Weekend à la montagne - Épisode 7 - la fin de la ballade en forêt
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Weekend à la montagne - Épisode 7 - la fin de la ballade en forêt
Weekend à la montagne - Épisode 7 - la fin de la ballade en forêt
- « Répète-le-moi encore » Elle me chuchota à l’oreille.
- « S’il te plait Pauline, enfonce-moi ce stalactite dans le cul… »
C’était impressionnant la réaction que ça lui faisait. Elle rayonnait.
Elle s’était fait un petit piédestal derrière moi en en tassant de la neige. Elle s’était donc installée dans mon dos, sa poitrine dénudée et bouillante collée contre mes omoplates, irradiant sa chaleur à travers tout mon corps. Une de ses mains tenait le stalactite taillé en forme phallique par la bouche de Léa qu’elle faisait glisser sur mon scrotum et mon sexe. Sa deuxième était fermée sur mon cou, m’asphyxiant légèrement, pendant qu’elle jouait avec sa langue sur et dans mon oreille. Maintenant qu’elle m’avait brisé, elle prenait tout son temps. Léa patientait devant moi, nous regardant d’en bas. Je décidais d’activer la télécommande de son sex-toy pour l’encourager, mais c’est Pauline qui poussa un soupir de satisfaction dans mon dos.
- « Oups, il semblerait que la télécommande que je t’ai passée ne soit pas celle de Léa… tant pis pour elle ! Allé, supplie-moi encore une dernière fois…- Maitresse, pitié, pourriez-vous m’enculer avec ce aaaaannnhhh… »
Elle avait commencé à faire entrer son gode lentement mais sans s’arrêter dans mon cul. Léa prit ça pour un top départ et se jeta avidement sur ma queue. Soit elle en crevait d’envie depuis un moment, soit elle voulait me remercier d’avoir choisi cette option là pour elle… Soit elle voulait en finir vite pour aller se mettre au chaud. Probablement un des trois, je ne me hasarderais pas à essayer de deviner. J’étais d’ailleurs un peu occupé.
Dans un premier temps, je ne ressenti finalement que la pénétration. J’étais extrêmement crispé à cause du froid donc ça ne s’est pas fait sans difficulté, mais globalement je commençais à connaitre un peu le concept. C’est dans un deuxième temps que la morsure glacée se fit sentir. Une fois l’objet bien entré dans mon fondement, sans mouvements, l’ensemble se mis à émettre une chaleur qui me brulait de l’intérieur. Je commençais à pousser un long grognement de douleur, frustration, souffrance… un peu de tout.
Pour Pauline, se fut le top départ. Elle plaqua une main sur ma bouche pour étouffer ma complainte, puis commença à me pilonner avec son jouet en donnant de grands à-coups.
- « On ne rentrera pas au chaud avant que tu ne l’ai complètement fondu donc autant commencer à prendre du plaisir mon chou… »
Léa, de son côté, s’activait. Elle utilisait ses mains attachées au niveau de son cou pour me caresser les boules tout en s’activant sur mon sexe. Elle l’enfonçait au fond de sa gorge, donnait des coups de langues, remontait suçoter mon gland en reprenant son souffle, replongeait à nouveau… Malheureusement mon esprit était ailleurs, concentré sur ce glaçon qui tapait au fond, littéralement.
Je criais ouvertement sous la main de Pauline. Dans la confusion, j’appuyais sur tous les boutons de la télécommande ce qui fait sursauter ma tortionnaire, puis la fit gémir de plus belle. Elle avait ses lèvres collées contre mon oreille.
- « C’est bien, continue comme ça… Putain qu’est-ce que tu me fais mouiller à crier comme ça… »
Et après quelques minutes à peine de ce traitement, elle jouit dans un long soupir de satisfaction. Elle ralenti enfin le va et vient, puis immobilisa carrément sa main. Je poussais un sanglot étouffé. Après une minute à tenir le glaçon, elle le lâcha : ma rondelle dégageant apparemment une forte chaleur, celui-ci avait fondu dans une forme de plug et tenait tout seul. Je me débattais pour essayer de m’en débarrasser, mais fut rappeler à l’ordre par Pauline d’une claque sur le cul.
- « Je me libère les mains pour aller t’aider à jouir, si tu en profites pour te débarrasser de ton glaçon je les utilise pour te fouetter avec une branche de sapin ! »
Étant maintenant bien à jour si sa propension à tenir ses promesses aussi sadiques soient-elles, je décidais donc de prendre sur moi en m’astreignant à bouger le moins possible.
Pauline bascula derrière Léa dont je croisais le regard dans lequel on pouvait lire une petite dose de peur. De là, elle agrippa une grande poignée de cheveux et commença à imprimer le mouvement. Elle lui imposait une fellation intense, profonde, qui la laissait régulièrement à bout de souffle.
La vision de ces deux femmes s’activant pour mon plus grand plaisir m’aida à passer le point de bascule.
A y réfléchir, je pense que c’est à ce moment-là, pour la première fois, que j’ai vraiment ressenti ce que j’appelle depuis le point de bascule. Le moment conscient ou la douleur devient… autre chose. Le moment ou le référentiel bascule et ou la douleur se fond dans un sentiment nouveau de normalité. Le Mal devient une forme de sensation accrue, le Bien est démultiplié, l’ensemble du corps humain fait un reboot system et redéfini l’ensemble des paramètres douleur/plaisir.
Et ce moment-là, je l’ai vécu avec Pauline qui forçait une gorge profonde sur Léa. J’ai soudainement oublié le froid. Enfin pas oublié, simplement vécu comme une caresse sur ma peau ou je pouvais sentir chaque follicule pileux s’ouvrir un par un. La sensation glacée dans mon fondement s’est transformée en une impression de plénitude, d’être « rempli ». Et la bouche de Léa irradiait sa chaleur dans tout mon corps… C’était une sensation divine, unique.
Toute poésie mise à part, c’était donc la pipe de ma vie. Pas la peine non plus d’en faire des alexandrins.
J’arrivais enfin à prendre du plaisir, et ça se voyais. Pauline pétrissait les seins de Léa d’une main tout en utilisant la seconde pour imprimer le mouvement. Elle dut voir mon changement car elle me sourit et écrasa le visage de Léa sur mon sexe jusqu’à ce que son nez soit collé contre mon corps.
Pendant une seconde, le temps fut comme figé.
Puis Léa, commença à se débattre pour aspirer de l’air. Sa gorge se contracta plusieurs fois sur mon gland, ce qui me fit basculer dans la jouissance. Pauline tira à cet instant sur les cheveux de sa soumise pour la laisser respirer et je libérais ma semence partout sur le visage d’une Léa qui aspirait de grande goulée d’air… La vision de Léa attachée, en train de reprendre son souffle, le visage couvert de sperme, pendant que Pauline lui caressait les cheveux pour la féliciter était superbe.
A cet instant, le glaçon dans mon cul tomba dans la neige. Je franchis le point de bascule dans l’autre sens et ressenti à nouveau le froid, l’engourdissement, la douleur.
Je fis un genre de black-out sur les secondes, minutes qui suivirent. Lorsque mon esprit se remit à fonctionner correctement, nous étions en train de marcher péniblement dans la neige en direction du chalet. Pauline menait la marche et nous tirais tous les deux par deux cordes attachées à nos poignets. Léa et moi trébuchions dans la neige, collés l’un contre l’autre, à essayer de suivre le rythme et de survivre au froid.
Une heure après, les traces du froid avaient disparu. Nous étions en train de vivre un moment de trêve, tous les 3 dans le jacuzzi du chalet. Les seules traces de mon statut étaient de le retour de ma cage de chasteté, et mes mains attachés symboliquement devant moi.
La matinée et le début d’après-midi que nous avions vécu était un des moments les plus intenses de ma vie, mais je pouvais clairement sentir que ce n’était pas fini…
- « Répète-le-moi encore » Elle me chuchota à l’oreille.
- « S’il te plait Pauline, enfonce-moi ce stalactite dans le cul… »
C’était impressionnant la réaction que ça lui faisait. Elle rayonnait.
Elle s’était fait un petit piédestal derrière moi en en tassant de la neige. Elle s’était donc installée dans mon dos, sa poitrine dénudée et bouillante collée contre mes omoplates, irradiant sa chaleur à travers tout mon corps. Une de ses mains tenait le stalactite taillé en forme phallique par la bouche de Léa qu’elle faisait glisser sur mon scrotum et mon sexe. Sa deuxième était fermée sur mon cou, m’asphyxiant légèrement, pendant qu’elle jouait avec sa langue sur et dans mon oreille. Maintenant qu’elle m’avait brisé, elle prenait tout son temps. Léa patientait devant moi, nous regardant d’en bas. Je décidais d’activer la télécommande de son sex-toy pour l’encourager, mais c’est Pauline qui poussa un soupir de satisfaction dans mon dos.
- « Oups, il semblerait que la télécommande que je t’ai passée ne soit pas celle de Léa… tant pis pour elle ! Allé, supplie-moi encore une dernière fois…- Maitresse, pitié, pourriez-vous m’enculer avec ce aaaaannnhhh… »
Elle avait commencé à faire entrer son gode lentement mais sans s’arrêter dans mon cul. Léa prit ça pour un top départ et se jeta avidement sur ma queue. Soit elle en crevait d’envie depuis un moment, soit elle voulait me remercier d’avoir choisi cette option là pour elle… Soit elle voulait en finir vite pour aller se mettre au chaud. Probablement un des trois, je ne me hasarderais pas à essayer de deviner. J’étais d’ailleurs un peu occupé.
Dans un premier temps, je ne ressenti finalement que la pénétration. J’étais extrêmement crispé à cause du froid donc ça ne s’est pas fait sans difficulté, mais globalement je commençais à connaitre un peu le concept. C’est dans un deuxième temps que la morsure glacée se fit sentir. Une fois l’objet bien entré dans mon fondement, sans mouvements, l’ensemble se mis à émettre une chaleur qui me brulait de l’intérieur. Je commençais à pousser un long grognement de douleur, frustration, souffrance… un peu de tout.
Pour Pauline, se fut le top départ. Elle plaqua une main sur ma bouche pour étouffer ma complainte, puis commença à me pilonner avec son jouet en donnant de grands à-coups.
- « On ne rentrera pas au chaud avant que tu ne l’ai complètement fondu donc autant commencer à prendre du plaisir mon chou… »
Léa, de son côté, s’activait. Elle utilisait ses mains attachées au niveau de son cou pour me caresser les boules tout en s’activant sur mon sexe. Elle l’enfonçait au fond de sa gorge, donnait des coups de langues, remontait suçoter mon gland en reprenant son souffle, replongeait à nouveau… Malheureusement mon esprit était ailleurs, concentré sur ce glaçon qui tapait au fond, littéralement.
Je criais ouvertement sous la main de Pauline. Dans la confusion, j’appuyais sur tous les boutons de la télécommande ce qui fait sursauter ma tortionnaire, puis la fit gémir de plus belle. Elle avait ses lèvres collées contre mon oreille.
- « C’est bien, continue comme ça… Putain qu’est-ce que tu me fais mouiller à crier comme ça… »
Et après quelques minutes à peine de ce traitement, elle jouit dans un long soupir de satisfaction. Elle ralenti enfin le va et vient, puis immobilisa carrément sa main. Je poussais un sanglot étouffé. Après une minute à tenir le glaçon, elle le lâcha : ma rondelle dégageant apparemment une forte chaleur, celui-ci avait fondu dans une forme de plug et tenait tout seul. Je me débattais pour essayer de m’en débarrasser, mais fut rappeler à l’ordre par Pauline d’une claque sur le cul.
- « Je me libère les mains pour aller t’aider à jouir, si tu en profites pour te débarrasser de ton glaçon je les utilise pour te fouetter avec une branche de sapin ! »
Étant maintenant bien à jour si sa propension à tenir ses promesses aussi sadiques soient-elles, je décidais donc de prendre sur moi en m’astreignant à bouger le moins possible.
Pauline bascula derrière Léa dont je croisais le regard dans lequel on pouvait lire une petite dose de peur. De là, elle agrippa une grande poignée de cheveux et commença à imprimer le mouvement. Elle lui imposait une fellation intense, profonde, qui la laissait régulièrement à bout de souffle.
La vision de ces deux femmes s’activant pour mon plus grand plaisir m’aida à passer le point de bascule.
A y réfléchir, je pense que c’est à ce moment-là, pour la première fois, que j’ai vraiment ressenti ce que j’appelle depuis le point de bascule. Le moment conscient ou la douleur devient… autre chose. Le moment ou le référentiel bascule et ou la douleur se fond dans un sentiment nouveau de normalité. Le Mal devient une forme de sensation accrue, le Bien est démultiplié, l’ensemble du corps humain fait un reboot system et redéfini l’ensemble des paramètres douleur/plaisir.
Et ce moment-là, je l’ai vécu avec Pauline qui forçait une gorge profonde sur Léa. J’ai soudainement oublié le froid. Enfin pas oublié, simplement vécu comme une caresse sur ma peau ou je pouvais sentir chaque follicule pileux s’ouvrir un par un. La sensation glacée dans mon fondement s’est transformée en une impression de plénitude, d’être « rempli ». Et la bouche de Léa irradiait sa chaleur dans tout mon corps… C’était une sensation divine, unique.
Toute poésie mise à part, c’était donc la pipe de ma vie. Pas la peine non plus d’en faire des alexandrins.
J’arrivais enfin à prendre du plaisir, et ça se voyais. Pauline pétrissait les seins de Léa d’une main tout en utilisant la seconde pour imprimer le mouvement. Elle dut voir mon changement car elle me sourit et écrasa le visage de Léa sur mon sexe jusqu’à ce que son nez soit collé contre mon corps.
Pendant une seconde, le temps fut comme figé.
Puis Léa, commença à se débattre pour aspirer de l’air. Sa gorge se contracta plusieurs fois sur mon gland, ce qui me fit basculer dans la jouissance. Pauline tira à cet instant sur les cheveux de sa soumise pour la laisser respirer et je libérais ma semence partout sur le visage d’une Léa qui aspirait de grande goulée d’air… La vision de Léa attachée, en train de reprendre son souffle, le visage couvert de sperme, pendant que Pauline lui caressait les cheveux pour la féliciter était superbe.
A cet instant, le glaçon dans mon cul tomba dans la neige. Je franchis le point de bascule dans l’autre sens et ressenti à nouveau le froid, l’engourdissement, la douleur.
Je fis un genre de black-out sur les secondes, minutes qui suivirent. Lorsque mon esprit se remit à fonctionner correctement, nous étions en train de marcher péniblement dans la neige en direction du chalet. Pauline menait la marche et nous tirais tous les deux par deux cordes attachées à nos poignets. Léa et moi trébuchions dans la neige, collés l’un contre l’autre, à essayer de suivre le rythme et de survivre au froid.
Une heure après, les traces du froid avaient disparu. Nous étions en train de vivre un moment de trêve, tous les 3 dans le jacuzzi du chalet. Les seules traces de mon statut étaient de le retour de ma cage de chasteté, et mes mains attachés symboliquement devant moi.
La matinée et le début d’après-midi que nous avions vécu était un des moments les plus intenses de ma vie, mais je pouvais clairement sentir que ce n’était pas fini…
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