La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1689)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1682) -
Chapitre 53 : Douleurs et récompenses -
… et de la belle aventure que me faisait vivre le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans… Quelques jours plus tard, toujours entre les mains de ces pervers, je me retrouvais attaché par une courte chaîne autour du cou à une barre métallique horizontale, à quatre pattes, avec cinq autres femelles, de jeunes soumises, sauf une qui devait avoir une cinquantaine d’années. Nous étions tous là, attachés de part et d’autre de cette épaisse et massive tige de métal, les mains prisonnières dans des moufles en cuir fixées au sol, à attendre, sans bien sûr, nous parler. Celle en face de moi, une jeune femme brune aux cheveux coupés au carré, semblait ailleurs. Elle gémissait régulièrement, je la voyais se déhancher, son corps vibrait et ondulait, son esprit semblait totalement accaparé par des désirs charnels et sexuels intenses. A plusieurs reprises, tant bien que mal, elle s’abaissait pour frotter sa vulve contre le sol, mettant en mouvement son large bassin de femelle et avec l’espoir de prendre ainsi un peu de plaisir. Elle aussi, comme mes autres congénères installées à mes côtés, tous, continuions à subir ces traitements infâmes, avec des injections régulières d’aphrodisiaques surpuissants, des comprimés stimulants nos désirs sexuels et exacerbant notre libido à l’excès, jusqu’à n’être que des salopes dépravées, des chiennes en chaleur totalement obsédées par le sexe.
Je reconnaissais celle placée à ma droite, la plus âgée. Elle n’était autre que cette femme amenée ici par son mari, parce que celui-ci se plaignait de ne pas pouvoir l’enculer suffisamment. Le traitement qu’elle subissait semblait être d’une grande efficacité ! Elle aussi geignait, tantôt un long soupir, tantôt un cri aigu, tantôt quelques mots incompréhensibles sortaient de sa gorge, elle se trémoussait et s’agitait comme une folle. Dans un murmure compréhensible cette fois-ci, je l’entendais réclamer de la bite, supplier même une grosse queue dans son cul de pute... Je ne me voyais pas, mais je devais moi aussi, renvoyer la même image que ces femelles survoltées et exaltées. Je suais, transpirais, haletais… ma nouille raide cognait contre mon ventre, mes couilles étaient lourdes car non vidées depuis des lustres, mon cul me démangeait, palpitait tel un affamé. Tous, connaissions le même syndrome, la surexcitation sexuelle permanente !… Personne ne remarquait l’arrivée de ce pervers Maxence, accompagnée de cette sadique Madame Brigitte, tant nous étions assaillis par nos pulsions lubriques. Ce fut que lorsqu’ils parlèrent que je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux-là à nous contempler avec leurs sourires cruels.
- Toutes ces femelles sont prêtes désormais, elles peuvent regagner leur lieu de vie habituel, lançait Maxence.
- Même celle qui porte des couilles ?, interrogeait Brigitte.
- Même celle-ci !, répondait Maxence- Vous en êtes bien sûr Maxence… Vous savez que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis d’Evans, nous n’avons pas le droit à l’erreur.
- Oui Brigitte, cette pute est désormais conditionnée… Aucun retour en arrière n’est possible, elle est et restera une salope, toujours prête à tendre et donner son cul que nous avons vaginalisé, blanchi et dépilé définitivement. Il suffira pendant deux mois encore qu’elle prenne deux gélules par jour, gélules que j’ai fourni hier à Monsieur le Marquis.
- Très bien Maxence, alors je vous laisse agir une dernière fois. Je veux voir ces putes jouir avant que nous les rendions à leur propriétaire.
J’avais évidemment compris qu’il s’agissait de moi dont on parlait lorsque ces deux pervers m’humiliaient en me désignant comme une femelle à couilles ! Pourquoi ressentais-je une forme de honte et de déshonneur à cet instant précis ? N’étais-ce pas la juste réalité ? Oui… j’aimais me faire fourrer et remplir le cul, ou plus précisément la chatte désormais ! Oui… j’aimais prendre du jus dans mon antre ! Oui… j’aimais entendre claquer une paire de couilles sur mes fesses ! Oui… aucun doute, j’étais devenu une véritable salope, une vraie chienne lubrique et insatiable. Pendant que je me perdais dans mes pensées, Maxence lui, était à l’action. Il parait la femelle juste face à moi : Sur ses seins, qu’il palpait sans minutie, il posait sur chacun d’eux, des pompes à vide, puis il fouillait l’entrejambe de celle-ci pour lui poser également une pompe plus petite sur son clitoris. Enfin, il installait derrière elle, une machine à baiser sur laquelle, au bout de la tige métallique, il plaçait un gode d’une taille respectable qu’il lui emboitait dans le cul. Les quatre autres soumises étaient parées de la même façon. Pour ma part, je recevais le même traitement sur mes tétons, mes couilles étaient enfermées dans un long et lourd ballstretcher, ma nouille subissait quant à elle un traitement un peu particulier. Elle était enfermée dans une cage composée d’anneaux de métal reliés par des tiges rigides, une sonde urétrale complétait l’ensemble. Maxence désinfectait ma petite fente et mettait lentement l’engin lubrifié en place. Je gémissais de plaisir et de douleur lorsque la sonde s’enfonçait dans mon urètre. Elle était assez large et cet étirement intime représentait un certain inconfort. Les anneaux comprimaient douloureusement mon érection, je m’agitais quelque peu mais une claque sur mon cul me fit comprendre qu’il valait mieux pour moi de me tenir à carreau ! Une machine à baiser était placée derrière moi, et lorsque l’énorme gland factice et lubrifié entrait en contact avec mon anus et m’ouvrais légèrement le cul, je sursautais… une nouvelle claque me ramenait à la raison !
Les machines à baiser se mirent en route au même moment, les godes s’enfonçaient lentement mais profondément, jusqu’à la garde même, dans nos chairs intimes, alors que les pompes posées sur nos seins aspiraient nos tétons respectifs. Un cri inhumain rauque et guttural sortait de nos gorges, chacun de nous six, étions emportés par la douleur et le désir. Mon sexe en feu ressentait chaque barreau de la cage qui emprisonnait ma chair gonflée de sève et la sonde m’envoyait des ondes de plaisir au plus petit mouvement à l’intérieur de mon urètre. La jeune soumise face à moi, gardait la bouche ouverte, les yeux exorbités, des larmes lui montaient aux yeux. Elle geignait, se cabrait, respirait longuement, pour souffler amplement ensuite. Le gode dur entrait en mouvement, me pénétrait et sortait en m’écartant le cul, l’obligeant à s’ouvrir et à se dilater. Cet engin vibrait de plus en plus fort, de façon aléatoire tout en faisant des allers retours incessants. Au plus profond de mon conduit, les vibrations résonnaient et caressait directement ma prostate. Mon ventre se mit à avoir des spasmes tandis que ma queue cherchait vainement à s’épanouir. Très vite mon corps était en feu, cherchant désespérément le plaisir que la cage et le lourd ballstretcher m’empêchaient d’atteindre. Je me laissais baiser, me perdais dans le désir, gémissant et me tortillant sans me préoccuper de celles près de moi, toutes dans le même état que moi d’ailleurs. Je me mettais à transpirer, une sudation abondante, ma nouille et mes couilles me faisait souffrir, alors qu’une vague de désir m’envahissait. A cet instant, une main s’agrippait à ma chevelure m’obligeant à redresser la tête. Madame Louise me regardait droit dans les yeux, avec un sourire pervers aux lèvres :
- Vous avez raison Maxence, une vraie femelle en chaleur, une véritable putain, voulant constamment être rabaissée, humiliée et toucher le fond de la fange qui est en lui, enfin, je veux dire en elle ! Une véritable salope souhaitant être en permanence possédée et remplie.
Je me sentais au bord des larmes tant l’attente était frustrante, j’avais besoin de jouir mais n’y parvenais pas. Ce gode me faisait monter très haut, au bord de la jouissance avant de se retirer presque entièrement pour mieux revenir. Ce sexe factice qui m’avait paru si froid et dur au départ, était à présent chaud et doux, je le sentais bouger et vibrer, il me branlait le cul, taquinait ma prostate sans relâche, alors que j’endurais la pression des anneaux de métal qui m’empêchait de bander et encore plus de relâcher cette pression dans mes couilles, à cela s’ajoutait l’étirement de mes tétons qui réagissaient eux aussi en m’envoyant des ondes de plaisir supplémentaires dans mon bas-ventre. Je devenais simplement fou ! La soumise à ma gauche jouissait à grand bruit, sans aucune retenue, elle gueulait et suppliait d’arrêter cette machine qui lui besognait sans relâche le cul. Elle criait encore lorsque des coups de cravaches données par Maxence lui cinglaient les fesses.
- Espèce de sale putain… Tu n’es qu’une salope incapable de te retenir plus de dix minutes. Qu’en vas-tu comprendre que tu ne peux jouir que lorsque nous le décidons ?
Les coups cessèrent, mais Maxence n’en restait pas là… Il arrêtait les machines à baiser et plaçait un gode supplémentaire sous celui déjà installé afin que les femelles aient leurs deux orifices pris et ramonés en même temps. Quant à moi, il installait des électrodes sur mon ballstretcher métallique et à l’extrémité de ma cage de chasteté.
- Vous pourrez remercier cette putain…grâce à elle, vous allez devoir subir quelques tourments supplémentaires. Je vous préviens gentiment, si l’un de vous jouit dans la demi-heure qui suit, je vous laisserai toute la journée, ainsi harnachés, à vous faire défoncer.
Je pensais que la pression était retombée avec cette brève interruption, mais absolument pas… Dès que nous fûmes rebranchés, des secousses terribles irradiaient mon, nos corps… Des plaintes et des gémissements, des tremblements et des soubresauts, des plaisirs et des douleurs, des convulsions et frissons, des chocs et des ébranlements… nous n’étions que ça, à nous donner en spectacle, simplement emportés par le désir brulant, l’excitation exacerbée et l’intense frustration. J’hurlais à chaque décharge électrique qui se propageait sur et dans ma nouille, sur mon scrotum et dans mes couilles. Et des décharges, il y en avait, toutes les dix secondes ou presque, plus ou moins denses, plus ou moins violentes. Je perdais pied, perdais toute trace de dignité du fait des conditions imposées. Je n’étais qu’un esclave en perdition, qu’une machine à plaisirs, totalement accaparé par ces ressentis douloureux et à la fois jouissifs. Maxence m’attrapait une nouvelle fois par les cheveux, m’obligeant à le regarder. Je parvenais difficilement à le voir, tant ma vision était brouillée par mes larmes.
- Je suis certain que tu regrettes d’avoir une paire de boules entre les jambes, n’est-ce pas salope ?
- Oui Monsieur.
Maxence me giflait à deux reprises…
- Oui quoi !
- Oui Monsieur, je regrette d’avoir une paire de boules entre mes cuisses, Monsieur.
- Crois-moi salope, tu ne sais pas si bien dire…
(A suivre…)
Chapitre 53 : Douleurs et récompenses -
… et de la belle aventure que me faisait vivre le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans… Quelques jours plus tard, toujours entre les mains de ces pervers, je me retrouvais attaché par une courte chaîne autour du cou à une barre métallique horizontale, à quatre pattes, avec cinq autres femelles, de jeunes soumises, sauf une qui devait avoir une cinquantaine d’années. Nous étions tous là, attachés de part et d’autre de cette épaisse et massive tige de métal, les mains prisonnières dans des moufles en cuir fixées au sol, à attendre, sans bien sûr, nous parler. Celle en face de moi, une jeune femme brune aux cheveux coupés au carré, semblait ailleurs. Elle gémissait régulièrement, je la voyais se déhancher, son corps vibrait et ondulait, son esprit semblait totalement accaparé par des désirs charnels et sexuels intenses. A plusieurs reprises, tant bien que mal, elle s’abaissait pour frotter sa vulve contre le sol, mettant en mouvement son large bassin de femelle et avec l’espoir de prendre ainsi un peu de plaisir. Elle aussi, comme mes autres congénères installées à mes côtés, tous, continuions à subir ces traitements infâmes, avec des injections régulières d’aphrodisiaques surpuissants, des comprimés stimulants nos désirs sexuels et exacerbant notre libido à l’excès, jusqu’à n’être que des salopes dépravées, des chiennes en chaleur totalement obsédées par le sexe.
Je reconnaissais celle placée à ma droite, la plus âgée. Elle n’était autre que cette femme amenée ici par son mari, parce que celui-ci se plaignait de ne pas pouvoir l’enculer suffisamment. Le traitement qu’elle subissait semblait être d’une grande efficacité ! Elle aussi geignait, tantôt un long soupir, tantôt un cri aigu, tantôt quelques mots incompréhensibles sortaient de sa gorge, elle se trémoussait et s’agitait comme une folle. Dans un murmure compréhensible cette fois-ci, je l’entendais réclamer de la bite, supplier même une grosse queue dans son cul de pute... Je ne me voyais pas, mais je devais moi aussi, renvoyer la même image que ces femelles survoltées et exaltées. Je suais, transpirais, haletais… ma nouille raide cognait contre mon ventre, mes couilles étaient lourdes car non vidées depuis des lustres, mon cul me démangeait, palpitait tel un affamé. Tous, connaissions le même syndrome, la surexcitation sexuelle permanente !… Personne ne remarquait l’arrivée de ce pervers Maxence, accompagnée de cette sadique Madame Brigitte, tant nous étions assaillis par nos pulsions lubriques. Ce fut que lorsqu’ils parlèrent que je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux-là à nous contempler avec leurs sourires cruels.
- Toutes ces femelles sont prêtes désormais, elles peuvent regagner leur lieu de vie habituel, lançait Maxence.
- Même celle qui porte des couilles ?, interrogeait Brigitte.
- Même celle-ci !, répondait Maxence- Vous en êtes bien sûr Maxence… Vous savez que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis d’Evans, nous n’avons pas le droit à l’erreur.
- Oui Brigitte, cette pute est désormais conditionnée… Aucun retour en arrière n’est possible, elle est et restera une salope, toujours prête à tendre et donner son cul que nous avons vaginalisé, blanchi et dépilé définitivement. Il suffira pendant deux mois encore qu’elle prenne deux gélules par jour, gélules que j’ai fourni hier à Monsieur le Marquis.
- Très bien Maxence, alors je vous laisse agir une dernière fois. Je veux voir ces putes jouir avant que nous les rendions à leur propriétaire.
J’avais évidemment compris qu’il s’agissait de moi dont on parlait lorsque ces deux pervers m’humiliaient en me désignant comme une femelle à couilles ! Pourquoi ressentais-je une forme de honte et de déshonneur à cet instant précis ? N’étais-ce pas la juste réalité ? Oui… j’aimais me faire fourrer et remplir le cul, ou plus précisément la chatte désormais ! Oui… j’aimais prendre du jus dans mon antre ! Oui… j’aimais entendre claquer une paire de couilles sur mes fesses ! Oui… aucun doute, j’étais devenu une véritable salope, une vraie chienne lubrique et insatiable. Pendant que je me perdais dans mes pensées, Maxence lui, était à l’action. Il parait la femelle juste face à moi : Sur ses seins, qu’il palpait sans minutie, il posait sur chacun d’eux, des pompes à vide, puis il fouillait l’entrejambe de celle-ci pour lui poser également une pompe plus petite sur son clitoris. Enfin, il installait derrière elle, une machine à baiser sur laquelle, au bout de la tige métallique, il plaçait un gode d’une taille respectable qu’il lui emboitait dans le cul. Les quatre autres soumises étaient parées de la même façon. Pour ma part, je recevais le même traitement sur mes tétons, mes couilles étaient enfermées dans un long et lourd ballstretcher, ma nouille subissait quant à elle un traitement un peu particulier. Elle était enfermée dans une cage composée d’anneaux de métal reliés par des tiges rigides, une sonde urétrale complétait l’ensemble. Maxence désinfectait ma petite fente et mettait lentement l’engin lubrifié en place. Je gémissais de plaisir et de douleur lorsque la sonde s’enfonçait dans mon urètre. Elle était assez large et cet étirement intime représentait un certain inconfort. Les anneaux comprimaient douloureusement mon érection, je m’agitais quelque peu mais une claque sur mon cul me fit comprendre qu’il valait mieux pour moi de me tenir à carreau ! Une machine à baiser était placée derrière moi, et lorsque l’énorme gland factice et lubrifié entrait en contact avec mon anus et m’ouvrais légèrement le cul, je sursautais… une nouvelle claque me ramenait à la raison !
Les machines à baiser se mirent en route au même moment, les godes s’enfonçaient lentement mais profondément, jusqu’à la garde même, dans nos chairs intimes, alors que les pompes posées sur nos seins aspiraient nos tétons respectifs. Un cri inhumain rauque et guttural sortait de nos gorges, chacun de nous six, étions emportés par la douleur et le désir. Mon sexe en feu ressentait chaque barreau de la cage qui emprisonnait ma chair gonflée de sève et la sonde m’envoyait des ondes de plaisir au plus petit mouvement à l’intérieur de mon urètre. La jeune soumise face à moi, gardait la bouche ouverte, les yeux exorbités, des larmes lui montaient aux yeux. Elle geignait, se cabrait, respirait longuement, pour souffler amplement ensuite. Le gode dur entrait en mouvement, me pénétrait et sortait en m’écartant le cul, l’obligeant à s’ouvrir et à se dilater. Cet engin vibrait de plus en plus fort, de façon aléatoire tout en faisant des allers retours incessants. Au plus profond de mon conduit, les vibrations résonnaient et caressait directement ma prostate. Mon ventre se mit à avoir des spasmes tandis que ma queue cherchait vainement à s’épanouir. Très vite mon corps était en feu, cherchant désespérément le plaisir que la cage et le lourd ballstretcher m’empêchaient d’atteindre. Je me laissais baiser, me perdais dans le désir, gémissant et me tortillant sans me préoccuper de celles près de moi, toutes dans le même état que moi d’ailleurs. Je me mettais à transpirer, une sudation abondante, ma nouille et mes couilles me faisait souffrir, alors qu’une vague de désir m’envahissait. A cet instant, une main s’agrippait à ma chevelure m’obligeant à redresser la tête. Madame Louise me regardait droit dans les yeux, avec un sourire pervers aux lèvres :
- Vous avez raison Maxence, une vraie femelle en chaleur, une véritable putain, voulant constamment être rabaissée, humiliée et toucher le fond de la fange qui est en lui, enfin, je veux dire en elle ! Une véritable salope souhaitant être en permanence possédée et remplie.
Je me sentais au bord des larmes tant l’attente était frustrante, j’avais besoin de jouir mais n’y parvenais pas. Ce gode me faisait monter très haut, au bord de la jouissance avant de se retirer presque entièrement pour mieux revenir. Ce sexe factice qui m’avait paru si froid et dur au départ, était à présent chaud et doux, je le sentais bouger et vibrer, il me branlait le cul, taquinait ma prostate sans relâche, alors que j’endurais la pression des anneaux de métal qui m’empêchait de bander et encore plus de relâcher cette pression dans mes couilles, à cela s’ajoutait l’étirement de mes tétons qui réagissaient eux aussi en m’envoyant des ondes de plaisir supplémentaires dans mon bas-ventre. Je devenais simplement fou ! La soumise à ma gauche jouissait à grand bruit, sans aucune retenue, elle gueulait et suppliait d’arrêter cette machine qui lui besognait sans relâche le cul. Elle criait encore lorsque des coups de cravaches données par Maxence lui cinglaient les fesses.
- Espèce de sale putain… Tu n’es qu’une salope incapable de te retenir plus de dix minutes. Qu’en vas-tu comprendre que tu ne peux jouir que lorsque nous le décidons ?
Les coups cessèrent, mais Maxence n’en restait pas là… Il arrêtait les machines à baiser et plaçait un gode supplémentaire sous celui déjà installé afin que les femelles aient leurs deux orifices pris et ramonés en même temps. Quant à moi, il installait des électrodes sur mon ballstretcher métallique et à l’extrémité de ma cage de chasteté.
- Vous pourrez remercier cette putain…grâce à elle, vous allez devoir subir quelques tourments supplémentaires. Je vous préviens gentiment, si l’un de vous jouit dans la demi-heure qui suit, je vous laisserai toute la journée, ainsi harnachés, à vous faire défoncer.
Je pensais que la pression était retombée avec cette brève interruption, mais absolument pas… Dès que nous fûmes rebranchés, des secousses terribles irradiaient mon, nos corps… Des plaintes et des gémissements, des tremblements et des soubresauts, des plaisirs et des douleurs, des convulsions et frissons, des chocs et des ébranlements… nous n’étions que ça, à nous donner en spectacle, simplement emportés par le désir brulant, l’excitation exacerbée et l’intense frustration. J’hurlais à chaque décharge électrique qui se propageait sur et dans ma nouille, sur mon scrotum et dans mes couilles. Et des décharges, il y en avait, toutes les dix secondes ou presque, plus ou moins denses, plus ou moins violentes. Je perdais pied, perdais toute trace de dignité du fait des conditions imposées. Je n’étais qu’un esclave en perdition, qu’une machine à plaisirs, totalement accaparé par ces ressentis douloureux et à la fois jouissifs. Maxence m’attrapait une nouvelle fois par les cheveux, m’obligeant à le regarder. Je parvenais difficilement à le voir, tant ma vision était brouillée par mes larmes.
- Je suis certain que tu regrettes d’avoir une paire de boules entre les jambes, n’est-ce pas salope ?
- Oui Monsieur.
Maxence me giflait à deux reprises…
- Oui quoi !
- Oui Monsieur, je regrette d’avoir une paire de boules entre mes cuisses, Monsieur.
- Crois-moi salope, tu ne sais pas si bien dire…
(A suivre…)
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