La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
  • • 1756 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 219 861 visites.
Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 524 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1694) –
- Eh bien, ce soir je te remets à ta place de chien… Slikkk, slikkk, slikkk slikkkkk…
Maxime me frappe, il vise le dos, le cul, les jambes, les bras et il finit par des coups sur ma hampe dressée et sur mes couilles. J’hurle, je pleure et je crie de douleur. Une douleur jamais connue encore. Je suis à bout physiquement et pourtant je bande toujours !... Enfin un silence total se fait après que mon congénère de droite ai reçu une raclée similaire. C'est Le Maitre, Lui-même, qui s'approche doucement, à pas majestueux. Le silence est marquant, même ceux qui copulaient s'arrêtent pour venir. Il décroche un fouet. Il s'approche de moi :
- Tu vas maintenant connaître une véritable et terrible souffrance. Pourquoi cette souffrance ?... Es-tu conscient que tu es un maso, un homo et Mon esclave, Mon chien ?
- Oui Maitre, je réponds apeuré et en larmes.
- Alors cette souffrance est nécessaire, voire indispensable, tout simplement parce que tu es un véritable masochiste. Tu viens à l’instant de souffrir sous les coups de Mireille et Maxime, tes anciens amis et cela t’excite, ton érection est révélatrice de ton masochisme puissant. J’avoue que si tu n’avais pas bandé, je ne Me serai même levé pour venir là maintenant te parler… Mais constatant ton état d’excitation, tu dois être traité tel que tu es, pour trouver le bien-être dans la douleur ressentie chez le maso. Tu seras beaucoup plus apte à l’extrême obéissance en étant ainsi maltraité car tu en as besoin, la maltraitance envers toi deviendra un profond besoin, une nécessité, une évidence à obéir en tout. Comprends-tu cela ?
- Oui Maitre, j’ai bien compris. C’est vrai, je l’avoue que j’ai besoin de souffrir pour encore mieux Vous obéir. Je suis un masochiste, j’en suis conscient et heureux que Vous compreniez mes besoins de maltraitance viscérale….
- Alors salope, dit-le encore plus clairement et réclame le fouet !

La Voix du Maitre est glaciale, dure ne laissant aucune autre alternative. Et c’est en tremblant, pleurant que je réponds :
- Je suis un masochiste, un homosexuel, un esclave et j'ai besoin du fouet Maitre, pour mieux obéir, j’ai besoin d’avoir mal. Fouettez-moi, Maitre, oui faites-moi mal !

Je me suis lâché dans le sens où j’ai avoué sincèrement mon besoin de souffrir, alors je baisse la tête et je serre les dents. Le Maitre vient derrière moi. On entend les mouches voler. Tout le monde connaît la dextérité, la précision et la force du Maitre avec un fouet. Personne ne Lui arrive à Son niveau. Il exerce cet art avec excellence. Le Maitre m’avait déjà fouetté une fois, mais là, je sens que ce sera différent... J'attends alors craintif, mais excité que de mon dos soit de nouveau martyrisé… J'entends siffler le fouet et tout à coup ‘Flookkkkkk’…
-Ahhhhhhhhhhhhhh’.

Une douleur qui me transperce. Un coup et tout à tremblé, même la croix de st André a faillit tomber avec moi. Je n’ai même pas pu crier tellement la douleur m'a saisi. Une marque transversale du fouet est profonde et la douleur cuisante. ‘Floookkkkk’
- Ahhhhhhhhhh…
Ma nouille se durcie encore plus. J’ai l’impression qu’elle va exploser tellement elle est tendue. J’hurle et supplie, mais le Maitre ira jusqu'au bout... 11 coups, 11 coups et je sombre. Le Maitre pose le fouet, s'approche, relève ma tête, me gifle.

- Maintenant, tu sais qui Je suis et ce que tu es, un grand maso, mais aussi ce que tu es pour Moi, un esclave prêt à tout subir !

Ma tête retombe et ils me laissent tous, là, attaché, anéanti, brisé, mon dos, mon corps n'est qu'un nid de souffrance, sauf ma nouille érigée comme jamais. Je n’ai de mémoire jamais eu une érection d’une telle ampleur... Et tous se mettent à applaudir. Je porte un regard sur l’immense miroir placé à ma droite et je comprends mieux pourquoi le Maître m’a dit que je savais qui Il était, en effet je vois mon dos dans le miroir et je distingue clairement que le Maitre avec 11 coups de fouet a inscrit sur mon dos... M D E
La musique reprend, je reste là environ 30 minutes avant que Monsieur Walter me détache. Je tombe à terre.

- Va reprendre ta place, salope.

Difficilement, je me traîne jusqu'au canapé où se trouvent Mireille et Maxime et difficilement, je me remets debout, derrière eux, les mains dans le dos. Je souffre terriblement sans qu'ils n'aient aucun regard pour moi. La nuit orgiaque continue et il est déjà 2h45 du matin à la magnifique horloge du grand salon. Les Dominants profitent des esclaves mâles et femelles et nous sommes là pour satisfaire toutes leurs exigences. Vers 3h15, Maxime baise une jeune soumise du Maitre. Il la prend en levrette pendant vingt bonnes minutes puis il crie sa forte jouissance en se vidant au fond de la chatte de la femelle dans des ultimes et puissants coups de reins.

- Viens ici bâtard, et nettoie-lui la chatte.

Je m'empresse de lécher tout le sperme qui s'écoule de cette chatte béante, dégoulinante de semence et qui a pris tant de queues ce soir. Il me force à enfoncer ma langue Afin de récupérer tout le sperme. Il y a bien sûr du sperme de différents Dominants. Et je nettoie tout comme la salope obéissante que je suis. Ensuite, ce fameux Markus passe vers nous et s'adressant à Mireille...

- Je peux vous l'emprunter, très chère, ce bâtard de chien ?
- Il est à vous, cher ami.

Markus me tire à nouveau et m'entraîne dans les toilettes. Connaissant sa violence et sentant la terrible douleur sur mon dos, je sais ce que je dois faire. Rapidement, je place ma tête sur la cuvette et j’ouvre grand ma gueule de chien.

- Ah c'est bien salope, tu apprends vite avec Monsieur le Marquis et le fouet.

Et sortant son sexe, Markus commence à uriner sur mon visage et il atteint ma bouche. Il se soulage dans ma cavité buccale et ne souhaitant pas être à nouveau battu, j'avale toute son urine, même si du surplus tombe au sol par la commissure de mes lèvres.

- Viens nettoyer, sale bâtard !

Me voilà à genoux, sa grosse bite dans ma bouche et après l'avoir bien nettoyer, il me baise ma cavité buccale plusieurs minutes avant de se vider sur mon visage par de fortes giclées de foutre. Je suis couvert à nouveau de sperme et de pisse, mais là je ne fais pas deux fois la même bêtise. Je laisse le sperme et la pisse tapisser mon visage, je mets les mains dans le dos et je baisse la tête.

- Bon chien, bonne salope, voilà c'est comme ça que j'aime les bâtards de ton espèce.

Alors que Markus me tire vers la sortie, nous croisons un Dominant d'au moins 75 ans qui vient se soulager. Plus tard j’apprendrais qu’il s’agit de l’ami et Notaire du Châtelain, un notable donc très influent de la région.

- Et Jean, viens là, tu as un véritable urinoir, profite !
- Ah super, merci cher Markus. Tu sais combien j'aime pisser sur ces salopes !

Ce Jean s'approche de moi alors que Markus s'en va en riant.

- Ecoute-moi bien, mon cochon. Je vais pisser dans ta gueule, au fond de ta gueule… Je pisse, tu avales, je recommence, tu avales encore. T’as compris, sac à pisse. C’est un acte fort… Un acte de Notaire ! ha ! ha ! ha !
- Oui Monsieur- C'est bien, tu es un bon chien, ouvre la gueule, salope.

Sans hésiter, j’ouvre grand la bouche et cet homme enfonce sa queue qui, pour son âge, est raide et longue. Je suis sûr qu'il a dut prendre du viagra ! Le Notaire plaque mon visage contre son pubis et je sens son sexe épais au fond de ma gorge. Il me laisse quelques secondes pour m’habituer, puis il m’exige.

- Respire avec le nez et avale, la pute.

Je sens tout à coup un jet de pisse couler directement dans mon œsophage. Oui directement dans mon estomac. Cet homme me pisse directement dans mon estomac, je sens son urine couler dans mon ventre. Ça dure ainsi plus de 5 minutes. Il pisse et s'arrête afin que j'avale, il recommence et s'arrête à nouveau et ainsi de suite. Je reçois tout directement dans mon estomac. Puis il ressort son sexe, me donne une énorme paire de gifles et me dit.

- C'est bien mon cochon, tu es un véritable urinoir, tu es né pour cela et c'est ton bonheur de soulager les êtres Supérieurs, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur.
- Je vais te récompenser… Suce-moi salope, fait moi bander.

Je me jette alors sur son sexe et en peu de temps sa verge redevient raide, Le Notaire me place ensuite à quatre pattes et je me fais enculer par cet homme de plus de 75 ans. Il me défonce le cul et me fait gémir comme une chienne. Pendant plus de dix minutes, je suis sodomisé dans les toilettes. Sa queue me ramone le cul et à chaque coup, je gémis et je finis par gémir de désir, d'envie, je me sens plus homme du tout, je me sens un simple objet de plaisirs, un vide-couilles, un trou à remplir, un sac à pisse… Je me sens à ma véritable place, être une femelle en chaleur qui n'a qu'un but, celui de donner du plaisir aux Dominants, aux Supérieurs, moi le bâtard que je suis devenu. Je prends conscience maintenant que ma nouille qui pourtant est tendue à l'extrême est une erreur de la nature. Je ne suis en fait qu'une chienne avec un cul devenu chatte et une bouche à remplir. Voilà ce que je suis et j'en prends cette nuit de plus en plus conscience. Le Notaire finit de me besogner en poussant un long râle et je sens ma chatte anale se remplir de jus chaud et gluant. Il me gifle de nouveau et me lance :
- Tu es vraiment une bonne truie…Tu bande ma salope, tu aimes ça, la bite hein ?... Répond, la pute !
- Oui Monsieur, j'aime la bite.

Le Notaire me tire dans la grande salle et me ramène à ma place. Je pensais la soirée finie, mais non, pas encore !...

(A suivre …)

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Toujours aucune nouvelle. Est-ce que cette saga est terminée ? :(

Histoire Libertine
bonjour çà fait plusieurs mois qu'il y a pas de nouveau texte est ce que vous avez un soucis. bonne soirée

Histoire Libertine
Presque un an sans suite, tout va bien ? :(



Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1695) - Récit érotique publié le 24-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1694) - Récit érotique publié le 22-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693) - Récit érotique publié le 20-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1691) - Récit érotique publié le 16-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1690) - Récit érotique publié le 14-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689) - Récit érotique publié le 12-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1688) - Récit érotique publié le 10-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1687) - Récit érotique publié le 08-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1686) - Récit érotique publié le 06-07-2022
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1685) - Récit érotique publié le 04-07-2022