30 ans d’écart. - histoire érotique

C’est l’été, il fait chaud. Je m’appelle Éric, j’ai 28 ans, plutôt beau garçon, je plais aux filles. Je vis en Seine et marne, et pour le mois d’aout, ma tante Martine âgée de 58 ans m’a invité à venir passer quinze jours chez elle dans l’arrière-pays niçois.
Comme je vis dans un appartement et que ma tante à une belle petite maison avec piscine et terrasse, je n’ai pas hésité une seconde à répondre positivement à son invitation.
Ça fait une journée que je suis arrivé chez ma tante lorsqu’elle me dit : « ce soir j’ai invité ma meilleur amie Annie à venir manger le barbecue. Tu sais, je t’ai déjà parlé d’elle. Elle a le même âge que moi et je suis partie en vacances avec elle en Grèce et aussi en croisière. Tu vas pouvoir faire sa connaissance, tu verras elle est sympa et comme moi, elle est restée jeune d’esprit ».
Il est 20 heures. La sonnette retentie, ma tante qui est sous sa douche me demande d’aller ouvrir. J’ouvre la porte et je vois une belle femme d’âge mûr, environ 1m60, blonde à l’allure sportive. Elle porte une robe blanche qui ne cache pas ses genoux avec un décolleté qu’il laisse deviner une poitrine généreuse.
Elle me dit : « Je suis Annie, tu dois être Éric ? ». Je lui réponds que oui. Je l’invite à entrer, et lui propose un verre qu’elle accepte avec plaisir et tout en me propose de la tutoyer.
Ma tante arrive, nous buvons l’apéritif, puis nous passons à table sur la terrasse. Je m’occupe du barbecue, Annie vient me voir de temps en temps en faisant mine de s’intéresse à la cuisson de la viande, mais dès que ma tante à le dos tourné, elle en profite pour mettre la main sur l’épaule ou dans le dos.
Il est maintenant 23 heures, la soirée touche à sa fin et Annie demande à ma tante comment elle travaille demain. Ma tante lui répond qu’elle est d’après-midi de 13h à 21h. Annie nous salut et prend congés.
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La journée du lendemain se passe normalement, ma tante quitte la maison vers 12h30 pour se rendre à son travail et moi je me mets en maillot de bain pour profiter de la piscine et des transats.
Il est 15h lorsque la sonnette retentie, je passe un peignoir et je vais ouvrir la porte. A ma grande surprise, c’est Annie qui est là, avec une robe encore plus sexy que la veille. Je lui dis que ma tante est partie travailler. Elle me dit qu’elle le sait mais qu’elle passait dans le quartier et qu’elle était venue me dire bonjour. Je lui dis d’entrée, je l’invite dans le salon et lui propose un cocktail qu’elle accepte volontiers.
Alors que je lui fais face, assis sur un fauteuil, Annie s’amuse à faire glisser sa robe le long de sa cuisse en me souriant. Je suis un peu gêné, mais aussi troublé par cette femme qui certes plus âgée que ma mère, a un charme fou et un corps magnifique.
Annie se lève et vient s’asseoir à côté de moi sur l’accoudoir du fauteuil. Elle passe sa main à l’intérieur de mon peignoir et elle commence à me caresser le torse. Je n’en peux plus, je me lève, je laisse tombe mon peignoir par terre pour me retrouver, face à elle, avec comme seul vêtement mon slip de bain, qui a bien du mal à contenir l’excitation de mon sexe. Annie admire le spectacle. Je la serre contre moi, nous nous embrassons, je pose mes mains sur ses cuisses et les remontent délicatement jusqu'à sa petite culotte.
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Nous sommes tous les deux de plus en plus existés, je prends Annie par la main et je l’emmène dans ma chambre. Elle me dit qu’elle a envie de moi depuis la première seconde ou elle m’a vu. Je lui réponds qu’elle me plait beaucoup, que je n’ai jamais eu de relation avec une femme de son âge, mais que c’est un fantasme que j’aimerais réaliser, surtout avec elle.
Je dégrafe l’arrière de sa robe et la lui passe au-dessus de la tête pour lui enlever. Annie est maintenant devant moi en sous vêtement. Un ensemble culotte et soutient gorges jaunes très sexy.
Je lui dégrafe son soutient gorges et je commence à lui lécher les seins, pendant qu’Annie pose ses mains dans mes cheveux pour me masser le cuir chevelu. Je n’en peux plus, je l‘allonge sur le lit, je m’allonge à côté d’elle, et je commence à lui caresser son sexe à travers sa culotte toute humidifiée par son excitation.
Au bout d’une minute, je me relève, je lui enlève sa culotte. Elle est maintenant complètement nue devant moi. Elle écarte les cuisses, je glisse ma tête entre ses dernières et je lui lèche énergiquement sa petite chatte grisonnante de quinquagénaire.
Annie commence à jouir. Je me relève, j’hôte mon slip de bain, elle regarde mon sexe qui s’érige devant elle tel le mat d’un bateau. Je me mets à genou sur le lit, je me positionne entre ses cuisses, je saisi mon membre avec ma main droite et je le frotte contre sa chatte. Je suis de plus en plus excité, mon sexe est dur comme du bois, j’entre en elle et je m’allonge sur son corps.
Je commence mes mouvements de reins entre ses cuisses bien écarté afin de me faciliter le passage. D’abord des mouvements lents, puis plus les secondes s’égrènent, plus les mouvements deviennent rapides. Plus je mets de l’intensité, plus Annie crie, jusqu’à pousser des hurlements qui commencent à m’inquiéter. Que vont pensaient les voisins s’ils nous entendent ? Que vais-je dire à ma tante s’ils lui posent des questions ? Mais ses cries m’excitent, et plus elle hurle plus j’accélère les mouvements, je suis comme en transe au moment où j’envoie la purée dans la chatte de mon invité, puis Je m’écroule sur Annie, qui me dit qu’elle n’a jamais joui comme ça.
Nous sommes maintenant côte à côte dans le lit à reprendre notre souffle, Annie n’a pas l’air de vouloir rentrer chez elle, mais malgré le plaisir que cette mature m’a procuré, je préférerais qu’elle parte. On ne sait jamais, si ma tante revenait à l’improviste.