La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°221)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
  • • 1756 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 218 943 visites.
Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°221) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 515 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°221)
Voici la rédaction de soumise Mary et exigée par Son Maître :

Voici le sujet : ''Nous sommes le matin 9h. Tu es informé que ton Maître viendra chez toi cet après-midi à 14h. Il sait que tu seras seul (e) chez toi et exige que tu te tiennes prêt (e) à l'accueillir. Comment et que prépares-tu, pour que sa visite soit la plus réussie. Narre les préparatifs et sa venue et la séance de soumission qui suit, laquelle tu réalises avec Lui et heureux (se) de l'effectuer.'' Soyez imaginatifs. A vos claviers - Votre Maître –

Lundi matin, alors que je me trouve en ville, après avoir déposé mes enfants à l'école, je regarde par intuition mon portable. Un SMS, inattendu, celui de Mon Maître, me disant qu'il sera chez moi à 14h. Ah oui ? comme çà, Maître a une envie soudaine de venir, sans crier gare, sans mon avis, sans savoir si je serai seule...Quoique, oui, je lui avais dis quelques jours avant que j'étais en repos et seule dès 12h. Mais, c'est vite une immense joie qui chasse ma "petite colère".

Soudain, 9h sonne au clocher, l'heure n'est plus aux questions, mais de m'organiser, et faire en sorte que mon vénéré Maître soit satisfait de mon accueil. Surtout que 5h passent très vite quand il faut jongler entre entre les priorités familiales et préparer la venue de mon Maître. avant de rentrer chez moi, je profite d'aller acheter un morceau de Beaufort ainsi que quelques tranches de jambon cru du pays, que je servirai en assortiment avec une terrine de pâté "maison". Ouf ! Côté "douceur", j'avais déjà préparé la veille un gâteau au yaourt, certes simple mais tellement délicieux, soit dégusté nature, soit accompagné d'une mousse au chocolat que je m'empresse de faire en rentrant. Côté boisson, je n'ai pas de mal à trouver, dans ma cave, un blanc de pays, mais aussi, une bouteille de Beaujolais Village et un pétillant de cette région si chère à mon maître et à moi. Comme je ne suis pas seule jusqu'à midi, je fais de mon mieux pour ne pas réveiller des questions. Comme si de rien n'était, je fais un rapide ménage : je débarrasse les grandes tables de la salle-à-manger, en souriant à l'idée de leur utilité. Je range au mieux les jouets, ma cuisine, nettoie le sol.

Une fois seule, j'ai juste le temps de me préparer. Vite une douche, je vérifie aussi mon épilation, me parfume et me maquille légèrement car je sais que mon maître apprécie mon côté "naturel" et retient mes cheveux par une pince. Je remet aussi le pendentif où figure ses initiales. Ensuite, en peignoir, je termine les préparatifs : je dresse les couverts, ou plutôt un seul, sachant que si Maître partage la collation, je serai à ses pieds. Dispose l'assortiment charcuterie-fromage, les bouteilles de vin et pétillant, des coupes remplies de mousse au chocolat et le gâteau. De l'autre côté de la table je mets à disposition mon écharpe, une brosse servant de gode, une corde et des liens de serrage trouvés dans l'atelier.

Plus qu'un quart d'heure avant son arrivée. Mon coeur commence à palpiter plus fort et je n'arrive pas à savoir quoi, mais j'ai oublié quelque chose, c'est sûr. J'ôte mon peignoir, tout en réfléchissant, puis m'agenouille, près du bar devant la porte d'entrée de la cuisine, mes mains en offrande. Et c'est là, en me voyant nue, que je me rends compte que je n'ai pas mon collier, ni ma laisse. Vite !!! Je monte à l'étage, les chercher dans leur cachette. Je redescends, me remets à genou, puis attache mon collier à mon coup et pose ma laisse par terre devant moi avant de reprendre ma position d'attente. Mes occupations m'ayant laissé peu de temps à mes émotions de s'exprimer, c'est maintenant que je réalise vraiment le plaisir que j'éprouve alors que mon Maître me fait l'honneur de venir. De plus je sais qu'il aura plus d'un tour dans son sac pour me faire aimer cet instant précieux avec lui.

J'entends des pas, et puis la porte s'ouvre. Je reste en position, soumise, la tête baissée, sans savoir si c'était bien mon Maître. Mais, sentant un regard et en entendant un "bonjour ma belle petite chienne", avec une voix que je reconnaissais parmi d'autres, je lui adresse alors un de mes sourires qu'il affectionne tant. Son regard dominateur sur moi, et me caressant la tête, Maître me félicite pour l'avoir si bien attendu et de ne rien avoir oublié.

Il saisit ensuite ma laisse pour me l'accrocher à mon collier, et me relève le menton pour faire face à son regard bleu si envoutant auquel je souris encore. Il commence à visiter les deux pièces du rez-de-chaussée de la maison, en ma compagnie le suivant à son rythme comme une chienne docile. A chaque arrêt, mon Maître me caresse la tête, mes épaules, le visage, le dos. Il dépose aussi une petite pochette sur la table où j'ai préparer le matériel. Bien sûr, je me questionne sur son contenu. Ensuite, il s'asseoit devant ses couverts et les mets qui sont à sa disposition. Je suis à côté agenouillée et me caressant, il me dit :"va chercher une assiette". Je file à quatre pattes dans la cuisine pour la chercher et la ramener de la même façon, tout en la poussant. Mon Maître me dit : "c'est bien", puis m'attache à la chaise. Il verse dans l'assiette le contenu d'une coupe de mousse au chocolat et ma la dépose devant moi. Il me dit : "vas-y tu peux manger ma petite chienne". Je me baisse, et lape cette mousse pendant que mon maître me caresse ma croupe relevée, mon dos, frôlant le dessus de mon sexe qui commence à mouiller. Oui des sensations de plaisirs se réveille en moi, que j'essaie de contenir. Puis, toujours dans cette position, j'attends que mon maître finisse sa collation non sans avoir partagé avec moi une flûte de pétillant.

Ensuite, il m'emmène, toujours par la laisse, pour s'asseoir sur le canapé. Au passage, il prend mon écharpe ainsi que la petite pochette. Il m'ordonne de me mettre à plat ventre sur ses genoux, mes fesses offertes, puis me bande les yeux avec l'écharpe. J'entends que mon Maître ouvre la pochette qui me questionne tant. Puis me caresse mes seins, me pince et fais vriller fermement mes tétons puis une main caresse entre mes fesses. quelles agréables sensations...puis un doigt, et deux doigts s'insinuent dans ma chatte en me disant : "Tu ne sais pas ce qui t'attends, et tu mouille déjà ...Des petits gémissements s'échappent malgré moi, surtout quand mon maître m'introduit un objet rond, celui de la pochette, sans peine. Je me demande encore ce que c'est, alors que ma réponse ne se fait plus attendre. Cette chose en moi vibre, c'est un oeuf vibrant, qui me chatouille à l'intérieur, me faisant tortiller, que j'essaie de calmer sous les caresses des mains fermes de mon Maître sur mon postérieur.

Puis, tout à coup, une claque tombe sur une fesse, me fait lâcher un petit cri de surprise, je ressens la chaleur de plaisir qu'elle me procure. Puis de nouveau des caresses, qui atténuent ce feu naissant, et de nouveau une claque en alternance sur mes fesses non habituées, mais qui n'en demandaient pas moins. Qu'il a raison Lao Tseu quand il disait : "La fessée est un supplice pour les enfants et un délice pour les adultes." Je ne sais pas combien de claques subissaient mes fesses, mais la chaleur qu'elles dégageaient associées aux vibrations de l'oeuf, je sentais ma jouissance monter. Mon Maître le remarquant me dit : "Je t'interdis de jouir, c'est trop tôt", alors que je sens un doigt préalablement lubrifié de mon nectar titiller et entrer dans mon petit trou faisant quelques va et vient me faisant pincer mes lèvres.

Soudain, mon Maître arrête l'oeuf, le retire, plonge ses doigts dans mon vagin mouillé, puis les retire et les portent à ma bouche afin de me faire goûter mon jus. Il ôte mon écharpe de mes yeux, et exige que je me mette à genoux. Il déboutonne son pantalon et me sort son sexe déjà bien gonflé qu'il m'ordonne de lécher, de sucer comme une bonne petite chienne, pour le faire encore grossir, avant de me conduire au bout de la table.

Puis, Maître me dit de me mettre debout, de me pencher, mon corps plaqué contre le dessus de la table, jambes écartées et mes fesses bien exhibées. Il m'attache avec la corde mes pieds à ceux de la table, puis avec l'écharpe, me lie les mains au dos. ensuite, se tenant derrière moi, je sens mon Maître, prendre possession de ma grotte mouillée, en faisant des grands va-et-vient profonds, tantôt rapide, tantôt plus lents, mais d'une intensité me faisant contracter les parois de mon sexe autour, me provoquant un plaisir intense...mais un "chut, pas encore" m'interdit encore de jouir. Puis mon vénéré Maître, se retire rapidement, écarte mes fesses et présente ce coup-ci son sexe sur mon anus qu'il pénètre non sans m'avoir arraché un cri. Mais j'en peux plus, tellement que les sensations sont intenses , çà me devient de de plus en plus impossible de retenir ma jouissance et je demande à mon Maître : "Maître, m'autorisez-vous enfin à jouir, à m'accorder un orgasme ?" Et entendant un "oui, ma petite chienne, je te l'accorde..." Ouf ! L'orgasme ne se fait pas attendre, je suis envahie de spasmes, de bien-être, mes cris libérant tout ce que je retenais en moi...tout en sentant mon Maître jouir également dans mon fondement.

Après s'être retiré, il me détache, mais laisse mes mains liées dans mon dos. Je me mets à genoux pour lécher et reprendre son sexe à peine ramolli, pour nettoyer le sperme restant. Il me maintient ma nuque pendant que je prenne son membre qui regrossi au plus profond de ma gorge et de nouveau déverse son précieux liquide.

Enfin, je n'oublie pas, agenouillée, tête baissée, de remercier, mon Maître, de m'avoir accorder toute son attention pour moi. Puis nous nous regardons, en révélant nos plus jolis sourires. Avant son départ, nous restons encore un moment enlacés dans le canapé, me laissant bercer par les paroles réconfortantes de mon vénéré et bon Maître et pensant avec tristesse qu'il va falloir se séparer ...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°221)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695) - Récit érotique publié le 24-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1694) - Récit érotique publié le 22-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693) - Récit érotique publié le 20-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1691) - Récit érotique publié le 16-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1690) - Récit érotique publié le 14-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689) - Récit érotique publié le 12-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1688) - Récit érotique publié le 10-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1687) - Récit érotique publié le 08-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1686) - Récit érotique publié le 06-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1685) - Récit érotique publié le 04-07-2022