La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1694)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1694)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1688) –
J’aimerai être à leur place ! Je plonge de plus en plus dans cette luxure et j’en bande encore plus fort !… Je reste comme cela quelques minutes en jalousant ces deux esclaves quand, tout à coup, j'entends un Dominant héler le bras droit de Monsieur le Marquis ...
- Cher Walter, trouvez-moi quatre bâtards, s'il vous plaît !
Je vois alors le Majordome parcourir la grande salle de réception sous le regard amusé du Maitre. Il attrape par la laisse deux esclaves mâles et il passe à côté de moi alors que j’essaie de passer inaperçu, mais je sens une poigne forte énergique, attraper et tirer mon collier…
- Toi, viens avec moi, sale pute !
Monsieur Walter me prend alors la laisse tout aussi énergiquement et me tire accompagnant les deux autres. Il en trouve un quatrième en train de se lécher les babines pleines de foutre car visiblement on venait de lui éjaculer dans sa bouche… Et nous voilà devant cet homme, visiblement un noble de par son allure élancée, son regard hautain, ce Dominant est clairement de la haute société. Le Majordome met deux esclaves debout et deux à genoux en face, dont moi qui me retrouve donc agenouillée face à un de mes congénères debout face à moi. Le Dominant porte haut sa voix pour annoncer et proposer à l'assemblée de se positionner autour de nous. Je suis surpris et inquiet à la fois. Que va-t-il nous faire ? Tout le monde s’approche et l’assemblée forme un large cercle autour de nous…
- Chers amis, nous allons découvrir qui ce soir subira la demi-heure Sado/masochiste ! Ces deux salopes debout vont se faire sucer par ces deux bâtards à genoux. Le premier qui aura fait jouir l'autre sera gagnant et le dernier qui jouira gagnera également. Pour les deux autres, ce sera la punition !
J'entends crier, siffler, rire et s’exclamer :
- Ouiii, belle idée ! Allez-y !
Je comprends alors que je dois faire jouir celui qui est debout devant moi avant que celui d’à-côté y arrive. Mais je sais aussi que ceux qui se feront sucer doivent résister pour ne pas éjaculer. J’ose lever la tête et je m'aperçois que celui devant moi est alexsoumis, celui qui m'avait caressé et embrassé dans la bétaillère.
- Attention... Allez-y les salopes !
Je me jette sur sa nouille et je la suce comme un déchaîné, les mains dans le dos. Je suce, je lèche sous le regard et le rire d'une grande partie des invités. Je lui lèche les couilles, je l’entends commencer à gémir mais il a, visiblement, beaucoup de résistance. Je sers mes lèvres autour de son sexe dressé et je le suce comme la bonne putain que je suis devenu. J'entends gémir celui d’à-côté mais lui aussi résiste… On suce depuis plus de 5 minutes, ma mâchoire me fait mal et je sens bien que cette nouille durcie, érigée, n'est pas loin de cracher son foutre de chien mais alexsoumis fait des efforts presque surhumains pour se retenir tandis que je m’active à aspirer, téter, son gland violacé tout en passant ma langue sur le frein dudit gland. Cet alexsoumis a plus d'expérience que moi, il est déjà bien mieux dressé que moi. Tout à coup, j'entends celui d’à-côté pousser un puissant râle bestial et se vider par de fortes et épaisses giclées de foutre dans la bouche de mon compagnon de soumission à côté de moi. Je suis dégouté car j'y étais presque et bien sûr à ce moment-là dès que son ‘concurrent’ ait joui, alexsoumis peut se mettre à éjaculer et c’est en lâchant des longs râles jouissifs qu’il se vide dans ma bouche par des jets de sperme chaud. Au moins sept giclées de foutre gluant et chaud se répandent dans ma bouche et j'avale aussitôt. Il aura fallu toutes ces giclées de foutre pour qu’enfin il puisse se vider les couilles qui, j’imagine, devait être bien pleines…
- Bravooooo !
Tous applaudissent les deux gagnants qui, en récompense auront le droit de baiser une esclave femelle sans ménagement… Quant à moi et l'autre qui a joui en premier, nous sommes emmenés dans le donjon où se trouvent des instruments ressemblant à des instruments de torture. La pièce est digne d’un donjon SM ! Elle est large et circulaire et ultra-équipée en fouets, martinets, croix de saint-andré, gode et plug de toutes tailles, des dizaines et des dizaines d’autres instruments hétéroclites de toutes sortes, allant des muselières, aux chaînes et cages suspendues…
- La demi-heure Sado/masochiste peut commencer !
Je ne sais pas encore ce qui m’attend. Nous sommes attachés chacun, sur une des croix de st André, dos face aux Supérieurs. Jambes et bras attachés, nous sommes tremblants de peur. Une Domina, superbe d'une quarantaine d'années, brune, décroche du mur un long martinet, elle s'approche alors de moi
- Ouvre la gueule, salope.
J’obéis immédiatement et elle me crache dans la bouche.
- Je vais te faire pleurer, mais tu sais que tu as besoin de cela... N'est-ce pas que tu le sais, le bâtard ?
- Oui Madame
La Domina se déplace derrière moi et sous le regard de presque tous les invités, elle me donne un premier coup cinglant qui me frappe le dos...
- Ahhhhhhhh…
Quelle douleur subite, vive, brûlante. La femme ne retient pas des coups. ‘Schlaccc, schlacc, schlacc...’ Je crie tellement, ça fait trop mal. La Domina en est au moins à 20 coups sur mon dos et mon cul. Les marques deviennent déjà bleutées et même violet. Après 25 coups, je me mets à pleurer et supplier d'arrêter en criant, demandant grâce dans une supplique plaintive. Elle va jusqu'à 30 coups sans aucune pitié.
- Regardez-moi cette salope, elle bande alors que son dos est martyrisé !
Effectivement, ma nature servile, malgré la forte douleur cinglante, se régale et j’en bande terriblement, cette souffrance terrible m'excite aussi, mon masochisme est en vif éveil. Je suis là, pleurant à chaudes larmes, la tête baissée, gémissant tel un chien battu, apeuré, en attendant que mon congénère de punition prenne la même correction. J’essaie aussi de reprendre mon souffle. Je m'imagine que c'est fini, mais ô combien je me trompe. C'est maintenant Mireille, l'épouse de mon directeur, qui décroche au mur une belle cravache noire, estampillée sur la poignée des Armoiries de la Famille des Evans.
- Eh oui ! Je vais te fracasser, petite salope... Tu croyais que nous avions juste une relation amicale parce que Maxime est ton directeur ! Mais il y a longtemps qu’on avait deviné ce que tu étais en réalité ! Alors, maintenant tu vas voir comment Mireille est en réalité, ce n’est pas la Mireille, trop gentille et accueillante à la maison à préparer les repas d’amis que tu as connu, ça je peux te le certifier !…
Nous, en effet qui étions amis, qui partagions de bons moments ensemble, souvent autour d’une table chez elle et son mari, je la voyais comme une ménagère modèle à aimer recevoir, à faire la cuisine… Eh bien là voilà maintenant qu'elle me détruit le dos et le cul déjà bien martyrisés. J’hurle sous les 30 coups de cravaches donnés sans ménagement, elle se déchaîne sur moi car j’ai l’impression que Mireille se venge de toutes les blagues masochistes que j’ai pu dire lors de nos repas amicaux. Je suis brisé, anéanti, je suis à moitié dans les vapes mais paradoxalement très excité et je ne peux l'expliquer, sauf que mon masochisme me provoque cet état d’excitation d’une érection phénoménale. En voyant ma nouille tendue, tous rient et disent que j'aime ça ! Un troisième s'approche, non c'est trop là, j'en peux plus... Il décroche cette fois-ci une badine épaisse et je reconnais la voix de Maxime, mon ex directeur...
- Je savais qu’un jour, ce moment viendrai…. Toi qui te prenait pour quelqu'un sur ton lieu de travail et qui, rappelle-toi, à même essayé de passer au-dessus de moi dans la hiérarchie professionnelle... Eh bien, ce soir je te remets à ta place de chien… Slikkk, slikkk, slikkk slikkkkk…
(A suivre …)
J’aimerai être à leur place ! Je plonge de plus en plus dans cette luxure et j’en bande encore plus fort !… Je reste comme cela quelques minutes en jalousant ces deux esclaves quand, tout à coup, j'entends un Dominant héler le bras droit de Monsieur le Marquis ...
- Cher Walter, trouvez-moi quatre bâtards, s'il vous plaît !
Je vois alors le Majordome parcourir la grande salle de réception sous le regard amusé du Maitre. Il attrape par la laisse deux esclaves mâles et il passe à côté de moi alors que j’essaie de passer inaperçu, mais je sens une poigne forte énergique, attraper et tirer mon collier…
- Toi, viens avec moi, sale pute !
Monsieur Walter me prend alors la laisse tout aussi énergiquement et me tire accompagnant les deux autres. Il en trouve un quatrième en train de se lécher les babines pleines de foutre car visiblement on venait de lui éjaculer dans sa bouche… Et nous voilà devant cet homme, visiblement un noble de par son allure élancée, son regard hautain, ce Dominant est clairement de la haute société. Le Majordome met deux esclaves debout et deux à genoux en face, dont moi qui me retrouve donc agenouillée face à un de mes congénères debout face à moi. Le Dominant porte haut sa voix pour annoncer et proposer à l'assemblée de se positionner autour de nous. Je suis surpris et inquiet à la fois. Que va-t-il nous faire ? Tout le monde s’approche et l’assemblée forme un large cercle autour de nous…
- Chers amis, nous allons découvrir qui ce soir subira la demi-heure Sado/masochiste ! Ces deux salopes debout vont se faire sucer par ces deux bâtards à genoux. Le premier qui aura fait jouir l'autre sera gagnant et le dernier qui jouira gagnera également. Pour les deux autres, ce sera la punition !
J'entends crier, siffler, rire et s’exclamer :
- Ouiii, belle idée ! Allez-y !
Je comprends alors que je dois faire jouir celui qui est debout devant moi avant que celui d’à-côté y arrive. Mais je sais aussi que ceux qui se feront sucer doivent résister pour ne pas éjaculer. J’ose lever la tête et je m'aperçois que celui devant moi est alexsoumis, celui qui m'avait caressé et embrassé dans la bétaillère.
- Attention... Allez-y les salopes !
Je me jette sur sa nouille et je la suce comme un déchaîné, les mains dans le dos. Je suce, je lèche sous le regard et le rire d'une grande partie des invités. Je lui lèche les couilles, je l’entends commencer à gémir mais il a, visiblement, beaucoup de résistance. Je sers mes lèvres autour de son sexe dressé et je le suce comme la bonne putain que je suis devenu. J'entends gémir celui d’à-côté mais lui aussi résiste… On suce depuis plus de 5 minutes, ma mâchoire me fait mal et je sens bien que cette nouille durcie, érigée, n'est pas loin de cracher son foutre de chien mais alexsoumis fait des efforts presque surhumains pour se retenir tandis que je m’active à aspirer, téter, son gland violacé tout en passant ma langue sur le frein dudit gland. Cet alexsoumis a plus d'expérience que moi, il est déjà bien mieux dressé que moi. Tout à coup, j'entends celui d’à-côté pousser un puissant râle bestial et se vider par de fortes et épaisses giclées de foutre dans la bouche de mon compagnon de soumission à côté de moi. Je suis dégouté car j'y étais presque et bien sûr à ce moment-là dès que son ‘concurrent’ ait joui, alexsoumis peut se mettre à éjaculer et c’est en lâchant des longs râles jouissifs qu’il se vide dans ma bouche par des jets de sperme chaud. Au moins sept giclées de foutre gluant et chaud se répandent dans ma bouche et j'avale aussitôt. Il aura fallu toutes ces giclées de foutre pour qu’enfin il puisse se vider les couilles qui, j’imagine, devait être bien pleines…
- Bravooooo !
Tous applaudissent les deux gagnants qui, en récompense auront le droit de baiser une esclave femelle sans ménagement… Quant à moi et l'autre qui a joui en premier, nous sommes emmenés dans le donjon où se trouvent des instruments ressemblant à des instruments de torture. La pièce est digne d’un donjon SM ! Elle est large et circulaire et ultra-équipée en fouets, martinets, croix de saint-andré, gode et plug de toutes tailles, des dizaines et des dizaines d’autres instruments hétéroclites de toutes sortes, allant des muselières, aux chaînes et cages suspendues…
- La demi-heure Sado/masochiste peut commencer !
Je ne sais pas encore ce qui m’attend. Nous sommes attachés chacun, sur une des croix de st André, dos face aux Supérieurs. Jambes et bras attachés, nous sommes tremblants de peur. Une Domina, superbe d'une quarantaine d'années, brune, décroche du mur un long martinet, elle s'approche alors de moi
- Ouvre la gueule, salope.
J’obéis immédiatement et elle me crache dans la bouche.
- Je vais te faire pleurer, mais tu sais que tu as besoin de cela... N'est-ce pas que tu le sais, le bâtard ?
- Oui Madame
La Domina se déplace derrière moi et sous le regard de presque tous les invités, elle me donne un premier coup cinglant qui me frappe le dos...
- Ahhhhhhhh…
Quelle douleur subite, vive, brûlante. La femme ne retient pas des coups. ‘Schlaccc, schlacc, schlacc...’ Je crie tellement, ça fait trop mal. La Domina en est au moins à 20 coups sur mon dos et mon cul. Les marques deviennent déjà bleutées et même violet. Après 25 coups, je me mets à pleurer et supplier d'arrêter en criant, demandant grâce dans une supplique plaintive. Elle va jusqu'à 30 coups sans aucune pitié.
- Regardez-moi cette salope, elle bande alors que son dos est martyrisé !
Effectivement, ma nature servile, malgré la forte douleur cinglante, se régale et j’en bande terriblement, cette souffrance terrible m'excite aussi, mon masochisme est en vif éveil. Je suis là, pleurant à chaudes larmes, la tête baissée, gémissant tel un chien battu, apeuré, en attendant que mon congénère de punition prenne la même correction. J’essaie aussi de reprendre mon souffle. Je m'imagine que c'est fini, mais ô combien je me trompe. C'est maintenant Mireille, l'épouse de mon directeur, qui décroche au mur une belle cravache noire, estampillée sur la poignée des Armoiries de la Famille des Evans.
- Eh oui ! Je vais te fracasser, petite salope... Tu croyais que nous avions juste une relation amicale parce que Maxime est ton directeur ! Mais il y a longtemps qu’on avait deviné ce que tu étais en réalité ! Alors, maintenant tu vas voir comment Mireille est en réalité, ce n’est pas la Mireille, trop gentille et accueillante à la maison à préparer les repas d’amis que tu as connu, ça je peux te le certifier !…
Nous, en effet qui étions amis, qui partagions de bons moments ensemble, souvent autour d’une table chez elle et son mari, je la voyais comme une ménagère modèle à aimer recevoir, à faire la cuisine… Eh bien là voilà maintenant qu'elle me détruit le dos et le cul déjà bien martyrisés. J’hurle sous les 30 coups de cravaches donnés sans ménagement, elle se déchaîne sur moi car j’ai l’impression que Mireille se venge de toutes les blagues masochistes que j’ai pu dire lors de nos repas amicaux. Je suis brisé, anéanti, je suis à moitié dans les vapes mais paradoxalement très excité et je ne peux l'expliquer, sauf que mon masochisme me provoque cet état d’excitation d’une érection phénoménale. En voyant ma nouille tendue, tous rient et disent que j'aime ça ! Un troisième s'approche, non c'est trop là, j'en peux plus... Il décroche cette fois-ci une badine épaisse et je reconnais la voix de Maxime, mon ex directeur...
- Je savais qu’un jour, ce moment viendrai…. Toi qui te prenait pour quelqu'un sur ton lieu de travail et qui, rappelle-toi, à même essayé de passer au-dessus de moi dans la hiérarchie professionnelle... Eh bien, ce soir je te remets à ta place de chien… Slikkk, slikkk, slikkk slikkkkk…
(A suivre …)
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