La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1685)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1685)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode précédent N°1684) -
- Pitié Messire, prenez-moi, baisez-moi fort… Je vous en supplie, par pitié, s’il vous plait, possédez-moi de votre grosse verge...
Alors Messire Léon la pénétra d’un impressionnant coup de reins puissant jusqu’à la garde, ses couilles se balançant tellement le mouvement était rapide et vif. Ce qui fit crier Marion de surprise mais surtout d’un immense plaisir.
- Ah enfin, tu te décides de supplier ! Je sais que tu t’es retenue car tu espérais que je craque avant toi, espèce de chienne, petite catin en chaleur.
Messire Léon ressortit tout doucement savourant tous les deux le frottement de la grosse queue de Messire Léon contre les douces et sensibles parois vaginales fortement humides de Marion. Puis, il la reprit tout aussi rapidement, elle adorait cette alternance de cette fermeté à être besognée comme une chienne, comme un simple trou et de cette douceur faite de lenteur emplie de tendresse... Tout en la prenant de ses mouvements rapides/lents, il la traitait de tous les mots crus qui lui traversaient l’esprit.
- Tu n’es qu’une petite putain, une salope de chienne qui a interdiction formelle de jouir et là tu es pour moi juste un trou à remplir, à se soulager les couilles dedans, un réceptacle à semence, un trou à bites, une salope qui doit apprendre que l’autorisation à la jouissance est un cadeau du Maître ou Dominant et qu’elle n’a pas à être frustrée s’il ne la lui accorde pas…
Et plus ses mots et insultes étaient crus, et plus il augmentait sa vitesse de pénétration jusqu’à la pilonner, la limer, la besogner sans complaisance, comme un jeune et viril étalon.
- Dis-moi que tu es salope, une chienne…- Haaaaaaa … Ouiiiiiiiiiii… Je…je… ne suis … ne suis rien … Haaaaaaa … Messire, rien juste une salope, une chienne… Ouiiiiiiiiiii… une bonne chienne en chaleur…, répondit-elle en faisant des efforts surhumains pour ne pas lâcher un orgasme dévastateur…
Et ce fut sur cette phrase magnifiquement formulée et après quelques longues minutes de puissants va-et-vient que Messire Léon lâcha en elle sa semence chaude et épaisse tout en lâchant des longs râles jouissifs d’un mâle en rut… Quand il se retira, Marion nettoya consciencieusement sa bite mollissant… La nuit se passa ainsi, ponctuée de multiples pénétrations à tout moment, entre deux sommeils, elle, restant ainsi attachée sur la table, lui allant dormir un moment dans un lit placé au fond de la pièce. Dès qu’il se réveillait, au milieu de la nuit, il ne se privait pas de la réveiller et à même la table, il la besognait encore et encore jusqu’au matin. C’est ainsi qu’elle fut largement utilisée comme vide-couilles… Le matin, Marion comme à son habitude, se réveilla la première ressentant une vive douleur au niveau des épaules et réalisa que Messire Léon ne l’avait pas détachée et qu’elle avait donc passé toute la nuit toujours couchée sur le plateau de la massive table. En temps normal cela ne la gênait pas, le Maître parfois la faisait dormir attachée pour pouvoir user de Sa chienne à tout moment même si elle était endormie, ce qui fut donc le cas avec Messire Léon. Mais en ce matin la douleur était vive et Marion ne savait pas quoi faire. Quelle heure était-il ? Elle avait toujours son bandeau sur les yeux et réveiller Messire Léon en pleine nuit était impensable car elle ne savait pas si c’était vraiment le matin. Elle décida d’essayer de se rendormir au moins le temps passerait et elle ne penserait plus à la douleur mais celle-ci l’empêcha de se rendormir. Marion avait de plus en plus mal au point que même ses mains commençaient à s’engourdirent. Ce n’était plus possible, il fallait qu’elle soit détachée alors elle osa appeler doucement.
- Messire Léon… Psitt …Messire Léon.
Messire Léon se réveilla et répondit à moitié endormi.
- Quoi qu’est-ce que tu veux? Ça a intérêt à être important pour me réveiller, aussi le Maître sera mis au courant.
- Pourriez-vous, s’il vous plait, me détacher, j’ai terriblement mal aux épaules.
- Ah oui ! C’est vrai !...
Messire Léon se leva d’un bon et alla la détacher, tout en lui en levant le bandeau sur les yeux. Marion constata alors que le jour venait de se lever.
- Aller maintenant dort un moment, mais love-toi par terre sur le tapis, tu seras mieux que sur la table. Tient, je t’autorise à prendre cette couverture de laine de brebis… Moi, je veux dormir encore, ça m’a épuisé cette nuit à venir te prendre maintes fois !... Quand le soleil sera au zénith, on sera à midi et donc à ce moment-là et pas avant, tu viendras me réveiller en venant dans mon lit pour me prendre en bouche… Est-clair ?
- Oui Messire Léon, merci…
Et la matinée se passa ainsi à dormir afin de récupérer d’une nuit de multiplies copulations… Midi arriva et Marion réveillée déjà depuis une petite demi-heure alla s’assurer du réveil de Messire Léon en allant dans son lit pour le sucer et le faire une nouvelle fois éjaculer …
Quelques jours plus tard, un matin le Seigneur d’Evans avait réuni toute Sa famille, Ses amis, Son personnel ainsi que Ses soumis(es) et esclaves, dans la grande salle pour une annonce officielle que tous devaient savoir. Il se plaça donc sur son trône placé sur l’estrade, au fond de la salle et prit ainsi la parole.
- J’ai une bonne nouvelle à vous annoncer à tous. Le printemps approche et comme vous le savez chaque année à lieu le grand et célèbre tournoi de Domination/soumission. Mais cette année, Je vous annonce que c’est ici, au Château, qu’il aura lieu. En effet, c’est à notre tour d’organiser cet évènement qui rassemble plusieurs seigneuries vivant avec les mêmes mœurs que nous, dans le même univers que nous...
Laissant Son annonce faire son effet, Il poursuivit.
- Je m’explique ce sera donc cette année, qu’ici donc au Château, que soumis(es) et esclaves participeront et relèveront les épreuves pour faire gagner leur Seigneur. Les prix décernés au(x) gagnant(s) ou gagnante(s) ne sont pas encore définis, ni toutes les épreuves. Aussi vous pouvez tous faire des propositions d’épreuve à Messire Léon ou Messire Mathieu qui Me les feront parvenir. Une fois le programme fixé, nous choisirons les candidats et la sélection des équipes qui Me représenteront. Si pour une bonne raison l’un(e) d’entre vous ne souhaite pas participer, ce n’est pas obligatoire, vous êtes assez nombreux pour cela. D’autres Seigneurs viendront donc de toute la France et certains de l’étranger. Sachez qu’au-delà du caractère compétitif, il y a aussi pour tous concurrents ou spectateurs, un côté festif et l’occasion de tisser des liens avec d’autres personnes et même se faire des amis.
Tout le monde applaudit à cette nouvelle et Clémence chuchota à Chloris assise à côté d’elle.
- Ce serait amusant de faire cela entre nous, chacune pour notre mari et Maître qui nous soumet.
- Parles-en à ton oncle, je suis pratiquement sûre que cela Lui plaira.
Les idées d’épreuves ne manquaient pas parmi les soumis(es) et tous avaient leur idée sur l’épreuve qu’ils étaient sûrs de réussir... Un matin Antonin dit à Chloris :
- Tu te souviens de Messire François, Comte de Namur ?
- Oui bien sûr, il était à notre mariage.
- Eh bien, il va venir pour le tournois D/s.
- Vraiment ? J’ignorais qu’il était de notre monde.
- Je m’en doutais mais mon ami Charles en était certain. Il l’avait deviné.
- Il me surprendra toujours. Quand j’étais enceinte des jumeaux, c’est tout juste si le Seigneur d’Evans ne l’a pas su avant moi...
Après plusieurs jours, maintes et maintes discussions, la liste des épreuves était enfin finalisée et que voici quand elle fut affichée bien en vue de tous, au Château :
1. L’épreuve du tir à la corde - soumis (ses) nus (ues) avec plug anal et pinces aux tétons.
2. L’épreuve de l’abstinence – soumis (ses) nus (ues) en partouze mais sans jouissance dans une grande fosse cernée par des gradins avec spectateurs. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné3. L’épreuve des olisbos – A garder le plus longtemps possible sans le faire tomber, soumis (ses) nus (ues) étant suspendus dans le vide.
4. L’épreuve de l’endurance – soumis (ses) nus (ues) attachés (ées) par les poignets et sur la pointe des pieds avec poids aux tétons et aux lèvres vaginales, ou à la base des couilles pour les mâles, tout en étant fouettés (ées) au martinet. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné5. L’épreuve de la Dévotion – soumis (ses) nus (ues) doivent rester agenouillés (ées) mains derrière la nuque et yeux bandés rester le plus longtemps possible immobile et fesses qui ne touchent pas les talons tout en se sachant observée et caressée.
6. L’épreuve du fouet – Rester le plus longtemps sans bouger et sans bruit, uniquement pour les soumis (ses) nus (ues) masochistes. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné.
7. L’épreuve de la fellation – soumis (ses) nus (ues) et faire jouir un maximum de personne en en temps déterminé.
8. L’épreuve de la fessée – soumis (ses) nus (ues). Le ou là gagnante celle désigné par le public pour le plus beau cul rougi 9. L’épreuve de la boue – soumis (ses) nus (ues). Un ruban rouge et un ruban bleu suspendus au-dessus de chaque soumise, le but attrapée le ruban suspendu de l’adversaire en luttant dans une grande fosse cernée par des gradins avec spectateurs.
10. L’épreuve de copulations bondagées : soumis (ses) nus (ues) étant attachés (ées) et baisés (ées) sans modération. Le (la) dominé (ée) qui fera jouir le Dominant le plus vite possible sera déclaré vainqueur…
Le Seigneur d’Evans, secondé par Antonin, Ronan, Messire Léon et Messire Mathieu devait maintenant présélectionner qui participeraient pour chacune des dix épreuves. Tous, même ceux «de réserve» auront quotidiennement des séances d’entrainement afin de faire partie des meilleurs et surtout faire honneur par les résultats au Maître… Quand le grand jour de l’ouverture du tournoi de Domination/soumission arriva …
(A suivre …)
- Pitié Messire, prenez-moi, baisez-moi fort… Je vous en supplie, par pitié, s’il vous plait, possédez-moi de votre grosse verge...
Alors Messire Léon la pénétra d’un impressionnant coup de reins puissant jusqu’à la garde, ses couilles se balançant tellement le mouvement était rapide et vif. Ce qui fit crier Marion de surprise mais surtout d’un immense plaisir.
- Ah enfin, tu te décides de supplier ! Je sais que tu t’es retenue car tu espérais que je craque avant toi, espèce de chienne, petite catin en chaleur.
Messire Léon ressortit tout doucement savourant tous les deux le frottement de la grosse queue de Messire Léon contre les douces et sensibles parois vaginales fortement humides de Marion. Puis, il la reprit tout aussi rapidement, elle adorait cette alternance de cette fermeté à être besognée comme une chienne, comme un simple trou et de cette douceur faite de lenteur emplie de tendresse... Tout en la prenant de ses mouvements rapides/lents, il la traitait de tous les mots crus qui lui traversaient l’esprit.
- Tu n’es qu’une petite putain, une salope de chienne qui a interdiction formelle de jouir et là tu es pour moi juste un trou à remplir, à se soulager les couilles dedans, un réceptacle à semence, un trou à bites, une salope qui doit apprendre que l’autorisation à la jouissance est un cadeau du Maître ou Dominant et qu’elle n’a pas à être frustrée s’il ne la lui accorde pas…
Et plus ses mots et insultes étaient crus, et plus il augmentait sa vitesse de pénétration jusqu’à la pilonner, la limer, la besogner sans complaisance, comme un jeune et viril étalon.
- Dis-moi que tu es salope, une chienne…- Haaaaaaa … Ouiiiiiiiiiii… Je…je… ne suis … ne suis rien … Haaaaaaa … Messire, rien juste une salope, une chienne… Ouiiiiiiiiiii… une bonne chienne en chaleur…, répondit-elle en faisant des efforts surhumains pour ne pas lâcher un orgasme dévastateur…
Et ce fut sur cette phrase magnifiquement formulée et après quelques longues minutes de puissants va-et-vient que Messire Léon lâcha en elle sa semence chaude et épaisse tout en lâchant des longs râles jouissifs d’un mâle en rut… Quand il se retira, Marion nettoya consciencieusement sa bite mollissant… La nuit se passa ainsi, ponctuée de multiples pénétrations à tout moment, entre deux sommeils, elle, restant ainsi attachée sur la table, lui allant dormir un moment dans un lit placé au fond de la pièce. Dès qu’il se réveillait, au milieu de la nuit, il ne se privait pas de la réveiller et à même la table, il la besognait encore et encore jusqu’au matin. C’est ainsi qu’elle fut largement utilisée comme vide-couilles… Le matin, Marion comme à son habitude, se réveilla la première ressentant une vive douleur au niveau des épaules et réalisa que Messire Léon ne l’avait pas détachée et qu’elle avait donc passé toute la nuit toujours couchée sur le plateau de la massive table. En temps normal cela ne la gênait pas, le Maître parfois la faisait dormir attachée pour pouvoir user de Sa chienne à tout moment même si elle était endormie, ce qui fut donc le cas avec Messire Léon. Mais en ce matin la douleur était vive et Marion ne savait pas quoi faire. Quelle heure était-il ? Elle avait toujours son bandeau sur les yeux et réveiller Messire Léon en pleine nuit était impensable car elle ne savait pas si c’était vraiment le matin. Elle décida d’essayer de se rendormir au moins le temps passerait et elle ne penserait plus à la douleur mais celle-ci l’empêcha de se rendormir. Marion avait de plus en plus mal au point que même ses mains commençaient à s’engourdirent. Ce n’était plus possible, il fallait qu’elle soit détachée alors elle osa appeler doucement.
- Messire Léon… Psitt …Messire Léon.
Messire Léon se réveilla et répondit à moitié endormi.
- Quoi qu’est-ce que tu veux? Ça a intérêt à être important pour me réveiller, aussi le Maître sera mis au courant.
- Pourriez-vous, s’il vous plait, me détacher, j’ai terriblement mal aux épaules.
- Ah oui ! C’est vrai !...
Messire Léon se leva d’un bon et alla la détacher, tout en lui en levant le bandeau sur les yeux. Marion constata alors que le jour venait de se lever.
- Aller maintenant dort un moment, mais love-toi par terre sur le tapis, tu seras mieux que sur la table. Tient, je t’autorise à prendre cette couverture de laine de brebis… Moi, je veux dormir encore, ça m’a épuisé cette nuit à venir te prendre maintes fois !... Quand le soleil sera au zénith, on sera à midi et donc à ce moment-là et pas avant, tu viendras me réveiller en venant dans mon lit pour me prendre en bouche… Est-clair ?
- Oui Messire Léon, merci…
Et la matinée se passa ainsi à dormir afin de récupérer d’une nuit de multiplies copulations… Midi arriva et Marion réveillée déjà depuis une petite demi-heure alla s’assurer du réveil de Messire Léon en allant dans son lit pour le sucer et le faire une nouvelle fois éjaculer …
Quelques jours plus tard, un matin le Seigneur d’Evans avait réuni toute Sa famille, Ses amis, Son personnel ainsi que Ses soumis(es) et esclaves, dans la grande salle pour une annonce officielle que tous devaient savoir. Il se plaça donc sur son trône placé sur l’estrade, au fond de la salle et prit ainsi la parole.
- J’ai une bonne nouvelle à vous annoncer à tous. Le printemps approche et comme vous le savez chaque année à lieu le grand et célèbre tournoi de Domination/soumission. Mais cette année, Je vous annonce que c’est ici, au Château, qu’il aura lieu. En effet, c’est à notre tour d’organiser cet évènement qui rassemble plusieurs seigneuries vivant avec les mêmes mœurs que nous, dans le même univers que nous...
Laissant Son annonce faire son effet, Il poursuivit.
- Je m’explique ce sera donc cette année, qu’ici donc au Château, que soumis(es) et esclaves participeront et relèveront les épreuves pour faire gagner leur Seigneur. Les prix décernés au(x) gagnant(s) ou gagnante(s) ne sont pas encore définis, ni toutes les épreuves. Aussi vous pouvez tous faire des propositions d’épreuve à Messire Léon ou Messire Mathieu qui Me les feront parvenir. Une fois le programme fixé, nous choisirons les candidats et la sélection des équipes qui Me représenteront. Si pour une bonne raison l’un(e) d’entre vous ne souhaite pas participer, ce n’est pas obligatoire, vous êtes assez nombreux pour cela. D’autres Seigneurs viendront donc de toute la France et certains de l’étranger. Sachez qu’au-delà du caractère compétitif, il y a aussi pour tous concurrents ou spectateurs, un côté festif et l’occasion de tisser des liens avec d’autres personnes et même se faire des amis.
Tout le monde applaudit à cette nouvelle et Clémence chuchota à Chloris assise à côté d’elle.
- Ce serait amusant de faire cela entre nous, chacune pour notre mari et Maître qui nous soumet.
- Parles-en à ton oncle, je suis pratiquement sûre que cela Lui plaira.
Les idées d’épreuves ne manquaient pas parmi les soumis(es) et tous avaient leur idée sur l’épreuve qu’ils étaient sûrs de réussir... Un matin Antonin dit à Chloris :
- Tu te souviens de Messire François, Comte de Namur ?
- Oui bien sûr, il était à notre mariage.
- Eh bien, il va venir pour le tournois D/s.
- Vraiment ? J’ignorais qu’il était de notre monde.
- Je m’en doutais mais mon ami Charles en était certain. Il l’avait deviné.
- Il me surprendra toujours. Quand j’étais enceinte des jumeaux, c’est tout juste si le Seigneur d’Evans ne l’a pas su avant moi...
Après plusieurs jours, maintes et maintes discussions, la liste des épreuves était enfin finalisée et que voici quand elle fut affichée bien en vue de tous, au Château :
1. L’épreuve du tir à la corde - soumis (ses) nus (ues) avec plug anal et pinces aux tétons.
2. L’épreuve de l’abstinence – soumis (ses) nus (ues) en partouze mais sans jouissance dans une grande fosse cernée par des gradins avec spectateurs. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné3. L’épreuve des olisbos – A garder le plus longtemps possible sans le faire tomber, soumis (ses) nus (ues) étant suspendus dans le vide.
4. L’épreuve de l’endurance – soumis (ses) nus (ues) attachés (ées) par les poignets et sur la pointe des pieds avec poids aux tétons et aux lèvres vaginales, ou à la base des couilles pour les mâles, tout en étant fouettés (ées) au martinet. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné5. L’épreuve de la Dévotion – soumis (ses) nus (ues) doivent rester agenouillés (ées) mains derrière la nuque et yeux bandés rester le plus longtemps possible immobile et fesses qui ne touchent pas les talons tout en se sachant observée et caressée.
6. L’épreuve du fouet – Rester le plus longtemps sans bouger et sans bruit, uniquement pour les soumis (ses) nus (ues) masochistes. Celui (celle) qui tiendra sans jouir aura gagné.
7. L’épreuve de la fellation – soumis (ses) nus (ues) et faire jouir un maximum de personne en en temps déterminé.
8. L’épreuve de la fessée – soumis (ses) nus (ues). Le ou là gagnante celle désigné par le public pour le plus beau cul rougi 9. L’épreuve de la boue – soumis (ses) nus (ues). Un ruban rouge et un ruban bleu suspendus au-dessus de chaque soumise, le but attrapée le ruban suspendu de l’adversaire en luttant dans une grande fosse cernée par des gradins avec spectateurs.
10. L’épreuve de copulations bondagées : soumis (ses) nus (ues) étant attachés (ées) et baisés (ées) sans modération. Le (la) dominé (ée) qui fera jouir le Dominant le plus vite possible sera déclaré vainqueur…
Le Seigneur d’Evans, secondé par Antonin, Ronan, Messire Léon et Messire Mathieu devait maintenant présélectionner qui participeraient pour chacune des dix épreuves. Tous, même ceux «de réserve» auront quotidiennement des séances d’entrainement afin de faire partie des meilleurs et surtout faire honneur par les résultats au Maître… Quand le grand jour de l’ouverture du tournoi de Domination/soumission arriva …
(A suivre …)
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