quatre doigts. Ça devait être l'index et le majeur de chaque main. Il les enfonçait le plus profond possible et les agitait. Le plaisir que me procurait ma prostate envahissait rapidement tout mon bas ventre et continuait à grandir.
Pétard me relevait la tête, il me regardait avec un sourire satisfait. Je pouvais enfin gémir, c'est ce que je faisais et c'était de plaisir. Je tremblais également, dans mon ventre c'était un grand plaisir, un immense plaisir, un de ces orgasmes qui dure dans le temps, pas comme celui qu'on éprouve quand on éjacule. Mon visage replongeait vers la queue de Pétard, qui me laissait faire à ce moment. Joss retirait ses doigts de mon cul et me donnait une claque sur la fesse.
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