Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°467 - (1/3) - Sublimes supplices et délicieuses humiliations chez Monsieur le Comte -
Dieu que soumis compelled MDE était bien, là, dans cette posture d’esclave, aux pieds du Maitre ! Il était heureux, peut-être même comme jamais il ne l’avait été jusqu’ici. Il se sentait bien, extraordinairement bien et cela se voyait, se respirait. Cette vie-là était bien la sienne, fusse-t-elle parfois douloureuse ! Monsieur le Comte avait vu juste, soumis compelled MDE avait pris beaucoup de plaisir à se faire enculer sauvagement sous le regard des Maîtres. Cette énorme queue qui avait défoncé son cul l’avait comme ragaillardi et fortifié. L’acte charnel devenait un acte banal, naturel, anodin, tel un besoin vital, comme boire, manger, respirer... Les yeux clos, couché en position fœtale sur ce pavé chauffé par le soleil, soumis compelled MDE se rappelait ce que lui avait prédit le Maître : ‘’Je ferai de toi un bon chien soumis et une bonne pute !’’ La prédiction prenait du sens aujourd’hui, le chien MDE se sentait glisser, doucement mais sûrement, sur une pente l’emmenant vers des pratiques et des plaisirs sexuels immodérés : Il devenait bel et bien une pute, un vide couilles total !

Monsieur le Marquis d’Evans allongé les pieds en éventail dans un large fauteuil de jardin, s’était endormi à l’ombre des pins parasols. Voyant ça, Monsieur le Comte décida de s’occuper du chien, toujours aux pieds du Maître. Il le fit lever doucement, pour ne pas réveiller son hôte et ami, et emmena l’esclave près de la maison. Une grande et superbe bâtisse du dix-huitième siècle, avec un magnifique patio rafraichi par une gigantesque fontaine mauresque. Dans cet espace fermé, planté d’orangers couverts de fruits où les bougainvilliers s’enroulaient autour des colonnes de pierre soutenant des arcades, régnait un silence monacal. On se serait effectivement cru dans un cloitre ! D’ailleurs dans un angle du patio était planté une grande croix en bois massif, pas tout à fait une croix chrétienne mais presque ! C’était là que Monsieur le Comte entraina soumis compelled MDE. Il lui demanda de s’assoir, sur un chevron amovible traversant la poutre verticale et de bien plaquer son dos contre le poteau érigé. Les bras en croix du soumis furent attachés solidement à la poutre horizontale. Monsieur le Comte fixa des bracelets cuir aux chevilles du chien, puis souleva ses pieds et accrocha les anneaux métalliques rivés aux bracelets à des mousquetons fixés à la poutre verticale. Bien que n’ayant plus les pieds au sol, soumis compelled MDE ne trouvait pas de réel inconfort à cette posture, mais il déchanta très vite. Le chevron sur lequel il était assis se baissa d’une vingtaine de centimètres. Ainsi, l’esclave, ne pouvant plus poser son cul, dut au moyen de ses seuls biceps et quadriceps, retenir le poids de son corps en suspension… Monsieur le Comte, toujours d’une grande perfidie, fixa un gode d’une taille honorable, tant en longueur qu’en épaisseur sur ce chevron, puis fit remonter le bout de poutre afin que l’objet phallique bien lubrifié effleure tout juste l’anus de l’esclave.

- Tu vois ma salope, je suis bien sympathique avec toi. Je te laisse le choix, soit tu travailles bien tes muscles de tes bras et jambes, soit tu t’empales ! Admets qu’il est bien rare qu’un Maître, laisse décider un esclave !

Le raisonnement de Monsieur le Comte était des plus machiavéliques, déjà crispé et tremblant, les muscles du chien MDE se tétanisèrent rapidement. A plusieurs reprises soumis compelled chercha à tirer sur ses bras et à appuyer sur ses jambes pour échapper au supplice du pal ! Mais au bout de quelques minutes seulement il sentit l’objet le pénétrer inexorablement. Mais le gode était long, trop long où la traverse de bois trop éloignée pour que l’esclave puisse poser son fessier sur celle-ci, et reposer son corps contracturé. Non seulement, il ne se soulageait pas, mais en plus il s’empalait ! Monsieur le Comte toujours face à soumis compelled MDE, l’humilia un peu plus encore :
- Tu es vraiment une vraie chienne, tu préfères nettement te faire enfiler plutôt que de faire des efforts musculaires, pour ta peine, tu vas rester ainsi un quart d’heure.

soumis compelled MDE, tenta dans un ultime effort de se soulever encore pour échapper à cette pénétration forcée. Avec un brin de malice, il comprit qu’en tirant plus encore sur ses bras, il parviendrait à détendre le cordage le maintenant attaché. Alors il se souleva encore, se laissa retomber doucement, puis recommença plusieurs fois l’exercice en « avalant » ainsi le gode un peu plus profondément à chaque fois qu’il s’y asseyait dessus. Et la douleur se mêla progressivement au plaisir. Il sentait l’excitation montée en lui, son sexe encagé bavait, un fin filet de sa mouille s’échappait… Enfin, le chien MDE était parvenu à poser son fessier sur le chevron, son cul avait englouti le dildo ! Tandis que l’esclave restait dans cette position, des pas s’approchèrent et Monsieur le Marquis d’Evans tout souriant contemplait la scène
- Je me suis permis, Cher ami, d’occuper un peu Votre chien pendant que vous preniez un peu de repos.
- Vous avez très bien fait Très Cher- Regardez ce misérable crucifié, il semble avoir pris du plaisir si j’en crois certain débordement de sa queue…- Ca ne m’étonne pas de Lui, ce n’est qu’une chienne lubrique, bonne qu’à se faire prendre par le cul et par n’importe quoi, pourvu que cette lope se sente bien sodomisée !
- Il me serait agréable de lui infliger quelques tortures supplémentaires, si vous n’y voyez pas d’inconvénient très cher Marquis !
- Il est à vous, faites en bon usage ! Répondit le Maître en caressant les cuisses de Son chien.

Monsieur le Comte partit quelques instants, le Maître profita de ce bref tête à tête avec Son chien pour l’interroger :
- Ca va Mon chien ?
- Oh oui très, très, bien Maître Vénéré, je suis le slave le plus heureux du monde.
- Tu ne regrettes pas de m’appartenir ?
- Nullement Maître, je suis si fier d’être à Vous.
- C’est bien, je suis fier d’avoir un chien fidèle…- Oh Merci Maître.

Le Maître ôta la cage de chasteté de l’esclave, tira sur ses couilles pendant que Monsieur le Comte, revenu, fixait un parachute de cuir autour d’elles. Pendant que Monsieur le Comte ajustait le matériel sur le scrotum du chien MDE, Le Maitre cueillait sur son gland, du bout de son index, du liquide pré séminal, doigt qu’il porta à la bouche de soumis compelled MDE.

- Suce ta mouille !

Monsieur le Comte avait sorti d’un sac un chapelet de petites boules de plomb de trois centimètres de diamètre. Il en fixa d’abord quatre sur le parachute, puis regarda la réaction de soumis compelled MDE. Il ne bronchait pas, alors il en accrocha quatre supplémentaires, puis deux autres encore.

- Joignons l’utile à l’agréable… Quitte à ce que ce chien ne fasse rien, autant lui travailler et lui étirer un peu les couilles.

C’était désormais plus d’un kilo qui pendait des couilles de soumis compelled MDE, il grimaça un tantinet lorsque le Maître fit balancer ces poids entre ses jambes. Il grimaça un peu plus encore, se mit même à geindre, lorsque Monsieur le Comte lui pressa les tétons avec deux pinces mordantes auxquelles il accrocha deux boules de plomb. La douleur était intense, vive et foudroyante et pourtant soumis compelled MDE se mit à bander instantanément. Le développement de son endurance masochiste prenait de la consistance. Monsieur le Comte s’employa encore, juste, soit disant pour le décorum, des pinces métalliques furent accrochées à ses orteils…. Là, le chien se mit à brayer ! Pour enrailler ces cris, Monsieur le Comte glissa dans la bouche de l’esclave un bâillon en forme de gode.

- Voilà qui est beaucoup mieux ! fit le Maître…
Monsieur le Comte et son hôte partirent laissant là le chien en cette position, ses orifices obstrués, ses génitaux étirés et ses tétons et pieds malmenés. Au bout d’un moment, soumis compelled MDE ne fut pas mécontent de voir réapparaitre les Maitres. Ils étaient suivis d’un esclave tenu en laisse et marchant à quatre pattes. Ils le firent rester en quadrupédie devant soumis compelled MDE pendant que Monsieur le Comte ôta les pinces des orteils et les poids des couilles du chien soumis MDE. Bien sûr soumis compelled MDE gigota, s’empala plus encore, et ses plaintes, bien qu’étouffées par le bâillon se firent entendre dans tout le patio. Une fois le travail terminé, le Maître intervint !

- Bien, maintenant un peu de distraction pour nous autres les Maîtres, jouons un peu ! toi le chien (le Maître de son index montrait l’esclave en quadrupédie), tu vas venir sucer Mon chien. Tu n’utiliseras point tes mains mais uniquement avec ta bouche et tu auras sept minutes, pas une de plus pour le faire jouir et cracher. Si tu n’y parviens pas, tu seras alors sévèrement puni. Toi Mon chien, pendant ces sept minutes, tu vas contenir ton plaisir et toute éjaculation. Si tu n’y parviens pas, c’est toi qui seras puni sévèrement, c’est bien compris !

A l’unisson, les deux esclaves répondirent un « OUI MAITRE » Ils comprirent bien que cette règle de jeu était quelque peu démoniaque et d’une grande perversité car l’un deux serait puni, pire encore… Que l’un ferait punir l’autre… Les lèvres de l’esclave enveloppèrent le gland de soumis compelled MDE et le top départ fut donné. Dès les premiers coups de langue, la queue de l’esclave MDE se tendit et gonfla comme si elle était en surchauffe. Quelques gouttes nacrées perlaient déjà sur ce gland turgescent. Le chien soumis compelled MDE comprit qu’il avait à faire à un expert. Au lieu de le pomper directement, la langue de l’esclave de Monsieur le Comte, glissa sur cette hampe gonflée puis lécha les couilles. Les boules du chien soumis MDE frétillèrent sous la pression de cette langue. Il revint ensuite titiller le gland et l’humecta de salive, petit jeu de bave, de mouille et de glisse. L’esclave prenait son temps, sans trop se préoccuper du moment alloué, il se délecta de cette mouille, elle était onctueuse et salée. La bite léchée, raide de désir se tendait encore, alors l’esclave se décida enfin, il se mit à pomper en cadence à enfoncer cette queue le plus profondément dans son gosier pour la faire glisser ensuite parfaitement dans sa bouche.

Il s’enfonça encore jusqu’à presque l’étouffement pour revenir sucer le gland et ainsi de suite en augmentant chaque fois un peu plus le rythme. Malgré le bâillon, les gémissements de plaisirs allaient bon train du côté de soumis compelled MDE, il tentait de contracter ses entrailles pour retenir ce qu’il avait de plus intime, mais le gode qu’il avait toujours dans le cul le limitait dans ses soubresauts, dans ses contractions musculaires. Mais soumis compelled MDE était un gagnant, et ne voulait rien lâcher et surtout pas son foutre. L’esclave suceur était lui aussi un compétiteur, il ne voulait rien perdre de cette queue, il voulait obtenir ce jus ! Chacun des deux esclaves étaient obnubilés par l’obéissance et le respect des ordres fixés par les Maîtres, peut-être même bien plus que la crainte d’une sévère correction… Le chien soumis compelled MDE était au bord de l’asphyxie, ses muscles se raidirent, il poussa sur ses jambes, ce qui eut pour effet de faire glisser le gode dans son cul. Quelle erreur ! Il lâcha un cri sonore et animé de spasmes et ne tenant plus, il déchargea une forte giclée de sperme épais d’une pression inouïe, puis deux, puis trois, jusqu’à inondé cette bouche chaude et experte. L’esclave de Monsieur le Comte se retira de la bite de soumis compelled MDE, ouvrit la bouche, tira la langue pour justifier et montrer qu’il était bel et bien le gagnant et le vainqueur de cette compétition.

- Cinq minutes quarante-huit exactement ! Lança le Maître en flattant le cul de l’esclave repositionné en dog, puis il lui ordonna d’avaler.

soumis compelled MDE honteux, contrit et consterné se laissa détaché de cette croix. On lui ôta les accessoires encore accrochés à lui, on lui remit sa cage de chasteté et dès qu’il fut en capacité de le faire, il se prosterna devant les pieds du Maître et présenta humblement ses respectueuses excuses.

- Tu as désobéi Mon chien et tu seras sévèrement puni le moment venu….

(A suivre …)

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