La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1692) -
Chapitre 54 bis : Estelle, naissance d’une salope soumise –
- Viens, viens baiser Mes nobles Pieds, Ma pute...
Sans une once d’hésitation, je sortais de cet endroit étroit et allait à quatre pattes rejoindre les protagonistes, puis me prosternais devant le Maître, dos bien cambré, cuisses écartées, cul offert et encore bien ouvert, après mon passage dans ce pervers distributeur. Peu après, Monsieur le Marquis me débarrassait de ce bâillon boule et soulevait mon menton avec la paume de sa main. Il me regardait droit dans les yeux avec un œil fier, un sourire altier.
- Dis-moi, Ma chienne, es-tu une salope ?… Parle, Je t’y autorise !, m’ordonnait-il- Oui Maître, je suis Votre salope.
- Es-tu heureux d’être une salope, Ma salope ?
- Oh oui Maître, heureux et fier d’être Votre salope et de Vous appartenir, Maître.
- Aimerais-tu une autre vie que celle que Je t’impose ?
- Oh non Maître. répondis-je sans le moindre atermoiement.
- C’est bien Ma pute… reste là, à quatre pattes près de Moi.
Le Châtelain se redressait, puis regardait la belle, tremblante aux joues écarlates. Les yeux d’Estelle n’avaient de cesse de balayer mon corps nu et offert.
- Je suis certain, petite salope, que tu aimerais être à la place de Ma pute !, reprenait le Maître en me désignant de Son index.
- Oh non… pas ça !, répondait Estelle affolée.
- Ici, ceux sous Mon joug, ne parle que lorsqu’ils y sont autorisés- Je ne suis pas sous Votre joug…, répondait éhontée, Estelle- Tais-toi petite garce !, ordonnait sa Tante.
- Elle a raison ma chère Alice, elle n’est pas encore sous Mon joug… Mais sans doute va-t-elle le devenir, sinon elle serait déjà partie, tantôt quand je lui en ai donné l’occasion à défaut d’avouer pour les vidéo D/s… Donc elle le sera sous peu… Et il est préférable, pour elle, qu’elle sache…, reprenait le Maître très posément avant de rajouter à l’attention d’Alice : Je vois bien qu’elle est excitée, ses tétons pointent sous l’étoffe de sa robe, je suis même prêt à parier que sa chatte ruisselle. Montre-nous ta chatte ?
- Non, je ne veux pas !
Une autre paire de gifles vola :
- Avec Moi, une soumise, même en devenir, ne doit pas employer le verbe vouloir ! Elle peut souhaiter mais pas vouloir. C’est le Maître qui veut ! Et pas l’inverse ! Alors reformule ta réponse, salope !
- Non, je ne souhaite pas !, répliqua-t-elle mais sans se sauver, restant bien en place, ce qui ne trompait pas le Noble de la suite !
Une autre paire de gifles vola :
- Non, je ne souhaite pas, qui ?
- Non, je ne souhaite pas, Monsieur le Marquis, se reprenait la belle Estelle toujours en restant bien en place et visiblement excitée de la situation
- Tu en as très envie pourtant.
- Non, Monsieur le Marquis !
- Ne te mens pas encore, ça ne prend pas avec Moi ! Et obéis, petite salope ! Montre-nous ta chatte, j’ai dit !, ordonnait cette fois-ci le Maître avec beaucoup plus de sévérité dans le ton.
Je n’en revenais pas ! Le Noble avec Son Charisme extraordinaire, Sa force innée de Persuasion, avec Son Charme et Son Magnétisme hors norme, Sa Domination tellement naturelle, obtenait ce qu’il venait d’exiger. Subjuguée, comme envoutée ou ensorcelée, la jeune Estelle fort excitée, à ne pas douter, portait ses bras derrière sa nuque et dénouait cette robe qui aussitôt lui tombait aux pieds. Sans rien dire d’autre, seulement en la dévisageant encore et toujours en la regardant droit dans les yeux, le Maître obtint qu’elle baisse sa culotte à ses genoux, qu’elle se débarrasse de son soutien-gorge.
- Ta tante avait raison… tu es une vraie et belle salope… J’avais raison… tu ruisselles ! Regarde cette cyprine qui coule de ta fente, regarde tes cuisses, petite chienne en chaleur !
Estelle baissait les yeux, posait ses deux mains sur son pubis.
- Je ne vois pas grand-chose, avec tous ces poils, montre-toi mieux que ça, l’intérieur aussi !, ordonnait le Châtelain.
Honteusement résignée, elle écartait ses poils de part et d’autre de ses lèvres sexuelles et mettait en pleine lumière ses muqueuses, restant ainsi exposée, alors que son sexe suintait allègrement. En proie à une fascination horrible, Je ne pouvais détacher mes yeux de cette chatte luisante et maintenue écartée, de l’indécence de son pubis bestialement gonflé, avec ces touffes de poils blonds frisés, certains collés et englués de mouille, avec ses reins creusés. Un désir inattendu me faisait rougir, à l’idée de cette chair disponible devant moi, l’envie m’était venue de prendre Estelle en un coït profond. Etrange sensation, moi qui était attiré uniquement par les hommes !
- Oui salope, écarte-toi, montre-nous bien ta fente, montre-nous ton petit bouton tendu !, exigeait le Maître.
Et Estelle, yeux fermés, s’exécutait, sans plus contester, sans plus manifester une quelconque indignation. Ses seins nus, à la peau très blanche et aux larges lunules roses ballottaient. Elle se passait la langue sur ses lèvres.
- Montre-nous comment tu t’y prends pour branler ton petit minou et ton clito.
Immédiatement Estelle commençait à gémir et à se trémousser. Le bruit visqueux de sa main faisant des allers-retours sur et dans son orifice, l’odeur entêtante de cette nudité et de ce sexe fort trempé à l’air, de cette mouille sortant de cette fente m’échauffait. Je sentais mon cerveau s’engourdir, ma nouille se gonfler, mon cul de nouveau palpitait. Maintenant Estelle criait, gémissait sous l’impact de ses doigts glissant sur son sexe luisant, poisseux, chaud, brulant, son visage révulsé se congestionnait. Elle écartait les cuisses et laissait apparaitre son gros bouton tendu, et son vagin entre ses chairs roses, elle poussait de petits cris rauques. Elle n’éprouvait ni honte, ni dégoût, elle s’appliquait, mouillait, inondait sa main qui s’agitait de plus en plus rapidement.
- Arrête-toi salope, je t’ai exigé de nous montrer comment tu faisais pour te branler, je ne t’ai pas exigé de jouir, dictait le Maître.
- Oh non, Monsieur le Marquis … Laissez-moi jouir, s’il vous plait !, suppliait-elle…- Tais-toi salope et obéis, c’est en obéissant que tu jouiras !, reprenait sa tante en giflant violemment Estelle
Celle-ci bondissait
- Tu n’as pas le droit de me gifler !, houspillait Estelle envers sa tante, toute en essayant de se revêtir.
Sauf que le Maitre l’en empêchait. Il reprenait la conversation très posément, très calmement, en lui tenant le menton entre son pouce et son index :
- Et Moi, je t’ai pourtant bien giflé et même plusieurs fois, j’en ai le droit, alors ? Puisque tu ne t’es pas rebellée sous Mes claques !
- Heu… Vous Monsieur le Marquis, ce n’est pas pareil …- Ah ? Et pourquoi donc, que ce n’est pas pareil ?
- Heu… parce que … balbutiait la belle tout en stoppant sa phrase par timidité rougissante.
- Parce que … quoi ?
- Parce que … J’aime quand Vous me giflez, ça m’excite beaucoup même ! Monsieur le Marquis !
- C’est bien ce qui Me semblait, mais je voulais te le faire avouer !... Alors continuons ! Maintenant, écarte-toi, cambre-toi, montre-moi ton cul… Est-il vierge ce cul ?
- Cette salope est vierge de tout côté, mon cher Edouard !, repris la tante.
- C’est vrai ça, tu n’as jamais pris de bite ?, questionnait toujours le Maitre
Estelle faisait une moue boudeuse, serrant les lèvres, regardant furieusement sa tante, jetais un œil sévère à Monsieur le Marquis mais sans le regarder dans les yeux, elle baissait la tête dans une visible bouderie. Toujours impassible, le Maitre la relâchait en lui disant :
- C’est dommage, bien dommage de te voir ainsi bouder. Moi qui voulait te donner plus de plaisir que tu n’en prends en te masturbant ! Sois douce Ma belle, offre-toi comme Je l’exige… Donne-Moi ta chatte, donne-Moi ton cul afin que je vérifie si ce que dit ta tante est vrai !
Et là encore, Estelle lâchait prise, visiblement sous l’Influence, l’Emprise et la Domination naturelle exercées par Monsieur le Marquis. Elle le savait, toute résistance était vaine, alors elle s’écartait, ouvrait les cuisses, cambrait ses reins, abandonnant sa mauvaise humeur affichée, alors qu’au fond d’elle-même, elle ne rêvait en réalité que de cela, se faire prendre par le Noble. Elle poussait alors un cri rauque lorsque le majeur gauche du Châtelain pénétrait sa vulve, alors que le majeur droit humidifié par ma salive, testait l’élasticité de son anus, le palpant doucement, tournant autour de son anus, l’insinuant au centre, en le faisant tourner sur lui-même. Le sphincter résistait, le doigt s’enfonçait délicatement et légèrement alors qu’Estelle se cabrait en gémissant et en hurlant :
- Aïe… Vous me faites mal !
- Ne contracte pas ton cul, détends-toi, pousse sur mon doigt, empale-toi doucement. Attends… ne bouge pas. Attends, attends... je vais te faciliter la tâche.
A cet instant, j’étais saisi par ma chevelure, Monsieur le Marquis plaçait mon visage entre ces deux lobes fessiers qu’il maintenait écartés. Je savais ce qu’il me restait à faire, sans qu’un ordre ne me soit donné. Ma langue avec empressement badigeonnait cet anus de ma salive, je forçais l’entrée chaude et odorante, reprenait mon souffle avant de m’engouffrer de nouveau dans ce sillon anal, pour cette fois-ci, pénétrer délicatement l’œillet flétrie d’Estelle de mon appendice buccal. Elle poussait un cri étranglé tout en se trémoussant sous ma bouche, tout en s’inclinant légèrement, tout en empoignant et écartant elle-même ses fesses pour me laisser davantage accès à cette corolle flétrie. Sous mes yeux, son anus s’entrouvrait, laissant apparaitre un anneau de muqueuses roses très serrés, très contracté. Mais subitement, sans la moindre considération, j’étais dégagé de ce cul, alors qu’Alice prenait le relais, empoignant les fesses d’Estelle, écartant sa raie désormais humidifiée, pleine de salive.
- Voilà, mon cher Edouard, vous pouvez voir qu’elle est toute neuve du trou du cul, je m’en suis assurée.
Monsieur le Marquis confirmait en constatant :
- Oui, le sphincter résiste, je vois qu’elle est très sensible de ce trou-là.
J’allais être de nouveau utilisé… J’étais posté, à genoux, devant cette chatte brulante. Entre les longs poils blonds tout collés, une grande échancrure rose bâillait, engluée de mouilles, avec des fines lèvres sexuelles gonflées et rouges, aux arêtes déchiquetées. Un long clitoris écarlate se tendait hors des nymphes. Des gouttes poisseuses perlaient au bord du vagin. Une odeur aigre de femelle chaude s’en dégageait.
- Bouffe-là !, m’ordonnait le Maître, sans autre commentaire.
J’obéissais sur le champ et enfonçais ma langue dans cette fente baveuse et gonflée. Je léchais la pointe de ce clitoris sorti. Je l’aspirai, le suçais tout en gémissant. Au comble de l’excitation, car oui j’étais excité tout autant qu’Estelle, je furetais aux abords du vagin qui s’ouvrait sous la poussée de ma langue. Les mâchoires endolories, j’aspirais de nouveau son bouton puis le léchais avec frénésie. Sous mon ventre, entre mes jambes ma nouille et mon cul pulsait, du bout de ma queue s’échappait un filament de précum qui pendait d’entre mes cuisses. En proie à un envoûtement horrible, je ne pouvais détacher ma bouche de ce sexe enflé, aux poils barbouillés de ma salive et de sa mouille. Son long clitoris rosi frémissait à chacun de mes coups de langue. Je sentais sous mon appendice ses muqueuses internes striées et gluantes, son vagin s’ouvrait par spasmes, expulsant des coulées de liquide, envahissant ma bouche, me poissant la langue, me barbouillant le visage. J’avalais autant que possible et m’excitait par les odeurs de cette chatte échauffée qui faisaient palpiter mes narines. La jeune fille, à peine majeure depuis peu, empruntée au départ avait cédé la place à une salope soumise déchainée. Elle se laissait brouter, alors que le Maitre glissait un second doigt dans son fion surchauffé. Alors qu’elle se laissait palper les seins par sa tante. Peu après, un râle à la fois rauque et aigu sortait de sa gorge. Elle jouissait bruyamment en m’expédiant un flot de cyprine sur mon nez, ma bouche et mon menton…
(A suivre…)
Chapitre 54 bis : Estelle, naissance d’une salope soumise –
- Viens, viens baiser Mes nobles Pieds, Ma pute...
Sans une once d’hésitation, je sortais de cet endroit étroit et allait à quatre pattes rejoindre les protagonistes, puis me prosternais devant le Maître, dos bien cambré, cuisses écartées, cul offert et encore bien ouvert, après mon passage dans ce pervers distributeur. Peu après, Monsieur le Marquis me débarrassait de ce bâillon boule et soulevait mon menton avec la paume de sa main. Il me regardait droit dans les yeux avec un œil fier, un sourire altier.
- Dis-moi, Ma chienne, es-tu une salope ?… Parle, Je t’y autorise !, m’ordonnait-il- Oui Maître, je suis Votre salope.
- Es-tu heureux d’être une salope, Ma salope ?
- Oh oui Maître, heureux et fier d’être Votre salope et de Vous appartenir, Maître.
- Aimerais-tu une autre vie que celle que Je t’impose ?
- Oh non Maître. répondis-je sans le moindre atermoiement.
- C’est bien Ma pute… reste là, à quatre pattes près de Moi.
Le Châtelain se redressait, puis regardait la belle, tremblante aux joues écarlates. Les yeux d’Estelle n’avaient de cesse de balayer mon corps nu et offert.
- Je suis certain, petite salope, que tu aimerais être à la place de Ma pute !, reprenait le Maître en me désignant de Son index.
- Oh non… pas ça !, répondait Estelle affolée.
- Ici, ceux sous Mon joug, ne parle que lorsqu’ils y sont autorisés- Je ne suis pas sous Votre joug…, répondait éhontée, Estelle- Tais-toi petite garce !, ordonnait sa Tante.
- Elle a raison ma chère Alice, elle n’est pas encore sous Mon joug… Mais sans doute va-t-elle le devenir, sinon elle serait déjà partie, tantôt quand je lui en ai donné l’occasion à défaut d’avouer pour les vidéo D/s… Donc elle le sera sous peu… Et il est préférable, pour elle, qu’elle sache…, reprenait le Maître très posément avant de rajouter à l’attention d’Alice : Je vois bien qu’elle est excitée, ses tétons pointent sous l’étoffe de sa robe, je suis même prêt à parier que sa chatte ruisselle. Montre-nous ta chatte ?
- Non, je ne veux pas !
Une autre paire de gifles vola :
- Avec Moi, une soumise, même en devenir, ne doit pas employer le verbe vouloir ! Elle peut souhaiter mais pas vouloir. C’est le Maître qui veut ! Et pas l’inverse ! Alors reformule ta réponse, salope !
- Non, je ne souhaite pas !, répliqua-t-elle mais sans se sauver, restant bien en place, ce qui ne trompait pas le Noble de la suite !
Une autre paire de gifles vola :
- Non, je ne souhaite pas, qui ?
- Non, je ne souhaite pas, Monsieur le Marquis, se reprenait la belle Estelle toujours en restant bien en place et visiblement excitée de la situation
- Tu en as très envie pourtant.
- Non, Monsieur le Marquis !
- Ne te mens pas encore, ça ne prend pas avec Moi ! Et obéis, petite salope ! Montre-nous ta chatte, j’ai dit !, ordonnait cette fois-ci le Maître avec beaucoup plus de sévérité dans le ton.
Je n’en revenais pas ! Le Noble avec Son Charisme extraordinaire, Sa force innée de Persuasion, avec Son Charme et Son Magnétisme hors norme, Sa Domination tellement naturelle, obtenait ce qu’il venait d’exiger. Subjuguée, comme envoutée ou ensorcelée, la jeune Estelle fort excitée, à ne pas douter, portait ses bras derrière sa nuque et dénouait cette robe qui aussitôt lui tombait aux pieds. Sans rien dire d’autre, seulement en la dévisageant encore et toujours en la regardant droit dans les yeux, le Maître obtint qu’elle baisse sa culotte à ses genoux, qu’elle se débarrasse de son soutien-gorge.
- Ta tante avait raison… tu es une vraie et belle salope… J’avais raison… tu ruisselles ! Regarde cette cyprine qui coule de ta fente, regarde tes cuisses, petite chienne en chaleur !
Estelle baissait les yeux, posait ses deux mains sur son pubis.
- Je ne vois pas grand-chose, avec tous ces poils, montre-toi mieux que ça, l’intérieur aussi !, ordonnait le Châtelain.
Honteusement résignée, elle écartait ses poils de part et d’autre de ses lèvres sexuelles et mettait en pleine lumière ses muqueuses, restant ainsi exposée, alors que son sexe suintait allègrement. En proie à une fascination horrible, Je ne pouvais détacher mes yeux de cette chatte luisante et maintenue écartée, de l’indécence de son pubis bestialement gonflé, avec ces touffes de poils blonds frisés, certains collés et englués de mouille, avec ses reins creusés. Un désir inattendu me faisait rougir, à l’idée de cette chair disponible devant moi, l’envie m’était venue de prendre Estelle en un coït profond. Etrange sensation, moi qui était attiré uniquement par les hommes !
- Oui salope, écarte-toi, montre-nous bien ta fente, montre-nous ton petit bouton tendu !, exigeait le Maître.
Et Estelle, yeux fermés, s’exécutait, sans plus contester, sans plus manifester une quelconque indignation. Ses seins nus, à la peau très blanche et aux larges lunules roses ballottaient. Elle se passait la langue sur ses lèvres.
- Montre-nous comment tu t’y prends pour branler ton petit minou et ton clito.
Immédiatement Estelle commençait à gémir et à se trémousser. Le bruit visqueux de sa main faisant des allers-retours sur et dans son orifice, l’odeur entêtante de cette nudité et de ce sexe fort trempé à l’air, de cette mouille sortant de cette fente m’échauffait. Je sentais mon cerveau s’engourdir, ma nouille se gonfler, mon cul de nouveau palpitait. Maintenant Estelle criait, gémissait sous l’impact de ses doigts glissant sur son sexe luisant, poisseux, chaud, brulant, son visage révulsé se congestionnait. Elle écartait les cuisses et laissait apparaitre son gros bouton tendu, et son vagin entre ses chairs roses, elle poussait de petits cris rauques. Elle n’éprouvait ni honte, ni dégoût, elle s’appliquait, mouillait, inondait sa main qui s’agitait de plus en plus rapidement.
- Arrête-toi salope, je t’ai exigé de nous montrer comment tu faisais pour te branler, je ne t’ai pas exigé de jouir, dictait le Maître.
- Oh non, Monsieur le Marquis … Laissez-moi jouir, s’il vous plait !, suppliait-elle…- Tais-toi salope et obéis, c’est en obéissant que tu jouiras !, reprenait sa tante en giflant violemment Estelle
Celle-ci bondissait
- Tu n’as pas le droit de me gifler !, houspillait Estelle envers sa tante, toute en essayant de se revêtir.
Sauf que le Maitre l’en empêchait. Il reprenait la conversation très posément, très calmement, en lui tenant le menton entre son pouce et son index :
- Et Moi, je t’ai pourtant bien giflé et même plusieurs fois, j’en ai le droit, alors ? Puisque tu ne t’es pas rebellée sous Mes claques !
- Heu… Vous Monsieur le Marquis, ce n’est pas pareil …- Ah ? Et pourquoi donc, que ce n’est pas pareil ?
- Heu… parce que … balbutiait la belle tout en stoppant sa phrase par timidité rougissante.
- Parce que … quoi ?
- Parce que … J’aime quand Vous me giflez, ça m’excite beaucoup même ! Monsieur le Marquis !
- C’est bien ce qui Me semblait, mais je voulais te le faire avouer !... Alors continuons ! Maintenant, écarte-toi, cambre-toi, montre-moi ton cul… Est-il vierge ce cul ?
- Cette salope est vierge de tout côté, mon cher Edouard !, repris la tante.
- C’est vrai ça, tu n’as jamais pris de bite ?, questionnait toujours le Maitre
Estelle faisait une moue boudeuse, serrant les lèvres, regardant furieusement sa tante, jetais un œil sévère à Monsieur le Marquis mais sans le regarder dans les yeux, elle baissait la tête dans une visible bouderie. Toujours impassible, le Maitre la relâchait en lui disant :
- C’est dommage, bien dommage de te voir ainsi bouder. Moi qui voulait te donner plus de plaisir que tu n’en prends en te masturbant ! Sois douce Ma belle, offre-toi comme Je l’exige… Donne-Moi ta chatte, donne-Moi ton cul afin que je vérifie si ce que dit ta tante est vrai !
Et là encore, Estelle lâchait prise, visiblement sous l’Influence, l’Emprise et la Domination naturelle exercées par Monsieur le Marquis. Elle le savait, toute résistance était vaine, alors elle s’écartait, ouvrait les cuisses, cambrait ses reins, abandonnant sa mauvaise humeur affichée, alors qu’au fond d’elle-même, elle ne rêvait en réalité que de cela, se faire prendre par le Noble. Elle poussait alors un cri rauque lorsque le majeur gauche du Châtelain pénétrait sa vulve, alors que le majeur droit humidifié par ma salive, testait l’élasticité de son anus, le palpant doucement, tournant autour de son anus, l’insinuant au centre, en le faisant tourner sur lui-même. Le sphincter résistait, le doigt s’enfonçait délicatement et légèrement alors qu’Estelle se cabrait en gémissant et en hurlant :
- Aïe… Vous me faites mal !
- Ne contracte pas ton cul, détends-toi, pousse sur mon doigt, empale-toi doucement. Attends… ne bouge pas. Attends, attends... je vais te faciliter la tâche.
A cet instant, j’étais saisi par ma chevelure, Monsieur le Marquis plaçait mon visage entre ces deux lobes fessiers qu’il maintenait écartés. Je savais ce qu’il me restait à faire, sans qu’un ordre ne me soit donné. Ma langue avec empressement badigeonnait cet anus de ma salive, je forçais l’entrée chaude et odorante, reprenait mon souffle avant de m’engouffrer de nouveau dans ce sillon anal, pour cette fois-ci, pénétrer délicatement l’œillet flétrie d’Estelle de mon appendice buccal. Elle poussait un cri étranglé tout en se trémoussant sous ma bouche, tout en s’inclinant légèrement, tout en empoignant et écartant elle-même ses fesses pour me laisser davantage accès à cette corolle flétrie. Sous mes yeux, son anus s’entrouvrait, laissant apparaitre un anneau de muqueuses roses très serrés, très contracté. Mais subitement, sans la moindre considération, j’étais dégagé de ce cul, alors qu’Alice prenait le relais, empoignant les fesses d’Estelle, écartant sa raie désormais humidifiée, pleine de salive.
- Voilà, mon cher Edouard, vous pouvez voir qu’elle est toute neuve du trou du cul, je m’en suis assurée.
Monsieur le Marquis confirmait en constatant :
- Oui, le sphincter résiste, je vois qu’elle est très sensible de ce trou-là.
J’allais être de nouveau utilisé… J’étais posté, à genoux, devant cette chatte brulante. Entre les longs poils blonds tout collés, une grande échancrure rose bâillait, engluée de mouilles, avec des fines lèvres sexuelles gonflées et rouges, aux arêtes déchiquetées. Un long clitoris écarlate se tendait hors des nymphes. Des gouttes poisseuses perlaient au bord du vagin. Une odeur aigre de femelle chaude s’en dégageait.
- Bouffe-là !, m’ordonnait le Maître, sans autre commentaire.
J’obéissais sur le champ et enfonçais ma langue dans cette fente baveuse et gonflée. Je léchais la pointe de ce clitoris sorti. Je l’aspirai, le suçais tout en gémissant. Au comble de l’excitation, car oui j’étais excité tout autant qu’Estelle, je furetais aux abords du vagin qui s’ouvrait sous la poussée de ma langue. Les mâchoires endolories, j’aspirais de nouveau son bouton puis le léchais avec frénésie. Sous mon ventre, entre mes jambes ma nouille et mon cul pulsait, du bout de ma queue s’échappait un filament de précum qui pendait d’entre mes cuisses. En proie à un envoûtement horrible, je ne pouvais détacher ma bouche de ce sexe enflé, aux poils barbouillés de ma salive et de sa mouille. Son long clitoris rosi frémissait à chacun de mes coups de langue. Je sentais sous mon appendice ses muqueuses internes striées et gluantes, son vagin s’ouvrait par spasmes, expulsant des coulées de liquide, envahissant ma bouche, me poissant la langue, me barbouillant le visage. J’avalais autant que possible et m’excitait par les odeurs de cette chatte échauffée qui faisaient palpiter mes narines. La jeune fille, à peine majeure depuis peu, empruntée au départ avait cédé la place à une salope soumise déchainée. Elle se laissait brouter, alors que le Maitre glissait un second doigt dans son fion surchauffé. Alors qu’elle se laissait palper les seins par sa tante. Peu après, un râle à la fois rauque et aigu sortait de sa gorge. Elle jouissait bruyamment en m’expédiant un flot de cyprine sur mon nez, ma bouche et mon menton…
(A suivre…)
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