12.07.1997 (1/2)

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : 12.07.1997 (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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12.07.1997 (1/2)
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))

Petite précision : il y a entre le chapitre précédent et celui-ci 3 autres chapitres qui (malheureusement) ne respectent pas les codes de ce site. Je ne savais pas au moment où je l'ai vécu que cela pourrait poser un problème. Mais je respecte la décision prise par les modérateurs. Passons...



Vous vous demandez peut-être comment se peut-il que ce récit, mon histoire, est aussi bien détailler ?
La réponse est toute simple. Non pas que j'ai une "très bonne mémoire" bien au contraire, parfois j'oublis ce que j'ai fais la veille. La solution est que depuis mes 15 ans, je tiens par écrit un carnet (actuellement j'en suis à mon 25ème) où je manuscris tous mes acts.

***

Chapitre 7

"Je ne l’ai pas vu venir... Bien que j'aurai dû m'en douter, ou du moins j'aurai ďû envisager cette possibilité. Pourtant, je ne suis pas vraiment jaloux ou possessif mais cela était une épisode qui a marqué ma vie... Mais je ne regrette pas car cela aura impacter mon couple d'une manière significative, d'une manière positive..."


***


12 Juillet 1997

La dernière fois qu'on s'était pris affectueusement dans les bras remontait à quelques mois... Mon père, ma mère et mes frères doivent patiemment attendre dans le grand hall de l’aéroport l'atterissage du vol Nr 527 en provenance de Paris-Orly, se faisant une joie de me serrer dans leurs bras et de faire enfin la connaissance de Caline.

Caline... La merveilleuse Caline... La douce Caline... La ravissante Caline... La... La...
Je n’avais cessez à l’époque de la qualifier, de la complimenter au près des membres de ma famille tellement j'étais amoureux, tellement ses yeux avaient foudroyés mon cœur.
Je le redis encore une fois, Caline est un joli brin de fille... Cheuveux noirs, les yeux noisettes, avec des formes sensuelles. Elle attire (et cela est encore le cas aujourd'hui) à coup sûr le regard des hommes (et à l’occasion celui des femmes) qui la croisent... À mon grand bonheur.

Et me voilà donc de retour au bercail, acceptant l’étreinte des membres de ma famille avec une joie non dissimulée, après une séparation qui n'a pourtant duré que quelques mois.

— Notre fils n’a pas menti à votre sujet, annonce mon frère cadet à Caline. Vous êtes...
— Vous êtes ravissante ! Termine ma mère.

Caline ne peut s’empêcher de rougir, émue par tant de gentillesse, mais elle a eu délicatesse d'ajouter :

— Hamed m’a dit le plus grand bien de vous, madame... Je suis heureuse de pouvoir enfin vous rencontrer !
— Plaisir partagé, répond ma mère, avec courtoisie. Mais pas de "Madame" entre nous... Appelle-moi Patricia ou Pat comme tous mes amis, je t’en prie. Et voici mon aîné Hakim... Le second s'appelle Halim !
— Je sais, Hamed m'a déjà briffé... Alors toi Halim tu es né le 17.2... Euhhh... 1968, célibataire et chomeur de luxe !
— Holà... Exacte pour date de naissance mais chui pas célibataire... Je papillonne de fleur en fleur et c'est faux, je suis à la recherche d'un boulot car je viens juste de finir ma maîtrise en Haute Étude Commerciale !
— Ouais... Cela fait déjà un an que tu as ta maîtrise ! Annonce Halim en rigolant.
— Et toi Hakim tu es né le 28.09 mille neuf cent... Euhhh... 66, tu penses bientôt convoler en juste noce et tu bosses dans l'informatique !
— Tu as 10 sur 10 ! Dit le principal interessé.
— Dis frangin... Tu lui as parlé de note mode véstimentaire ? Demande Halim.
— Pas encore... Je voulais lui faire la surprise et voir sa réaction... Car elle fait partie maintenant de la famille car c'est elle qui va devoir me supporter jusqu'à la fin de ma vie ! Dis-je en souriant de tous mes dents.
— C'est une demande en mariage ? Demande Caline.


Sans attendre, Caline se précipite pour rejoindre cette voix angélique de ma mère.
À peine a-t-elle franchie la porte de la chambre qu'elle dit en baissant le regard :

— Oupss... Excusez moi... Je ne vous savez pas nue... Madame !
— Pat ou Patricia... Et je crois que tu as déjà vu plus d'une fois une femme nue... Non ?
— Non... Ou plutôt oui... Ma mère et ma sœur !
— Et toi même tous les jours dans le miroir !
— Heuuu... Je... Oui... Mais...
— Bon... Je t'explique... Ou plutôt je vais faire simple... Notre famille est naturiste !
— Naturiste ?
— Oui... Cela veut dire...
— Oui, oui... Que vous vivez nu !
— Oui... Ou plutôt qu'on aime vivre nu !
— Ah je comprends mieux maintenant, pourquoi Hamed se promène toujours à poil dans son appart.
— Et "Djelaba" c'est un code entre nous qui nous indique si la personne étrangère à notre famille serait choquée ou non par notre système de vie !
— Je ne saisi pas mada... Pat !
— Si on pose la question : "soirée Djelaba"... Et si on répond "oui" cela veut dire qu'on ne change rien à nos habitudes et si on dit "non" cela veut dire que tout le monde reste habillé jusqu'au départ de la personne étrangère à notre cercle familial !

En voyant les joues de Caline rougir à une vitesse grand V, a eu l'effet de me tordre de rire. Mais ne voulant pas brusquer les choses, je me retiens de rire aux éclats. Et pour parfaire la chose, mon esprit pervers s'imagine déjà des situations qu'un catholique aurait assez de mal à confier à son prêtre.

— Bon... Je vais voir si je peux aider votre mère ! Dit Caline sans lever les yeux du sol.

À peine 10 mn plus tard rentre mon père en criant presque :

— Bienvenue à toi fiston ! Où caches-tu la charmante Caline ?
— Elle est aux fours avec mam ! Répond Halim. Elle n'avait pas le courage de nous regarder des les yeux Hihihi !
— Et pas que dans les yeux ! Rajoute Hakim.

Il se précipite vers la cisine pour saluer notre invitée, puis se dirige vers sa chambre. Quelques minutes plus tard il en ressort, habillé de son bermuda.

— Allez les enfants... filez mettre vos bermudas... Un peu de politesse je vous prie !

À notre retour au séjour, j'avais noté que notre père avait dressé une petite table d'apéritif tout en tapant la discut avec ma meuf.

— Excuses mes enfant chère Caline, mais parfois ils manquent de savoir-vivre ! C'est pas comme ça qu'on fait pour mettre à l'aise des inconnus à notre famille.
— Et pourquoi maman est toujours en Djelaba ? Demande un de mes frères.
— Je me trompe peut-être, mais il est plus normal pour une femme de voir une autre femme en Djelaba que des hommes dans ce costume !
— Effectivement ! Affirme Caline.
— Je me rappelle effectivement qu'au début de notre aventure dans les camps naturistes, mon regard détaillait tout homme qui passait à nos cotés... Et effectivement j'avais honte mais ça m'est vite passé... Pourtant c'étais moi qui avais tenu bon pour que votre père vive ainsi... Vous savez... Mai 68 ect...! Précise ma mère qui est venue nous joindre pour lever un verre en hommage à Caline.

La nuit commence à faire son apparition progressivement.
Après un rapide aller-retour aux fourneaux, ma mère nous ordonnde de prendre place à table.
Mes parents prennent place en bout de table, moi à gauche de mon paternel, face à moi Caline et à sa droite mon frère Hakim.
Durant le dîner, les sujets de conversation ne manquent pas. La famille veut tout savoir, notre rencontre, nos sentiments, nos projets...
Arrive le dessert, je me suis levé et dis :

— Je ne veux pas la faire comme dans les films où je me dois mettre genoux à terre et faire ma demande... Je profite de cette occaz pour vous prendre à témoin et demander officieusement ta main chère Caline en attendant d'officialiser mon geste avec toute mon équipe auprès de tes géniteurs... Madame Caline... Voulez vous être la femme de mon cœur, mon épouse que je chérirerai, aimerai et ferai tout mon possible pour la rendre heureuse ?

À suivre...

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Texte coquin : 12.07.1997 (1/2)
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