La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1690)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1690)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1689) -
- Crois-moi salope, tu ne sais pas si bien dire….
Maxence en restait là, sans que je puisse réellement comprendre le sens de ces derniers propos. Très vite, j’allais capter. Les décharges électriques s’intensifiaient et se renforçaient sans relâche, autour de ma nouille et de mes couilles, j’hurlais de douleur alors qu’au même instant le gode plongeait une nouvelle fois dans mon cul, s’enfonçant terriblement jusqu’à ce que celui-ci soit en contact avec ma prostate. Les électrodes cognaient tellement que j’avais l’impression que l’on m’arrachait les couilles, que l’on me brulait ma nouille. Je suppliais, sanglotais, suait, paniquait. Le court moment de répit me laissait à peine le temps de reprendre mon souffle que déjà des chocs terribles faisaient rebondir mes couilles alors qu’elles étaient tenues étranglées dans ce ballstrecher.
- Je suis sûr que tu commences à comprendre, salope… Je suis sûr que tu commences à regretter de porter ces minables boules entre tes cuisses... Les chiennes de ton espèce ne devraient pas en avoir, c’est une erreur de la nature… Tu le sais ça, réponds salope !
- Aaah… Pi…pitié Mon… Monsieur… Aaaaah, je vous….
- Tu ne sembles pas vraiment comprendre ce que j’exige de toi !
Là, sous peu j’allais m’évanouir… tant la douleur était intense et insupportable… Mais à cet instant le gode vibrait de plus en plus au contact de ma glande intime. Je sentais monté le plaisir mais fallait-il encore que je maintienne le cap, que mes couilles puissent contenir ma semence. J’allais exploser, malgré ces électrodes et les coups de cravache que m’assénait Madame Louise.
- Vas-y salope, balance tes souillures, crache ta merde, vide tes couilles !, ordonnait Maxence.
A peine venait-il de finir sa phrase, que j’explosais, mon sperme en abondance jaillissait de mon membre via cette sonde urétrale, éclaboussant mon torse et le sol… Un orgasme foudroyant qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter, avec des vagues de plaisir qui traversaient mon corps, montant de mes bourses pour s’épanouir dans chaque fibre de mon être. J’étais terrassé, laminé, anéanti… vidé…
Quelques heures plus tard, j’étais encore dans le même état, allongé sur le sol, tenu enfermé, dans ces cachots que je commençais à bien connaitre, ceux du Château d’Evans. Walter était venu me récupérer et m’avait conduit directement ici, déposé dans ce lieu, après m’avoir ausculté consciencieusement le cul. Il n’avait fait aucun commentaire, et depuis lors, je me reposais en sommeillant régulièrement. Lorsque la porte s’ouvrit, je ne réagissais pas. Ce fut uniquement lorsque j’entendis ces mots : « A quatre pattes, salope, suis-moi ! » que je me secouais et me ressaisissais. C’était Monsieur le Marquis en personne qui était là, près de moi. Alors, sans une once d’hésitation, je me prosternais en levrette à Ses nobles Pieds et baisais chacune de Ses chaussures. Le Maître me laissait là, ainsi, un long moment, me regardant sans doute de tout Sa hauteur, jusqu’à ce qu’Il m’enjambe, mettant un pied de chaque côté de mon torse. Je ne bougeais pas, lui en revanche attrapait mes lobes fessiers, les écartait et examinait mon cul.
- Magnifique !, s’exclamait-il, ton trou du cul est absolument magnifique, tout rose, comme celui d’un bébé qui vient de naitre. Quelle merveille, te voilà une belle femelle… Aller, à quatre pattes et suis-moi maintenant.
Peu après, je me retrouvais dans Son bureau, à genoux, le dos bien droit, les cuisses écartées, les mains derrière la nuque, le regard bas, face à Lui qui était assis dans un large et confortable fauteuil.
- On m’a dit que tu avais été remarquable, docile et obéissant à souhait, subissant tous les traitements imposés, sans rechigner, avec même toujours une volonté à toute épreuve.
Le Maitre se taisait un instant, je restais sans rien dire, parfaitement immobile, soucieux de rester dans cette humble posture.
- Te voilà femelle, une belle salope toujours prête à se faire démolir et déboiter le cul désormais vaginalisé et parfaitement rosi. Je suis fier de toi ! Oui je dis bien, fier de toi, car peu de soumis esclave sont à même de vivre l’expérience que tu as vécu… Mais je savais que tu avais de bonnes prédispositions ! Les chats ne font pas des canaris… Ton père était comme toi, une véritable salope, une vraie chienne. Lui aussi en son temps a vécu, ce que tu viens de vivre. Lui aussi en a pris des bites dans sa putain de chatte… Très régulièrement, et le plus souvent devant les yeux de ta mère. Elle aussi aimait se faire baiser… mais elle était par nature une femelle soumise, donc quoi de plus normal ! Ton père était à l’origine un mâle, et par Ma seule Volonté, il est devenu une femelle, une véritable salope, toujours le cul vaginalisé, ouvert et tendu, totalement obsédé, acceptant n’importe quelle queue, juste pour le plaisir de la faire juter. C’est ainsi que tu vas vivre désormais, dans l’ombre de ton père…
Je ne réagissais pas. Pourtant ces mots étaient pénibles à entendre… Je ne pouvais pas imaginer mon père autrement que comme celui que j’avais connu, un être sensible, doux, affectueux, toujours attentionné à mon égard.
- Je suis fier de toi, Je te le redis clairement, Ma pute et cette fierté mérite récompense. Tu le sais, je suis toujours juste avec Mes esclaves. Je sais punir mais je sais aussi récompenser…, c’est ainsi. Approche près de Moi, Ma salope d’esclav’alex, viens ici.
Monsieur le Marquis m’indiquait de Son index le lieu où je devais me tenir, c’est-à-dire, entre Ses jambes écartées. J’y allais fièrement, à genoux, gardant mes mains derrière ma nuque. Une fois installé, le Châtelain sortait de Sa poche un collier épais et large en cuir d’une couleur rouge écarlate…
- Tu vois Ma pute de chienne, peu de Mes esclaves portent ce joli collier rouge vif… Trois seulement sont titulaires actuellement de ce privilège, deux soumises-esclaves femelles, et un mâle esclave femellisé. Tu seras donc le quatrième à porter une telle distinction. Tu vois ce collier, regarde-le bien, il est un peu usé, un peu usé car il a été longtemps porté par ton père, lui aussi l’avait reçu de Mes nobles Mains.
Monsieur le Marquis se taisait un instant me voyant gagné par une certaine émotion. Mes joues s’empourpraient, mes yeux rougissaient. Je tremblais.
- Merci Maître !, osais-je dire sans avoir été autorisé à parler.
- Parlons de ce privilège… En fait, ce collier rouge te place au plus bas de la hiérarchie de l’esclavage. Le port de ce collier t’oblige à accepter toute queue bien réelle ou factice dans ta putain de chatte de mâle femellisé, qu’elle soit d’un Dominant ou d’un gode ceinture d’une dominante, mais aussi d’esclave mâle autorisé à t’enculer. Pour ces derniers, ceux autorisés ne portent pas de cage de chasteté, comme par exemple ton futur mari ce bâtard d’esclav’antoine, mais bien d’autres encore ! Cela veut dire qu’à tout moment, tu pourras être pris, enculé, sodomisé et qu’en aucun cas tu ne pourras te soustraire à ces avances et ces assauts. Au contraire, en tout temps et à tout moment, tu devras t’offrir, te donner, t’exhiber pour faciliter l’accès à ton anus vaginalisé. Suis-je bien clair, Ma pute ? Réponds-moi !...
- Oui très clair, Maître.
- Il va sans dire que si ces obligations n’étaient pas respectées, tu repartirais illico-presto chez Madame Louise et Monsieur Maxence, pour un stage beaucoup plus long et beaucoup plus dur. Te voilà prévenu, Ma pute.
Je baissais un peu plus la tête pour renouveler mon acquiescement, alors que le Maitre se redressait et dégrafait la braguette de Son pantalon.
- Seconde récompense, suce-Moi Ma chienne !
Subitement, je me retrouvais au paradis des sens. Les yeux mi-clos, je me donnais tout entier, tout d’abord en léchant puis suçant lentement, très lentement le Joyau du Maître qui commençait à se redresser et durcir. Je fermais les paupières, et sans utiliser mes mains, je faisais glisser ma langue tout le long de Son Sexe bandé, savourant son gout salé et humiliant, avant de le reprendre en bouche et d’offrir au Noble la plus royale des fellations. J’ouvrais alors plus franchement la bouche et prenait le Membre parfaitement dru et tendu sur ma langue, alors qu’une vague de désir m’envahissait. Sans plus penser à une quelconque technique, je me mettais à lécher et sucer le Vit dégoulinant suivant mon instinct primaire de salope soumise. Alors Son Phallus entrait et sortait d’entre mes lèvres jusqu’à ce que le Maître se retire complètement de ma bouche.
- Retourne-toi et donne-moi ta chatte, ma pute.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me positionnais en levrette en écartant largement les cuisses en offrant mon derrière, en me cambrant un maximum, en empoignant de mes deux mains mes fesses afin de les écarter le plus possible. Le Noble, quant à lui, me saisissait par les hanches et Son gland humide et violacé venait caresser mon entrée anale. D’un coup de reins violent, Il m’emmanchait sauvagement, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde. Aussitôt, mon corps flambait, mon mental s’accrochait déjà haut dans un ciel de délire, je ne pouvais plus réfléchir, je ne pouvais plus rien faire d’autre que de désirer Son Chibre au fond de mon cul. Je cherchais désespérément à Lui donner du plaisir en me laissant baiser, mais aussi en allant chercher Sa noble Queue, en faisant coulisser mon cul vaginalisé sur Son Pieu brulant. Je m’offrais, m’ouvrais pour recevoir Sa Verge martelant mon corps à grands coups de reins. Je me perdais alors totalement dans le désir tout en me tortillant et en gémissant, tout en allant chercher Sa volumineuse Hampe en cambrant mieux encore mes hanches. Mon corps comme mon mental se concentraient sur Son Sexe dressé et qui allait et venait en moi, je sentais monter l’orgasme alors que Monsieur le Marquis me pilonnait de plus en plus vite.
Pour contenir mon plaisir, mécaniquement, je contractais mes muscles intimes pour branler davantage cette queue devenue aussitôt plus grosse. Je me laissais ramoner, chacun des coups de butoirs violents au fond de moi me rendaient plus chienne, chacun des mouvements de hanches, injectaient des éclairs sensationnels de bonheur et de plaisir dans tout mon ventre, éclairs qui me traversaient le corps de la tête aux pieds. Je me laissais saillir comme la chienne en chaleur que j’étais devenue, comme un jouet alors que les mains du Maitre s’agrippaient à mes hanches, pétrissaient mes fesses avec férocité, pour que je puisse ressentir Sa Domination, Sa totale Domination ! Monsieur le Marquis imposait toute Sa force et Sa personnalité à mon corps faible et vaincu, brisant ainsi mes dernières défenses. Son Joyau féroce éradiquait mon passé, pour ne laisser qu’un futur d’esclavage et de déprave sexuelle. Les hanches du Maître frappaient contre mes fesses, j’entendais Son souffle rauque, quelques gémissements, je sentais le plaisir tonitruant monter, il résonnait en moi comme un tambour depuis mon cul, entre mes hanches jusqu’à mon cerveau. Je résistais encore, alors que le Châtelain libérait Sa précieuse semence de sperme abondante, tiède et crémeuse dans mon antre, par de longs jets puissants qui me brulaient le ventre.
- Jouis salope, là maintenant !, ordonnait le Maître.
Son dernier petit coup de reins, juste au bon endroit, juste sur ma prostate, m’emportait. Je giclais violemment envoyant mon foutre sur le carrelage froid, alors que le Maître déculait et me tendait Son Membre pour que ma langue le nettoie...
(A suivre…)
- Crois-moi salope, tu ne sais pas si bien dire….
Maxence en restait là, sans que je puisse réellement comprendre le sens de ces derniers propos. Très vite, j’allais capter. Les décharges électriques s’intensifiaient et se renforçaient sans relâche, autour de ma nouille et de mes couilles, j’hurlais de douleur alors qu’au même instant le gode plongeait une nouvelle fois dans mon cul, s’enfonçant terriblement jusqu’à ce que celui-ci soit en contact avec ma prostate. Les électrodes cognaient tellement que j’avais l’impression que l’on m’arrachait les couilles, que l’on me brulait ma nouille. Je suppliais, sanglotais, suait, paniquait. Le court moment de répit me laissait à peine le temps de reprendre mon souffle que déjà des chocs terribles faisaient rebondir mes couilles alors qu’elles étaient tenues étranglées dans ce ballstrecher.
- Je suis sûr que tu commences à comprendre, salope… Je suis sûr que tu commences à regretter de porter ces minables boules entre tes cuisses... Les chiennes de ton espèce ne devraient pas en avoir, c’est une erreur de la nature… Tu le sais ça, réponds salope !
- Aaah… Pi…pitié Mon… Monsieur… Aaaaah, je vous….
- Tu ne sembles pas vraiment comprendre ce que j’exige de toi !
Là, sous peu j’allais m’évanouir… tant la douleur était intense et insupportable… Mais à cet instant le gode vibrait de plus en plus au contact de ma glande intime. Je sentais monté le plaisir mais fallait-il encore que je maintienne le cap, que mes couilles puissent contenir ma semence. J’allais exploser, malgré ces électrodes et les coups de cravache que m’assénait Madame Louise.
- Vas-y salope, balance tes souillures, crache ta merde, vide tes couilles !, ordonnait Maxence.
A peine venait-il de finir sa phrase, que j’explosais, mon sperme en abondance jaillissait de mon membre via cette sonde urétrale, éclaboussant mon torse et le sol… Un orgasme foudroyant qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter, avec des vagues de plaisir qui traversaient mon corps, montant de mes bourses pour s’épanouir dans chaque fibre de mon être. J’étais terrassé, laminé, anéanti… vidé…
Quelques heures plus tard, j’étais encore dans le même état, allongé sur le sol, tenu enfermé, dans ces cachots que je commençais à bien connaitre, ceux du Château d’Evans. Walter était venu me récupérer et m’avait conduit directement ici, déposé dans ce lieu, après m’avoir ausculté consciencieusement le cul. Il n’avait fait aucun commentaire, et depuis lors, je me reposais en sommeillant régulièrement. Lorsque la porte s’ouvrit, je ne réagissais pas. Ce fut uniquement lorsque j’entendis ces mots : « A quatre pattes, salope, suis-moi ! » que je me secouais et me ressaisissais. C’était Monsieur le Marquis en personne qui était là, près de moi. Alors, sans une once d’hésitation, je me prosternais en levrette à Ses nobles Pieds et baisais chacune de Ses chaussures. Le Maître me laissait là, ainsi, un long moment, me regardant sans doute de tout Sa hauteur, jusqu’à ce qu’Il m’enjambe, mettant un pied de chaque côté de mon torse. Je ne bougeais pas, lui en revanche attrapait mes lobes fessiers, les écartait et examinait mon cul.
- Magnifique !, s’exclamait-il, ton trou du cul est absolument magnifique, tout rose, comme celui d’un bébé qui vient de naitre. Quelle merveille, te voilà une belle femelle… Aller, à quatre pattes et suis-moi maintenant.
Peu après, je me retrouvais dans Son bureau, à genoux, le dos bien droit, les cuisses écartées, les mains derrière la nuque, le regard bas, face à Lui qui était assis dans un large et confortable fauteuil.
- On m’a dit que tu avais été remarquable, docile et obéissant à souhait, subissant tous les traitements imposés, sans rechigner, avec même toujours une volonté à toute épreuve.
Le Maitre se taisait un instant, je restais sans rien dire, parfaitement immobile, soucieux de rester dans cette humble posture.
- Te voilà femelle, une belle salope toujours prête à se faire démolir et déboiter le cul désormais vaginalisé et parfaitement rosi. Je suis fier de toi ! Oui je dis bien, fier de toi, car peu de soumis esclave sont à même de vivre l’expérience que tu as vécu… Mais je savais que tu avais de bonnes prédispositions ! Les chats ne font pas des canaris… Ton père était comme toi, une véritable salope, une vraie chienne. Lui aussi en son temps a vécu, ce que tu viens de vivre. Lui aussi en a pris des bites dans sa putain de chatte… Très régulièrement, et le plus souvent devant les yeux de ta mère. Elle aussi aimait se faire baiser… mais elle était par nature une femelle soumise, donc quoi de plus normal ! Ton père était à l’origine un mâle, et par Ma seule Volonté, il est devenu une femelle, une véritable salope, toujours le cul vaginalisé, ouvert et tendu, totalement obsédé, acceptant n’importe quelle queue, juste pour le plaisir de la faire juter. C’est ainsi que tu vas vivre désormais, dans l’ombre de ton père…
Je ne réagissais pas. Pourtant ces mots étaient pénibles à entendre… Je ne pouvais pas imaginer mon père autrement que comme celui que j’avais connu, un être sensible, doux, affectueux, toujours attentionné à mon égard.
- Je suis fier de toi, Je te le redis clairement, Ma pute et cette fierté mérite récompense. Tu le sais, je suis toujours juste avec Mes esclaves. Je sais punir mais je sais aussi récompenser…, c’est ainsi. Approche près de Moi, Ma salope d’esclav’alex, viens ici.
Monsieur le Marquis m’indiquait de Son index le lieu où je devais me tenir, c’est-à-dire, entre Ses jambes écartées. J’y allais fièrement, à genoux, gardant mes mains derrière ma nuque. Une fois installé, le Châtelain sortait de Sa poche un collier épais et large en cuir d’une couleur rouge écarlate…
- Tu vois Ma pute de chienne, peu de Mes esclaves portent ce joli collier rouge vif… Trois seulement sont titulaires actuellement de ce privilège, deux soumises-esclaves femelles, et un mâle esclave femellisé. Tu seras donc le quatrième à porter une telle distinction. Tu vois ce collier, regarde-le bien, il est un peu usé, un peu usé car il a été longtemps porté par ton père, lui aussi l’avait reçu de Mes nobles Mains.
Monsieur le Marquis se taisait un instant me voyant gagné par une certaine émotion. Mes joues s’empourpraient, mes yeux rougissaient. Je tremblais.
- Merci Maître !, osais-je dire sans avoir été autorisé à parler.
- Parlons de ce privilège… En fait, ce collier rouge te place au plus bas de la hiérarchie de l’esclavage. Le port de ce collier t’oblige à accepter toute queue bien réelle ou factice dans ta putain de chatte de mâle femellisé, qu’elle soit d’un Dominant ou d’un gode ceinture d’une dominante, mais aussi d’esclave mâle autorisé à t’enculer. Pour ces derniers, ceux autorisés ne portent pas de cage de chasteté, comme par exemple ton futur mari ce bâtard d’esclav’antoine, mais bien d’autres encore ! Cela veut dire qu’à tout moment, tu pourras être pris, enculé, sodomisé et qu’en aucun cas tu ne pourras te soustraire à ces avances et ces assauts. Au contraire, en tout temps et à tout moment, tu devras t’offrir, te donner, t’exhiber pour faciliter l’accès à ton anus vaginalisé. Suis-je bien clair, Ma pute ? Réponds-moi !...
- Oui très clair, Maître.
- Il va sans dire que si ces obligations n’étaient pas respectées, tu repartirais illico-presto chez Madame Louise et Monsieur Maxence, pour un stage beaucoup plus long et beaucoup plus dur. Te voilà prévenu, Ma pute.
Je baissais un peu plus la tête pour renouveler mon acquiescement, alors que le Maitre se redressait et dégrafait la braguette de Son pantalon.
- Seconde récompense, suce-Moi Ma chienne !
Subitement, je me retrouvais au paradis des sens. Les yeux mi-clos, je me donnais tout entier, tout d’abord en léchant puis suçant lentement, très lentement le Joyau du Maître qui commençait à se redresser et durcir. Je fermais les paupières, et sans utiliser mes mains, je faisais glisser ma langue tout le long de Son Sexe bandé, savourant son gout salé et humiliant, avant de le reprendre en bouche et d’offrir au Noble la plus royale des fellations. J’ouvrais alors plus franchement la bouche et prenait le Membre parfaitement dru et tendu sur ma langue, alors qu’une vague de désir m’envahissait. Sans plus penser à une quelconque technique, je me mettais à lécher et sucer le Vit dégoulinant suivant mon instinct primaire de salope soumise. Alors Son Phallus entrait et sortait d’entre mes lèvres jusqu’à ce que le Maître se retire complètement de ma bouche.
- Retourne-toi et donne-moi ta chatte, ma pute.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me positionnais en levrette en écartant largement les cuisses en offrant mon derrière, en me cambrant un maximum, en empoignant de mes deux mains mes fesses afin de les écarter le plus possible. Le Noble, quant à lui, me saisissait par les hanches et Son gland humide et violacé venait caresser mon entrée anale. D’un coup de reins violent, Il m’emmanchait sauvagement, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde. Aussitôt, mon corps flambait, mon mental s’accrochait déjà haut dans un ciel de délire, je ne pouvais plus réfléchir, je ne pouvais plus rien faire d’autre que de désirer Son Chibre au fond de mon cul. Je cherchais désespérément à Lui donner du plaisir en me laissant baiser, mais aussi en allant chercher Sa noble Queue, en faisant coulisser mon cul vaginalisé sur Son Pieu brulant. Je m’offrais, m’ouvrais pour recevoir Sa Verge martelant mon corps à grands coups de reins. Je me perdais alors totalement dans le désir tout en me tortillant et en gémissant, tout en allant chercher Sa volumineuse Hampe en cambrant mieux encore mes hanches. Mon corps comme mon mental se concentraient sur Son Sexe dressé et qui allait et venait en moi, je sentais monter l’orgasme alors que Monsieur le Marquis me pilonnait de plus en plus vite.
Pour contenir mon plaisir, mécaniquement, je contractais mes muscles intimes pour branler davantage cette queue devenue aussitôt plus grosse. Je me laissais ramoner, chacun des coups de butoirs violents au fond de moi me rendaient plus chienne, chacun des mouvements de hanches, injectaient des éclairs sensationnels de bonheur et de plaisir dans tout mon ventre, éclairs qui me traversaient le corps de la tête aux pieds. Je me laissais saillir comme la chienne en chaleur que j’étais devenue, comme un jouet alors que les mains du Maitre s’agrippaient à mes hanches, pétrissaient mes fesses avec férocité, pour que je puisse ressentir Sa Domination, Sa totale Domination ! Monsieur le Marquis imposait toute Sa force et Sa personnalité à mon corps faible et vaincu, brisant ainsi mes dernières défenses. Son Joyau féroce éradiquait mon passé, pour ne laisser qu’un futur d’esclavage et de déprave sexuelle. Les hanches du Maître frappaient contre mes fesses, j’entendais Son souffle rauque, quelques gémissements, je sentais le plaisir tonitruant monter, il résonnait en moi comme un tambour depuis mon cul, entre mes hanches jusqu’à mon cerveau. Je résistais encore, alors que le Châtelain libérait Sa précieuse semence de sperme abondante, tiède et crémeuse dans mon antre, par de longs jets puissants qui me brulaient le ventre.
- Jouis salope, là maintenant !, ordonnait le Maître.
Son dernier petit coup de reins, juste au bon endroit, juste sur ma prostate, m’emportait. Je giclais violemment envoyant mon foutre sur le carrelage froid, alors que le Maître déculait et me tendait Son Membre pour que ma langue le nettoie...
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