13 06.2001 Réalisation d'un fantasme
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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13 06.2001 Réalisation d'un fantasme
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
13.06.2001
— Non, mais arrêtes ! Laisse mes seins tranquilles ! Se plaint-elle.
— Allez, bébé, ça fait si longtemps…
Elle fait semblant de repousser mes mains. Heureusement pour elle, je n’insiste pas. Dommage, car cela était si agréable.
Je sais qu'elle aimait parfois jouer à la femme insaisissable, mais là, je mourais d’envie de sentir mes mains courir sur son corps, je ne sais pas pourquoi, mais je sens comme un truc... Du genre, comme on dit en Tunisie "laa n'hebek, laa nosberr alik !", ce qui veut dire "Je ne t'aime pas mais je ne peux que te résister !".
C'est à ce moment là que cela a fait "tilt" dans ma petite tête.
Je lui avais promis, un jour, de lui rendre la pareille. Puisqu'elle avait accepté et qu'elle acceptera de réaliser mes phantasmes, je m'étais juré de réaliser les siens.
Il est vrai, qu'au départ il m'a été assez difficile de lui faire avouer la forme d'un ou de deux de ses phantasmes, mais à force de lui "tirer" les vers du nez, ou dois-je dire, à force de ľinciter à s'en créer, à s'imaginer être dans des situations qui la font phantasmer, je suis arrivé à en déterminer 3. Bien entendu, je laissais tomber les phantasmes du style "faire l'amour à la plage" ou bien quand elle reprend l'un de mes phantasmes et qu'elle me dit qu'elle a le même phantasme...
Donc voici les 3 phantasmes qui lui "tienent à cœur"
1) Être couverte de sperme.
2) Faire l'amour dans un lieu public (centre commercial, marché hebdomadaire ou de ville, la fac...).
3) Le phanrasme du viol.
Bref,
Deux de ces phantasmes me seraient facile à scénariser, mais je viens de décrocher le scripte du troisième rêve érotique de ma belle Caline.
Malgré mon absence de six mois, je me retiens pour ne pas lui sauter dessus, mais je viens de réaliser, que de lui faire vivre ce phantasme, sera un plaisir pour nous deux, et peut-être même plus pour moi que pour elle, je m'en réjouis déjà rien qu'en y pensant.
Six mois... Oui six mois que nous n’avions pas eu l'occasion de fusionner nos envies, nos désirs, nos passions. Elle doit être, toute aussi en manque, que moi. Je vois qu'elle s'est faite "désirable" pour moi (du moins je le suppose !) ; et par «désirable», j’entends par là qu'elle s'est habillée légèrement, dans ľespoir de m’émoustiller un peu plus. Une courte jupe dévoilant ses jambes fuselées tandis qu’un fin débardeur offre une magnifique vue sur sa jolie poitrine qu'on ne se lasserait jamais d'admirer. J’ai aussi noté, grâce à mon regard pervers, qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Et je metterais ma main à couper qu'elle s'était même épilée de près, si je puis dire.
Elle s'est légèrement maquillée et a laissé sa longue chevelure noire détachée comme j'aime la voir ainsi coiffer.
J’ai pensé que dès mon retour de stage, elle m’aurait sauté dessus pour me baiser. J’attendais cela avec impatience. Mais non ; à la place, elle a l’air de vouloir prendre son temps. Que c'est frustrant !
— Chérie, en arrivant, tu m'avait dis que tu voulais aller prendre une douche ? Lui rappelle ai-je.
— Ah oui c’est vrai... Tu viens ?
— Non, j’ai quelques trucs à faire sur l’ordi... Mais prends ton temps !
Elle se rend donc dans notre salle de bain, moi à ce moment là je réflechis à cent à l'heure. J'essaie de trouver la bonne solution. En marchant, Caline enlève déjà ses habits. Je ne peux m’empêcher d'admirer cette silouhaite. Je suis fier de ce que je peux observer : elle est bandante !
Je l’entends finalement rentrer dans la salle de bain mais j'ai attendu qu'elle ouvre les robinets de la douche.
Une demie-heure plus tard, Caline sort de la salle de bain. En se dirigeant vers le salon elle remarqua que la lumière est éteinte. Appuyant à plusieurs reprises sur l’interrupteur mais le résultat est le même : la pièce reste figée dans l’obscurité. Elle se met à m’appeller pour me demander ce qu’il se passe, mais aucune réponse ne lui parvient de ma part, et pour cause.
D’un seul coup, elle sent une présence dans son dos. Elle n’a pas eu le temps de réagir qu’on l’agrippe en lui plaquant une main sur la bouche.
— En voilà une belle prise… Chuchote une voix qui lui est étrangère.
Son corps est pris de tremblements nerveux et les battements de son cœur se font presque entendre.
— Viens... Avances ! Lui ordonne cette voix masculine. Et ne hurles pas, ou tu pourras le regretter !
Tandis qu’il la pousse vers le canapé en lui maintenant les poignets dans le dos d’une main ferme, son autre main profite de la situation pour venir lui palper les fesses.
Elle tente tant bien que mal, de se débattre pour échapper à l'emprise mais l’homme la serre bien trop fort. Il finit par la jeter sur le canapé. C’est alors que la lumière fait son retour dans la pièce et elle pu alors découvrir son agresseur. Il est grand, bien trop costaud pour elle et cagoulé.
Voilà que débarquent deux autres types, tout aussi cagoulés que leurs troisième ami.
— Regardez sur quoi j’ai mis la main, chef !
— Hum, quel joli morceau ! Les gars, je sens que je vais en profiter un peu, et je crois que je vais avoir besoin de vous... Bon... Vous allez me la tenir pendant que je lui fais découvrir à cette chienne ce que c’est un vrai homme !
J’imagine bien qu'elle a beaucoup de peine à croire ce qu'il est en train de lui arriver. C’est tellement inattendu. J'avais décidé de mettre en scène l’un de ses phantasmes les plus inavouables, qu'elle m'avait quand même osé avouer... (je me dois vous dire que cela n'était pas facile à le lui faire cracher le morceau. C'était après que je lui ai raconté, que j’avais le phantasme de me retrouver dans un glory-hole avec une vingtaine de queues à vider... Et Dieu sait qu'il est assez difficile à un homme d'avouer son "homosexualité")
Bref,
Je suis presque certain qu'elle espére tout aussi bien que moi, de vivre ce phantasme qu'on ne veut pas se l'avouer. Quel risque prendre ai-je à lui faire vivre ce scénario ?
Assise comme elle est, on peut sentir son corps trembler encore plus. L’excitation de cet instant n’a jamais été aussi grande, pour moi... Et pour elle ?
Le chef de la bande, toujours cagoulé, s’approche de Caline tandis que ses complices, se tiennent de chaque côtés de la victime, la tenant fermement. Il commence à lui caresser doucement les seins. Elle tente de se débattre, de jouer le rôle de la fille violée, mais les types sont bien trop forts pour elle.
Qui est-ce qui aurait bien voulu participer à ce scénario ? Ce demande Caline. Il est vrai que peu d'amis de Hamed auraient refusé une telle proposition, vu qu'elle se savait assez bandante et désirable.
Et si cela n'est pas le cas ?
Et si ce qu'elle est entrain de vivre est bien réel, où est Hamed ?
Elle aurait juré que le premier mec qui l'a saisi a presque la même carrure que ľun de leurs amis "François", mais il avait une voix plus grave.
Hamed lui a-il demandé de changer le timbre de sa voix?
Mon dieu, que cette situation était excitante mais aussi assez effrayante !
Pour se rassurer un tant soit peu, Caline se dit que tout cela est du cinema et que les acteurs jouent parfaitement bien leurs rôles.
Mais il y a quand même une grande différence entre vivre un phantasme et se retrouver dans une situation bien réelle, se dit-elle.
Le chef de la bande, commence à lui pincer les tétons et à prendre bien en main les seins. Caline se tortille, comme une bête prise à la gorge par un lion, pour échapper à ses agresseurs.
Voilà qu'il commence à lui caresser les cuisses qu'elle serre de toutes ses forces.
À croire qu'elle est enfin entrain de prendre son rôle très au sérieux et que ce qu'elle est entrain de vivre là était bien réel.
Le doute plane toujours dans son esprit, mais si s'est bien Hamed qui joue le rôle du chef de la bande, il mérite un oscar à coup sûr tellement il prend son rôle au sérieux. Peut-être même un peu trop ? S'interroge Caline qui est entre le doute et l'espoir.
"Attends de vivre la fin de l'histoire pour savoir si cette situation est réelle ou si elle est scénarisé ?" Ce dit Caline, qui est, tout compte fait, de plus en plus inquiéte.
L’imitation de ce rire sadique qu’aurait un malfrat dans ce genre de situation, ne fait que confirmer les soupçons de Caline. Il est tellement peu convaincant qu'elle manque de s’étouffer de rire.
Quoi qu’il en soit, elle a perdu sa concentration et voilà que le chef de la bande en a profité pour glisser sa main jusqu’à sa chatte nue et humide.
Tandis que le guide suprême de ces lascars continu à tripoter la belle victime consentante (ou pas), le gars qui avait maitrisé Caline relâche son emprise sur sa proie. N'ayant pas perçu ce changement d'attitude car trop occupé à martiriser Caline, le chef du grouoe se retrouve brusquement attiré vers l'arrière.
Est-ce une mutinerie qui se joue à cet instant ou bien une prise de conscience de la part de ses complices qui ont enfin jugé que le délit qu'ils été entrain de commettre peut avoir de graves conséquances sur leurs vies ?
Le troisième complice se jette à son tour sur le chef pour mieux le maîtriser.
— Mais qu’est-ce que vous faites ? Hurle le chef.
— On a décidé de changer les plans, explique l'un des deux complices. C’est nous qui allons nous occuper d’elle, et toi tu vas nous regarder faire !
Comme toute personne à qui on lui retire son bien, même mal acquis, le chef ne veut pas se laisser faire, mais les deux complices l'ont bien maîtrisé. Et il fût rapidement ligoté à une chaise, et ils ont rapidelent trouvé une serviette pour étouffer les cris de leurs (ex)chef.
Mais qu’est-ce que cela veut dire ?
Que venait-il de se passer là, au juste ?
Était-ce prévu ?
Normalement NON !
Dans son phantasme, Caline n'a jamais prédit, imaginé ou avoué vivre d'un tel revirement de situation.
Hamed de nature, un peu (même beaucoup) candauliste aurait-il imaginé un tel scénario ?
Si c'est le cas... Bravo l'artiste !
Caline se dit que si dans son phantasme elle avait exprimé la présence de "complices" cela n'était que pour augmenter ses orgasmes et sa soumisssion... Avoir 3 bites ou 4 qui la violent est bien plus "jouissif" que celle d'un seul agresseur sexuel.
— Maintenant tu es à nous ma belle ! Lui lance l'un des complices après s'être bien assuré que le (ex)chef est bien ficellé.
Caline est tétanisée, ne sachant que penser...
Que pouvait-elle faire ?
Où est Hamed ?
Qui de ces trois gars est Hamed ?
Est-elle entrain de vivre son phantasme ou est-ce que cela est réel ?
Si elle est entrain de vivre un scénario monté par Hamed, il faut que ce dernier change d'optique pour son avenir professionnel car il a du talon !
Et si tout cela est bien réel et que c'était elle même qui se faisait un film dans sa petite tête, devra t-elle jouer le jeu ou pas ?
Et si... Et si...
Caline tente, tout de même, une fuite mais le plus costaud des complices, se jette sur elle, la poussant pour qu'elle reprenne sa place sur le canapé.
Dépitée, Caline ne sait plus quoi penser !
Doit-elle se laisser faire ?
Doit-elle appeller à l'aide ?
Des questions, des questions et rien que des questions !
Mais ce qui est sûr, c’est que Caline était partagée entre une excitation, qui humidifie son abricot, et entre une peur de ses deux loubards qui ne cachent plus, leurs intentions.
"À bien y réfléchir !" Ce dit Caline "Je n’ai rien d’autre à faire que de continuer à jouer mon rôle en me défendant !"
Caline se débat, tentant de gifler, de griffer, de taper mais elle ne fait pas le poids contre ces deux hommes. Elle fait tout pour que d’un point de vue extérieur on ait vraiment l’impression que l’on s’apprête à la violer.
L’un des deux types attrape ses poignets et les bloque dans son dos, plaquant Caline sur le canapé, l’empêchant de faire le moindre geste. Une main commence à lui maltraiter les seins ; une autres lui claque les fesses. Malgré que son corps sursaute sous ces traitements, on distingue aisement que ses seins pointent indécemment et que son sexe dégouline abondamment.
Une main, vient remonter le bas de mon débardeur au-dessus de ses seins, les découvrant ainsi à la vue des deux hommes qui en bâvent cruellement tant ils ont envies d'y loger leurs narrines. L'un de ses tortionnaires eu enfin l'audace de retirer sa cagoule et de plonger sa bouche pour venir lui lécher et lui mordiller les tétons.
— François ? Que fais-tu ? Où est Hamed ?
— Hihihi... Ce gros cochon ? Honte à lui de vouloir offrir sa meuf !
— François... Nooon !
Caline pousse un gémissement de protestation. Pendant ce temps-là, la main de l’autre type se glisse sous sa jupe.
— Oh, putain ! La salope ne porte même pas de culotte... Ohh putain !
Sans attendre il lui pose ses lèvres pour venir lui brouter le minou. Sa langue glisse sur les lèvres intimes pour venir laper son jus. Bien que rétissante à ces attouchements, elle sent que son plaisir grimpe doucement mais sûrement grâce à l’action de ces deux bouches.
Plus les minutes passent et plus Caline cesse de se débattre. Elle a même de plus en plus de peine à retenir ses gémissements. Il est même assez difficile de voir, de sentir, si un soupçon de honte plane dans cet atmosphère diabolique tellement les gémissrments de Caline sont profonds. D’autant plus qu'il n'y a plus de doute, Hamed n'est certainement pas d'accord avec ce retournement de situation.
Je suis en train de remuer sur ma chaise et, malgré mon bâillon, on ne peut ignorer mes cris. J'avais compris que tout était joué, que je m'étais fait berné et qu'il est trop tard pour faire machine arrière. Il est vrai que cela me plais d'offrir ma chérie, mais avec mon concentement et que j'y participe un tant soit peu, mais là...
François, que je ne reconnais plus, lui qui est si doux, amical... S'est relevé libèrant son sexe qu’il vient placer devant le visage de sa "victime". Caline se tortille, se débat, proteste, mais Fançois lui maîtrise la tête, la tournant vers son membre.
Son gland violacé de désir fait pression sur les lèvres de ma chérie. À bout de souffle et toute résigné, elle céde (assez rapidement à mon goût) et le long sexe noueux de son bourreau s’engouffre dans sa bouche.
— Allez suce, salope, si tu tiens à la vie ! Hurle t-il.
— Oh oui, je vais te sucer autant que tu veux, et de la façon que tu veux ! Répond Caline.
Moi aussi, étant partagé entre l'excitation que me procurait cette situation, ma soumission forcée et ma révolte entravée, je vois les lèvres de ma belle enserrer avec gourmandise sa bite, sens presque que sa langue se régale en carressant son gland. Entandant cette satisfaction que François exprime, je ne peux avoir aucun doute sur le plaisir qu'elle est entrain de lui offrir avec sa bouche de suceuse de bites. L'une de ses mains se pose derrière la tête de ma meuf pour la maintenir alors qu’il commence à lui donner plusieurs coups de boutoir au fond de sa bouche pendant que son autre main lui maltraite les seins.
Le spectacle ne laisse pas de marbre son compagnon qui finit lui aussi par faire jaillir son sexe hors de son pantalon pour le positionner à l’entrée du vagin tout trompé de son jus d'amour. Elle exprime sans aucun complexe son plaisir de sentir cette bite va bientôt lui perforer la chatte. Si elle n’a pas une bite en bouche, on ľaura sûrement entendu hurler sa joie, même si de temps en temps elle essaye de se défendre, mais cela était sans trop de conviction.
Prise entre deux types qui lui baisent, l’un la bouche, l’autre la chatte, sans ménagement, Caline gémit en disant :
— Oh mon Dieu, comme c'est booon ! Je suis que votre objet, votre vide-couilles... Ohhh mon Dieu... Que... J’aime... Ça !
Alain lui défonce la chatte, s’enfonçant jusqu’à la garde, pilonnant violemment son puits d'amour. François lui baise la bouche avec tout autant d’ardeur. Il s’enfonce dans sa gorge au point de déclencher par moment des hoquets.
Comme un con, je me balance sur mon siège, espérant toujours avoir la chance de pouvoir me libérer de mes liens.
Bien que toute honteuse, Caline m'avoura plus tard qu'elle n'a jamais ressenti une si grande excitation que lorsqu'elle se savait impuissante entre les mains de ses deux types, alors que son "protecteur" était dans ľimpuissance de réagir.
J'ai, moi aussi honte, d'avoir pris une aussi mauvaise décision et offrir l'intimité de ma compagne sur un coup de tête et sans avoir pris la peine d'assurer mes arrières, ou plutôt assurer ľarrière train de ma chérie.
— On échange ? Lance François à son complice, Alain.
— OK !
— Dans le cul… Dans moooon cul ! Implore Caline.
— Avec grand plaisir ma jolie salope ! Répond François.
Cette fois il n'y avait plus aucun doute. Caline était entrain de kiffer grave la façon dont elle est prise. Elle jouit superbement de cet état de soumission à la quelle elle est contrainte. Elle ne cache plus son bonheur de se faire défoncer et exprime son désir en toute honnêteté.
— Oui... Baisez-moi comme une salope ! Reconnait-elle.
Les garçons la retournent dans tous les sens pour enfin la mettre sur le ventre. Alain s’assaye devant elle et sans hésité, Caline enfourne dans sa bouche cette bite toute rigide. De ses doigts François, parcoure ses lèvres intimes pour récolter de la cyprine qu’il étale sur ma rondelle.
— Non, pas besoin de me préparer, proteste Caline. Prends-moi comme ça de force. Défonces-moi le cul, fais-moi mal !
Reprenant cette bite que sa bouche avait brièvement abandonnée, je vois les grimaces de Caline lorsque François fait pression sur sa rondelle. D'un grand coup de reins, sa bite s’enfonce à moitié dans son conduit anal.
— Ooooh ouiiii... Que c'est booooon !
Après plusieurs coups de reins, François, finit par vaincre, pour s’enfoncer entièrement dans ce cul qui ne demande que ça. Caline ne cesse d'exprimer son plaisir au fur et à mesure que François lui ramonne le train arrière.
Alain lui baise, comme il se doit la bouche. Honteux, mais tout au fond de moi, je suis heureux de voir que ma miss se laisse faire, de voir qu'elle se laisse, ainsi offrir à ces bourreaux en me jettant des regards pleins d'amour ou de rancune, ou de défit... Je ne pouvais vraiment voir tant qu'elle était secouée.
— Nom d'un chien... Que c'est booooon !! Arrive t-elle à crier.
Secouée finalement par un orgasme dévastateur, tous les membres de Caline vibrent comme si elle a été touché par la foudre.
— Ohhh putain... Une salope comme ça je m'la ferais bien tous les jours ! Aboit Alain en jouissant si fort dans la bouche de ma chienne.
— Moi, aussi ! Ajoute François. Son cul est bien serré, à cette putain !
— Attends François... Offrons lui une douche de sperme, à cette salope... Qu’en penses-tu ?
— Bonne idée !
Ils abandonnent ainsi tous les deux ses trous, la faisant s’agenouiller. Ils se positionnent debout, la bite devant son visage et se branlaient frénétiquement. Il ne lui faut pas attendre trop longtemps avant de sentir la première giclée de sperme chaud atteindre son visage. Alain est le premier à jouir. Son éjaculation est abondante. Il lui en a balafré le visage, et ça coule même sur ses seins. François jouissant peu après, se montrant bien généreux en lait.
Habillement, Caline fit un nettoyage en bon et dû forme de leurs lances-spermes.
S'étendant comme une feline rassasiée, elle confirme la demande de François pour qu'elle ne me détache que dans une heure.
Comblée, qu'elle était par cette soirée, bien malgré moi, elle s'approche de moi et dans un dernier geste de provocation, elle récupére sur son majeur un peu de sperme qu'elle a sur sa joue et l'avale en arborant un grand sourire.
D'autres aventures à suivre...
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
13.06.2001
— Non, mais arrêtes ! Laisse mes seins tranquilles ! Se plaint-elle.
— Allez, bébé, ça fait si longtemps…
Elle fait semblant de repousser mes mains. Heureusement pour elle, je n’insiste pas. Dommage, car cela était si agréable.
Je sais qu'elle aimait parfois jouer à la femme insaisissable, mais là, je mourais d’envie de sentir mes mains courir sur son corps, je ne sais pas pourquoi, mais je sens comme un truc... Du genre, comme on dit en Tunisie "laa n'hebek, laa nosberr alik !", ce qui veut dire "Je ne t'aime pas mais je ne peux que te résister !".
C'est à ce moment là que cela a fait "tilt" dans ma petite tête.
Je lui avais promis, un jour, de lui rendre la pareille. Puisqu'elle avait accepté et qu'elle acceptera de réaliser mes phantasmes, je m'étais juré de réaliser les siens.
Il est vrai, qu'au départ il m'a été assez difficile de lui faire avouer la forme d'un ou de deux de ses phantasmes, mais à force de lui "tirer" les vers du nez, ou dois-je dire, à force de ľinciter à s'en créer, à s'imaginer être dans des situations qui la font phantasmer, je suis arrivé à en déterminer 3. Bien entendu, je laissais tomber les phantasmes du style "faire l'amour à la plage" ou bien quand elle reprend l'un de mes phantasmes et qu'elle me dit qu'elle a le même phantasme...
Donc voici les 3 phantasmes qui lui "tienent à cœur"
1) Être couverte de sperme.
2) Faire l'amour dans un lieu public (centre commercial, marché hebdomadaire ou de ville, la fac...).
3) Le phanrasme du viol.
Bref,
Deux de ces phantasmes me seraient facile à scénariser, mais je viens de décrocher le scripte du troisième rêve érotique de ma belle Caline.
Malgré mon absence de six mois, je me retiens pour ne pas lui sauter dessus, mais je viens de réaliser, que de lui faire vivre ce phantasme, sera un plaisir pour nous deux, et peut-être même plus pour moi que pour elle, je m'en réjouis déjà rien qu'en y pensant.
Six mois... Oui six mois que nous n’avions pas eu l'occasion de fusionner nos envies, nos désirs, nos passions. Elle doit être, toute aussi en manque, que moi. Je vois qu'elle s'est faite "désirable" pour moi (du moins je le suppose !) ; et par «désirable», j’entends par là qu'elle s'est habillée légèrement, dans ľespoir de m’émoustiller un peu plus. Une courte jupe dévoilant ses jambes fuselées tandis qu’un fin débardeur offre une magnifique vue sur sa jolie poitrine qu'on ne se lasserait jamais d'admirer. J’ai aussi noté, grâce à mon regard pervers, qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Et je metterais ma main à couper qu'elle s'était même épilée de près, si je puis dire.
Elle s'est légèrement maquillée et a laissé sa longue chevelure noire détachée comme j'aime la voir ainsi coiffer.
J’ai pensé que dès mon retour de stage, elle m’aurait sauté dessus pour me baiser. J’attendais cela avec impatience. Mais non ; à la place, elle a l’air de vouloir prendre son temps. Que c'est frustrant !
— Chérie, en arrivant, tu m'avait dis que tu voulais aller prendre une douche ? Lui rappelle ai-je.
— Ah oui c’est vrai... Tu viens ?
— Non, j’ai quelques trucs à faire sur l’ordi... Mais prends ton temps !
Elle se rend donc dans notre salle de bain, moi à ce moment là je réflechis à cent à l'heure. J'essaie de trouver la bonne solution. En marchant, Caline enlève déjà ses habits. Je ne peux m’empêcher d'admirer cette silouhaite. Je suis fier de ce que je peux observer : elle est bandante !
Je l’entends finalement rentrer dans la salle de bain mais j'ai attendu qu'elle ouvre les robinets de la douche.
Une demie-heure plus tard, Caline sort de la salle de bain. En se dirigeant vers le salon elle remarqua que la lumière est éteinte. Appuyant à plusieurs reprises sur l’interrupteur mais le résultat est le même : la pièce reste figée dans l’obscurité. Elle se met à m’appeller pour me demander ce qu’il se passe, mais aucune réponse ne lui parvient de ma part, et pour cause.
D’un seul coup, elle sent une présence dans son dos. Elle n’a pas eu le temps de réagir qu’on l’agrippe en lui plaquant une main sur la bouche.
— En voilà une belle prise… Chuchote une voix qui lui est étrangère.
Son corps est pris de tremblements nerveux et les battements de son cœur se font presque entendre.
— Viens... Avances ! Lui ordonne cette voix masculine. Et ne hurles pas, ou tu pourras le regretter !
Tandis qu’il la pousse vers le canapé en lui maintenant les poignets dans le dos d’une main ferme, son autre main profite de la situation pour venir lui palper les fesses.
Elle tente tant bien que mal, de se débattre pour échapper à l'emprise mais l’homme la serre bien trop fort. Il finit par la jeter sur le canapé. C’est alors que la lumière fait son retour dans la pièce et elle pu alors découvrir son agresseur. Il est grand, bien trop costaud pour elle et cagoulé.
Voilà que débarquent deux autres types, tout aussi cagoulés que leurs troisième ami.
— Regardez sur quoi j’ai mis la main, chef !
— Hum, quel joli morceau ! Les gars, je sens que je vais en profiter un peu, et je crois que je vais avoir besoin de vous... Bon... Vous allez me la tenir pendant que je lui fais découvrir à cette chienne ce que c’est un vrai homme !
J’imagine bien qu'elle a beaucoup de peine à croire ce qu'il est en train de lui arriver. C’est tellement inattendu. J'avais décidé de mettre en scène l’un de ses phantasmes les plus inavouables, qu'elle m'avait quand même osé avouer... (je me dois vous dire que cela n'était pas facile à le lui faire cracher le morceau. C'était après que je lui ai raconté, que j’avais le phantasme de me retrouver dans un glory-hole avec une vingtaine de queues à vider... Et Dieu sait qu'il est assez difficile à un homme d'avouer son "homosexualité")
Bref,
Je suis presque certain qu'elle espére tout aussi bien que moi, de vivre ce phantasme qu'on ne veut pas se l'avouer. Quel risque prendre ai-je à lui faire vivre ce scénario ?
Assise comme elle est, on peut sentir son corps trembler encore plus. L’excitation de cet instant n’a jamais été aussi grande, pour moi... Et pour elle ?
Le chef de la bande, toujours cagoulé, s’approche de Caline tandis que ses complices, se tiennent de chaque côtés de la victime, la tenant fermement. Il commence à lui caresser doucement les seins. Elle tente de se débattre, de jouer le rôle de la fille violée, mais les types sont bien trop forts pour elle.
Qui est-ce qui aurait bien voulu participer à ce scénario ? Ce demande Caline. Il est vrai que peu d'amis de Hamed auraient refusé une telle proposition, vu qu'elle se savait assez bandante et désirable.
Et si cela n'est pas le cas ?
Et si ce qu'elle est entrain de vivre est bien réel, où est Hamed ?
Elle aurait juré que le premier mec qui l'a saisi a presque la même carrure que ľun de leurs amis "François", mais il avait une voix plus grave.
Hamed lui a-il demandé de changer le timbre de sa voix?
Mon dieu, que cette situation était excitante mais aussi assez effrayante !
Pour se rassurer un tant soit peu, Caline se dit que tout cela est du cinema et que les acteurs jouent parfaitement bien leurs rôles.
Mais il y a quand même une grande différence entre vivre un phantasme et se retrouver dans une situation bien réelle, se dit-elle.
Le chef de la bande, commence à lui pincer les tétons et à prendre bien en main les seins. Caline se tortille, comme une bête prise à la gorge par un lion, pour échapper à ses agresseurs.
Voilà qu'il commence à lui caresser les cuisses qu'elle serre de toutes ses forces.
À croire qu'elle est enfin entrain de prendre son rôle très au sérieux et que ce qu'elle est entrain de vivre là était bien réel.
Le doute plane toujours dans son esprit, mais si s'est bien Hamed qui joue le rôle du chef de la bande, il mérite un oscar à coup sûr tellement il prend son rôle au sérieux. Peut-être même un peu trop ? S'interroge Caline qui est entre le doute et l'espoir.
"Attends de vivre la fin de l'histoire pour savoir si cette situation est réelle ou si elle est scénarisé ?" Ce dit Caline, qui est, tout compte fait, de plus en plus inquiéte.
L’imitation de ce rire sadique qu’aurait un malfrat dans ce genre de situation, ne fait que confirmer les soupçons de Caline. Il est tellement peu convaincant qu'elle manque de s’étouffer de rire.
Quoi qu’il en soit, elle a perdu sa concentration et voilà que le chef de la bande en a profité pour glisser sa main jusqu’à sa chatte nue et humide.
Tandis que le guide suprême de ces lascars continu à tripoter la belle victime consentante (ou pas), le gars qui avait maitrisé Caline relâche son emprise sur sa proie. N'ayant pas perçu ce changement d'attitude car trop occupé à martiriser Caline, le chef du grouoe se retrouve brusquement attiré vers l'arrière.
Est-ce une mutinerie qui se joue à cet instant ou bien une prise de conscience de la part de ses complices qui ont enfin jugé que le délit qu'ils été entrain de commettre peut avoir de graves conséquances sur leurs vies ?
Le troisième complice se jette à son tour sur le chef pour mieux le maîtriser.
— Mais qu’est-ce que vous faites ? Hurle le chef.
— On a décidé de changer les plans, explique l'un des deux complices. C’est nous qui allons nous occuper d’elle, et toi tu vas nous regarder faire !
Comme toute personne à qui on lui retire son bien, même mal acquis, le chef ne veut pas se laisser faire, mais les deux complices l'ont bien maîtrisé. Et il fût rapidement ligoté à une chaise, et ils ont rapidelent trouvé une serviette pour étouffer les cris de leurs (ex)chef.
Mais qu’est-ce que cela veut dire ?
Que venait-il de se passer là, au juste ?
Était-ce prévu ?
Normalement NON !
Dans son phantasme, Caline n'a jamais prédit, imaginé ou avoué vivre d'un tel revirement de situation.
Hamed de nature, un peu (même beaucoup) candauliste aurait-il imaginé un tel scénario ?
Si c'est le cas... Bravo l'artiste !
Caline se dit que si dans son phantasme elle avait exprimé la présence de "complices" cela n'était que pour augmenter ses orgasmes et sa soumisssion... Avoir 3 bites ou 4 qui la violent est bien plus "jouissif" que celle d'un seul agresseur sexuel.
— Maintenant tu es à nous ma belle ! Lui lance l'un des complices après s'être bien assuré que le (ex)chef est bien ficellé.
Caline est tétanisée, ne sachant que penser...
Que pouvait-elle faire ?
Où est Hamed ?
Qui de ces trois gars est Hamed ?
Est-elle entrain de vivre son phantasme ou est-ce que cela est réel ?
Si elle est entrain de vivre un scénario monté par Hamed, il faut que ce dernier change d'optique pour son avenir professionnel car il a du talon !
Et si tout cela est bien réel et que c'était elle même qui se faisait un film dans sa petite tête, devra t-elle jouer le jeu ou pas ?
Et si... Et si...
Caline tente, tout de même, une fuite mais le plus costaud des complices, se jette sur elle, la poussant pour qu'elle reprenne sa place sur le canapé.
Dépitée, Caline ne sait plus quoi penser !
Doit-elle se laisser faire ?
Doit-elle appeller à l'aide ?
Des questions, des questions et rien que des questions !
Mais ce qui est sûr, c’est que Caline était partagée entre une excitation, qui humidifie son abricot, et entre une peur de ses deux loubards qui ne cachent plus, leurs intentions.
"À bien y réfléchir !" Ce dit Caline "Je n’ai rien d’autre à faire que de continuer à jouer mon rôle en me défendant !"
Caline se débat, tentant de gifler, de griffer, de taper mais elle ne fait pas le poids contre ces deux hommes. Elle fait tout pour que d’un point de vue extérieur on ait vraiment l’impression que l’on s’apprête à la violer.
L’un des deux types attrape ses poignets et les bloque dans son dos, plaquant Caline sur le canapé, l’empêchant de faire le moindre geste. Une main commence à lui maltraiter les seins ; une autres lui claque les fesses. Malgré que son corps sursaute sous ces traitements, on distingue aisement que ses seins pointent indécemment et que son sexe dégouline abondamment.
Une main, vient remonter le bas de mon débardeur au-dessus de ses seins, les découvrant ainsi à la vue des deux hommes qui en bâvent cruellement tant ils ont envies d'y loger leurs narrines. L'un de ses tortionnaires eu enfin l'audace de retirer sa cagoule et de plonger sa bouche pour venir lui lécher et lui mordiller les tétons.
— François ? Que fais-tu ? Où est Hamed ?
— Hihihi... Ce gros cochon ? Honte à lui de vouloir offrir sa meuf !
— François... Nooon !
Caline pousse un gémissement de protestation. Pendant ce temps-là, la main de l’autre type se glisse sous sa jupe.
— Oh, putain ! La salope ne porte même pas de culotte... Ohh putain !
Sans attendre il lui pose ses lèvres pour venir lui brouter le minou. Sa langue glisse sur les lèvres intimes pour venir laper son jus. Bien que rétissante à ces attouchements, elle sent que son plaisir grimpe doucement mais sûrement grâce à l’action de ces deux bouches.
Plus les minutes passent et plus Caline cesse de se débattre. Elle a même de plus en plus de peine à retenir ses gémissements. Il est même assez difficile de voir, de sentir, si un soupçon de honte plane dans cet atmosphère diabolique tellement les gémissrments de Caline sont profonds. D’autant plus qu'il n'y a plus de doute, Hamed n'est certainement pas d'accord avec ce retournement de situation.
Je suis en train de remuer sur ma chaise et, malgré mon bâillon, on ne peut ignorer mes cris. J'avais compris que tout était joué, que je m'étais fait berné et qu'il est trop tard pour faire machine arrière. Il est vrai que cela me plais d'offrir ma chérie, mais avec mon concentement et que j'y participe un tant soit peu, mais là...
François, que je ne reconnais plus, lui qui est si doux, amical... S'est relevé libèrant son sexe qu’il vient placer devant le visage de sa "victime". Caline se tortille, se débat, proteste, mais Fançois lui maîtrise la tête, la tournant vers son membre.
Son gland violacé de désir fait pression sur les lèvres de ma chérie. À bout de souffle et toute résigné, elle céde (assez rapidement à mon goût) et le long sexe noueux de son bourreau s’engouffre dans sa bouche.
— Allez suce, salope, si tu tiens à la vie ! Hurle t-il.
— Oh oui, je vais te sucer autant que tu veux, et de la façon que tu veux ! Répond Caline.
Moi aussi, étant partagé entre l'excitation que me procurait cette situation, ma soumission forcée et ma révolte entravée, je vois les lèvres de ma belle enserrer avec gourmandise sa bite, sens presque que sa langue se régale en carressant son gland. Entandant cette satisfaction que François exprime, je ne peux avoir aucun doute sur le plaisir qu'elle est entrain de lui offrir avec sa bouche de suceuse de bites. L'une de ses mains se pose derrière la tête de ma meuf pour la maintenir alors qu’il commence à lui donner plusieurs coups de boutoir au fond de sa bouche pendant que son autre main lui maltraite les seins.
Le spectacle ne laisse pas de marbre son compagnon qui finit lui aussi par faire jaillir son sexe hors de son pantalon pour le positionner à l’entrée du vagin tout trompé de son jus d'amour. Elle exprime sans aucun complexe son plaisir de sentir cette bite va bientôt lui perforer la chatte. Si elle n’a pas une bite en bouche, on ľaura sûrement entendu hurler sa joie, même si de temps en temps elle essaye de se défendre, mais cela était sans trop de conviction.
Prise entre deux types qui lui baisent, l’un la bouche, l’autre la chatte, sans ménagement, Caline gémit en disant :
— Oh mon Dieu, comme c'est booon ! Je suis que votre objet, votre vide-couilles... Ohhh mon Dieu... Que... J’aime... Ça !
Alain lui défonce la chatte, s’enfonçant jusqu’à la garde, pilonnant violemment son puits d'amour. François lui baise la bouche avec tout autant d’ardeur. Il s’enfonce dans sa gorge au point de déclencher par moment des hoquets.
Comme un con, je me balance sur mon siège, espérant toujours avoir la chance de pouvoir me libérer de mes liens.
Bien que toute honteuse, Caline m'avoura plus tard qu'elle n'a jamais ressenti une si grande excitation que lorsqu'elle se savait impuissante entre les mains de ses deux types, alors que son "protecteur" était dans ľimpuissance de réagir.
J'ai, moi aussi honte, d'avoir pris une aussi mauvaise décision et offrir l'intimité de ma compagne sur un coup de tête et sans avoir pris la peine d'assurer mes arrières, ou plutôt assurer ľarrière train de ma chérie.
— On échange ? Lance François à son complice, Alain.
— OK !
— Dans le cul… Dans moooon cul ! Implore Caline.
— Avec grand plaisir ma jolie salope ! Répond François.
Cette fois il n'y avait plus aucun doute. Caline était entrain de kiffer grave la façon dont elle est prise. Elle jouit superbement de cet état de soumission à la quelle elle est contrainte. Elle ne cache plus son bonheur de se faire défoncer et exprime son désir en toute honnêteté.
— Oui... Baisez-moi comme une salope ! Reconnait-elle.
Les garçons la retournent dans tous les sens pour enfin la mettre sur le ventre. Alain s’assaye devant elle et sans hésité, Caline enfourne dans sa bouche cette bite toute rigide. De ses doigts François, parcoure ses lèvres intimes pour récolter de la cyprine qu’il étale sur ma rondelle.
— Non, pas besoin de me préparer, proteste Caline. Prends-moi comme ça de force. Défonces-moi le cul, fais-moi mal !
Reprenant cette bite que sa bouche avait brièvement abandonnée, je vois les grimaces de Caline lorsque François fait pression sur sa rondelle. D'un grand coup de reins, sa bite s’enfonce à moitié dans son conduit anal.
— Ooooh ouiiii... Que c'est booooon !
Après plusieurs coups de reins, François, finit par vaincre, pour s’enfoncer entièrement dans ce cul qui ne demande que ça. Caline ne cesse d'exprimer son plaisir au fur et à mesure que François lui ramonne le train arrière.
Alain lui baise, comme il se doit la bouche. Honteux, mais tout au fond de moi, je suis heureux de voir que ma miss se laisse faire, de voir qu'elle se laisse, ainsi offrir à ces bourreaux en me jettant des regards pleins d'amour ou de rancune, ou de défit... Je ne pouvais vraiment voir tant qu'elle était secouée.
— Nom d'un chien... Que c'est booooon !! Arrive t-elle à crier.
Secouée finalement par un orgasme dévastateur, tous les membres de Caline vibrent comme si elle a été touché par la foudre.
— Ohhh putain... Une salope comme ça je m'la ferais bien tous les jours ! Aboit Alain en jouissant si fort dans la bouche de ma chienne.
— Moi, aussi ! Ajoute François. Son cul est bien serré, à cette putain !
— Attends François... Offrons lui une douche de sperme, à cette salope... Qu’en penses-tu ?
— Bonne idée !
Ils abandonnent ainsi tous les deux ses trous, la faisant s’agenouiller. Ils se positionnent debout, la bite devant son visage et se branlaient frénétiquement. Il ne lui faut pas attendre trop longtemps avant de sentir la première giclée de sperme chaud atteindre son visage. Alain est le premier à jouir. Son éjaculation est abondante. Il lui en a balafré le visage, et ça coule même sur ses seins. François jouissant peu après, se montrant bien généreux en lait.
Habillement, Caline fit un nettoyage en bon et dû forme de leurs lances-spermes.
S'étendant comme une feline rassasiée, elle confirme la demande de François pour qu'elle ne me détache que dans une heure.
Comblée, qu'elle était par cette soirée, bien malgré moi, elle s'approche de moi et dans un dernier geste de provocation, elle récupére sur son majeur un peu de sperme qu'elle a sur sa joue et l'avale en arborant un grand sourire.
D'autres aventures à suivre...
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