La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1687)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1687)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode N°1683) –
…je les conduis à leur table non sans me sentir gêné de m’afficher dénudé ainsi, devant ceux qui étaient mes amis avant que je devienne ce que je suis désormais… Je les emmène jusqu'à leur table, ils s'assoient alors que leur regard sur moi n’a jamais été celui que je connaissais. En effet, ils prennent tous les deux un regard des plus hautains, me regardant de haut avec une sorte de mépris que je ne leur connaissais pas… Et je reste debout derrière eux, les mains dans le dos, et surtout la tête baissée, comme cela nous a été exigé. Tous les Dominants, tout à coup, de lèvent afin de saluer et applaudir le Maitre qui entre par la grande et massive double-porte centrale de cette grande salle, pour aller prendre place en bout de table, tel un patron devant son conseil d’administration. Les Dominants s’assoient uniquement une fois que le Noble se soit assis… Le Châtelain attend que les applaudissements se calment et prend la parole avec une éloquence parfaite, d’une voix claire.
- Mes chers amis, c'est une grande joie pour moi de vous recevoir ce soir dans Ma Demeure, lieu de refuge du grand Marquis de Sade (lire les Origines de la Saga). Vous êtes ici ce soir car vous êtes d'abord des amis que j'apprécie énormément mais aussi parce que vous êtes tous, nous sommes tous, des membres de notre Cercle ‘‘Les Supérieurs’’ à qui tous les soumis et êtres inférieurs nous doivent entière et parfaite obéissance. Tous Mes esclaves sont là ce soir à votre entière disposition. Ils vous serviront à table et obéirons à tous vos moindres exigences car c'est pour eux viscéral voire vital d'être traités selon leur nature profonde. Ils ont tous été éduqués, dressés à l’extrême obéissance et ils vivent pour nous servir. Alors, chers amis, profitez de cette belle soirée, je vous souhaite un bon appétit et une soirée pleine de joie, de luxure et de Domination...
Puis le Châtelain se lève ainsi que son verre et tous se lèvent à leur tour, avec leur coupe de champagne levée haut, et se mettent à boire le champagne certainement de haute qualité. Tous les invités se rassoient et commencent à parler. A chaque table, plusieurs Dominants et toujours derrière des soumis prêts à les servir. Une musique assez rythmée se fait entendre et apparaît tout à coup sur une estrade quelques esclaves femelles vêtues comme de véritables putains. Mini-jupe, bas-résilles, porte jarretelle et juste un string avec un minimum de tissu. Elles dansent pour animer la soirée. J'entends rire, discuter, certains regarde ces esclaves danser en frappant dans les mains. Le Maitre sait extrêmement bien recevoir. Je n'ai jamais vu ça ! Des apéritifs dignes des plus grands restaurants, des cocktails aux magnifiques garnitures colorées, mais aussi des whiskys Ecossais, Japonais de plus de 20 ans d'âge. Du champagne à volonté qui coulent à flot. Des canapés de caviar en quantité, de saumon, de foie gras et pleins d'autres choses appétissantes sur des vastes plateaux d’argent. Une déferlante de bonnes choses, à faire pâlir le meilleur des traiteurs… Eux, s'amusent, discutent, boivent et nous, soumises et soumis, nous servons nus, collier au cou et ma nature servile trouve cela tout à fait normal. C'est notre place à nous, les êtres inferieurs de servir les Dominants. Mais je suis quand même gêné d'être obligé de servir à la table mon directeur Maxime et sa femme Mireille qui avant de les retrouver au Château avaient une relation des plus amicale avec moi. Je ne pouvais pas deviner qu’ils étaient si proches de Monsieur le Marquis d’Evans...
Le hasard veut qu’au fond de la salle, face à moi, il y ait un immense miroir au cadre vernis et ouvragé. Alors discrètement, à un certain moment, juste quelques secondes, j’ose lever un peu la tête et mon regard se porte involontairement sur ce miroir. Et là, je me vois tel que je suis, je me vois donc toujours nu et debout avec juste un collier et une laisse qui pend jusqu'à ma nouille, les mains dans le dos à attendre. Je devrai avoir honte, rougir, me dire ‘qu’est-ce que je fais là’, de me voir ainsi. Eh bien non, au contraire, l’image que me renvoie cette glace de moi-même me rend heureux, profondément heureux, épanoui et me rappelle que je suis simplement à ma place… Je rebaisse vite la tête avant qu’on s’aperçoive de quoi que ce soit... Mon directeur, tout à coup, tend son verre sur le côté. Je comprends de suite et je m'empresse de lui remplir la flûte de champagne frais. Même pas svp ou merci ! Il ne m’a même pas regardé ! Nous qui étions amis, il était toujours très poli avec moi, mais ça c'était avant ! Je ne suis là maintenant que pour le servir... Le repas se passe dans la joie, le brouhaha général, les rires... N’étant pas loin du Noble, je peux distinctement écouter le Maitre raconter des histoires qui se sont passés ici-même, des évènements incroyables, quasiment historiques, mais pas forcément en relation avec la Domination/soumission, comme par exemple la fuite de Ses ancêtres par les souterrains secrets sous le Château lors de la Révolution Française pour se réfugier en Angleterre via un vaste réseau d’aristocrates amis européens de l’époque qui avaient fait traverser la Manche à la famille des Evans lors de l’été 1789… J'apprends aussi une anecdote, plus ancienne dans la chronologie du temps, que le fameux Marquis de Sade, grand ami du Marquis d’Evans de l’époque avait, dans cette même salle, fouetté une duchesse sachant qu'elle avait des penchants de soumission et qu'il l'avait scotomisée devant tout un auditoire de nobles… Par ailleurs, j'ai servi plusieurs fois mon directeur et son épouse et après un incroyable dessert aux milles pâtisseries, je les ai accompagnés dans une des pièces d’à-côté, le vaste fumoir meublé d’une dizaine de canapés. Ils se sont posés dans l’un d’eux, dans un magnifique et confortable canapé avec en face, deux fauteuils.
- Un cigare, salope ! me lance mon directeur avec un claquement de doigts, sans appel.
Je regarde alors autour de moi et aperçois sur une table de marbre Louis XV aux pieds stylés, avec plusieurs grandes boîtes de cigares portant l’inscription ‘‘Cohiba de La Havane’’ considérés comme les meilleurs cigares au monde… Je vais alors jusqu’à ladite table, ouvre une boite et prend délicatement un gros cigare dont je n'ose imaginer le prix, même à l’unité. Je le rapporte et donne à Maxime, mon ancien directeur après avoir coupé le bout avec le coupe-cigare en argent trônant sur un guéridon assorti au mobilier. Alors qu'il l'avait en bouche, je l'ai moi-même allumé et il m'a craché à la gueule la première bouffée de fumée. Je me mets à tousser car j'ai été surpris et tous les deux se mettent à rire de moi mais dans un rire de dédain. La musique a changé, elle est devenue douce, la lumière est maintenant très tamisée. Je commence à entendre des gémissements, je vois plus loin sur d’autres canapés, des esclaves femelles ou mâles sucer des sexes à genoux, des Dominas se font lécher aussi par d’autres esclaves. J'entends également des coups de fouets et des cris. La soirée prend maintenant une tournure très bdsm, très orgiaque dans la luxure et la perversité ambiante. J'entends des Dominants jouir et se vider sur le visage des soumis. Une ravissante esclave à la chevelure blonde ondulée est attachée et ainsi offerte à ceux qui veulent l’utiliser. Ça baise dans tous les coins, les soumis sont là pour donner maintenant du plaisir aux Dominants. Le Maitre va de table en table, de canapé en canapé afin de voir si tout va bien... Enfin le Noble passe aussi aux tables et canapés où les Dominants sont encore au calme car pour beaucoup, ils sont en pleine orgie. Le Maitre arrive et s'assoit sur le fauteuil en face de Maxime, mon directeur et de Mireille, son épouse.
- La soirée se passe bien, chers amis ?
- Ah Cher Edouard, tu es vraiment quelqu'un de remarquable et c'est un honneur et un bonheur d'être là ce soir. Tu sais recevoir sans compter…- Merci, mon ami… Au fait, Je t'ai préparé ta soumise préférée et c'est même ton ancien collègue qui va te préparer.
Le Maitre claque alors des doigts et m’exige laconiquement :
- Va sucer, salope !
Je vois mon directeur sortir son sexe, je suis pris tout à coup de honte mais le regard noir du Maitre me remet à ma place. Je viens alors me placer à genoux devant sa verge érigée et servilement je la prends en bouche et commence à la sucer sous le regard du Maitre, de mon directeur et de son épouse. Pendant que je suce, Le Maitre parle à Maxime.
- Dis-moi, cher ami, comment est sa femme à ce sale bâtard ?
- Ah Edouard, depuis la première fois que je l'ai vu, je ne cesse d'imaginer ma queue entre ses nichons. C’est une femme bien conservée et elle a une de ces paires de seins, cette salope !
- Eh bien Maxime, sache que bientôt cette pute sera ici et que tu auras l’occasion de glisser ta verge entre ses seins et elle te fera une belle cravate de notaire ! Tu pourras même la baiser autant que tu en auras envie ! En effet, elle sera bientôt Ma chienne, cette salope. Je peux t'en faire la promesse. Et on la baisera ensemble cette pute qui maintenant m'appartient... Et ce bâtard sera là pour bien voir sa salope de femme se faire baiser par de vrais hommes virils...
(A suivre …)
…je les conduis à leur table non sans me sentir gêné de m’afficher dénudé ainsi, devant ceux qui étaient mes amis avant que je devienne ce que je suis désormais… Je les emmène jusqu'à leur table, ils s'assoient alors que leur regard sur moi n’a jamais été celui que je connaissais. En effet, ils prennent tous les deux un regard des plus hautains, me regardant de haut avec une sorte de mépris que je ne leur connaissais pas… Et je reste debout derrière eux, les mains dans le dos, et surtout la tête baissée, comme cela nous a été exigé. Tous les Dominants, tout à coup, de lèvent afin de saluer et applaudir le Maitre qui entre par la grande et massive double-porte centrale de cette grande salle, pour aller prendre place en bout de table, tel un patron devant son conseil d’administration. Les Dominants s’assoient uniquement une fois que le Noble se soit assis… Le Châtelain attend que les applaudissements se calment et prend la parole avec une éloquence parfaite, d’une voix claire.
- Mes chers amis, c'est une grande joie pour moi de vous recevoir ce soir dans Ma Demeure, lieu de refuge du grand Marquis de Sade (lire les Origines de la Saga). Vous êtes ici ce soir car vous êtes d'abord des amis que j'apprécie énormément mais aussi parce que vous êtes tous, nous sommes tous, des membres de notre Cercle ‘‘Les Supérieurs’’ à qui tous les soumis et êtres inférieurs nous doivent entière et parfaite obéissance. Tous Mes esclaves sont là ce soir à votre entière disposition. Ils vous serviront à table et obéirons à tous vos moindres exigences car c'est pour eux viscéral voire vital d'être traités selon leur nature profonde. Ils ont tous été éduqués, dressés à l’extrême obéissance et ils vivent pour nous servir. Alors, chers amis, profitez de cette belle soirée, je vous souhaite un bon appétit et une soirée pleine de joie, de luxure et de Domination...
Puis le Châtelain se lève ainsi que son verre et tous se lèvent à leur tour, avec leur coupe de champagne levée haut, et se mettent à boire le champagne certainement de haute qualité. Tous les invités se rassoient et commencent à parler. A chaque table, plusieurs Dominants et toujours derrière des soumis prêts à les servir. Une musique assez rythmée se fait entendre et apparaît tout à coup sur une estrade quelques esclaves femelles vêtues comme de véritables putains. Mini-jupe, bas-résilles, porte jarretelle et juste un string avec un minimum de tissu. Elles dansent pour animer la soirée. J'entends rire, discuter, certains regarde ces esclaves danser en frappant dans les mains. Le Maitre sait extrêmement bien recevoir. Je n'ai jamais vu ça ! Des apéritifs dignes des plus grands restaurants, des cocktails aux magnifiques garnitures colorées, mais aussi des whiskys Ecossais, Japonais de plus de 20 ans d'âge. Du champagne à volonté qui coulent à flot. Des canapés de caviar en quantité, de saumon, de foie gras et pleins d'autres choses appétissantes sur des vastes plateaux d’argent. Une déferlante de bonnes choses, à faire pâlir le meilleur des traiteurs… Eux, s'amusent, discutent, boivent et nous, soumises et soumis, nous servons nus, collier au cou et ma nature servile trouve cela tout à fait normal. C'est notre place à nous, les êtres inferieurs de servir les Dominants. Mais je suis quand même gêné d'être obligé de servir à la table mon directeur Maxime et sa femme Mireille qui avant de les retrouver au Château avaient une relation des plus amicale avec moi. Je ne pouvais pas deviner qu’ils étaient si proches de Monsieur le Marquis d’Evans...
Le hasard veut qu’au fond de la salle, face à moi, il y ait un immense miroir au cadre vernis et ouvragé. Alors discrètement, à un certain moment, juste quelques secondes, j’ose lever un peu la tête et mon regard se porte involontairement sur ce miroir. Et là, je me vois tel que je suis, je me vois donc toujours nu et debout avec juste un collier et une laisse qui pend jusqu'à ma nouille, les mains dans le dos à attendre. Je devrai avoir honte, rougir, me dire ‘qu’est-ce que je fais là’, de me voir ainsi. Eh bien non, au contraire, l’image que me renvoie cette glace de moi-même me rend heureux, profondément heureux, épanoui et me rappelle que je suis simplement à ma place… Je rebaisse vite la tête avant qu’on s’aperçoive de quoi que ce soit... Mon directeur, tout à coup, tend son verre sur le côté. Je comprends de suite et je m'empresse de lui remplir la flûte de champagne frais. Même pas svp ou merci ! Il ne m’a même pas regardé ! Nous qui étions amis, il était toujours très poli avec moi, mais ça c'était avant ! Je ne suis là maintenant que pour le servir... Le repas se passe dans la joie, le brouhaha général, les rires... N’étant pas loin du Noble, je peux distinctement écouter le Maitre raconter des histoires qui se sont passés ici-même, des évènements incroyables, quasiment historiques, mais pas forcément en relation avec la Domination/soumission, comme par exemple la fuite de Ses ancêtres par les souterrains secrets sous le Château lors de la Révolution Française pour se réfugier en Angleterre via un vaste réseau d’aristocrates amis européens de l’époque qui avaient fait traverser la Manche à la famille des Evans lors de l’été 1789… J'apprends aussi une anecdote, plus ancienne dans la chronologie du temps, que le fameux Marquis de Sade, grand ami du Marquis d’Evans de l’époque avait, dans cette même salle, fouetté une duchesse sachant qu'elle avait des penchants de soumission et qu'il l'avait scotomisée devant tout un auditoire de nobles… Par ailleurs, j'ai servi plusieurs fois mon directeur et son épouse et après un incroyable dessert aux milles pâtisseries, je les ai accompagnés dans une des pièces d’à-côté, le vaste fumoir meublé d’une dizaine de canapés. Ils se sont posés dans l’un d’eux, dans un magnifique et confortable canapé avec en face, deux fauteuils.
- Un cigare, salope ! me lance mon directeur avec un claquement de doigts, sans appel.
Je regarde alors autour de moi et aperçois sur une table de marbre Louis XV aux pieds stylés, avec plusieurs grandes boîtes de cigares portant l’inscription ‘‘Cohiba de La Havane’’ considérés comme les meilleurs cigares au monde… Je vais alors jusqu’à ladite table, ouvre une boite et prend délicatement un gros cigare dont je n'ose imaginer le prix, même à l’unité. Je le rapporte et donne à Maxime, mon ancien directeur après avoir coupé le bout avec le coupe-cigare en argent trônant sur un guéridon assorti au mobilier. Alors qu'il l'avait en bouche, je l'ai moi-même allumé et il m'a craché à la gueule la première bouffée de fumée. Je me mets à tousser car j'ai été surpris et tous les deux se mettent à rire de moi mais dans un rire de dédain. La musique a changé, elle est devenue douce, la lumière est maintenant très tamisée. Je commence à entendre des gémissements, je vois plus loin sur d’autres canapés, des esclaves femelles ou mâles sucer des sexes à genoux, des Dominas se font lécher aussi par d’autres esclaves. J'entends également des coups de fouets et des cris. La soirée prend maintenant une tournure très bdsm, très orgiaque dans la luxure et la perversité ambiante. J'entends des Dominants jouir et se vider sur le visage des soumis. Une ravissante esclave à la chevelure blonde ondulée est attachée et ainsi offerte à ceux qui veulent l’utiliser. Ça baise dans tous les coins, les soumis sont là pour donner maintenant du plaisir aux Dominants. Le Maitre va de table en table, de canapé en canapé afin de voir si tout va bien... Enfin le Noble passe aussi aux tables et canapés où les Dominants sont encore au calme car pour beaucoup, ils sont en pleine orgie. Le Maitre arrive et s'assoit sur le fauteuil en face de Maxime, mon directeur et de Mireille, son épouse.
- La soirée se passe bien, chers amis ?
- Ah Cher Edouard, tu es vraiment quelqu'un de remarquable et c'est un honneur et un bonheur d'être là ce soir. Tu sais recevoir sans compter…- Merci, mon ami… Au fait, Je t'ai préparé ta soumise préférée et c'est même ton ancien collègue qui va te préparer.
Le Maitre claque alors des doigts et m’exige laconiquement :
- Va sucer, salope !
Je vois mon directeur sortir son sexe, je suis pris tout à coup de honte mais le regard noir du Maitre me remet à ma place. Je viens alors me placer à genoux devant sa verge érigée et servilement je la prends en bouche et commence à la sucer sous le regard du Maitre, de mon directeur et de son épouse. Pendant que je suce, Le Maitre parle à Maxime.
- Dis-moi, cher ami, comment est sa femme à ce sale bâtard ?
- Ah Edouard, depuis la première fois que je l'ai vu, je ne cesse d'imaginer ma queue entre ses nichons. C’est une femme bien conservée et elle a une de ces paires de seins, cette salope !
- Eh bien Maxime, sache que bientôt cette pute sera ici et que tu auras l’occasion de glisser ta verge entre ses seins et elle te fera une belle cravate de notaire ! Tu pourras même la baiser autant que tu en auras envie ! En effet, elle sera bientôt Ma chienne, cette salope. Je peux t'en faire la promesse. Et on la baisera ensemble cette pute qui maintenant m'appartient... Et ce bâtard sera là pour bien voir sa salope de femme se faire baiser par de vrais hommes virils...
(A suivre …)
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